Neomatix Posté 20 juillet 2017 Signaler Posté 20 juillet 2017 il y a 41 minutes, Bisounours a dit : Tout à fait. Allez faire un stage en service social, et assistez à une permanence d'accueil pour vous faire une idée. "Allez donc <s>au zoo</s> à la CAF pour observer les pauvres dans leur milieu naturel" il y a 41 minutes, Bisounours a dit : Si tu limites la définition de pauvreté à une question de pognon, effectivement, certains seront davantage disposés à prendre des risques, partant du principe que n'ayant rien à perdre, allons-y. Mais comme le fait remarquer NoName, il ne s'agit pas que d'argent, mais de capital culturel (bitcoin...... je me marre quand je pense à "mes" pauvres), de connaissance, de confiance en soi. Et d'une certaine forme d'intelligence, de capacités à appréhender l'avenir. Évidemment si tu définis les pauvres par leur ignorance, leur manque de confiance en eux, d'intelligence et de capacité à appréhender l'avenir ils vont avoir du mal à ouvrir un business. Mais c'est moins à cause du risque de perdre du pognon (qui est le sujet de la conversation, au cas où vous auriez oublié) que de leur nullité générale. Tordez pas les définitions pour faire rentrer votre point de vue.
Wheat Posté 20 juillet 2017 Signaler Posté 20 juillet 2017 @NoName Bref tu redis tout ce que j'ai dit tout en disant que j'ai tort. Ah ...
Fagotto Posté 20 juillet 2017 Signaler Posté 20 juillet 2017 Combien d'entrepreneurs ici? vu que c'est si facile. 4
Wheat Posté 20 juillet 2017 Signaler Posté 20 juillet 2017 il y a 3 minutes, Fagotto a dit : Combien d'entrepreneurs ici? vu que c'est si facile. Personne a dit que c'était facile.
Frenhofer Posté 20 juillet 2017 Signaler Posté 20 juillet 2017 il y a 11 minutes, Fagotto a dit : Combien d'entrepreneurs ici? vu que c'est si facile. Moi Tout a été résumé.
L'affreux Posté 20 juillet 2017 Signaler Posté 20 juillet 2017 il y a 54 minutes, Bisounours a dit : Si tu limites la définition de pauvreté à une question de pognon, effectivement, certains seront davantage disposés à prendre des risques, partant du principe que n'ayant rien à perdre, allons-y. Mais comme le fait remarquer NoName, il ne s'agit pas que d'argent, mais de capital culturel (bitcoin...... je me marre quand je pense à "mes" pauvres), de connaissance, de confiance en soi. Et d'une certaine forme d'intelligence, de capacités à appréhender l'avenir. il y a 21 minutes, Tramp a dit : Merci d'expliquer cela à ceux qui disent que c'est trop dur pour les pauvres de prendre des risques. Inutile de se disputer, les deux existent. Des individus pauvres mais prêts à en faire beaucoup pour s'en sortir : ils n'ont pas une mentalité de pauvre et sont capables d'acquérir les connaissances qui leur manque. D'autres qui n'ont pas de ressort.
Bisounours Posté 20 juillet 2017 Signaler Posté 20 juillet 2017 il y a 8 minutes, Neomatix a dit : Mais c'est moins à cause du risque de perdre du pognon Ah bah si c'est juste pour ça, c'est idiot. Avoir peur de perdre du pognon, c'est le risque inhérent à toute création d'entreprise. Évidemment, c'est bien subjectif, et partant de là, tout va dépendre des qualités, valeurs, projets de la personne. Tu ne peux pas séparer cette crainte de celui qui l'exprime, et pourquoi il l'exprime. Créer une entreprise, c'est d'abord et avant tout le désir de prendre des risques et de s'enrichir, l'un allant avec l'autre ; si tu n'aimes pas un peu le risque, tu choisis une autre activité. 1
Hayek's plosive Posté 20 juillet 2017 Auteur Signaler Posté 20 juillet 2017 il y a 15 minutes, Marlenus a dit : Le concept de soutien de sa communauté est beaucoup plus fort qu'en occident où on a délaissé ça au profit de l'état nounou. Ça a plus à voir avec l'urbanisation et la prospérité.
Rübezahl Posté 20 juillet 2017 Signaler Posté 20 juillet 2017 Une caractéristique du pauvre c'est de préférer une misère sûre et connue à une amélioration possible mais qui implique une sortie de sa zone de confort. Vu que ce type de comportement est subventionné/encouragé à mort par l'état depuis 2 ou 3 générations, la France est devenu un vrai vivier. On constate aussi un fort biais pour enfiler les mauvais choix. Cela n'a rien à voir avec le hasard. Cela traduit juste un refus obstiné de poser un seul orteil en dehors de la zone de confort. Et oui, je connais des pauvres. Je connais aussi des pauvres gauchistes pour lequel la notion de risque ne trouve même pas place dans leur cerveau. C'est un angle intellectuel totalement mort. A la place il y a la prédestination (salauds d'héritiers) et la chance. Et ça s'arrête là. L'idée de forcer les choses, forcer son destin, n'est ni admissible, ni réalisable. Et cela est parfaitement cohérent avec le fait de n'être (quand on est pauvre) responsable de rien. Seul celui qui possède, le riche, du fait de sa richesse (imméritée et obtenue par chance), devient alors responsable. C'est d'ailleurs marrant d'observer, dans un groupe de gauchos, celui qui a la fâcheuse idée de s'en sortir. Il dégage aussi sec. 9
Bisounours Posté 20 juillet 2017 Signaler Posté 20 juillet 2017 il y a 34 minutes, Vincent Andrès a dit : A la place il y a la prédestination Pour certaines personnes, d'origine modeste, et pauvre, il y a aussi cette idée que la réussite, c'est pour les autres, comme une transmission, et d'eux mêmes ils vont se trouver des obstacles, des limites à ne pas dépasser. En gros, pour schématiser, quand tes parents sont quasi illettrés, et ont occupé des emplois tout en bas de l'échelle sociale (ménages, manutention), la réussite ce sera d'accéder au niveau juste au dessus, mais pas de sauter plusieurs paliers.
Wheat Posté 20 juillet 2017 Signaler Posté 20 juillet 2017 il y a 18 minutes, Bisounours a dit : Pour certaines personnes, d'origine modeste, et pauvre, il y a aussi cette idée que la réussite, c'est pour les autres, comme une transmission, et d'eux mêmes ils vont se trouver des obstacles, des limites à ne pas dépasser. En gros, pour schématiser, quand tes parents sont quasi illettrés, et ont occupé des emplois tout en bas de l'échelle sociale (ménages, manutention), la réussite ce sera d'accéder au niveau juste au dessus, mais pas de sauter plusieurs paliers. Oui c'est totalement vrai. Le fait est que beaucoup de jeunes talentueux se brident eux-mêmes concernant leurs choix pour l'avenir et beaucoup ont finalement assez peu d'ambition. Pour ceux-là malheureusement il n'y a rien à faire : ils navigueront un peu à vue et seront de fervents défenseurs du statut quo. Le système éducatif français, qui est horriblement élitiste, n'y est pas pour rien. D'une certaine façon ils ont aussi un peu raison. En réfléchissant bien on pourrait les considérer comme des sortes de free riders qui profitent des avancés que leur apporteront les entrepreneurs. C'est aussi ça la magie du système capitaliste.
Rübezahl Posté 20 juillet 2017 Signaler Posté 20 juillet 2017 Il y a 1 heure, Bisounours a dit : Pour certaines personnes, d'origine modeste, et pauvre, il y a aussi cette idée que la réussite, c'est pour les autres, comme une transmission, et d'eux mêmes ils vont se trouver des obstacles, des limites à ne pas dépasser. En gros, pour schématiser, quand tes parents sont quasi illettrés, et ont occupé des emplois tout en bas de l'échelle sociale (ménages, manutention), la réussite ce sera d'accéder au niveau juste au dessus, mais pas de sauter plusieurs paliers. oui, et ça marche absolument dans l'autre sens. Il y a des parents pour qui il est absolument inimaginable que les enfants s'en sortent mieux. Et ils y veillent, maternellement, dès les premiers jours.
Jesrad Posté 20 juillet 2017 Signaler Posté 20 juillet 2017 La préférence pour le présent et l'aversion au risque, ce sont deux choses fort différentes. signé: un ex-pauvre très très avers au risque.
Alchimi Posté 20 juillet 2017 Signaler Posté 20 juillet 2017 Je me souviens avoir remarqué un truc marrant, j'ai eu au moins deux copines qui me traitaient à moitié sérieusement de grosse pince parce que je déteste ataviquement claquer du fric (élevé par une mère née en 45 ça fait ça au psychisme), alors qu'elles mêmes avaient des sérieux problèmes d'argent. (elles en avaient très très peu et devait faire super gaffe). Je précise que ce n'était pas non plus des personnes complétement idiotes, mais au contraire cultivées et éduquées. J'ai toujours trouvé ça assez ironique. Mais je ne sais pas si ça se confirme au niveau global.
frigo Posté 20 juillet 2017 Signaler Posté 20 juillet 2017 il y a une heure, Jesrad a dit : La préférence pour le présent et l'aversion au risque, ce sont deux choses fort différentes. signé: un ex-pauvre très très avers au risque. Avers ?
L'affreux Posté 20 juillet 2017 Signaler Posté 20 juillet 2017 il y a 39 minutes, Alchimi a dit : Je me souviens avoir remarqué un truc marrant, j'ai eu au moins deux copines qui me traitaient à moitié sérieusement de grosse pince parce que je déteste ataviquement claquer du fric (élevé par une mère née en 45 ça fait ça au psychisme), alors qu'elles mêmes avaient des sérieux problèmes d'argent. (elles en avaient très très peu et devait faire super gaffe). Je précise que ce n'était pas non plus des personnes complétement idiotes, mais au contraire cultivées et éduquées. J'ai toujours trouvé ça assez ironique. Mais je ne sais pas si ça se confirme au niveau global. Comme thérapie, je suggère les livres de Cizia Zykë : Parodie, Sahara et Oro. https://www.amazon.fr/Cizia-Zykë/e/B001K7DHMA
Rincevent Posté 20 juillet 2017 Signaler Posté 20 juillet 2017 à l’instant, frigo a dit : Comment on sait si on est pauvre ? Si tu as le luxe de te poser la question, c'est à la fois que tu ne l'es pas, et que tout ce temps passé à te poser des questions pourrait être consacré à t'enrichir davantage encore. Maintenant va, et travaille.
frigo Posté 20 juillet 2017 Signaler Posté 20 juillet 2017 Non mais je fais souvent des travaux manuels simples qui me permettent de réfléchir tout en travaillant. 1
Mister_Bretzel Posté 20 juillet 2017 Signaler Posté 20 juillet 2017 21 minutes ago, frigo said: Comment on sait si on est pauvre ? Pauvreté relative = jusqu'à 60% du salaire median. Donc ça varie pays par pays... Pauvreté absolue : moins de 2€/j par personne
frigo Posté 20 juillet 2017 Signaler Posté 20 juillet 2017 Mais si je raisonne en autrichien il me paraît impossible de définir objectivement une valeur, et que donc la pauvreté est un sentiment subjectif. Cela ne me paraît pas deraisonable de penser que des personnes très riches soient obsédé par le manque.
Wheat Posté 20 juillet 2017 Signaler Posté 20 juillet 2017 il y a 34 minutes, frigo a dit : Mais si je raisonne en autrichien il me paraît impossible de définir objectivement une valeur, et que donc la pauvreté est un sentiment subjectif. Cela ne me paraît pas deraisonable de penser que des personnes très riches soient obsédé par le manque. L'effet Fillon ?
frigo Posté 20 juillet 2017 Signaler Posté 20 juillet 2017 Voilà, en argot on dit crevard, mais Molière parlait de cuistres , de lardres et de fesse Mathieu.
Bisounours Posté 20 juillet 2017 Signaler Posté 20 juillet 2017 Il y a 3 heures, L'affreux a dit : Comme thérapie, je suggère les livres de Cizia Zykë : Parodie, Sahara et Oro. https://www.amazon.fr/Cizia-Zykë/e/B001K7DHMA aaaaah, Cizia Zykë, quelle vie il a eu ! J'ai lu tous ses bouquins, passionnants témoignages (pas forcément la qualité littéraire d'un H. Miller mais osef) de sa vie d'aventurier. Il est mort il n'y a pas si longtemps, en 2011 (et je le trouvais plutoôt sexy...) 1
ttoinou Posté 20 juillet 2017 Signaler Posté 20 juillet 2017 Un environnement (en grande partie la famille) stable aussi ça aide pas mal
Ray Posté 20 juillet 2017 Signaler Posté 20 juillet 2017 Il y a 7 heures, Alchimi a dit : Je me souviens avoir remarqué un truc marrant, j'ai eu au moins deux copines qui me traitaient à moitié sérieusement de grosse pince parce que je déteste ataviquement claquer du fric (élevé par une mère née en 45 ça fait ça au psychisme), alors qu'elles mêmes avaient des sérieux problèmes d'argent. (elles en avaient très très peu et devait faire super gaffe). Je précise que ce n'était pas non plus des personnes complétement idiotes, mais au contraire cultivées et éduquées. J'ai toujours trouvé ça assez ironique. Mais je ne sais pas si ça se confirme au niveau global. J'ai aussi un pote aussi qui me trouve radin parce que je suis prêt à me faire chier pour économiser de l'argent (par exemple, prendre le car au lieu du train pour un long trajet) alors qu'il est fauché. Salauds de pauvres.
Johnathan R. Razorback Posté 20 juillet 2017 Signaler Posté 20 juillet 2017 Il y a 1 heure, Ray a dit : J'ai aussi un pote aussi qui me trouve radin parce que je suis prêt à me faire chier pour économiser de l'argent (par exemple, prendre le car au lieu du train pour un long trajet) alors qu'il est fauché. Salauds de pauvres. Alors qu'il devrait se dire que si tu es plus riche que lui, c'est peut-être un peu lié avec le fait que tu adoptes un comportement plus économe (ce qui n'est pas la même chose qu'être pingre)... Mais bon, être économe et rationnel c'est pour certains le début de la corruption sanatico-homo-economicus-ultralibérale.
Mathieu_D Posté 21 juillet 2017 Signaler Posté 21 juillet 2017 16 hours ago, Vincent Andrès said: oui, et ça marche absolument dans l'autre sens. Il y a des parents pour qui il est absolument inimaginable que les enfants s'en sortent mieux. Et ils y veillent, maternellement, dès les premiers jours. Heu tu connais personnellement beaucoup de parents qui ne veulent pas que leurs enfants s'en sortent mieux ? Ou seulement bien ?
Marlenus Posté 21 juillet 2017 Signaler Posté 21 juillet 2017 10 hours ago, Ray said: J'ai aussi un pote aussi qui me trouve radin parce que je suis prêt à me faire chier pour économiser de l'argent (par exemple, prendre le car au lieu du train pour un long trajet) alors qu'il est fauché. Salauds de pauvres. En même temps, je viens de regarder pour Bruxelles, tu économises 22€ sur un A/R depuis paris en prenant le car pour 2h30 en train et 8h en car (et mon expérience montre que les cars sont encore moins à l'heure que les trains), donc si on est pas fauché et que l'on gagne bien sa vie, j'avoue trouver cela aussi un peu radish
Rübezahl Posté 21 juillet 2017 Signaler Posté 21 juillet 2017 Il y a 2 heures, Mathieu_D a dit : Heu tu connais personnellement beaucoup de parents qui ne veulent pas que leurs enfants s'en sortent mieux ? Ou seulement bien ? Pas de quoi faire une statistique, mais hélas quelques exemples bien sentis. Avec quelques dénominateurs communs : 1/ une préconception, par la maman, très précise de ce que doit être l'enfant et de sa place et son rôle dans la famille. Et par suite, l'enfant est entièrement formaté (dès la naissance) pour coller à la préconception. (Et cela éventuellement pour plusieurs enfants successifs, avec des rôles différents pour chacun). 2/ enfant volontairement "bousillé" très tôt et très fort. Enfant contre-socialisé dès la naissance. Cas typique et classique, les parents qui apprennent délibérément et volontairement à leur gamin à ne pas dire bonjour (ni aucun code de bonne conduite) ... et qui expliquent ensuite, la mine ravie des parents d'un futur Einstein, que le gamin est "spécial". On a des gosses qui à 3/4 ans n'ont pas les codes sociaux que possèdent 99.9% des petits de macaques. L'objectif poursuivi est une relation exclusive (et une dépendance totale) entre l'enfant et la maman : "il n'y a que moi qui le comprend". 3/ par-dessus ça, absolument aucun accès au moindre livre/revue (quant bien même un des 2 parents bouquine). Plus la télé aux doses maximales, avec l'aîné qui regarde les programmes du dernier, mais jamais l'inverse. Plus zéro participation au moindre travail dans la maison. Et évidemment absolument zéro devoir à la maison car "il ne peut pas". Et jamais la moindre évocation d'un avenir au-delà de la sphère enfantine. Le gosse est sensé être éternel. Le combo nullité technique + nullité sociale fait que le gamin n'a aucune chance d'obtenir de l'aide, même de l'enseignant le mieux disposé. Avec un pareil verrouillage, c'est tranquille. Aucun souci à se faire 4/ en // mensonge complet, à 180°, quant aux performances scolaires (aidé il faut le dire par les enseignants qui surnotent pour avoir la paix). Pendant plusieurs années, le papa (qui simule la cécité) t'explique que le gamin (qui a du mal avec l'addition) va faire pilote de chasse. ... et puis, d'un coup, du jour au lendemain, t'annonce un changement de programme et que le gamin va faire apprentissage. 5/ vers 15/18 ans, une recherche un peu désespérée de trouver une vraie formation pro au gamin. Car, les efforts ayants porté leurs fruits au-delà de leurs espérances, les parents se rendent enfin compte que les enfants éternels, c'est pas forcément une super perspective. etc etc Tout cela motivé (par ordre de force) : - par un désir de pouvoir, simultanément à une bonne dose d'incompétence. à défaut d'être chef dans son environnement professionnel, l'un des parents se pose et se veut chef de famille. La famille (parents/enfants) est la scène/huis-clos principal. Et la seule manière de ne pas risquer d'être dépassé par la progéniture sur cette scène est de faire le nécessaire pour que la progéniture soit encore plus bête (et il faut avouer que l'époque s'y prête très bien). Le maintien du pouvoir passe par une vigilance intransigeante à exterminer impitoyablement toute opportunité pour le gamin de s'élever. Et dualement, chaque opportunité de maintenir le gamin en arrière est exploitée instantanément. ça devient des réflexes. - par une conception complètement statique des choses : les parents devenus parents le sont pour l'éternité, et les enfants sont et seront éternellement des enfants. (Cette conception statique/figée est un classique) - par une forme d'auto-censure. Il est tout bonnement impossible (et interdit) d'imaginer que les enfants puissent faire mieux que leurs parents (c'est de fait tabou et on sent que ça relève en fait de la lèse-majesté dans le petit royaume familial). C'est bien sûr lié à la question du pouvoir. Tout cela souvent avec en toile de fond une transmission traditionnelle. Les parents appliquent à leurs enfants ce qui leur a été appliqué à eux-mêmes par leurs propres parents (parfois sous l'oeil (approbateur) des grands-parents en question. Pardon de le dire, mais c'est une transmission tout à fait analogue à la pédophilie. Bon, ce ne sont que quelques cas, pas du tout majoritaires. Dites moi si vous ne reconnaissez pas des choses déjà vues ?
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