Hugh Posté 17 avril Signaler Posté 17 avril "As that great Chicagoan Ferris Bueller once noted, 'Life moves pretty fast,'" - Jerome Powell
PABerryer Posté 17 avril Signaler Posté 17 avril Citation Fairy tales, then, are not responsible for producing in children fear, or any of the shapes of fear; fairy tales do not give the child the idea of the evil or the ugly; that is in the child already, because it is in the world already. Fairy tales do not give the child his first idea of bogey. What fairy tales give the child is his first clear idea of the possible defeat of bogey. The baby has known the dragon intimately ever since he had an imagination. What the fairy tale provides for him is a St. George to kill the dragon. G.K. Chesterton 6
Lameador Posté 14 mai Signaler Posté 14 mai Qui a dit Comme la connaissance des lettres est tout à fait nécessaire en une république, il est certain qu'elles ne doivent pas être indifféremment données à tout le monde. Ainsi qu'un corps qui aurait des yeux en toutes ses parties serait monstrueux, de même un État le serait-il, si tous ses sujets étaient savants ; on y verrait autant d'inconvénients que l'on y trouve peu de désobéissance et de présomption y seraient ordinaires. Le commerce des lettres bannirait absolument celui de la marchandise qui remplit les États de richesses ; il ruinerait l'agriculture, vraie mère nourrice des peuples, et il dessécherait en peu de temps la pépinière des soldats qui s'élèvent plutôt dans la rudesse que dans la politesse des sciences ; enfin il remplirait la France de chicaneurs plus propres à ruiner les familles particulières et à troubler le repos public qu'à procurer aucun bien aux États. Si les lettres étaient profanées à toutes sortes d'esprits, on verrait plus de gens capables de former des doutes que de les défendre. C'est en cette considération que ceux qui veulent, en un État bien réglé, plus de maîtres ès arts mécaniques que de licenciés et de docteurs, ont raison. Indice : ce n'est pas Turchin
Rincevent Posté 14 mai Signaler Posté 14 mai il y a 48 minutes, Lameador a dit : Qui a dit Comme la connaissance des lettres est tout à fait nécessaire en une république, il est certain qu'elles ne doivent pas être indifféremment données à tout le monde. Ainsi qu'un corps qui aurait des yeux en toutes ses parties serait monstrueux, de même un État le serait-il, si tous ses sujets étaient savants ; on y verrait autant d'inconvénients que l'on y trouve peu de désobéissance et de présomption y seraient ordinaires. Le commerce des lettres bannirait absolument celui de la marchandise qui remplit les États de richesses ; il ruinerait l'agriculture, vraie mère nourrice des peuples, et il dessécherait en peu de temps la pépinière des soldats qui s'élèvent plutôt dans la rudesse que dans la politesse des sciences ; enfin il remplirait la France de chicaneurs plus propres à ruiner les familles particulières et à troubler le repos public qu'à procurer aucun bien aux États. Si les lettres étaient profanées à toutes sortes d'esprits, on verrait plus de gens capables de former des doutes que de les défendre. C'est en cette considération que ceux qui veulent, en un État bien réglé, plus de maîtres ès arts mécaniques que de licenciés et de docteurs, ont raison. Indice : ce n'est pas Turchin Turgot ?
Daumantas Posté 14 mai Signaler Posté 14 mai Il y a 1 heure, Lameador a dit : Qui a dit Comme la connaissance des lettres est tout à fait nécessaire en une république, il est certain qu'elles ne doivent pas être indifféremment données à tout le monde. Ainsi qu'un corps qui aurait des yeux en toutes ses parties serait monstrueux, de même un État le serait-il, si tous ses sujets étaient savants ; on y verrait autant d'inconvénients que l'on y trouve peu de désobéissance et de présomption y seraient ordinaires. Le commerce des lettres bannirait absolument celui de la marchandise qui remplit les États de richesses ; il ruinerait l'agriculture, vraie mère nourrice des peuples, et il dessécherait en peu de temps la pépinière des soldats qui s'élèvent plutôt dans la rudesse que dans la politesse des sciences ; enfin il remplirait la France de chicaneurs plus propres à ruiner les familles particulières et à troubler le repos public qu'à procurer aucun bien aux États. Si les lettres étaient profanées à toutes sortes d'esprits, on verrait plus de gens capables de former des doutes que de les défendre. C'est en cette considération que ceux qui veulent, en un État bien réglé, plus de maîtres ès arts mécaniques que de licenciés et de docteurs, ont raison. Indice : ce n'est pas Turchin Richelieu, mais si c'est ça je n'ai pas de mérite car je crois bien avoir vu cette citation sur X hier. 2
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