PJE Posté 28 novembre 2014 Signaler Posté 28 novembre 2014 Facile les autres ne savaient pas boire contrairement à toi.
Lancelot Posté 28 novembre 2014 Signaler Posté 28 novembre 2014 Lucas est très mauvais derrière la caméra,tout le monde le sait Du coup vu qu'il est mauvais aussi au scénario il ne lui reste pas grand chose.
Philiber Té Posté 28 novembre 2014 Signaler Posté 28 novembre 2014 https://news.google.com/news/story?pz=1&cf=all&ned=fr&hl=fr&q=exhibit+b&ncl=d7uuKk5Ku9VIDBMs0Yy89Ay4a-wqM&cf=all&start=30 On dirait une blague, le comble de l'antiracisme officiel, mais non, la tragi-comédisation de la réalité se poursuit vraiment, brillamment mise en scène par la clique politico-médiatique. Les associations anti-racistes que je connais se sont mobilisés contre cette stupidité. Je comprends vraiment pas comment l'auteur a pu se dire que c'était une bonne idée de faire ça ?!
FabriceM Posté 28 novembre 2014 Signaler Posté 28 novembre 2014 Les associations anti-racistes que je connais se sont mobilisés contre cette stupidité. Je comprends vraiment pas comment l'auteur a pu se dire que c'était une bonne idée de faire ça ?! Parait que ça a fait le tour de l'Europe avant d'échouer devant nos indignais.
Malky Posté 28 novembre 2014 Signaler Posté 28 novembre 2014 La nouvelle trilogie de fin d’année en technicolor, épisode 1 : La Confrérie de l’Anus http://m.leparisien.fr/politique/pour-68-des-francais-l-ump-risque-d-imploser-28-11-2014-4330607.php
FabriceM Posté 28 novembre 2014 Signaler Posté 28 novembre 2014 Les associations anti-racistes que je connais se sont mobilisés contre cette stupidité. Je comprends vraiment pas comment l'auteur a pu se dire que c'était une bonne idée de faire ça ?!
Brock Posté 28 novembre 2014 Signaler Posté 28 novembre 2014 c'est genial, j'adore! comme c'est pourri comme art.Qu'ils sont cons les antiracistes.L'humanite c'est vraiment une bande de gogols.
ModernGuy Posté 29 novembre 2014 Signaler Posté 29 novembre 2014 Facile les autres ne savaient pas boire contrairement à toi. En toute honnêteté, c'est un peu ce qui a sauvé ma 1ere année en MPSI.
Jesrad Posté 29 novembre 2014 Signaler Posté 29 novembre 2014 Ça sent l'enfumage…Haha quels cons. Les gens vivant aujourd'hui descendent à environ 80% des plus riches d'il y a des siècles. Biais de sélection massif à la base.
Apollon Posté 29 novembre 2014 Signaler Posté 29 novembre 2014 L'important à la fac est de suivre les cours pour accroître la culpabilité à l'approche des examens.
Elphyr Posté 29 novembre 2014 Signaler Posté 29 novembre 2014 L'important à la fac est de suivre les cours pour accroître la culpabilité à l'approche des examens.De suivre les cours pour que le prof te connaisse et ait pitié de toi et te rajoute quelque points à la fin. Corollaire : si tu es du sexe opposé (ou d'orientation sexuelle opposée) au professeur, ne pas hésiter à jouer de ses atouts.
Humanisme Posté 29 novembre 2014 Signaler Posté 29 novembre 2014 Vers une révolution de l'évaluation des élèves ?Comment rendre l'évaluation scolaire « bienveillante» ? Comment faire pour qu'elle ne soit plus cet instrument de tri au service d'un système élitiste, mais le moyen de faire progresser tous les élèves sans les casser ? C'est une petite révolution que propose le Conseil supérieur des programmes (CSP) en réponse au chantier ouvert par le ministère de l'éducation.Dans le document remis jeudi 27 novembre par le CSP à la ministre de l'éducation nationale, Najat Vallaud-Belkacem, et queLe Monde a pu consulter, ce sont tous nos repères en matière d'évaluation qui se trouvent chamboulés : fini l'inflation des contrôles, la profusion de notes et de moyennes. Fini, aussi, le diplôme national du brevet tel qu'on le connaît aujourd'hui, avec sa semaine d'épreuves au mois de juin.Rien ne dit que le ministère ira dans son sens. Le CSP, chargé il y a un an de réécrire les programmes, n'est qu'une instance consultative. Si l'ancien ministre Vincent Peillon avait voulu en faire une structure forte et indépendante de son ministère, ses successeurs ont émis des signaux contradictoires. Ainsi du lancement par Benoît Hamon, avant l'été, d'une Conférence nationale sur l'évaluation des élèves qui empiète sur les missions du CSP.Les coefficients seraient aussi rejetés au motif qu'aucune matière ne serait supérieure à une autreLa contribution du conseil n'en est pas moins majeure. D'une part, parcequ'elle rend concrète l'expression un rien galvaudée d'« évaluation bienveillante »; d'autre part, parce qu'elle est le reflet d'un consensus parmi ses 18 membres - 8 parlementaires et 10 experts -, représentants de la société civile.Premier consensus, celui sur les notes. « Notre école pourrait parfaitement faire sans », affirme Michel Lussault, le président du CSP. Ce géographe a fait siennes les conclusions des chercheurs en docimologie - la science de la notation : les notes ne sont ni neutres ni objectives. De plus, elles sont stigmatisantes pour les élèves faibles, et ne disent pas grand-chose des progrès de chacun.Le CSP leur préfère un barème de 4 à 6 niveaux, sur le modèle de ce qui se pratique dans de nombreux pays. En Allemagne, les notes vont de 6 (pour très faible), à 1 (pour très bon). Aux Etats-Unis, les enseignants utilisent six lettres, de A à F. En Finlande, pays souvent cité comme modèle, on ne note pas avant le collège et la seule note sous la moyenne est 4 sur 10.Plus de notes, plus de moyennes non plus. « On ne peut pas racheter sa faiblesse dans une discipline par sa force dans une autre », souligne Michel Lussault. Pour l'universitaire, une moyenne ne dit rien : « Un élève fort en mathématiques et faible en sport n'est pas un élève moyen au bout du compte. » Dans la même veine, le président du CSP rejette le recours aux coefficients, considérant qu'aucune compétence ou connaissance n'est plus importante qu'une autre.Le vieux brevet des collèges, né après-guerre, changerait radicalement de forme : aux quatre épreuves de fin d'année - français, maths, histoire-géographie et histoire des arts -, le CSP préférerait en voir instituer une seule, transversale, « anonymée et définie nationalement », peut-on lire dans le document. En sus, deux projets personnels - l'un réalisé en 4e, l'autre en 3e - seraient présentés à l'oral, et plusieurs évaluations organisées de la 5e à la 3e. « Mais pas plus de cinq par an,précise M. Lussault. Il faut en finir avec la course à l'armement en matière d'évaluation. Moins on en fait, plus elles sont de qualité. »Côté enseignants, l'architecture qui se dessine aurait le mérite de mettre fin à la dualité d'un système dont ils font, aujourd'hui, les frais. Depuis 2006, ils doivent à la fois faire passer le brevet, qui sert à vérifier la maîtrise des programmes scolaires, et remplir le livret personnel de compétences (LPC), qui valide, lui, l'acquisition du « socle commun » - ce bagage que tout élève doit avoir acquis à la fin de sa scolarité obligatoire, à 16 ans. Dans le projet du conseil, plus de LPC, dénoncé par toute la profession comme une « usine à gaz » : « La validation du socle commun vaut attribution du diplôme national du brevet. »Reste l'autre versant de l'évaluation, celle qui ne sert pas à certifier - autrement dit, à valider un niveau -, mais à percevoir les progrès de chaque élève, repérer ses lacunes, organiser une remédiation si nécessaire. Pour ce faire, le CSP propose d'instaurer des bilans en cours d'année, mais surtout à la fin de chaque cycle - celui des apprentissages fondamentaux, celui de consolidation et celui des approfondissements -, soit en CE2, 6e et 3e. « Ces bilans n'ont pas vocation à conditionner le passage des élèves dans la classe supérieure » ni à « faire l'objet d'une exploitation administrative », indique le document.Moins de stress pour les élèves et leurs parents, sans doute. Sauf qu'ils ne pourraient plus miser sur les stratégies de compensation, telles que le système actuel les autorise, pour faire grimper leur moyenne générale.C'en est fini des élèves bons en sciences, mais faibles dans le domaine littéraire, et qui tirent malgré tout leur épingle du jeu. Ils devraient désormais avoir le niveau requis partout.Dans son projet de socle commun, le CSP a défini des « blocs de compétences » ayant trait à la langue française, aux langues étrangères, aux langages scientifiques, aux capacités de s'organiser, de raisonner, d'analyser, de créer, etc. « Ce refus de compenser montre que nos ambitions sont très élevées. Le socle, ce n'est pas une culture scolaire au rabais, c'est la meilleure pour tous », martèle Michel Lussault. Une réponse à ceux qui, nombreux, continuent de voir dans le « socle commun » le danger d'un nivellement par le bas. http://www.lemonde.fr/education/article/2014/11/29/vers-une-revolution-de-l-evaluation-des-eleves_4531457_1473685.html Bourdieu a encore de l'influence.
Cugieran Posté 29 novembre 2014 Signaler Posté 29 novembre 2014 http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2014/11/29/20002-20141129ARTFIG00091-des-elus-a-poil-contre-l-auterite-en-seine-saint-denis.php
Lancelot Posté 29 novembre 2014 Signaler Posté 29 novembre 2014 Ce géographe a fait siennes les conclusions des chercheurs en docimologie - la science de la notation : les notes ne sont ni neutres ni objectives. De plus, elles sont stigmatisantes pour les élèves faibles, et ne disent pas grand-chose des progrès de chacun. Le CSP leur préfère un barème de 4 à 6 niveaux, sur le modèle de ce qui se pratique dans de nombreux pays. En Allemagne, les notes vont de 6 (pour très faible), à 1 (pour très bon). Aux Etats-Unis, les enseignants utilisent six lettres, de A à F. En Finlande, pays souvent cité comme modèle, on ne note pas avant le collège et la seule note sous la moyenne est 4 sur 10. « On ne peut pas racheter sa faiblesse dans une discipline par sa force dans une autre », souligne Michel Lussault. Pour l'universitaire, une moyenne ne dit rien : « Un élève fort en mathématiques et faible en sport n'est pas un élève moyen au bout du compte. » C'en est fini des élèves bons en sciences, mais faibles dans le domaine littéraire, et qui tirent malgré tout leur épingle du jeu. Ils devraient désormais avoir le niveau requis partout.
Tramp Posté 29 novembre 2014 Signaler Posté 29 novembre 2014 Ils ont partiellement raison sur la dernière je trouve. Il y des matières ou un échec devrait être éliminatoire. Globalement en dessous de 12 en français, maths, anglais, et tes matières dominantes.
Lancelot Posté 29 novembre 2014 Signaler Posté 29 novembre 2014 Vous ne pourrez pas FabriceMiser cet article. Rien n'est à sauver, tout est contreproductif et même con tout court.
Malky Posté 29 novembre 2014 Signaler Posté 29 novembre 2014 Ehhhhh WHAT THE FUCKING FUCK ??! Suite à la décision des opérateurs tunisiens de relever le prix des communications passées depuis la Tunisie, nous vous informons qu'à compter du 1er janvier 2015 une nouvelle brochure tarifaire sera appliquée au Forfait Free et au Forfait 2€. Vous pouvez la consulter à l'adresse suivante : http://mobile.free.fr/docs/tarifs_01_2015.pdf Voici le détail de ces nouveaux tarifs (voix, SMS, MMS, data) applicables à compter du 1er janvier 2015 : * Appels (facturation par minute indivisible pour les appels émis et reçus depuis la Tunisie) : - Depuis la Tunisie vers la Tunisie, le tarif TTC à la minute passe de 0,95€ à 4,32€ ; - Depuis la Tunisie vers la France, le tarif TTC à la minute passe de 0,95€ à 6,00€ ; - Depuis la Tunisie vers le reste du monde et numéros spéciaux, le tarif TTC à la minute passe de 2,19€ à 6,48€ ; - Reçus en Tunisie, le tarif TTC à la minute passe de 0,45€ à 3,00€. * SMS émis depuis la Tunisie : - Le tarif TTC par SMS et par destinataire passe de 0,27€ à 1,20€. * MMS émis depuis la Tunisie : - Le tarif TTC par MMS et par destinataire passe de 1,05 à 7,00€. * MMS reçu en Tunisie : - Le tarif TTC par MMS reçu passe de 0,76€ à 7,00€. * Data (Internet mobile) depuis la Tunisie : - Le tarif TTC par Mo passe de 3,00€ à 12,00€. Les autres tarifs restent inchangés. C’est quoi ce délire ?
Elphyr Posté 29 novembre 2014 Signaler Posté 29 novembre 2014 Bwahahah l'augmentation de 400 à 500%. Totalement wtf.
Theor Posté 29 novembre 2014 Signaler Posté 29 novembre 2014 Tiens, toi aussi t'es chez Free Mobile...
Fenster Posté 29 novembre 2014 Signaler Posté 29 novembre 2014 http://www.numerama.com/magazine/31437-free-mobile-tres-forte-hausse-des-tarifs-telecoms-pour-la-tunisie.html Le site Freenews, qui rapporte aussi la nouvelle, indique que la hausse décidée par les opérateurs tunisiens est elle-même une répercussion suite aux investissements consentis par l'État tunisien dans les infrastructures de télécommunications, dont le montant est évalué à 1,2 milliard d'euros. Mais par le jeu des répercussions, c'est bien l'usager final qui devra en supporter le coût.
Barry Chuckle Posté 29 novembre 2014 Signaler Posté 29 novembre 2014 Haha quels cons. Les gens vivant aujourd'hui descendent à environ 80% des plus riches d'il y a des siècles. Biais de sélection massif à la base. Ce chiffre est-il crédible ? Les riches d'il y a quelques siècles étaient tout autant victimes des maladies qui rongeaient les pauvres : dysenterie, épidémies, manque d'aseptie. Les pauvres étaient également beaucoup plus nombreux qu'aujourd'hui, ce serait assez étrange qu'ils aient laissé une progéniture moins nombreuse que la minuscule minorité des bien portants. Pour qu'un biais de sélection massif soit à l'oeuvre, il aurait fallu que lesdits "riches" aient un avantage reproductif en pratiquant une polygamie radicale telle qu'on peut la rencontrer dans des tribus archaïques des Îles du Pacifique. Dans une société monogame, c'est déjà plus compliqué d'occuper l'essentiel du pool génétique quand l'Eglise Catholique restreint vos choix en matière de concubinage, Henry VIII fut excommunié pour ses dérobades à la règle générale.
fryer Posté 29 novembre 2014 Signaler Posté 29 novembre 2014 Ehhhhh WHAT THE FUCKING FUCK ??! C’est quoi ce délire ? J'ai vu ça ouais, cher la Tunisie à présent Ca serait intéressant de trouver le pourquoi de cette "hausse"
Fenster Posté 29 novembre 2014 Signaler Posté 29 novembre 2014 Ca serait intéressant de trouver le pourquoi de cette "hausse" I feel so unread...
fryer Posté 29 novembre 2014 Signaler Posté 29 novembre 2014 j'ai dégainé trop rapidement pour une fois, mea culpa
Fenster Posté 29 novembre 2014 Signaler Posté 29 novembre 2014 Enfin bon, encore une preuve que les dépenses publiques c'est d'la merde.
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