Aller au contenu

Santé & nutrition, que manger ?


Jesrad

Messages recommandés

Posté

Tu as vu la carte que j'ai posté plus haut? C'est le taux de dépressifs par pays.

La définition de "dépression" est malheureusement très variable d'un endroit à l'autre.
Posté

TP

Quand une vénusienne échange ce n'est pas pour avoir un conseil, mais pour se sentir soutenue. Tandis que sur Mars, les hommes parlent de leur pb lorsqu'ils cherchent une solution.

 

QFT.

 

Merci mais je me passe très bien de ton soutien que je ne pense point avoir sollicité. Il ne faut pas trop lire la chick-lit, c'est mauvais pour la santé.

 

Ouais mais toi t'es libérale. Cépapareille.

Posté

Absolument pas, les taux de dépressifs en Afghanistan dans la population par exemple  sont très élevés (faut dire que depuis 30 ou 40 ans c'est la castagne en continu dans ce pays) : http://www.alarabiya.net/articles/2012/01/28/191006.html

 

Voici une carte de la dépression dans le monde : http://www.washingtonpost.com/blogs/worldviews/wp/2013/11/07/a-stunning-map-of-depression-rates-around-the-world/

 

Euh, je suis bien d'accord avec toi, Chitah, je sortais un poncif comme 'quand on a la santé', tu vois... ? Je me doute que la dépression n'est pas le privilège de l'occident

Posté

Je viens de me régaler avec deux patates bouillies, poivre et gros sel, beurre et jambon blanc. Au dessert, compote pomme-banane maison. Pas cher, simple et bon. Avec un peu d'imagination, quelques bases familiales bien transmises, un peu de temps passé devant les fourneaux en écoutant d'un œil la roue de la fortune (ou c dans l'air pour les plus futiles), voire même en écoutant de la musique, on peut y arriver

 

Et les potages ! Tous les soirs il y a du potage à la maison, j'aime bien varier les composants, ça fait des surprises, mais jamais plus de trois, autrement c'est le chaos dans l'assiette

Posté

Quand j'étais petit chez mes parents on avait une coutume : un repas mcdo par semaine. Juste assez pour collectionner tous les bidules des happy meals. C'était cool. Et quand j'étais un peu plus grand on regardait la trilogie du samedi en famille. C'était cool aussi.

Bref le fast-food et les séries télé, c'est cool.

Posté

Quand j'étais petit chez mes parents on avait une coutume : un repas mcdo par semaine. Juste assez pour collectionner tous les bidules des happy meals. C'était cool. Et quand j'étais un peu plus grand on regardait la trilogie du samedi en famille. C'était cool aussi.

Bref le fast-food et les séries télé, c'est cool.

 

Saleté consumériste.

 

Posté

Il deux topics de gonzesses sur liborg, celui ci et l'autre dont je ne veux même pas citer le nom.

Posté

Très franchement l'argument du manque de temps je veux bien pour certains cas, mais de ce que je vois autour de moi c'est plus une question d'arbitrage. Il y a plein de personnes pour qui la nutrition n'est même pas un sujet d'intérêt, et encore moins l'art culinaire: c'est encore plus flagrant sorti de France, là où manger consiste à se remplir le ventre le plus rapidement possible et à moindre coût. C'est là qu'est l'arbitrage: il faut choisir entre rapidité de préparation, coût, qualité gustative et qualité nutritionnelle. Et c'est possible d'obtenir quelque chose de nutritif, bon et pas cher, mais ça va demander le maximum de temps de préparation (j'inclue les courses dedans). À l'opposé quand on privilégie le temps de préparation et le coût, on n'obtient pas des plats très gouteux ni nutritifs.

 

Et mon idée ce n'est pas tant que les gens manquent de temps mais qu'ils veulent faire autre chose de leur temps, la cuisine étant en plus en plus considérée comme une corvée. Et comme le note fort justement h16 dans son billet, c'est rien moins ce qui fait une des richesses du pays qu'on est en train de détruire en ne transmettant plus ces savoirs. Donc dans une société de loisirs, ils se trouve que les loisirs passent en général avant.

 

Ensuite tout découle de ça je dirais: les parents ne prennent plus le temps de cuisiner avec leurs enfants, la chaîne de transmission du savoir empirique est donc rompue, et ça en fait des petits illettrés de la cuisine. De surcroît, apprendre à cuisiner aux enfants à aussi l'avantage qu'on peut leur déléguer les tâches ingrates du genre épluchage, mise du couvert, etc. (enfin profitez-en avant qu'on n'essaye de considérer ça comme du travail dissimulé). C'est aussi un apprentissage de l'autonomie, au passage.

Posté

Saleté consumériste.

Il y a une catégorie de personnes qui ne consomme pas. Les morts. Eux se font consommer.
Posté

Il y a une catégorie de personnes qui ne consomme pas. Les morts. Eux se font consommer.

 

Mais c'est qu'il m'a pris au sérieux.

En tout cas, j'apprécie ta réponse.

 

Et je suis tout à fait d'accord avec Poil à gratter à propos des habitudes alimentaires des gens. Pour beaucoup, il ne s'agit que de bouffer, le tout reste de ne pas grossir. Je le vois lorsque je parle d'alimentation avec des amis, le pire étant les cas de collocation. Les jeunes entre eux mangent n'importe comment et je pèse mes mots. On déduit facilement par une telle négligence dans son alimentation le reste de la personnalité du personnage...

 

Posté

C'est aussi que le degré de nationalisme baisse dans la population. Les vrais franchouchouilles coinistes comme moi cuisinent aussi par amour du pays.

Posté

Ben en alcoolisme on a le même problème. Les gens sans bagage culturel restent à la 8.6 ou à la villageoise et n'essaient pas les petits alcools locaux.

Posté

c'est incroyable comme j'ai l'impression de me donner a fond quand je le fait et comme j'ai l'impression d'être un faineant qui ne se donne pas a fond, et qui souleve des poids trop leger pour lui quand je regarde les videos 

Posté

Très franchement l'argument du manque de temps je veux bien pour certains cas, mais de ce que je vois autour de moi c'est plus une question d'arbitrage. Il y a plein de personnes pour qui la nutrition n'est même pas un sujet d'intérêt,

De toutes façons, sur cette considération de temps gagné/perdu etc.

Faut essayer de faire un bilan un peu global. (Et ça concerne pas que la nourriture.)

Manger A ou B n'est pas neutre. ça a un impact sur la santé, la durée de vie et la durée de vie en bonne santé.

Donc, tous les quarts d'heure "gagnés" apparemment ... faut les mettre en balance avec ce qu'on ne voit pas (Bastiat)

 

... apprentissage de l'autonomie, au passage.

bien vu

 

Posté

...

Corolaire : le féminisme est une ruse de classe de la bourgeoisie, qui sait faire ce qu'il faut pour rester mince et attirante. Les féministes camionneuses à moustache sont des idiotes utiles de la reproduction sociale.  

:lol:

Posté

Sinon s'il y a bien un truc à ne jamais, ö grand jamais, consommer c'est des foies d'animaux d'élevage industriel. Le foie c'est ce qui métabolise presque tous les produits toxiques, et c'est donc l'organe qui va concentrer tous les produits toxiques et leurs résidus. Et les antibiotiques qu'on file aux poulets se retrouvent là.

 

Et ça concerne aussi le foie gras de Noël ? :crying:

Posté

Et ça concerne aussi le foie gras de Noël ? :crying:

Je ne sais pas trop... Apparemment il y a de plus en plus de foie gras pas cher sur le marché, et les canards/oies sont visiblement élevés dans des conditions d'élevage intensif. Je suppose donc qu'ils doivent aussi leur filer des cocktails chimiques pour éviter une trop grande mortalité dans les élevages.

 

Bon évidemment, c'est pas un produit de consommation courante, et vu que c'est la dose qui fait le poison, je ne m'inquiète pas trop pour le foie gras. Sinon il faut faire comme tout bon amateur: acheter chez un producteur fiable, qui respecte les traditions et élève ses animaux dans une ferme. En général le prix est une bonne indication ;)

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
×
×
  • Créer...