Nick de Cusa Posté 19 mai 2016 Auteur Signaler Posté 19 mai 2016 Progès du projet de loi pour un audit de la Fed. http://reason.com/blog/2016/05/18/audit-the-fed-bill-passes-committee
Antoninov Posté 19 mai 2016 Signaler Posté 19 mai 2016 Article intéressant sur le contrôle et le prix des loyers a San Francisco https://medium.com/@andersem/a-guy-just-transcribed-30-years-of-for-rent-ads-heres-what-it-taught-us-about-sf-housing-prices-bd61fd0e4ef9#.8a71scfxm
Rusty Posté 22 mai 2016 Signaler Posté 22 mai 2016 Le livre de la Jungle, une nouvelle expérience cinématographique. https://fee.org/articles/the-jungle-book-serves-up-a-new-cinematic-experience/ Je prends.
Nick de Cusa Posté 23 mai 2016 Auteur Signaler Posté 23 mai 2016 Autre proposition: Les étudiants US vénèrent l'autorité. http://reason.com/blog/2016/05/22/camille-paglia-authority-college
Rusty Posté 23 mai 2016 Signaler Posté 23 mai 2016 https://fee.org/articles/the-jungle-book-serves-up-a-new-cinematic-experience/ Le Livre de la Jungle, une nouvelle expérience cinématographique. Le pouvoir de la créativité au service du marché des consommateurs de contenus. Si vous regardez le Livre de la Jungle dans l'espoir d'y trouver une intrigue complexe, des retournements de situation inhabituels, des avis politiques passionnés, et autres choses du même acabit, vous serez probablement déçu. Le Livre de la Jungle est une histoire vieux jeu de la fin du XIXe siècle, mais elle est sympathique. Elle manque néanmoins d'un niveau de lecture plus adulte. En cela, elle est différente de deux films Disney qui comptent parmi mes préférés, La Reine des Neiges et Zootopie, qui sont des histoires conçues pour plaire à un public de 7 à 77 ans. Cependant, son thème est bon pour Disney, et pas seulement car il touche à des sujets qui parlent aux enfants, entre la peur de l'abandon et l'idée que chaque humain possède la capacité d'écrire sa propre histoire dans le monde, quel que soit les circonstances. La dimension financière est également à prendre à compte. Comme pour la plupart des classiques de Disney, le livre de Rudyard Kipling n'est plus protégé par un copyright depuis longtemps, permettant ainsi de le réadapter au cinéma. Pourquoi ce film est-il fantastique ? Quelques jours m’ont été nécessaires pour comprendre pleinement ce qui rend ce film encore plus génial que l’original. Cela tient en fait à la réalité physique du film, qui est la suivante : absolument rien n’a été filmé sur le terrain. Tout a été entièrement filmé dans un entrepôt du centre de Los Angeles, en général avec un fond bleu et seulement quelques accessoires. En fait, il n’y a eu aucune interaction entre un garçon et des animaux ou même des feuilles qui aient été capturée par la caméra. Cela semble incroyable. Au début du film, nous faisons connaissance avec Mowgli, le garçon élevé dans la jungle sans parent. Il court au milieu des arbres, se déplace avec agilité sur des branches, et escalade des troncs rapidement. C’est sympathique mais, en termes d’effets spéciaux, nous y sommes plutôt habitués. Tout est possible avec des ordinateurs, n’est-ce-pas ? Oui, mais ce film élève cette déclaration à un tout autre niveau. Le moment surprenant arrive tôt dans le film. Mowgli est poursuivi par une panthère noire qui semble effrayante jusqu’à ce que nous entendions Bagheera parler. Bagheera est l’ami et le bienfaiteur de Mowgli. C’est ici que les choses deviennent étrangement charmantes. Cette panthère parle anglais, et le parle bizarrement bien. Elle parle vraiment comme les gens parlent, avec leurs visages et leurs sourcils, et sa personnalité rayonne. Ce n’est plus simplement de l’anthropomorphisme ici. L’animal reste fidèle à lui-même, réaliste de toutes les façons possibles. C’est une vraie panthère. Elle aurait aussi bien pu être filmée dans la nature par National Geographic, excepté le fait qu’elle parle et pense comme un humain. Et pourtant, nos cerveaux nous disent que cela ne peut pas arriver. Les vraies panthères ne sont surement pas aussi expressives. Le processus de création va bien plus loin que simplement attacher une piste audio à un film. Il s’agit d’une création entièrement nouvelle. Le Livre de la Jungle illustre comment la génération actuelle est introduite à une forme d’art totalement différente, qui grandit et gagne en maturité à chaque film. Cela n’est ni du cinéma du réel, ni du cinéma d’animation. Il s’agit de quelque chose d’autre, bien plus puissant et exigeant pour l’imagination que ce qui est normalement appelé (parfois de façon désobligeante) « les effets spéciaux numériques ». 100 ans de progrès La production d’art dramatique est un processus itératif et qui dépend entre autres des technologies disponibles. Par exemple, j’aime à penser que les films sont des reconstitutions modernisées des opéras du XIXe siècle. L’opéra avait tout : de la musique, de la danse, des décors magnifiques, des histoires dramatiques, des grosses stars…etc. Aujourd’hui, les gens pensent que l’opéra est une forme d’art pour les snobs. Je ne peux pas croire que de telles personnes aient vraiment assisté à un opéra un jour. Une fois que vous le faites, et si vous pouvez vous projeter au XIXe siècle, vous voyez immédiatement de quoi il s’agit : du divertissement populaire dans la forme technologique la plus explosive possible à cette période. Une fois que les images en mouvement sont devenues possibles, et auxquelles va s’ajouter une piste audio, nous avons vu l’évolution progressive. Une caméra capture ce que les gens font. Ce qui pouvait être filmé était alors limité aux choses que les gens peuvent faire, et Hollywood a alors utilisé des doubles et des cascadeurs pour éblouir le public. Une telle limitation a inspiré le cinéma d’animation, pour créer des mondes qui ne pouvaient pas exister en réalité. C’était magnifique, et cela l’est toujours. Voici les deux types de films qu’ont pu voir beaucoup de générations : soit des films avec des gens bien réels ou soit des films avec des gens animés. C’est une division claire. Nous savons qui est qui. Cette division ne fait pas de mal à notre cerveau et ne met pas à l’épreuve notre sens des réalités très établi. Si une scène est conceptuellement possible dans la vraie vie, alors elle est filmée. Si ce n’est pas le cas, alors elle est animée. Une troisième voie a émergé durant la dernière décennie. Le Livre de la Jungle est un exemple de la plus haute forme d’art aujourd’hui visible à l’écran. Ce n’est ni réel, ni irréel. Ou plutôt, c’est à la fois réel et irréel. A ce jour, cette forme est appelé « Action réelle / Effets spéciaux numériques ». Elle a besoin d’un nouveau nom. Elle est trop brillante pour trainer un nom aussi maladroit. Un nouveau monde de films Dans le Livre de la Jungle, cette nouvelle forme n’est pas exposée dans une seule scène. Elle couvre le film entier, qui est rempli d’animaux extrêmement réalistes qui interagissent avec le garçon de la même manière que des adultes le feraient. Ils lui enseignent des choses, deviennent son ami, complotent contre lui, l’aiment, le détestent, l’aident, le manipulent…etc. Mowgli est d’accord avec l’exigence de la meute de loups quant au fait qu’il ne doit pas utiliser « d’astuces humaines » pour fabriquer des outils. Il est même content lorsque l’ours qu’il rencontre l’encourage à exercer sa créativité et son ingéniosité. Dans toutes les dimensions de l’intrigue, ce film est une fête pour les yeux et l’imagination. Il brouille la différence entre la vie et le rêve jusqu’au point où nous ne savons plus qui est quoi. Finalement, le spectateur abandonne et se contente d’apprécier le spectacle. Cette nouvelle forme d’art émerge comme un phénomène culturel, mais sans fanfare et sans même beaucoup de déclaration publique. Elle vient à nous au cinéma comme un paquet complet, prêt à consommer, et testé par le marché. La façon dont nous l’expérimentons en tant que consommateur dissimule la vérité sous-jacente : il s’agit d’une entreprise énorme et complexe comprenant des milliers de personnes qui travaillent à rendre ce film parfait image par image. A lui tout seul, le générique de fin, qui liste des centaines de techniciens, vous gardera assis dans votre siège cinq minutes de plus. Chaque scène nécessite des centaines d’experts, chacun apportant son expérience passée et la mêlant avec ce qu’il apprend des autres. Ils font appel à l’expérience des meilleurs experts du marché pour créer quelque chose de jamais vu avant. Le marché fait l’art Il est difficile d’imaginer que les critiques du XIXe et du début du XXe siècle aient dit que le marché ne pouvait pas créer de l’art. Il était largement établi que l’art ne peut qu’être réalisé par des spécialistes et des experts académiques qui vivent grâce au soutien de l’Etat et sont guidés par des hommes aux gouts élitistes. C’est totalement faux. Un film comme celui-ci vous fait réaliser que le marché axé sur le consommateur est capable d’inspirer les plus hautes formes de réussite artistiques, dans le but d’apporter du bonheur au plus grand nombre. Nous n’avons pas besoin de comprendre comment c’est réalisé. Nous n’avons pas à supporter l’énorme risque financier. Nous ne payons rien si le film ne fonctionne pas en salles. Nous n’avons qu’à débourser 10$, prendre quelques popcorns, et apprécier le spectacle. Le marché rend la vie belle. 1
Nick de Cusa Posté 23 mai 2016 Auteur Signaler Posté 23 mai 2016 Pourquoi faut-il un permis pour quoi que ce soit ? https://fee.org/articles/why-should-anyone-need-a-license-for-anything/?utm_source=dlvr.it&utm_medium=facebook
Noob Posté 23 mai 2016 Signaler Posté 23 mai 2016 Actu brûlante, une âme charitable pliz ! Comment le socialisme bolivarien dépensait son pognon en conneries alors que les gens crevaient : http://reason.com/blog/2016/05/16/venezuela-spends-dumb-things-collapse C'est encore pertinent ? Le Google Doc à la première page est encore utilisé par qui que ce soit pour annoncé son intention de traduire ?
h16 Posté 24 mai 2016 Signaler Posté 24 mai 2016 Oublie le googledoc et fais la trad, vite vite vite, c'est toujours bien utile Merci !
Ultimex Posté 24 mai 2016 Signaler Posté 24 mai 2016 Contrepoints a-t-il le droit de reprendre et traduire des articles de Cosmos + Taxis ? Je pensais notamment à l’article Jane Jacobs’ Critique of Rationalism in Urban Planning que j’avais trouvé très intéressant. (Disponible ici : https://cosmosandtaxis.org/back-issues/ct-13/).
Arturus Posté 26 mai 2016 Signaler Posté 26 mai 2016 Why Governments Hate It When Other Countries Have Low TaxesWhile international bureaucrats enjoy tax-free salaries, they never tire of trying to raise taxes on everyone else. Veronique de Rugy | May 26, 2016
Ultimex Posté 27 mai 2016 Signaler Posté 27 mai 2016 Contrepoints a-t-il le droit de reprendre et traduire des articles de Cosmos + Taxis ? Je pensais notamment à l’article Jane Jacobs’ Critique of Rationalism in Urban Planning que j’avais trouvé très intéressant. (Disponible ici : https://cosmosandtaxis.org/back-issues/ct-13/). Je me permets de relancer, ne serait-ce que pour savoir si Contrepoints pourrait être intéressé par une traduction de certains de leurs articles.
Séverine B Posté 28 mai 2016 Signaler Posté 28 mai 2016 Bon, voilà : on a demandé une traduction d'un truc rigolo, qui nous a été fournie mais qui ne me plaît pas trop. Quelqu'un pourrait-il la remanier pour qu'elle ressemble plus à ce qu'on trouve sur les réseaux sociaux (genre "tu sais que tu es savoyard quand..."/"tu sais que t'es hôtesse de l'air quand..."), Il faudrait revoir quelques tournures de phrases et certaines expressions, notamment l'exactitude de la traduction des termes liberal et libertarian, pas très satisfaisante. http://lfb.org/you-might-be-a-libertarian-if/ Ci-dessous la traduction proposée, à revoir. Le test du libertarien Je vous propose aujourd’hui de nous en tenir à un jeu léger et amusant : le test du libertarien. Ce test peut vous être approprié à votre cas, si…. Vous vous sentez comme un libéral entouré de conservateurs et comme un conservateur au milieu de libéraux. Quand vous demandez à un progressiste en faveur de l’avortement pourquoi le droit de choisir ne s’applique pas à d’autres enjeux que l’interruption volontaire de grossesse. « J’aurais la décence de ne pas répondre » Lorsque le « marché libre » est accusé d’être responsable de la crise économique. Si vous n’aimez ni les républicains ni les démocrates, vous êtes peut-être libertarien Les politiciens vous exaspèrent ? Vous ne vous sentez pas vraiment concerné par toutes ces histoires ? Vous étiez un fervent partisan des démocrates ou des républicains et vous avez soudain le sentiment désagréable que votre parti a été pris en otage ? Vous portez une moustache et/ou faites constamment la tête ? [rires] Vous êtes peut-être libertarien. (Mais vous le saviez peut-être déjà.) Kasey Cross, de l’université de Columbia vous permet de vous en assurer par un test en dix questions. 10 astuces pour vous aider à découvrir vos véritables affinités politiques. Examinons vos symptômes de plus près pour essayer de déterminer quelles sont vos véritables affinités politiques. Ne vous en faites pas, ce n’est pas douloureux ! Vous pourriez être libertarien si… 1. Vous pensez que l’Amérique tire sa grandeur du capitalisme, mais que vous n’aimez pas les grandes entreprises. Pourquoi ? Parce que les grandes entreprises sont favorables à un État fort. Et contre quoi nous battons-nous ? Vous avez vu juste : l’omniprésence de l’État. Une seule solution, le capitalisme. C’est pour ça que l’Amérique est puissante, l’Angleterre moyenne et la France catastrophique. 2. Vous trouvez que l’État gaspille une bonne partie de l’argent du contribuable en allant à la chasse aux adolescents fumeurs de cannabis. Il serait en outre possible de démanteler le cartel de la drogue (et de gagner un peu d’argent) si l’État voyait les choses sous cet angle : prenons deux entreprises, l’entreprise A et l’entreprise B. L’entreprise A refuse de vendre du cannabis, même si la demande est très forte. L’entreprise B, quant à elle, se fait une joie d’en vendre, mais elle est également contrôlée par un cartel. Finalement, l’entreprise A décide de se lancer dans la vente de cannabis. C’est un succès ! Elle vend du cannabis de qualité et contribue à renflouer les caisses grâce à l’impôt sur la consommation. Les clients sont si satisfaits qu’ils laissent tomber l’entreprise B. Cette dernière fait faillite à cause du principe de sélection naturelle. Le cartel de la drogue s’effondre. Incroyable, non ? 3. Vous êtes un fervent partisan du deuxième amendement de la Constitution. De quoi l’État se mêle-t-il ? De quel droit se permet-il de vous dicter ce que vous pouvez ou ne pouvez pas posséder ? Vous avez le droit de protéger votre vie et vos biens. Par ailleurs, vous comprenez bien (comme tout être humain doué d’intelligence) que le fait d’interdire le port d’armes n’empêchera pas les criminels d’en posséder. Tout comme le fait d’interdire le cannabis n’empêche personne de fumer un joint. 4. Les plans de sauvetage du gouvernement sont l’une de vos bêtes noires. Les entreprises font faillite pour une bonne raison ; c’est la sélection naturelle. Il faut cesser de leur lancer une bouée et les laisser couler, pour faire de la place à de nouvelles entreprises qui seront vraiment en mesure de contribuer à l’économie. Pour une fois, ce serait bien de ne pas être endetté à hauteur de milliers de milliards de dollars, non ? Le marché libre, c’est la jungle. C’est beau et cruel, et ça doit le rester. 5. Vous approuvez le mariage homosexuel. Ou peut-être pas. En fait, vous vous moquez de savoir si un homme préfère épouser un homme ou une femme, et vous pensez que le gouvernement a lui aussi d’autres chats à fouetter. Un homme se doit de faire ce qu’il a à faire. D’ailleurs, une femme aussi. Et si vous êtes libertarien et romantique (comme moi), vous vous demandez : de quel droit l’État ose-t-il se mettre en travers du véritable amour ?! Franchement, ma chère, c’est le cadet de mes soucis. 6. Vous restez éveillé la nuit en vous demandant pourquoi nous sommes toujours présents à l’étranger. Vraiment, pourquoi ? Les mêmes événements se produiraient dans tous les cas, que nous soyons présents ou non. Soyons réalistes. Ce n’est pas notre combat. Pas la peine de discuter : ce n’est pas notre combat. 7. Pour vous, cela ne fait aucun doute : la Constitution est le seul contrat qui vous lie à l’Amérique. Ah, le service militaire. Pour reprendre les termes du blogueur Southern Beale sur la conscription : « Je suppose que si une armée étrangère débarquait sur le sol américain, il nous suffirait de sortir nos chars d’assaut et nos missiles nucléaires personnels et de faire feu en direction de l’ennemi. » Justement, c’est exactement ce que nous comptions faire. Plus sérieusement, les Américains ne sont pas des poules mouillées ! Nous ne devrions pas nous inquiéter à propos du service militaire, et nous ne devrions certainement pas obliger quiconque à partir à la guerre. Cela me semble un peu trop tyrannique. Par ailleurs, aucune guerre mondiale ne nous menace dans l’immédiat – du moins, tant que Donald Trump n’est pas élu. Auquel cas, la menace d’une guerre mondiale pourrait devenir réelle, mais nous n’en sommes pas encore là. Voici mon programme de politique étrangère : contrariez l’Amérique, et vous aurez affaire à la moumoute sanguinaire 8. Vous pensez que le meilleur moyen de résoudre le problème de la pollution est d’infliger une amende aux pollueurs. Après tout, la meilleure manière d’attirer l’attention de quelqu’un consiste à lui faire payer une grosse somme d’argent. Lorsque j’avais 19 ans, j’ai reçu 250 dollars d’amende pour excès de vitesse. En fin de compte, j’ai dû payer près de 350 dollars (en frais de liberté conditionnelle, surtout). Devinez qui respecte les limites de vitesse désormais ? Gagné, c’est moi. L’argent est toujours le nerf de la guerre. 9. Vous appréciez Ron Paul, mais vous avez été déçu d’apprendre qu’il laissait tomber le Parti libertarien pour un parti plus conventionnel. Vous avez compris sa décision, mais elle vous a quand même déçu. 10. Si vous votez pour un autre parti que les républicains ou les démocrates, ce n’est pas pour faire élire le candidat d’un autre parti, pour l’amour de Gary Johnson, et vous aimeriez bien qu’on arrête de penser le contraire. Non. Votre ambition est bien plus grande, car les libertariens nourrissent de grands rêves. J’ai énormément d’idées. Certaines sont simples, comme retirer les feux de signalisation ou supprimer les services postaux, mais pour d’autres, ce sera plus difficile, comme raser enfin cette verrue qu’est l’hôtel de ville. Peut-être êtes-vous d’accord avec tous ces arguments, ou seulement avec certains d’entre eux. Là où je veux en venir, c’est que cette élection est l’occasion pour les Américains d’ouvrir les yeux et de considérer les nombreux partis politiques qui existent. Vous pouvez soutenir les libertariens. Vous pouvez soutenir le Parti vert, le Parti constitutionnaliste ou un candidat indépendant, comme vous voulez. Ou ne votez pas du tout, si cela vous chante. Et si ce test vous a fait prendre conscience que vous étiez peut-être libertarien, nous sommes ravis de vous accueillir parmi nous. [MD1] [MD1]Réplique tirée de la VF de l’épisode 4 de la saison 1 de la série Arrested Development dont est tirée cette citation [MD2]Référence à un épisode de la série « Histoires fantastiques » intitulé « Hell toupee » (« La Moumoute sanguinaire » en français). https://fr.wikipedia.org/wiki/Histoires_fantastiques Pour une traduction moins familière et plus proche de l’anglais, on pourrait également opter pour « la perruque infernale » [MD3] [MD3] [MD3]Réplique tirée de la VF de l’épisode 19 de la saison 4 de la série Parks and Recreation
Nick de Cusa Posté 28 mai 2016 Auteur Signaler Posté 28 mai 2016 Court, avec des grapiques, et frappant. 5 façons d'aller mieux pour le Chili capitaliste que le Venezuela socialiste. http://humanprogress.org/blog/5-ways-capitalist-chile-is-much-better-than-socialist-venezuela?utm_content=buffer59e0c&utm_medium=social&utm_source=facebook.com&utm_campaign=buffer
ttoinou Posté 29 mai 2016 Signaler Posté 29 mai 2016 On pourrait essayer de traduire les publications de l'école des choix public ça serait intéressant.. vous savez si on en a le droit ?
Rincevent Posté 29 mai 2016 Signaler Posté 29 mai 2016 Ca dépend du texte. Tu penses à quel texte en particulier ?
Noob Posté 30 mai 2016 Signaler Posté 30 mai 2016 Oublie le googledoc et fais la trad, vite vite vite, c'est toujours bien utile Merci ! https://docs.google.com/document/d/1Jk_BFdQ6tKhYmOYzwtNIZgIIU455MV0xks9lupvlbhk/edit?usp=sharing C'est pas allé vite vite, j'ai vraiment de la peine et je suis pas super satisfait du résultat. J'ai entrecoupé original / traduction pour que le relecteur puisse y apporter des corrections sans trop scanner le texte. Du coup faudra faire la mise en page. Si quelqu'un veut bien relire et valider le texte je peux refaire la mise en page derrière pour avoir un seul texte et éventuellement rajouter les liens.
Nick de Cusa Posté 1 juin 2016 Auteur Signaler Posté 1 juin 2016 Contribuables UK, 2 nouvelles victoires. https://www.atlasnetwork.org/news/article/uk-taxpayer-victories-decrease-funding-for-trade-unions-public-sector-payou?utm_source=AtlasNetwork+World10%3A+Highlights+from+the+global+freedom+movement&utm_campaign=03bc1fe961-World10_5_31_16&utm_medium=email&utm_term=0_d4bce382cb-03bc1fe961-26633121
F. mas Posté 1 juin 2016 Signaler Posté 1 juin 2016 Je me permets de relancer, ne serait-ce que pour savoir si Contrepoints pourrait être intéressé par une traduction de certains de leurs articles. Désolé de répondre aussi tard Ultimex ! J'adore cette revue (et je connais un peu ceux qui la chapeaute) mais hélas, ce n'est pas trop le format CP (les articles sont un peu longs). Par contre si tu veux écrire des synthèses, ou aborder dans de petits articles certains problèmes posés, ça serait à mon avis un gros plus, et un acte de résistance bienvenu au néant intellectuel français contemporain.
Ultimex Posté 1 juin 2016 Signaler Posté 1 juin 2016 Merci pour la réponse. Oui, il est vrai que les articles sont plutôt longs mais ils peuvent être découpés en plusieurs parties non ? Sinon pas de soucis pour faire des synthèses (je ne peux promettre un rythme de publication soutenu par contre). Contrepoints a-t-il l'autorisation pour cela par ailleurs ? Dans le cas contraire (et si cela s'avère nécessaire), je veux bien me charger d'envoyer un mail aux personnes chapeautant cette publication.
F. mas Posté 1 juin 2016 Signaler Posté 1 juin 2016 Non, cp n'es pas l'autorisation, mais je pense que si tu demandes, il ne devrait pas y avoir de problème.
Nick de Cusa Posté 2 juin 2016 Auteur Signaler Posté 2 juin 2016 Non, personne ne s'est signalé. Comment les autorités ont tué l'aviation en partage. https://fee.org/articles/how-the-faa-brought-down-uber-for-planes/?utm_source=dlvr.it&utm_medium=facebook
Nick de Cusa Posté 2 juin 2016 Auteur Signaler Posté 2 juin 2016 Climat. Des milliers de millards en pure perte. http://notrickszone.com/#sthash.dW3M3vBr.dpbs
Nick de Cusa Posté 3 juin 2016 Auteur Signaler Posté 3 juin 2016 la feuille bionique transforme la lumière solaire en carburant. https://wattsupwiththat.com/2016/06/02/bionic-leaf-turns-sunlight-into-liquid-fuel/
Nick de Cusa Posté 4 juin 2016 Auteur Signaler Posté 4 juin 2016 Bon signe : Trump attaque déjà Gary Johnson. https://alibertarianfuture.com/2016-election/donald-trump-already-attacking-gary-johnson/
F. mas Posté 8 juin 2016 Signaler Posté 8 juin 2016 Le capitalisme se fiche des femmes mais les libère quand même https://fee.org/articles/capitalism-doesn-t-care-about-women-but-it-does-liberate-them/
Hugh Posté 8 juin 2016 Signaler Posté 8 juin 2016 Salut. Je pensais dans le sujet "Articles divers intéressants", mais je pense que ce article peut entre dans le Contrepoints: https://fee.org/articles/5-ideas-at-the-heart-of-socialism/ "5 ideas at the heart of socialism (liberty and the power of ideas)" par Lawrence Reed Il y a une première partie par B. K Marcus que je pense que peut être coupée, puis l'article débuterait par: "A belief that I stress again and again is that we are at war — not a physical, shooting war, but a war capable of becoming just as destructive and just as costly. [...]"
Rusty Posté 9 juin 2016 Signaler Posté 9 juin 2016 Comment les autorités ont tué l'aviation en partage. https://fee.org/articles/how-the-faa-brought-down-uber-for-planes/?utm_source=dlvr.it&utm_medium=facebook Je m'en occupe d'ici dimanche soir. 1
Nick de Cusa Posté 9 juin 2016 Auteur Signaler Posté 9 juin 2016 Le capitalisme est bon pour les pauvres. https://fee.org/articles/capitalism-is-good-for-the-poor/?utm_source=dlvr.it&utm_medium=facebook
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