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Esperluette

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Messages postés par Esperluette

  1. blabla

    Solution libéral-compatible : monter un club où les gens se financent des ligatures par fonds privés.

    Pense à revenir sur le forum nous communiquer le succès de cette joyeuse aventure.

    A part ça, si tu es venu chercher un genre de politique publique pour organiser les naissances et la répartition des richesses, tu n'es pas sur le bon site.

  2. Et puis dire qu'a 2 ans un enfant qui n'a pas reçu de fessée se positionne dans une maladie mentale, c'est du délire complet. 2 ans c'est très jeune, a la fois pour parler de fessee et de maladie mentale de toute puissance.

    C'est surtout qu'il n'y a pas automatiquement besoin d'envoyer une beigne si les parents se sont montrés inflexibles très tôt. Il ne manque pas de punitions (rester dans la chambre, privation temporaire du joujou préféré, de télé, de dessert…). Mais elles ne servent pas à grand-chose si les parents culpabilisent au point de quasiment s'excuser devant leur gamin quand ils le punissent. Par exemple "tu es consigné dans ta chambre pendant 20 minutes" assorti de "je t'accompagne en te racontant des histoires et en te faisant des bisous".

    Ce qui m'irrite le plus : quand le mouflet chouine suite à une vexation méritée - c'est normal - et qu'un adulte (à qui on n'avait rien demandé) se radine pour consoler le pti. Hop-là que je laisse entendre que les larmes constituent un passeport magique et que je bousille le dépositaire de l'autorité. Ca m'est arrivé de temps à autres quand j'ai gardé des mioches et ça donne des envie de coups de pied.

  3. L'enfant-roi est un truc récent. Dès qu'un gosse était capable de marcher et de parler c'était plus un nourrisson. A 6 ans il commençait à aider, au moins pour les tâches ménagères. A 12 il travaillait pour de bon, aux champs pour la majorité des gens. Un autre monde qui nous serait aujourd'hui presque aussi étranger qu'une civilisation aborigène.

    Je lisais hier un article sur la démographie brésilienne. Les démographes proposent plusieurs facteurs expliquant le recul de la natalité, dont : industrialisation > afflux vers les villes > manque d'espace.

    Les femmes dépeintes dans le reportage n'ont pas l'air de chouineuses et, visiblement, elle se foutent éperduement d'obtenir la permission de l'Etat pour contrôler les naissances.

    Brazil's Girl Power

    http://ngm.nationalg…wer/gorney-text

  4. Economie entièrement privée ; mon gouvernement, avec flat tax de 6%, dépense 21% du budget dans l'industrie, 43% dans le maintien de l'ordre et 36% dans la spiritualité. Je ne sais pas d'où sortent ces chiffres. Mais ça doit s'expliquer par l'orientation du gouvernement dans mon fief : "psychotique".

  5. C'est le campus de l'UMP.

    Le Maire propose un projet inédit et fabuleux : centralisation de lois, taxes, bisous à prévoir.

    "Il faudra aller vers une intégration plus forte de la zone euro. Il faudra bâtir les institutions, les règles, les politiques qui nous permettront de faire de cette Europe à 17 un modèle de stabilité et de croissance".

    On s'en régale déjà.

  6. Le grand oubli dans ces discussions : le métier rémunéré exercé depuis chez soi.

    Pour citer un domaine que je connais un peu, les traducteurs, relecteurs et correcteurs se pourlèchent des améliorations dans les transports et communications, surtout internet bien entendu. Et pour ce que j'en ai vu, beaucoup ont choisi cette profession pour pouvoir l'exercer en libéral, dans une pièce de leur appart', au lieu de pointer dans un bureau.

    Les aspirants incluent bien entendu des messieurs.

    Sinon, concernant les activités non rémunérées, je ne pense pas avoir besoin de développer l'engagement associatif ou les recherches intellectuelles.

  7. Et j'ai eu le droit au pauvre argument pourrave "imagine la mère de 3 enfants etc etc", et là, j'ai rien trouvé à répondre outre le fait qu'elle ait prit un cas marginal.

    Je n'oublie pas les cas limites mais le mariage (en tant que contrat valable en CDI) reste une parade sûre à pas mal de tracas pour protéger les bambins. On leur établit plein de droits opposables sur chaque parent, ce qui inclut le patrimoine… et ça perdure au-delà du décès.

    Pas très capillaro-sympathisant, je sais.

  8. L'appel à la désobéissance des prêtres autrichiens

    Un vent de rébellion souffle sur l'Eglise catholique autrichienne. Un "appel à la désobéissance" a été lancé par 329 prêtres, dans lequel ils prônent le mariage des prêtres, l'ordination des femmes, le droit pour les protestants et les divorcés remariés de donner la communion ou celui des laïques à prêcher et diriger des paroisses. Cet appel à des réformes, en contradiction avec le dogme catholique, n'a pas fini de provoquer des remous au sein de l'institution. Pour le théologien Paul Zulehner, il faut que l'Eglise catholique agisse vite si elle veut éviter un schisme.

    Le cardinal archevêque de Vienne, Mgr Christoph Schönborn, a immédiatement brandi la menace de sanctions si ces "réformateurs" ne renonçaient pas dans les semaines à venir à leurs projets. "Cela ne peut pas continuer", a-t-il dit au quotidien viennois Der Standard, comparant les prêtres contestataires à des joueurs de football qui entreraient sur le terrain en refusant les règles du jeu. "Si quelqu'un décide d'entrer en dissidence, cela a évidemment des conséquences."

    Mais pas question de faire machine arrière, affirme le chef de file de la révolte, le père Helmut Schüller, qui était vicaire général de Vienne et bras droit de Mgr Schönborn de 1995 à 1999 et a dirigé en Autriche l'organisation Caritas. Sa campagne, dit-il, vise à forcer la hiérarchie catholique à accepter officiellement des changements déjà entrés dans les faits. Il affirme en effet que de nombreux prêtres ne respectent déjà plus les règles établies, souvent sans se cacher de leurs évêques.

    Les contestataires bénficient déjà du soutien populaire. D'après un sondage diffusé cette semaine par l'institut Ökonsult, 76 % des personnes interrogées soutiennent le père Schüller, actuellement curé de paroisse à Vienne et aumônier universitaire.

    Un schisme, rien que ça.

    http://www.lemonde.f…66020_3214.html">(badurl) http://www.lemonde.f…66020_3214.html (badurl)

  9. Plus sérieusement, je me demande vraiment comment ils ont pu établir qu'elle avait menti sur les viols précédents.

    Je crois (mais à vérifier) qu'ils sont allés dans son patelin d'origine poser des questions aux gens, et que là-bas il n'y avait pas lieu de croire qu'elle avait subi ce qu'elle racontait.

  10. Hygiénisme, taxes, subventions, mangez-bougez.

    La taxe soda ne fait pas le poids

    (badurl) http://www.lemonde.fr/economie/article/2011/08/26/la-taxe-soda-ne-fait-pas-le-poids_1563734_3234.html (badurl)

    Singulier pari donc que d'espérer générer 120 millions d'euros de recettes supplémentaires dans les caisses de la sécurité sociale, tout en faisant perdre des kilos aux Français. Le gouvernement veut-il mettre le pays à la diète, "qu'il aille jusqu'au bout de son idée", soutient Thérèse Libert, vice-présidente de l'Association française des diététiciens nutritionnistes (AFDN). "Quitte à taxer les aliments facteurs d'obésité, pourquoi se limiter au sodas et ne pas s'attaquer aux chips, à la charcuterie, ou à la mayonnaise ?" A moins d'inverser le raisonnement : "pour lutter efficacement contre l'obésité, mieux vaudrait réduire le prix des produits sains, les fruits, les légumes, le poisson plutôt que de taxer les produits sucrés", suggère Thérèse Libert.
  11. Je ne connaissais pas, et je pensais que c'était dans la même veine que les couches lavables, des délires écolos-bo'bios..

    C'est via des écolos que j'ai ouï de ce bidule, mais des femmes pas spécialement écolo-aware semblent apprécier l'invention aussi. :)

    Cela dit, en version encore plus radicale, il y a l'élimination (réversible) des règles. Les sportives de haut niveau sont les premières à s'y intéresser mais rien n'empêche les autres femmes de recourir à ces méthodes… sauf contre-indication médicale ou réticences psychologiques.

  12. J'ai déniché hier un dépliant estampillé bleu-blanc-rouge, intitulé "si vous avez subi ou si vous subissez des violences".

    L'idée était sûrement bonne, la vulgarisation produit un résultat aussi précis qu'une prédiction astrologique : n'importe qui est susceptible de se reconnaître avec de pareilles zones de flou.

    Et si votre mal-être était lié à des violences subies ?

    Les violences ont de graves conséquences sur votre santé, sur votre intégrité physique et psychique.

    Les maltraitances, les violences familiales, conjugales, sexuelles, psychologiques,au travail, NE SONT PAS UNE FATALITÉ, ce sont des infractions que la loi réprime et qu’une société sexiste et inégalitaire rend possibles, contre lesquelles nous pouvons toutes et tous lutter et dont on peut traiter les conséquences sur la santé.

    Les violences Elles peuvent être :

    • verbales : injures, hurlements, silences.
    • psychiques : contraintes, chantages, humiliations, dénigrements, harcèlement, manipulations, menaces.
    • physiques : atteintes à l’intégrité corporelle, blessures corporelles, violences contre ou avec des objets.
    • sexuelles : viols et agressions sexuelles, inceste, harcèlement sexuel, exploitation sexuelle, mutilations sexuelles.
    • économiques : privation de ressources. des négligences et des privations de soins.

    Uniques ou répétées, elles sont :

    • graves : atteintes à l’intégrité psychique et physique, à la dignité, au droit à vivre libre et en sécurité, punies par la loi. fréquentes : présentes dans tous les milieux socioculturels, méconnues, sous-estimées, non-identifiées, souvent déniées ou tolérées.
    • intentionnelles : les violences ont pour but de contraindre, de dégrader l’autre pour le soumettre, les agresseurs ne sont pas violents par essence ou par pulsion, ils sont seuls responsables de leurs actes, rien ne justifie les violences, les victimes n’y sont pour rien.
    • souvent commises par des proches : au sein de la famille, du couple, de l’école, du travail, d’institutions et dans des situations d’inégalités et de discriminations.
    • spécifiques, les violences faites aux femmes (au sein du couple, au travail, et toutes les violences sexuelles en général) sont des violences sexistes fondées sur la domination masculine et les inégalités de pouvoir entre les hommes et les femmes. Elles sont un marqueur du contrôle social des femmes, sexisme et inégalités peuvent et doivent être combattus.

    Les conséquences sur votre santé physique

    En plus des lésions traumatiques directes liées aux violences physiques, les conséquences du stress peuvent être :

    • très souvent une fatigue intense, des douleurs chroniques, des céphalées (maux de tête), des dorsolombalgies (mal de dos).
    • des troubles digestifs, gynécologiques et génito-urinaires, endocriniens, immunitaires, allergiques, ORL, dermatologiques.
    • des troubles cardio-vasculaires, palpitations, hypertension artérielle , atteinte coronaire, et aussi diabète, affections pulmonaires, ou neurologiques.

    Etc, etc.

    http://memoiretrauma…nformation.html">(badurl) http://memoiretrauma…nformation.html (badurl)

  13. Jolie réponse à cette comique.

    Femmes ne devenez pas des hommes comme les autres !

    Caroline de Haas nous offre, dans une tribune parue récemment dans le Monde.fr, une longue et laborieuse argumentation destinée à écraser définitivement les derniers "sursauts réactionnaires" - entendez par là l'opinion des malheureux catholiques qui n'ont pas la chance de penser comme elle. Désormais, c'est l'Eglise qu'on met à l'index, avec une rhétorique digne des plus belles caricatures de l'Inquisition. Le sous-titre de cet écrit - "Existe-t-il des pseudo-essences féminine ou masculine ?" - annonce parfaitement l'ouverture intellectuelle de la discussion qu'il propose. Quand une question contient autant sa propre réponse, on croirait lire un petit catéchisme totalitaire…

    Mais ne nous arrêtons pas à la forme, qui est plus maladroite sans doute que réellement méchante. Comme l'auteur le remarque elle-même, l'enjeu dépasse largement l'opinion des "catholiques de droite." Cette tribune est réellement intéressante pour ce qu'elle révèle d'une confusion fondamentale qui pèse largement sur ces débats de genre. Caroline de Haas veut lutter pour l'égalité de l'homme et de la femme ; combat légitime s'il en est, nécessaire, urgent même, et auquel tout être humain qui n'est pas totalement aveugle ou barbare ne peut que s'associer. Considérer que l'un des deux sexes soit supérieur à l'autre (quel qu'il soit – et combien de fois je me suis senti, en tant qu'homme, ravalé au rang d'être inférieur, primaire, violent, obsédé et dominateur, par des féministes emportées par leur sainte colère !), c'est incontestablement à la fois une erreur objective et une faute morale grave.

    Mais pourquoi faudrait-il, pour être sûr de l'établir définitivement, confondre cette égalité indéniable avec une identité plus que douteuse ? Pourquoi faudrait-il, pour assurer que la femme n'est pas inférieure à l'homme, s'évertuer à démontrer qu'elle n'est pas différente de lui ? Pourquoi fragiliser un combat aussi légitime, une démonstration aussi solide, en voulant le fonder sur un raisonnement aussi absurde ? Oui, l'homme n'est pas une femme, la femme n'est pas un homme. Alors que notre société prend conscience, enfin, de la nécessité de respecter vraiment la nature telle qu'elle est, de renoncer à la modeler selon les excès de son désir de toute-puissance, pourquoi ne pas respecter notre propre nature, telle qu'elle est, sans chercher à la nier ? On condamnerait à raison une entreprise qui, pour exploiter une nappe de pétrole, chercherait à cacher l'existence des différentes espèces qu'elle mettrait en danger ; de la même façon, poursuivre le projet politique de l'homoparentalité, par exemple, n'autorise personne à nier la réalité naturelle de la différence sexuelle. Oui, l'homme est la femme sont différents ; ne soyons pas indifférents à cette dualité essentielle de notre nature, sachons au contraire l'apprivoiser, l'aimer, comme nous apprenons à respecter et à admirer la nature telle qu'elle est.

    Egalité ne veut pas dire nécessairement identité ; pour tomber dans cette confusion élémentaire, Caroline de Haas fragilise son beau combat, et tombe souvent à côté de la plaque. Elle veut prouver que nous avons les mêmes cerveaux, également réceptifs à la culture ambiante ; personne n'en doute… Mais nous ne sommes pas que des cerveaux ! L'être humain est un corps, doté de sa part d'animalité, d'instinct, de sensibilité ; et ce corps est sexué. Cette réalité physique ne dépend pas de notre culture. Partageant une égale rationalité, comment ne pourrions-nous pas reconnaître que l'homme et la femme sont génétiquement, organiquement, charnellement différents ? Et de même que la biodiversité est reconnue comme un patrimoine à protéger, pourquoi ne pas regarder cette différence comme un trésor à protéger et à découvrir ?

    Reconnaître l'évidence biologique, et l'expérience psychologique, de la différence des sexes, n'empêche pas d'affirmer leur égalité, bien au contraire. Méfions-nous : le combat du gender pour affirmer une identité illusoire pourrait bien constituer, par une ruse de l'histoire, la victoire paradoxale de la phallocratie, et apporter une réussite encore jamais atteinte aux forces d'aliénation de la femme. Lorsque le féminisme en vient à nier l'existence de la femme, on est en droit de se demander qui y gagne dans son long et légitime combat. Lorsque Caroline de Haas exige que la femme soit considérée comme identique à l'homme, elle renonce à construire un modèle d'individualité propre, autonome, et se laisse finalement aliéner par le modèle masculin, succombant à l'ancestrale prédominance qu'elle dénonce. La liberté de la femme ne consiste pas à ne pas pouvoir être elle-même !

    Le féminisme du gender partage le projet du machisme le plus inégalitaire : fermer toute possibilité de dialogue. Je n'ai rien à échanger avec celui qui m'est identique, comme avec mon inférieur. Dans l'un et l'autre cas, rien à apprendre, rien à recevoir – rien à donner non plus. Mais de l'être qui est mon égal sans être identique à moi-même, de celui-là seulement, je désire la relation, car elle est la promesse d'une découverte et d'un enrichissement mutuel. Femmes, vous nous fascinez pour ce que vous êtes ; notre différence est le difficile trésor qu'il nous appartient d'apprivoiser ensemble. Pour y parvenir, reconnaître et vivre notre égalité est une nécessité concrète ; mais proclamer notre identité serait notre commun échec. Femmes, ne vous laissez pas aliéner, ne devenez pas des hommes comme les autres !

    Le monde.

  14. Je me suis inscrit sur un pseudo-site de beaux et belles gosses, ce que je retiens, c'est que dans les statuts des femmes on lit beaucoup "ben alors les mecs, vous êtes muets?". En clair, les femmes sur ce site semblent se plaindre d'un manque, du côté des mecs, de prise de risque.

    Comme quoi, la dame qui pond cet article déborde d'imagination. Les dames recherchant un monsieur s'affichent sans complexe, tandis que des messieurs restent soit sélectifs soit timides. Et il ne s'agit pas seulement de ce site, bien entendu.

    Sinon ce n'est pas très neuf que les femmes, d'habitude, préfèrent les détours pour signifier leur attirance. Une fois terminée l'adolescence avec ses acharnements bizarres, les filles fûtées ne restent pas des lustres à gamberger : si le type en face ne calcule pas leurs manigances, soit il n'est pas assez malin pour repérer la manoeuvre, soit ses pensées sont déjà occupées ailleurs. Au suivant (plus dégourdi ou plus dispo).

  15. Les principes essentiels à retenir : langue des natifs (ça se comprend) + laïcité et égalité des sexes.

    Je présume que les programmes d'intégration pour s'assimiler énoncent déjà impeccablement notre histoire, notre géographie, nos institutions politiques, nos auteurs, nos artistes et nos guerriers depuis Néandertal.

    Claude Guéant, qui se fixe l'objectif de réduire de 20 000, en un an, le nombre d'immigrants légaux, exige que les étrangers voulant s'installer en France aient une "maîtrise de la langue française" comparable à celle "d'un élève en fin de scolarité obligatoire". En France, l'enseignement est obligatoire jusqu'à l'âge de 16 ans, ce qui correspond généralement à la fin du collège ou à dix années de scolarité. "Je viens de signer une circulaire destinée aux préfets pour les guider dans l'instruction des demandes", annonce-t-il, en soulignant que "les conditions de l'assimilation – c'est le mot utilisé par le Code civil – doivent être étroitement vérifiées. (…) Un étranger qui souhaite s'installer durablement en France doit épouser notre communauté de destin et donc en accepter les principes les plus élémentaires, comme l'égalité hommes-femmes et la laïcité".

    Le Monde

  16. Si j'étais une femme, je serais révulsée, dégoûtée par un tel personnage.

    Je ne sais pas ce qu'il en est de sa dame, mais je pense que tu sous-estimes le pouvoir hautement aphrodisiaque du pouvoir, du pognon et de la notoriété (et de la conjugaison des trois) sur pas mal de femmes.

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