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Jeux vidéo


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Une nouvelle dont les geeks frénétiques de gadgets qui maraudent ici se tapent sûrement, c'est la faillite d'Atari qui dépose le bilan. En la lisant je n'ai pu m'empêcher de me souvenir avec émoi de mon premier ordi, de ma première console en 8 bits et des jeux mythiques comme Asteroids ou Pacman, je vous parle d'un temps préhistorique.

 

Atari-mega-ste.jpg 250px-Atari2600a.JPG

 

Atari, c'est cette boîte française qui s'appelait Infogrames et qui n'a rien à voir avec ces vieilles consoles ?

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Atari, c'est cette boîte française qui s'appelait Infogrames et qui n'a rien à voir avec ces vieilles consoles ?

 

 

Exactement, Atari est française depuis une dizaine d'année maintenant. D'ailleurs les filiales américaines se sont mises sous Chapter 11 pour pouvoir couper les ponts avec la maison-mère...

 

Entre ça et Vivendi cherchant à se revendre ses parts de Blizzard pour se refaire une santé, on pourra dire que l'aventure française dans le monde du jeu vidéo est une parfaite réussite (selon les critères Askenazy).

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il y a eu d'autres boites a succes comme Cryo, dommage que l'etat francais ait depense tant d'energie a les detruire.

Les gouv Quebecois a reussi quelque chose sur ce coup avec ses credits d'impot: le JV devient une industrie d'etat (avec les SFX et le cine) aux infrastructures tres faciles a adapter, c'est tout benef par rapport a l'automobile.

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Cryo, Delphine, Kalisto, Ubisoft à ses débuts, ils ont sorti plein de bons jeux dont des jeux "cultes".

Maintenant la fierté française c'est Gameloft ?

Ceci dit, les français reste appréciés comme employés et/ou sous-traitants.

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Cryo, Delphine, Kalisto, Ubisoft à ses débuts, ils ont sorti plein de bons jeux dont des jeux "cultes".

Maintenant la fierté française c'est Gameloft ?

Ceci dit, les français reste appréciés comme employés et/ou sous-traitants.

 

Oui on est surtout passé de plus de 10000 employés à moins de 3000, alors forcément, les bons jeux se font plus rares.

Posté

Ceci dit, les français reste appréciés comme employés et/ou sous-traitants.

 

Les français, oui, mais si possible hors de france.

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Cryo, Delphine, Kalisto, Ubisoft à ses débuts, ils ont sorti plein de bons jeux dont des jeux "cultes".

Maintenant la fierté française c'est Gameloft ?

Ceci dit, les français reste appréciés comme employés et/ou sous-traitants.

 

Dans les bons il y a quand même Ubisoft Montpellier, Arkane Studios et Quantic Dream.

Posté

Les intervenants se cèdent tour à tour la parole, et les mêmes expressions reviennent : "projet unique", "futuriste", "unique au monde"… Une fois de plus le monde du jeu vidéo est le théâtre de l'innovation, plaçant l'humain au centre des commandes

 

 

http://www.maxisciences.com/openvibe-2/openvibe-2-controler-un-jeu-video-par-la-pensee-c-039-est-desormais-possible_art28383.html

 

3 millions pour ça... Encore un beau projet foireux.

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ok pour l'argent gratuit mais pourquoi foireux?

 

Parceque pour la partie recherche scientifique il n'y a rien de nouveau dans ce projet.

Parceque pour la partie interface futuriste de jeux vidéo c'est complètement à la ramasse et si c'était viable le privé y aurait déjà pensé.

Parceque 3 millions c'est énorme pour un truc qui n'apporte rien.

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Parceque pour la partie recherche scientifique il n'y a rien de nouveau dans ce projet.

Parceque pour la partie interface futuriste de jeux vidéo c'est complètement à la ramasse et si c'était viable le privé y aurait déjà pensé.

Parceque 3 millions c'est énorme pour un truc qui n'apporte rien.

 

Et aussi, parce que 3 millions même si c'est énorme pour un truc qui n'apporte rien, c'est ridicule par rapport au budget de n'importe quel studio de jeu vidéo.

 

C'est même inférieur aux dotations de LOL pour son e-sport.

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Promo Steam sur deux jeux fantastiques en ce moment : le premier, c'est Chivalry Medieval Warfare, un jeu totalement fun et viril (il y a une touche pour pousser des cris de guerre exceptionnels). Le second, c'est Hotline Miami, un jeu d'action survitaminé en 2D cradingue avec une bande-son de ouf malade. Chivalry est à une douzaine d'euros, Hotline est à 4,24€.

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Parceque pour la partie recherche scientifique il n'y a rien de nouveau dans ce projet.

Ca permet de relativement bien détecter les émotions  ainsi que les mimiques faciales (qui sont vus comme du bruit dans le médical mais peuvent être utilisés pour des trucs sympa dans le cadre vidéo ludique).

Démocratisé, tu ne joueras pas par la pensée, mais les jeux pourrons par exemple réagir à la peur (c'est dommage je ne retrouve pas le lien d'un truc sympa que j'avais la dessus).

 

Parceque pour la partie interface futuriste de jeux vidéo c'est complètement à la ramasse et si c'était viable le privé y aurait déjà pensé.

http://www.emotiv.com/

 

Après :

  • Ça existe déjà et pourquoi réinventer la roue
  • C'est présenté de façon un peu pipo
  • Le seul moyen de bien faire une interface cerveau/machine passe par de l'invasif (une puce dans la zone moteur du cerveau)
Posté

 

Ca permet de relativement bien détecter les émotions  ainsi que les mimiques faciales (qui sont vus comme du bruit dans le médical mais peuvent être utilisés pour des trucs sympa dans le cadre vidéo ludique). 

Ca doit donner des trucs bizarres avec les gens qui ont des tics.
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Je ne m'y attendais pas, mais j'aime beaucoup le nouveau Devil May Cry (DmC). Le design des niveaux, des personnages (même les nouveaux Dante et Vergil), le doublage en VO, l'atmosphère punk/destroy et la musique électro-indus, le mélange prend bien.

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Le seul moyen de bien faire une interface cerveau/machine passe par de l'invasif (une puce dans la zone moteur du cerveau)

On commence à faire des trucs pas mal avec de l'IRM (certes, ça reste embrombrant). Et il doit y avoir des travaux avec des EEG (pour le coup beaucoup plus transportable) mais je m'y connais moins.

Posté

il y a eu un Nobunaga Ambition X Pokemon...

 

A peu prêt aussi destabilisant que Evangelion x Hello Kitty

4970381172176.jpg

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Parceque pour la partie recherche scientifique il n'y a rien de nouveau dans ce projet.

Parceque pour la partie interface futuriste de jeux vidéo c'est complètement à la ramasse et si c'était viable le privé y aurait déjà pensé.

Parceque 3 millions c'est énorme pour un truc qui n'apporte rien.

 

Ca permet de relativement bien détecter les émotions  ainsi que les mimiques faciales (qui sont vus comme du bruit dans le médical mais peuvent être utilisés pour des trucs sympa dans le cadre vidéo ludique).

Démocratisé, tu ne joueras pas par la pensée, mais les jeux pourrons par exemple réagir à la peur (c'est dommage je ne retrouve pas le lien d'un truc sympa que j'avais la dessus).

 

http://www.emotiv.com/

 

Après :

  • Ça existe déjà et pourquoi réinventer la roue
  • C'est présenté de façon un peu pipo
  • Le seul moyen de bien faire une interface cerveau/machine passe par de l'invasif (une puce dans la zone moteur du cerveau)

 

On commence à faire des trucs pas mal avec de l'IRM (certes, ça reste embrombrant). Et il doit y avoir des travaux avec des EEG (pour le coup beaucoup plus transportable) mais je m'y connais moins.

 

Pour avoir travaillé avec des BCI, je vais pouvoir la ramener ! :) (Avec le NIA d'OCZ, notamment).

Ça existe depuis un moment en médical, mais c'est très récent pour le grand public. Il a fallu notamment attendre que les progrès sur les fibres de carbones permettent de faire des électrodes "froides" (qui n'ont pas besoin de gel conducteur spécial pour fonctionner).

 

Sur la plupart des BCI (interfaces cerveaux machines), il y a un EMG, qui permet de détecter l'activité électrique des muscles du visage (clins d'oeil, contraction maxilaire, recul des oreilles, etc)... C'est assez facile à actionner, et on peut mesurer le niveau de contraction. Avec un peu de pratique, on sait par exemple presser la langue plus ou moins fort sur le palais, et ça suffit à activer le capteur EMG. En utilisant juste ça, ça permet de faire le mapping entre une valeur continue (le potentiel électrique musculaire), avec une autre valeur continue (par exemple le déplacement du curseur de la souris sur l'axe horizontal).

Le problème, c'est que c'est difficile, voire impossible d'avoir plusieurs capteurs EMG distincts sur le visage sans qu'il n'y ait de la corrélation croisée (avec un casque entre 100$ et 200$, les capteurs plus perfectionnés seraient trop chers).

 

Pour la détection de l'activité du cerveau, le principe est différent. On capte toujours un potentiel électrique, qu'il faut d'ailleurs nettoyer (virer l'activité de l'EMG présenté précédemment, nettoyer les 50 Hz ou 60 Hz du secteur, etc...)

Les échanges électriques au sein du neocortex "s'additionnent" pour donner une fréquence globale. Cette fréquence correspond aux fameuses fréquences "alpha", "beta", "gamma", etc... Lorsqu'on dort, les fréquences enregistrées sont principalement des "deltas" (jusqu'à 4Hz). "alpha" (8Hz-13Hz) : relaxation. "beta" (13Hz-30Hz) : concentration, etc...

Il faut réussir à se calmer, et à penser à quelque chose qui vous permette de se mettre dans l'état d'esprit correspond. C'est dur. Et c'est comme l'apprentissage de la marche, à 10 mois, ça met 6 mois à fonctionner (tout le monde laisse tomber avant d'y arriver).

Il faut également imaginer ça comme un lac dans lequel tombent des cailloux : il y a des vaguelettes qui se développent sur la surface du lac. Quand une autre pierre tombe, les vagues entrent en conflit avec les ondes précédentes, mais ne les annulent pas forcément, etc... C'est aussi long et imprévisible que ça.

La dernière technique, c'est de prendre un IRM, et d'enregistrer l'activité du cerveau lorsque la personne pense à quelque chose. Après une petite série de scènes visualisée, on fait passer un algo d'apprentissage sur les données collectées. A l'avenir, lorsque l'utilisateur va penser à quelque chose, l'algo vous donnera la "scène" la plus proche de celles déjà connues.

Mais un IRM, c'est énormément de données à la minute (et ça coûte cher).

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Pour avoir travaillé avec des BCI, je vais pouvoir la ramener ! :) (Avec le NIA d'OCZ, notamment).

Ça existe depuis un moment en médical, mais c'est très récent pour le grand public. Il a fallu notamment attendre que les progrès sur les fibres de carbones permettent de faire des électrodes "froides" (qui n'ont pas besoin de gel conducteur spécial pour fonctionner).

 

Sur la plupart des BCI (interfaces cerveaux machines), il y a un EMG, qui permet de détecter l'activité électrique des muscles du visage (clins d'oeil, contraction maxilaire, recul des oreilles, etc)... C'est assez facile à actionner, et on peut mesurer le niveau de contraction. Avec un peu de pratique, on sait par exemple presser la langue plus ou moins fort sur le palais, et ça suffit à activer le capteur EMG. En utilisant juste ça, ça permet de faire le mapping entre une valeur continue (le potentiel électrique musculaire), avec une autre valeur continue (par exemple le déplacement du curseur de la souris sur l'axe horizontal).

Le problème, c'est que c'est difficile, voire impossible d'avoir plusieurs capteurs EMG distincts sur le visage sans qu'il n'y ait de la corrélation croisée (avec un casque entre 100$ et 200$, les capteurs plus perfectionnés seraient trop chers).

 

Pour la détection de l'activité du cerveau, le principe est différent. On capte toujours un potentiel électrique, qu'il faut d'ailleurs nettoyer (virer l'activité de l'EMG présenté précédemment, nettoyer les 50 Hz ou 60 Hz du secteur, etc...)

Les échanges électriques au sein du neocortex "s'additionnent" pour donner une fréquence globale. Cette fréquence correspond aux fameuses fréquences "alpha", "beta", "gamma", etc... Lorsqu'on dort, les fréquences enregistrées sont principalement des "deltas" (jusqu'à 4Hz). "alpha" (8Hz-13Hz) : relaxation. "beta" (13Hz-30Hz) : concentration, etc...

Il faut réussir à se calmer, et à penser à quelque chose qui vous permette de se mettre dans l'état d'esprit correspond. C'est dur. Et c'est comme l'apprentissage de la marche, à 10 mois, ça met 6 mois à fonctionner (tout le monde laisse tomber avant d'y arriver).

Il faut également imaginer ça comme un lac dans lequel tombent des cailloux : il y a des vaguelettes qui se développent sur la surface du lac. Quand une autre pierre tombe, les vagues entrent en conflit avec les ondes précédentes, mais ne les annulent pas forcément, etc... C'est aussi long et imprévisible que ça.

La dernière technique, c'est de prendre un IRM, et d'enregistrer l'activité du cerveau lorsque la personne pense à quelque chose. Après une petite série de scènes visualisée, on fait passer un algo d'apprentissage sur les données collectées. A l'avenir, lorsque l'utilisateur va penser à quelque chose, l'algo vous donnera la "scène" la plus proche de celles déjà connues.

Mais un IRM, c'est énormément de données à la minute (et ça coûte cher).

 

Merci pour ces détails, ça rejoint ce que j'ai pu lire sur Cerveau et Psycho :mrgreen:

 

Et au final, ton avis sur le projet "vidéoludique" dont il est question ? 

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