melodius

Ou alors il aime les sports extrèmes.

Ouf, je suis rassuré alors.

Je te pardonne. Ca m'en coûte, mais je te pardonne.

Buon compleanno !

La ville de Paris n'a-t-elle pas un ombudsman ? C'est une manière bon marché de faire chier.

Pourquoi ce connard garde-t-il un singe s'il ne supporte pas le bruit qu'il fait ? Il y a des coups de batte de base-ball qui se perdent quelque part.

Toute la cruauté hispanique en trois mots.

Je sympathise avec ton sentiment, même s'il est irrationnel. Dans le même genre, j'ai été tout retourné par un fait divers récent : des salopards ont jeté de l'essence sur un clebs et y ont mis le feu. Et la malheureuse bête y a survécu en plus.

Voilà un genre qui n'a pas volé son nom.

J'ai lu récemment que c'était une légende (mais je ne me rappelle pas où je l'ai lu)

Bon voyage !

Pas le courage d'aller vérifier si quelqu'un l'a déjà postée :

Ca me rappelle la pochette la plus classe de Prince : Un de ses meilleurs albums d'ailleurs.

J'adore les petits bruitages ! On remarquera aussi l'ingratitude de nos amis "libre-exaministes" qui oublient de signaler que c'est l'université obscurantiste qui les a accueillis lorsque l'occupant a fermé leur bazar. "Cours clandestins au Dieweg", tu parles !

C'est tout à fait ça: d'une vulgarité effarante.

Enfin une bonne nouvelle !

Les armes à feu sont faites pour les voyous.

La MATRONK…. Hnièrk hnièrk !

As-tu retrouvé ton chat ?

Très classe. C'est la mère Poutine ?

Chuuuuuut. Ne le déçois pas.

Exact. Je n'ai donc conseillé que les deux meilleurs - même s'il y en a un où les méchants sont des révolutionnaires français ! Le petit plus que ces albums ont pour nous est qu'ils se déroulent dans des lieux très reconnaissables. Et puis il y a des trouvailles, genre la fausse plage de l'ancien mineur.

Bon, allez, blague à part, bienvenue évidemment. Petit avant-goût pour savoir à quoi t'attendre et tout ce genre de choses.

Quand j'étais gamin, ma mère m'emmenait parfois lorsqu'elle faisait "les repas sur roues" - un jour par semaine elle apportait un repas chaud de la paroisse à des personnes indigentes et incapables de se déplacer. Je me souviens d'un vieux monsieur très poli et amusant qui vivait dans une vieille dépendance de ferme (mes parents vivent en banlieue bruxelloise) avec une bonne centaine de chats. Heureusement que le type était très sympa parce que l'odeur était assez insoutenable. Et puisqu'on parle de chats, les Bruxellois romantiques amoureux des chats aimeront sans doute cette BD: L'histoire se déroule pendant la destruction du quartier devenu depuis "européen" (afin que même son nom témoigne de sa déchéance). Des mêmes, toujours dans le même quartier (mais centré autour du musée d'histoire naturelle cher à Sylvain) : Âmes non sensibles s'abstenir.