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Romy

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Messages postés par Romy

  1. Il y a 2 heures, F. mas a dit :

    "Non, mais tu vois, je préfère financer les circuits courts, c'est bon pour le porte-monnaie et l'environnement"

    On voit bien le genre de personnages qui peut dire ça mais la phrase en elle-même ne m'apparait pas antilibérale. Dans la mesure où c'est «je» finance et non les contribuables, ce n'est que l'expression d'une préférence pour un type de marché.

  2. Il y a 3 heures, Tramp a dit :

    Le problème c'est que ces salauds d'usagés achètent leurs billets sur internet :

     

    Le Monde - Paroles de cheminots : « Je vais perdre 60 euros par jour de grève, j’ai prévenu mon banquier »

    A l’occasion de la grève débutée mardi pour s’opposer à la réforme de la SNCF, « Le Monde » publie une série de portraits. Elodie Couturier est vendeuse.

    http://www.lemonde.fr/economie/article/2018/04/03/paroles-de-cheminots-je-vais-perdre-60-euros-par-jour-de-greve-j-ai-prevenu-mon-banquier_5280067_3234.html

    1600 euros nets par mois pour un travail peu qualifié, bientôt obsolète et qui laisse du temps pour rêvasser (ou pour se former, soyons fous). Qui plus est dans une petite ville... De son point de vue, elle n'a pas grand chose à perdre en faisant grève. Je suis peut-être loin du compte mais j'ai l'impression que les «vrais» cheminots sont peut-être mieux lotis que ceux s'occupant du service et qu'ils pourront monnayer leurs compétences aux futurs concurrents de la sncf.

    • Yea 2
  3. Le 30/03/2018 à 13:50, Rincevent a dit :

    Excellente idée (mais explique en une ligne ou deux dans un paragraphe introductif ce qu'est la March For Our Lives, ou bien entre parenthèses à la première occurrence de l'expression). :)

    Article original: https://fee.org/articles/social-psychology-suggests-march-for-our-lives-is-unlikely-to-change-anything-here-s-why/

    Traduction ci-dessous et téléchargeable ici: https://framadrop.org/r/WWiecC3iLG#k1W7NDgiqv8NM9AymShlhNay7LMGZg6UKjAurj8UNR8=

     

    Révélation

    La psychologie sociale suggère que le mouvement "March for Our Lives" n'est pas en mesure de changer quoi que ce soit. Voici pourquoi.

     

     

    Par Aaron Pomerantz

     

    Similaire à de nombreux mouvements politiques récents, ''March for Our Lives'' (ndlt : manifestations ayant eu lieu le 24 mars dans plusieurs villes des États-Unis réclamant un encadrement plus strict des armes à feu en réaction à la fusillade du 14 février dans le lycée de Parkland en Floride) se caractérise par la démagogie, les appels à l’émotion et l'indignation morale qui ont fini par définir les manifestations politiques modernes. Les médias grand public nous promettent, pourtant, que "cette fois-ci, c'est différent", que cette marche pour le contrôle des armes à feu (soyons honnêtes sur ses intentions) changera l'Amérique et finira par mettre fin au débat sur les armes.

     

    A l’opposé, la psychologie sociale nous apprend que les mouvements comme ''March for Our Lives'' sont peu susceptibles de changer quoi que ce soit. Cela s’explique du fait que ces mouvements, malgré leur rhétorique affirmée, opèrent entièrement sur ce qu'on appelle un niveau de représentation élevé et sont définis par des caractéristiques qui garantissent que, quel que soit le niveau d'indignation, aucune solution concrète et réalisable n'émergera.

     

    La théorie des niveaux de représentation

     

    La théorie des niveaux de représentation (Construal Level Theory) s'inspire de plusieurs domaines de la théorie de la psychologie. On peut lire un examen plus approfondi des structures spécifiques de cette théorie ici et (en anglais), mais en substance la théorie des niveaux de représentation soutient que notre réaction aux stimuli est conditionnée par la distance ou la proximité.

     

    La distance et la proximité ne mesurent pas l'importance du sujet ; des phénomènes proches ou éloignés peuvent nous toucher tout autant. Cependant, nous les traitons très différemment. Lorsqu'un stimulus est lointain, c'est-à-dire loin de nous temporellement, spatialement, socialement ou bien est hypothétique, nous fonctionnons sur ce qu'on appelle un niveau de représentation élevé. Cela signifie que nous y réfléchissons de manière abstraite, en regardant le tableau d'ensemble et en nous préoccupant davantage des grandes lignes que des détails spécifiques.

     

    A l'inverse, lorsqu'un stimulus est proche, nous l'interprétons selon une représentation de niveau faible. Nous y pensons en termes concrets, examinant les questions pratiques qui l'entourent et tenant compte de ses problèmes et de ses enjeux potentiels. La réflexion selon un haut ou un bas niveau de représentation rythme notre quotidien mais elle est tout particulièrement pertinente dès que la politique est concernée.

     

    Les niveaux de représentation en pratique

     

    Lorsque nous fonctionnons selon un niveau élevé de représentation, notre pensée est plus hypothétique, idéaliste et abstraite. Nous nous concentrons entièrement sur nos objectifs lointains, ignorant les questions pratiques comme la façon dont nous les atteindrons ou tout obstacle auquel nous pourrions être confrontés au cours du processus. Pour ces raisons, un raisonnement fondé sur une représentation de haut niveau affecte négativement notre processus décisionnel; prendre de bonnes décisions implique de prendre en compte les problèmes potentiels. Dans la sphère politique, ce type de pensée est corrélé à une polarisation accrue, en particulier dans les situations où les identités de groupe comme l'affiliation politique sont mises en évidence.

     

    En revanche, un raisonnement fondé sur un faible niveau de représentation est plus concret et détaillé, se concentrant sur les questions spécifiques entourant une décision et le contexte dans lequel nous la prenons. Bien qu'il mène à de meilleures décisions, le raisonnement émanant d’une représentation de faible niveau est également plus exigeant sur le plan cognitif. Après tout, il est difficile – et un peu rabat-joie – de creuser jusqu’au fin fond du problème. Une pensée caractérisée par un faible niveau de représentation est pratique ; elle n'est ni idéaliste, ni abstraite, ce qui nous permet de prendre de meilleures décisions, mais elle est inapte à susciter une ferveur politique.

     

     

    Les niveaux de représentation appliqués à ''March for Our Lives''

     

    Les défenseurs du contrôle des armes à feu ne réfléchissent pas tous selon un haut niveau de  représentation. Quoi que nous puissions dire au sujet de la légalité, de l'éthique ou de l'efficacité de leurs projets, de nombreux défenseurs du contrôle des armes à feu sont pragmatiques et peuvent même reconnaître qu’il existe dans leurs plans des lacunes ou des problèmes devant être corrigés. Cependant, ce n'est pas l'attitude que nous avons pu voir dans le cadre du mouvement ''March for Our Lives''.

     

    La rhétorique de cette manifestation est entièrement abstraite ; son but déclaré est de mettre fin à la violence armée, mais aucune solution viable n'est donnée. En effet, les objectifs politiques sous-jacents de la marche varient selon la personne à qui vous posez la question. Certains disent que "personne ne viendra chercher vos armes à feu", tandis que d'autres exigent leur confiscation. Nous voyons un discours commun dans l'appel à un ''contrôle de bon sens des armes à feu'', mais personne ne se donne la peine de définir ce que ça veut dire. Ce haut degré d'abstraction n’empêche pourtant pas les orateurs de ces marches, en particulier ceux qui sont considérés comme les représentants de la Génération Z (ou iGeneration), de nous promettre avec détermination que quelque chose sera fait ! Quand il ne crachait pas des injures ou lançait des accusations de meurtre, David Hogg, survivant de la fusillade de Parkland, est même allé jusqu'à promettre que "Nous venons pour vous", sans jamais définir qui est ''nous'', qui est menacé à travers ce ''vous'' et ce que précisément "nous" a l'intention de faire lorsque ''nous'' se présentera à "votre" porte.

     

    De plus, ces rassemblements sont marqués par le genre de polarisation de groupe qui accompagne les hauts niveaux de représentation dans l'arène politique. Les participants de ces rassemblements ont diabolisé tous ceux qu'ils considéraient comme s'opposant à leur but : Marco Rubio (ndlt : sénateur appartenant au Parti Républicain ayant marqué sa désapprobation face aux revendications de "March for Our Lives"), la NRA, mais aussi, plus curieusement sans doute, Kyle Kashuv, survivant de Parkland beaucoup plus favorable au deuxième amendement que certains de ses camarades. Aux yeux des manifestants, ne pas participer à ces marches, c’est s'opposer à leur objectif idéalisé de mettre fin à la violence armée, même si absolument personne, d'un côté comme de l'autre du spectre politique, ne s'est prononcé en faveur du contraire. Ces caractéristiques nous font fortement douter de la capacité de ce mouvement à donner lieu à une action efficace. Les manifestants sont trop préoccupés par des idéaux mal définis et abstraits, et pas assez par la production de quoi que ce soit qui ressemblerait de près ou de loin à un plan d'action concret. Il est plus probable que ce mouvement produira des plans à peine ébauchés qui ne tiendront pas compte de la réalité et qui, comme la plupart des décisions rationalisées par une représentation de niveau élevé, ne feront qu’empirer la situation.

     

    Que faire maintenant ?

     

    En essayant de s'adresser à un mouvement défini par un niveau élevé de représentation, il est tentant de "se hisser à leur niveau" (pardonnez le jeu de mots) et de répondre aux manifestants dans un style rhétorique similaire. Beaucoup ont essayé, que ce soit en accusant les survivants de Parkland  d'être  les "marionnettes" d'une entité inconnue, en faisant des discours grandiloquents incluant l'expression "molon labe" ou en faisant d'autres assertions du même niveau. Toutefois, en nous laissant guider par un important niveau de représentation, nous nous ôtons la capacité d'interpeller efficacement les activistes du contrôle des armes à feu comme ceux de ''March for Our Lives''. Les penseurs de ''haut niveau'' ne sont pas disposés à être questionnés.

     

    Pour être efficaces, nous devons agir sur le bas niveau de représentation. Nous devons expliciter que nous partageons le même objectif de mettre fin à la violence armée, mais que nous ne soutenons pas les méthodes (si jamais certaines devaient être proposées) de groupes comme ''March for Our Lives'' car elles seraient inefficaces. Nos arguments doivent être fondés et détaillés, traitant du fond du problème. Nous devons être capables d’expliquer les nombreux problèmes que pose la confiscation des armes à feu, nous devons contrer les réclamations emphatiques sur la violence armée avec des faits, et nous ne devons pas laisser passer les méprises des manifestants (non, "AR" ne signifie pas "fusil d'assaut"/''assault riffle'' et non, l'armée ne les utilise pas). Plus important encore, nous devons présenter nos propres solutions concrètes et ne pas hésiter à entrer dans les détails.

     

    Amener les défenseurs du contrôle des armes à feu à un niveau de représentation inférieur ne résoudra pas tout, surtout face à un idéalisme aussi puissant et naïf, et face au degré élevé de polarisation qui entoure ce sujet. Peu importe ce qui sera fait, il est peu probable que ''March for Our Lives'' mette fin à la violence armée ; le mouvement deviendra plus polarisé, insulaire et, en fin de compte, se muera en une simple chambre d'écho. A l’opposé, en opérant à un niveau inférieur de représentation, les militants du droit au port d'armes peuvent créer un plan d'action organisé, comprendre les dangers que le mode de pensée de leurs adversaires pose pour la prise de décision, et faire de leur mieux pour atténuer ces dangers avant que des lois encore plus inefficaces et nées de l'émotion ne deviennent une réalité désastreuse.

     

     

    • Yea 1
  4. Il y a 23 heures, NoName a dit :

     

    Sinon plus sérieusement, dans quoi une gamine de 15 ans qui veut bosser dans le graphisme en général peut aller faire un stage ?

    @Alchimi et @Romyc'est votre branche je crois

    Désolée ce n'est pas mon secteur mais j'imagine qu'elle peut aussi aller faire un tour vers tout ce qui est graphisme Web mais c'est peut-être un métier un peu différent. Sinon, c'est une fonction support dans pas mal d'entreprises qui ont un département communication conséquent (principalement Web aussi).

  5. il y a 25 minutes, ttoinou a dit :

    Tiens d'ailleurs quelqu'un a parle de digital nomad (ce que je fais en ce moment).

    Tu peux nous parler un peu de ce style de vie (si ce n'est pas trop personnel)? :-) J'ai l'impression que le terme est un peu fourre-tout et ceux qui en font la promo sont tous des blogueurs professionnels. Comment ça s'applique à une activité plus «classique»? 

  6. il y a 21 minutes, Mathieu_D a dit :

     

     

    Et pour les vieux qui ne voient pas le rapport, vous pouvez contextualiser s'il vous plaît  ? 

    Avant qu'Internet vienne nous faciliter la vie, Allociné était un service d'information téléphonique permettant de connaître les titres et les horaires des films qui passaient dans ton cinéma (tapez 1 pour Titanic, tapez 2 pour la Momie). On pouvait réserver aussi il me semble. Mes parents et moi l'utilisions beaucoup à la fin des année 90. A part le journal, il n'y avait pas d'alternative pour connaître la programmation sans se déplacer mais je parle d'un monde que les moins de 20 ans ne connaissent pas :-) La stagiaire en question ne comprenait pas d'où venait le «allo» et je me suis fait un devoir d'éclairer sa lanterne. 

  7. il y a 9 minutes, Citronne a dit :

     

    C'est exactement ce que j'ai dit.

    Chercher une femme sur des critères de gestion en bon père de famille, d'ambition et de gain financier ne sont pas des critères d'importance chez les hommes. Du coup après ils viennent chouiner que les nanas ça coute cher et qu'elles dépensent un fric fou.

    Pourtant, je ne retrouve plus les chiffres, les femmes gèrent souvent le budget familial. C'est sans doute une manière de rééquilibrer le rapport de force mais je suis un peu perplexe devant ces couples où Madame gère les finances au cordeau, donne de «l'argent de poche» à Monsieur qui n'a pas son mot à dire alors qu'il contribue majoritairement au budget. Certainement qu'ils cherchaient dans leur compagne une maman sévère pour les canaliser. J'ai plus souvent vu ça que des couples où la femme est un panier percé aux frais de Monsieur. 

    • Yea 1
  8. Plus que d'un choix de vie ou d'une stratégie, vouloir toujours plus épargner tient davantage de la personnalité. 
    J'ai toujours tendance à vouloir réduire mes coûts fixes parce que je trouve qu'il y a une forme de jouissance et de liberté à vivre en dessous de ses moyens. 
    J'ai l'impression de ne pas être victime des circonstances et de tenir la barre. Si je veux, je peux quitter mon travail et voir venir plusieurs mois. Si je veux, je peux prendre une année sabbatique. Je ne suis pas obligée d'accepter un boulot qui ne m'intéresse pas pour payer un prêt à la consommation ou un loyer trop onéreux. Etc. 

    Pour ce qui est de toute cette tendance au minimalisme comme style de vie, il y a beaucoup d'esbroufe et de marketing mais ça a au moins le mérite de nous faire un peu réfléchir sur nos envies et nos besoins propres. On en connait tous des gens qui cravachent pour alimenter un mode de vie leur apportant peu de satisfaction et qui s'estiment pas assez bien payés vu qu'il ne leur reste plus rien pour financer leurs rêves mouillés.

    • Yea 2
    • Ancap 2
  9. Le 25/03/2018 à 22:20, Neuron a dit :

    Oui. Mais être pisté n’est pas simple à gérer pour une arnaque. Surtout à 80€ par mois. 

    Quelqu'un n'utilisant pas beaucoup sa voiture pourrait avoir une envie pressante de se retrouver dans le trafic aux heures de pointe durant la phase d'identification puis retrouverait son activité normale d'éco-citoyen et serait récompensé pour cela. 

  10. C'est quand même plutôt cool, puis autant vérifier par soi-même :dents:

     

    Un Américain décolle à 570 m en fusée pour prouver que la Terre est plate

     

    « J’étais fatigué d’entendre des gens dire que j’étais un dégonflé et que je n’avais même pas construit de fusée. J’en avais marre. Maintenant, je l’ai fait. » Mike Hughes, un Américain de 61 ans, a réussi son incroyable défi : s’envoler à 570 m d’altitude dans une fusée fabriquée dans son garage. Un vol qui ne lui a pas permis de prouver que la Terre était plate, son objectif principal.

    Cet ancien chauffeur de limousine a décollé samedi après-midi dans le désert de Mojave, en Californie. Selon l’un de ses assistants, l’engin a atteint la vitesse de 563 km/h.

  11. Transport : la métropole de Lille va tester le péage inversé

    Le principe est de rétribuer l'automobiliste à hauteur de 2 euros pour chaque trajet évité aux heures de pointe. Dans un premier temps, des caméras vont être installées le long des cinq axes les plus fréquentés de la métropole. Elles permettront d'identifier les automobilistes à partir de leur plaque d'immatriculation. Ceux qui les empruntent le plus souvent seront contactés. Équipés d'un GPS, les volontaires qui accepteront de laisser leur voiture au garage ou de modifier leurs horaires de déplacement seront indemnisés durant un an dans la limite de 80 euros par mois.

     

    Il y a moyen de monter une petite arnaque et d'encaisser régulièrement son petit susucre d'éco-citoyen.

  12. Dans la série l'Urssaf contre le reste de l'humanité:

     

    Emmaüs donne un petit pécule à ses compagnons, l’Urssaf lui réclame plus de 80.000 euros

     

    Citation

    Pourquoi ce refus ? “Nous versons un pécule aux plus démunis, mais ce n’est pas de l’insertion professionnelle. C’est de l’insertion sociale. Les gens participent à nos activités s’ils le veulent. Ce ne sont pas des salariés”, se justifie un membre de la communauté cambrésienne, interviewé par La Voix du Nord. Surtout, ce que ne dit pas ce membre de l’association, c’est que ne pas choisir le statut d’OACAS permet d’éviter l’obligation de cotiser à l’Urssaf à hauteur de 40% du Smic. Et c’est sur ce principe, non-appliqué, que l’organisme a donc calculé le montant de la cotisation réclamée.

     

    A priori, l'Urssaf est dans son bon droit mais c'est tellement inepte et symptomatique. 

    • Yea 1
  13. J'ai l'impression que vous extrapolez un peu avec la réalité virtuelle et l'intelligence artificielle. Ça s'inscrit dans une tendance où le célibat est de moins en moins coûteux d'un point de vue économique, social et ludique ( valable aussi pour les femmes). Est-ce que la «prostitution» virtuelle aura vraiment un plus grand impact civilisationnel que l'arrivée de la grande majorité des femmes sur le marché du sexe pré-marital? Puis lancer le programme rousse bonnet F, ça ne flattera jamais l'ego, ni ne satisfera l'envie de faire d'une personne de qualité sa compagne.

    • Yea 5
  14. Il y a 10 heures, Bézoukhov a dit :

    Et pour le reste, ça doit faire 20 ans que le cinéma américain est mort.

    Pourquoi 20 ans? C'est Titanic le dernier grand film américain? :icon_ange:

     

    Pour ce qu'il y ait des blockbusters actuels, on est face à l'application massive de la recette «univers étendu» et franchise qui change la donne: plannification sur une décennie, cadence rapide, des films au scénario léger qui marcheront parce que faisant partie d'une plus grande histoire, la franchise qui a peut-être plus de pouvoir que ne l'ont les stars, etc. 

    Ça ne laisse pas beaucoup de place pour des films conçus différemment. 

  15. Assez déçue par Ghostland. Je ne comprends pas que les critiques soient aussi élogieuses si ce n'est peut-être une tendance à vouloir réhabiliter le cinéma de genre.

    Pour moi, le film n'est pas assez bien écrit pour qu'on croie aux dispositifs mis en place et la grande réflexion sur le pouvoir de l'imaginaire et de la créativité tombe à plat et manque de cohérence.

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