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Séverine B

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Messages postés par Séverine B

  1. Le 27/02/2018 à 15:00, h16 a dit :

    De ce que j'en ai vu/lu et après avoir discuté avec AB, Tezos et la blockchain derrière est tout de même un projet solide et bien pensé. Je pense que les autres tokens qui tentent de faire du smartcontract ont du soucis à se faire.

     

    Heu... un projet basé sur le delegated proof of stake au lieu de proof of work me semble plus proche du socialisme que du libéralisme. Une techno bonne mais une bonne vieille pyramide de ponzi ?

    Je veux bien ton retour sur ce post qui date un peu justement...

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  2. il y a 10 minutes, Nathalie MP a dit :

    Nota Cet article est court, mais pas très léché. Par exemple, ce que l'auteur appelle un "consolation document" est en fait un "consultation document" comme on peut s'en rendre compte en allant sur le lien. L'ensemble est assez peu précis, ce qui me fait craindre d'avoir éventuellement commis qq fautes....

    ------

    Allez-vous vraiment réutiliser votre sac en coton bio 20 000 fois ?

    Par Being Libertarian, 16 août 2018.

     

     

    Merci Nathalie !

  3. il y a 5 minutes, Tipiak a dit :

    Ok ! 

     

    Par contre j'ai un petit doute au niveau de la traduction ici, si quelqu'un peut m'aider. Plusieurs fois il est fait mention de "property rights", il faut le traduire au pluriel aussi (les droits de propriété) ou c'est un piège et il faut se contenter du singulier (le droit de propriété) ? Quelques exemples de passages :

     

    - Which Countries Have the Best Record in Protecting Property Rights?

    - I’ve always viewed “Legal System and Property Rights” as being the most important because...

    - Property rights are accepted as a linchpin for human beings’ liberty...

    - This Index was developed to serve as a barometer of the state of property rights in all countries...

    - etc.

    Je dirais que ça dépend du contexte (la réponse qui va bien t'aider :mrgreen: ) : défendre le droit de propriété/ avoir les droits de propriété sur qqch... Dans le doute, mets-les au pluriel et on verra en relecture.

  4. Le 17/08/2018 à 11:33, Fagotto a dit :

    Dans les 2 cas, c'est pas une une très bonne idée d'article, c'est ce que je voulais dire plus ou moins subtilement. Désolé de pourrir l'idée.

     

     

    Plutôt moins que plus. :D

     

    Le 17/08/2018 à 11:33, Fagotto a dit :

     les comparaisons à base d'expériences personnelles n'ont pas beaucoup de poids, on reste dans l'anecdotique.

     

    Figure-toi que niveler par le haut, ça signifie aussi aller chercher de nouveaux lecteurs qui n'ont pas forcément le niveau de culture des liborgiens.

    L'anecdote vaut pour ce qu'elle est, on n'est pas en train de demander une thèse sur les pays étrangers. Et en plus c'est les vacances. ;)

     

    Sinon, merci pour la participation, on essaie d'en faire quelque chose. Vous pouvez continuer à poster !

  5. Il y a 1 heure, Fagotto a dit :

     

    L'exemple est bien choisi parce que je le connais, si tu pars seul là-bas bon courage, mais en tant qu'expat pour une grande boite internationale, tu auras un logement payé bien plus confortable qu'en Europe genre grand appart dans une résidence avec piscine, salle de sport etc, tu auras une voiture payée potentiellement avec chauffeur, tu pourras prendre des employés de maisons pour pas cher etc... bref un confort assez rare en Europe, + les primes d'expats qui te permettront soit de te faire plaisir soit d'épargner un max.

    Pour le "rang" social qu'a retenu Tramp, c'est pas une question de jalousie ou de regarder de haut les pauvres dans la rue (c'est plutot le coté négatif), mais tu auras direct accès au réseau des expats internationaux, les gens des autres boites, des institutions internationales + institutions locales, si tu es dans la capitale c'est  si tu veux sortir tu auras les meilleurs restos, bars, boites, des invtations pour plein de fêtes, activités etc...

    Si tu es célibataire c'est le top, si tu es en famille tu auras un logement et des nounous (et de bonnes écoles internationales normalement payées par la boite si c'est dans le pack) c'est pas mal du tout non plus.

     

    Après tu peux avoir des expats pourris si tu es dans un coin paumé ou dans des conditions pas terribles, mais la plupart des gens qui l'ont fait que je connais ne l'ont pas regretté (ex. le gars qui n'a pas tenu au Japon est reparti en expat en Afrique), y a surement des pays à éviter aussi, je pense que Angola est pas terrible par ex.

     

     

    Je confirme pour l'Angola : logement, luxe, chauffeur, salaire + + +. En revanche le réseau international,  c'est un microcosme d'entre-soi, les boîtes sont toutes les mêmes, les nationalités aussi.

    Si tu es célibataire, je ne sais pas ce que tu appelles "top", mais vu la situation d'une personne de ma famille vivant là-bas, je ne dirai pas que "c'est top".  En +, la vie est chère à un point qu'on n'imagine pas.

     

    Le seul truc "positif", c'est qu'avec un max d'argent, tu peux te payer des médicaments dernière génération qu'on ne te propose pas en France-parce-que-la sécu... 

  6. Le 06/08/2018 à 18:51, eclipse a dit :

     

    Désolée, mais dès la 1ère phrase : "les enfants sont piégés à l'intérieur" :wacko:

    Bon, comme c'est du DeepL assumé, on va voir ce qu'on peut faire... mais d'habitude on ne prend pas.

    @Bisounours, je laisse le texte en brouillon, si tu as le temps d'apporter ta touche littéraire dans le courant de la semaine... :bisous:

  7. Le 10/08/2018 à 11:42, Tipiak a dit :

     

    Un nouvel âge d’or du vol spatial s’ouvre grâce à la compétition

     

    Alors que SpaceX fait voler ses fusées Falcon 9 à partir de 62 millions de dollars, l’US Air Force a budgété 422 millions de dollars pour un vol auprès de l’ULA en 2020.

     

    Quand Elon Musk fonda SpaceX en 2002, lui et ses huit employés fêtèrent l’évènement en invitant un groupe de mariachis à jouer dans les locaux vides de la boîte. C’était un début assez modeste pour une entreprise qui visait à faire de l’humanité une « véritable civilisation spatiale ». Malgré toute l’attention qu’a reçue l’entreprise récemment, peu a été dit sur le remarquable élan que la concurrence a donné à la course spatiale au XXIe siècle.

     

    L’impact de la United Launch Alliance

     

    Pendant presque dix ans, Lockheed Martin et Boeing était les seuls acteurs majeurs américains du marché des lanceurs spatiaux. Après des années de compétition acharnée, les deux entreprises ont joint leurs forces et créé la United Launch Alliance (ULA) en 2005. À cette époque l’ULA paraissait inattaquable, Lockheed Martin et Boeing employant près de 300'000 personnes dans le monde et générant à eux deux des revenus de plus de 90 milliards de dollars. D’autant plus que l’ULA détenait alors de facto un monopole sur les lancements militaires américains.

     

    Mais comme souvent dans un environnement non compétitif, les prix ont vite explosé. En 2012, le prix par mission pour l’armée avait augmenté de 58 % par rapport à 2004 et 2007. Cette hausse soudaine a poussé le gouvernement à produire un rapport sur le programme de l’ULA, lequel a constaté que malgré une baisse des lancements au cours du temps, les coûts de l’ULA continuaient d’augmenter. Le rapport affirmait que « la cause finale était une mauvaise exécution des programmes à cause d’un environnement offrant peu d’incitations à la maîtrise des coûts et peu de menaces de faillite. »

     

    L’introduction de la concurrence dans le marché

     

    Pendant ce temps-là, SpaceX avait bien avancé vers son objectif de créer des lanceurs à bas prix. Malgré de nombreux revers, SpaceX a victorieusement lancé, en septembre 2008, la première fusée au monde financée et développée par le secteur privé. Plusieurs mois plus tard, SpaceX se voyait attribué un contrat commercial de fret de la NASA pour ravitailler la Station Spatiale Internationale (ISS) dans le cadre des Prestations Commerciales de Ravitaillement (PCR), et sa part dans le marché des lanceurs spatiaux n’a cessé d’augmenter depuis.

     

    Une des clés du succès de SpaceX a été sa capacité à vendre nettement moins cher que ses concurrents. Alors que SpaceX fait voler ses fusées Falcon 9 à partir de 62 millions de dollars, l’US Air Force a budgété 422 millions de dollars pour un vol auprès de l’ULA en 2020.

     

    Cette tendance se retrouve également dans le programme de ravitaillement PCR de la NASA. D’après un rapport de la NASA datant d’avril, le coût moyen d’une mission de SpaceX pour ravitailler l’ISS est de 152,1 millions de dollars, contre 262,6 millions de dollars en moyenne pour son concurrent Orbital ATK. D’ailleurs, l’audit a aussi relevé que les prix compétitifs de SpaceX « ont contribué a baissé les prix pour les lancements de la NASA » : le coût de la fusée standard Atlas V de l’ULA a diminué d’environ 20 millions de dollars par lancement après que la fusée Falcon 9 de SpaceX soit devenue éligible pour les contrats de lancement.

     

    La forte hausse des prix de SpaceX : une opportunité pour d’autres entreprises

     

    L’émergence fulgurante de SpaceX s’est basée sur des prix comparativement bas, mais les choses pourraient bien être en train de changer. Dans ce même rapport, les auteurs révèlent que SpaceX va augmenter ses prix auprès de la NASA pour les prochaines missions de ravitaillement de l’ISS d’environ 50 %. Cette augmentation intervient alors que son principal concurrent pour les ravitaillements, Orbital ATK, a récemment annoncé une baisse de ses coûts de 15 %. Ces changements devraient quasiment éliminer l’écart de prix entre Orbital ATK et SpaceX.

     

    La forte hausse des prix de SpaceX pourrait être une opportunité pour d’autres entreprises. En plus de Orbital ATK et SpaceX, Sierra Nevada Corporation s’est vu attribué un contrat de ravitaillement de l’ISS dans le cadre des PCR. Bien que relativement nouveau dans le domaine des missions de ravitaillement, Sierra Nevada est considéré comme un concurrent sérieux et de qualité.

     

    Il se pourrait même que de nouveau acteurs se jettent dans la mêlée. Les contrats que signent la NASA incluent une clause qui permet à des entreprises hors contrat de participer aux appels d’offres pour les futures missions de fret. Avec des entreprises de l’aérospatial comme celle de Jeff Bezos, Blue Origin, redoublant d’investissements dans le secteur des vols spatiaux commerciaux, le marché semble mûr pour la concurrence.

     

    Au vu du regain d’intérêt pour le voyage spatial et des investissements croissants dans les entreprises de l’aérospatial, nous entrons clairement dans un nouvel âge d’or du vol spatial. Alors que le gouvernement américain s’emploie à augmenter les dépenses de la NASA, il ferait bien de se rappeler que c’est la concurrence qui nous rapprochera des étoiles. Le gouvernement ne devrait pas favoriser une quelconque entreprise, mais plutôt encourager les appels d’offres dans un milieu concurrentiel pour accélérer l’avenir de l’humanité.

     

    Merci ! La publication est pour cette semaine.

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