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Messages postés par Vilfredo
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On n'a rien à gagner à confondre interprétation de textes juridiques et interprétation de textes sacrés, métaphore et sens spirituel ("selon l'esprit") (surtout quand ce qu'on dit ne s'applique même pas dans le cas de la théorie littéraire de la métaphore), pour ressortir des âneries du niveau de Hitchens.
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C’est très bien Scott, il devrait retourner parler de l’uniforme et des noeuds papillon au lieu de dire des âneries
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Le problème c’est pas les arabes c’est la pensee
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Ça commence à se voir que même une chèvre recevrait la visite et le soutien d’un vieux RINO type McCain si elle se présentait contre Trump aux primaires.
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C'est vraiment trop intéressant mais du coup la prochaine fois tu pourrais ajouter un descriptif? Afin que vraiment, vraiment personne ne se trouve dans une situation où la probabilité serait forte qu'ils ratent à quel point très intéressant c'est
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Lol toute la campagne de ce mec ressemble à un film avec Peter Sellers.
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Musk, Shapiro, Sarkozy et Valls à Auschwitz pour parler (peut-être pas en même temps) antisemitisme. Je ne vais même pas chercher un commentaire, c’est dans le Jerusalem Post
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En hommage au camarade Staline, je propose qu’on s’accorde tous, en tant que libéraux, pour parler de déviationnisme réactionnaire.
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Ah ça, Zemmour qui parle des codes culturels des millenials, c’est toujours en plein dans le mille de toutes façons
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Non, c’est littéralement le premier. C’est à Husserl qu’on doit ce partage de la modernité comme rupture avec une forme de connaissance du Tout dans la Renaissance dans le positivisme des faits. Avant Koyre (qui était son élève), et qui, avec Gilson, a davantage insisté sur la continuité entre cette modernité “cartésienne” et la scolastique (Husserl connaissait évidemment ces travaux, son diagnostic n’en tient pas moins). En ce sens, comme le dit Benoist, la Krisis est un projet “renaissant”.
(En fait Husserl se réfère pour le terme “Krisis” à un débat de l’époque, mais c’est lui qui en est resté le moment marquant.)
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Quelle guigne
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Il y a 2 heures, Lancelot a dit :
Les gens qui sont obsédés par Trump et leur haine de Trump au point de ramener des punchlines anti Trump basse du front (du genre "Trump = nazi lol") dans des conversations qui n'ont rien à voir et trouver ça complètement normal.
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Et deux générations avant ils connaissaient la Shoah grâce à Hitler
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BFM lit liborg sans doute
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Moui. Mais dans ce cas il faudrait distinguer "savent ce qu'était" la Shoah (définition réelle) de "savent ce que signifie 'Shoah'" (définition nominale). Semantics.
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Le dernier point du sondage nous apprend quand même que ceux qui lisent plus de livres savent plus de trucs. Va bene.
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Ce sondage est quand même assez incohérent. Comment 63% seulement peut connaître la Shoah, mais 85% connaître (au sens de "savoir ce qu'étaient") les chambres à gaz? That doesn't even make sense.
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il y a 8 minutes, fm06 a dit :
“près d'un jeune sur sept (69%) “
Et 100% des employés de BFM qui ont lu et validé cet article ne maîtrisent pas les fractions ou les pourcentages.non, 69% c'est pour le droit de vote des femmes (qui est un événement totalement tout aussi important que la fin d'un millénaire de royauté en France). Mais oui, les journalistes ont un problème avec les fractions. Un meilleur exemple, à propos de la Shoah:
CitationSi plus d'un jeune sur six (63%) affirme savoir de quoi il s'agit
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Il y a 4 heures, Pelerin Dumont a dit :
C'est dans quel livre ? La note de bas de page a l'air en effet bien grinçante/assassine.
C'est dans un article, par ailleurs super intéressant, sur l'esthétique du non finito dans la littérature du XVIIIème siècle:
Rothstein, Eric. “‘Ideal Presence’ and the ‘Non Finito’ in Eighteenth-Century Aesthetics.” Eighteenth-Century Studies 9, no. 3 (1976): 307–32. https://doi.org/10.2307/2737513.
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Je ne vais pas poster ça dans images fun mais:
Des notes de bas de page after my own heart
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Watchmen a des côtés intéressants. C'est un peu le Alex Proyas raté.
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On comprend pas les bombardements dans la seconde, non. Soit il y a un “filtrage” dans la logique israélienne d’isoler le Hamas dans la première zone, sinon le résultat c’est qu’on bombarde des zones (quon a rendues) ultra denses en civils. En fait, l’argument du “bouclier humain” justifie de tuer tout le monde. Israël bombarde une mosquée? Il y avait un mec du Hamas dedans. Un hôpital? Aussi. Etc
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Ah autant pour moi. Donc la situation c’est:
— Barrez-vous de chez vous, on va bombarder ici. Allez là-bas.
— Parce que vous ne bombardez pas là-bas?
— Ah si si, aussi. Mais allez-y quand même.
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il y a 6 minutes, Bézoukhov a dit :
tu ne fais pas l’effort de trouver des citations qui appuient ce que tu dis.
Cf la citation au-dessus du lien (issue de l’article)
Ferghane Azihari, le droitard anti-libéral ?
dans Actualités
Posté
Je trouve qu'une position utile au libéralisme est de rester sceptique relativement à l'appel à un sens ou une signification qui serait fixée, ou de rester ouvert à des réécritures du vocabulaire et à des changements de sens de type "paradigm shift". Je ne dis pas que c'est ma position, je pense que poussée à l'extrême, cette attitude rend impossible la défense de quoi que ce soit politiquement (et pas que), mais dans un monde où, pour parler "politique", il est devenu indispensable d'être expert en religions comparées, et un certain nombre d'autres sciences, je continue à voir ce que cette position a, comme je disais, d'utile. Vous pouvez la considérer comme un moment dans la formation d'une opinion politique. Ceci par opposition à une autre époque
de la métaphysiqueoù la politique était décidée par la connaissance des essences, une certaine interprétation des textes sacrés, ou la consultation des oracles (et je vous vois venir avec vos "c'est toujours le cas héhé", mais non, je ne pense pas: il y a bien une scission entre le monde de la vie et le monde de la science, Husserl a raison). Au bout du tunnel, je pense bien qu'il y a une valeur à réinstituer une (nouvelle) forme d'univocité, que l'origine du langage n'est pas dans une plurivocité qui rendrait possible le décalage entre dire et vouloir-dire, fournirait l'impulsion originaire du dialogue, et qu'il faudrait apprendre à vivre avec cette impossibilité, mais ça, c'est au bout du tunnel.