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Philiber Té

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Tout ce qui a été posté par Philiber Té

  1. Ça a un rapport quelconque avec le féminisme ?
  2. https://twitter.com/MaxTemkin/status/447467369992953856
  3. Quelqu'un sait comment avance l'histoire de Ferguson ? J'ai entendu dire que l'affaire du vol avait été finalement démentie (le propriétaire n'ayant pas porté plainte ou même appelé la police), mais pourtant l'avocat de Brown ne nie pas qu'il y ait eu un vol, mais conteste le fait que l'agent de police était averti de celui-ci. D'après certains, l'avocat ne cherche pas à démontrer l'innocence de Brown car ce serai difficile de faire admettre cela aux jurés...
  4. Au sujet des forêts françaises : The Course and Drivers of the Forest Transition: the case of France - Mather et al., 1999 (qui commence à dater donc). http://www.hup.fi/HY_media/press/worldforests/Mather1999.pdf
  5. Je veux bien tes sources effectivement (je constate que tu regardes plutôt de l'autre côté de l'Atlantique, il y a une raison particulière à cela ?). Le soucis avec les études françaises sur les violences conjugales et leur réciprocité au sein du couple, c'est que cette dernière n'est souvent présentée que dans les cas d'homicides, puisqu'ils ont fait l'objet d'enquêtes plus poussées. Le problème étant alors que les homicides sont des faits relativement rares et plutôt spécifiques, comparés aux violences récurrentes et qu'il est alors difficile d'en ressortir des conclusions généralisables... Par ailleurs, on comprend aisément qu'une enquête de victimation ne recevra pas nécessairement des résultats représentatifs si elle interroge sur la violence causée, en plus de celle subie. Tu parles bien des infanticides ou bien des violences physiques dirigées contre les enfants dans le cadre de violences conjugales ? Je n'ai pas de données pour le second cas, il faudrait que je jette un coup d'oeil du côté des violences sur mineures (en espérant qu'ils spécifient si elles font échos aux violences exercées chez les parents). Pour le premier par contre, les chiffres apportés par la justice montrent que les pères sont plus impliqués dans les infanticides que les mères : http://www.gendarmerie.interieur.gouv.fr/fre/Sites/Gendarmerie/Actualites/2012/Septembre/Etude-nationale-sur-les-morts-violentes-au-sein-du-couple
  6. Oui c'est pertinent pour qualifier les actes, mais c'est aussi intéressant de se pencher sur la mentalité des agresseurs. Dans le cas des viols homosexuels, on constate que certains agresseurs se considèrent comme purement hétérosexuels et que suivant le contexte, un rapport homosexuel n'entache pas nécessairement cette certitude. C'était simplement pour préciser qu'un homme peut se faire violer par un autre homme, qui en dehors de ça n'a d'attirance que pour les femmes.
  7. Pfu continue comme ça et tu vas essayer de nous faire croire que ce n'est pas Jésus qui a inventé la crucifixion !
  8. Je ne sais pas où poser ma question... mais je viens de lire ceci : http://www.contrepoints.org/2014/08/27/178288-nous-defendre-face-aux-barbares-une-reponse-au-djihadisme Le droit est véritablement une invention occidentale ? On m'a toujours dit que c'était une invention mésopotamienne (avec l’avènement des premières civilisations, de l'organisation de la vie en société, etc...). Quid des autres cultures alors ?
  9. Moi non plus, je crois que j'ai perdu le fil... Certains se posent la question de "doit-on intervenir si un homme se fait agresser par une femme?", c'est ça ? Et vous essayez de juger si oui ou non, il y a un véritable risque et donc une bonne raison d'interférer ? En 2008, 27 hommes tués par leur femme, sachant que 11 d'entre eux étaient coupables de violences antérieures envers leur conjointe... http://www.solidaritefemmes.org/e_upload/pdf/etude2008.pdf
  10. Justement, c'est pour cela que je ne m'avance pas trop sur les USA et leurs instruments de mesures. Par contre le rapport cité ici pour la France donne les résultats d'enquêtes de victimation et non pas seulement des retours fournis par la police / justice (pas de biais de non-dénonciation ou de plaintes rejetées donc).
  11. Je passe du monde de l'entreprise à celui de la recherche universitaire, même réponse que Poney. Mon salaire viendra désormais de la générosité des européens de l'Union Européenne !
  12. Je connais mal les institutions américaines, mais le NIPSVS est produit par le CDC, donc ce sont les mêmes statistiques, non ? Ou alors leurs calculs m'échappent vu qu'ils ne sont pas spécifiés. Je n'ai pas accès à Emerald Insight, tu peux partager directement le .pdf ? (Trop de plateformes, pas assez d'abonnements...) A noter que pour la France, ton lien communique les mêmes données que celles que j'avance : Tu as du te mélanger dans ton précédent post (http://www.liberaux.org/index.php/topic/35655-le-féminisme-contre-la-liberté/?p=1140726).
  13. Désolé, je ne suis jamais sûr de rien, même depuis que ce sujet a quitté la taverne... Pas besoin d'être un homosexuel pour violer un autre homme :
  14. Le lien que tu m'as donné est une critique des données fournies par la CDC. Je ne comprends pas d'où sortent leurs estimations : Au contraire, le National Intimate Partner and Sexual Surveillance Survey donne : Nearly 1 in 5 women (18.3%) and 1 in 71 men (1.4%) in the United States have been raped at some time in their lives, including completed forced penetration, attempted forced penetration, or alcohol/drug facilitated completed penetration. Approximately 1 in 21 men(4.8%) reported that they were made to penetrate someone else during their lifetime; most men who were made to penetrate someone else reported that the perpetrator was either an intimate partner (44.8%) or an acquaintance (44.7%). More than 1 in 3 women (35.6%)and more than 1 in 4 men (28.5%) in the United States have experienced rape, physical violence, and/or stalking by an intimate partner in their lifetime. About 1 in 4 women (24.3%) and 1 in 7 men (13.8%) have experienced severe physical violence by an intimate partner (e.g., hit with a fist or something hard, beaten, slammed against something) at some point in their lifetime. Male rape victims and male victims of non-contact unwanted sexual experiences reported predominantly male perpetrators. Nearly half of stalking victimizations against males were also perpetrated by males. Perpetrators of other forms of violence against males were mostly female. Après je connais mal la situation aux États Unis (notamment tout ce qui concerne les statistiques raciales / ethniques...
  15. Heu... Sans avoir une connaissance absolue des courants féministes et de leurs militantes, celles que je connais ne considèrent pas les victimes masculines de viols comme des dommages collatéraux ou des cas anecdotiques, d'autant plus au vu des données disponibles en France. Au contraire, elles s'y intéressent car il s'agit dans la majeure partie des cas d'agresseurs masculins, ce qui rejoint alors leur analyse du patriarcat (homme dominant même pour d'autres hommes). Par exemple, pour des agressions à caractère homosexuel, les agresseurs se considèrent comme des purs hétérosexuels tant qu'ils sont "actifs" (traduit par les féministes comme "dominants"). Par ailleurs, les masculinistes reprochent généralement au féminisme de ne pas parler des victimes masculines et utilisent ces dernières pour prouver qu'il ne s'agit pas d'une oppression patriarcale (ou sexiste) puisqu'elle touche également des hommes.
  16. Quelle est la source de tes chiffres ? Il s'agit de données pour la France ou au niveau mondial ?
  17. Un article sur Contrepoints à ce sujet : http://www.contrepoints.org/2014/03/02/158286-peut-on-etre-fonctionnaire-et-liberal
  18. Ou alors on peut imaginer que les individus répondront d'eux mêmes à cette question par confort, non ?
  19. Non je crois qu'il nous incite à manger des moules...
  20. Oh, on redémarre une discussion sur le viol ? Pour des chiffres plus précis : http://www.ined.fr/fichier/t_publication/1359/publi_pdf1_pop_soc445.pdf 16% des femmes et 5% des hommes déclarent avoir subi des rapports forcés (F: 6,8% / H: 1,5%) ou des tentatives de rapports forcés (F: 9,1% / H: 3,0%) au cours de leur vie. Seulement 0,6% des victimes masculines avertissent la police de leur agression ! Par contre je n'ai pas trouvé de chiffre sur l'aboutissement des plaintes pour viol déposées par des hommes. Pour les violences conjugales, les chiffres sont un peu plus ambigus. Si on s'en tient à l'enquête de l'Observatoire National de la Délinquance et des Réponses Pénales (ONDRP), environ trois quarts des victimes des violences conjugales sont des femmes. Il reste ensuite toutes les questions relatives au milieu carcéral et à la pédophilie...
  21. Si un individu nie et l'autre accuse, c'est également du "parole contre parole", non ? Qu'est ce qui change lorsque l'accusé admet avoir eu un rapport sexuel, mais conteste simplement sa nature ? Le traumatisme psychologique ou les sévices sexuels sont toujours là. Je trouve que la situation est la même : il faut mettre ces déclarations / accusations à l'épreuve des faits.
  22. C'était juste une boutade... ça me rappelait tout simplement l'espoir de certains pour qu'un jour arrive le Grand Soir !
  23. Lançons nous dans la politique de l'action directe ! Même si le terrorisme c'est pas liberhallal...
  24. Je rejoins Gio sur ce sujet ! Ce n'est pas représentatif du discours féministe (matérialiste dans ce cas ci, analyse du discours, de l'image, etc...), mais plutôt du développement de ce mode d'expression de manière générale (avec l'augmentation du nombre de blogs / d'auteurs de BD).
  25. Certains troubles psychologiques peuvent persister. Cela a notamment été observé sur des individus qui ont subi des abus durant leur enfance, ou dans certains contextes particulièrement violents comme l'exemple du Rwanda : http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/20458101 http://www.memoireonline.com/10/12/6288/m_Consequences-psychologiques-chez-les-personnes-adultes-victimes-du-viol-sexuel-en-dehors-du-genoci1.html On peut imaginer qu'avec l'évolution de la police scientifique, la généralisation / le développement de l'application de certaines mesures, etc. le nombre de cas de "parole contre parole" diminue. De même qu'une justice efficace n'incite pas à lancer des accusations mensongères.
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