Nick de Cusa

Les deux sont liés. Quand il y aura un parti sérieux, les libéraux qui se regroupent régulièrement envisageront d'y participer. Tu sais ce qu'il te reste à faire. J'adore le "les adhérents insistent pour que je reste alors que je ne veux pas". C'est la tactique utilisée par les tyrans style Omar Bongo pour se rajouter un mandat supplémentaire chaque fois que le mandat en cours touche à sa fin.

Je suis très inquiet de ce qui ressemble fort à une tentative en douceur d'Edouard Fillias pour se poser en successeur naturel à lui même. J'espère que ce subtil glissement est clairement perçu par tous et qu'il n'influencera personne à l'heure du libre choix à l'automne. Non, Edouard Fillias, vous n'êtes pas le rassembleur des libéraux que quelque épiphanie vous a soudainement fait devenir pas plus tard qu'avant hier.

Tu simplifies. On peut claquer la porte, bouder, se faire rappeler par des foules hystériques, faire une pseudo réapparition momentanée, revenir pour de bon. Les possibilités sont infinies.

Bienvenue MannFred et Katallesein. C'est vrai qu'il y a un concours annuel du plus péteux-cassant, il suffit de ne pas le prendre pour soi, quand on se fait claquer la teuté, c'est juste un champion qui cherche à faire la pole position. Ne rêvez même pas de participer au concours, il faut des années de pratique avant d'avoir une chance aux qualifs. Le trophée c'est le Pet De Cristal.

Bah, j'ai la voiture la moins puissante du marché mais aussi une des plus étroites et la plus courte. En ville, d'un point A à un point B, je grille tout et tout le monde, parking compris. Personne de va plus vite. J'estime économiser 10 mn chaque fois que je sors. A Paris, ça serait 15-20 mn. Sur une année, ça fait des heures et des heures pas passées à se faire chier dans la bagnole. Donc, pour un citadin, j'ai la seule vraie voiture de luxe, parceque le luxe c'est de ne pas jeter son temps par la fenêtre.

Un brave ose l'ouvrir: Freedom, not climate, is at risk By Vaclav Klaus Published: June 13 2007 17:44 | Last updated: June 13 2007 17:44 We are living in strange times. One exceptionally warm winter is enough – irrespective of the fact that in the course of the 20th century the global temperature increased only by 0.6 per cent – for the environmentalists and their followers to suggest radical measures to do something about the weather, and to do it right now. Ask President Klaus Is climate change just propaganda? Vaclav Klaus will answer your questions in an online Q&A. Post a query now In the past year, Al Gore’s so-called “documentary” film was shown in cinemas worldwide, Britain’s – more or less Tony Blair’s – Stern report was published, the fourth report of the United Nations’ Intergovernmental Panel on Climate Change was put together and the Group of Eight summit announced ambitions to do something about the weather. Rational and freedom-loving people have to respond. The dictates of political correctness are strict and only one permitted truth, not for the first time in human history, is imposed on us. Everything else is denounced. The author Michael Crichton stated it clearly: “the greatest challenge facing mankind is the challenge of distinguishing reality from fantasy, truth from propaganda”. I feel the same way, because global warming hysteria has become a prime example of the truth versus propaganda problem. It requires courage to oppose the “established” truth, although a lot of people – including top-class scientists – see the issue of climate change entirely differently. They protest against the arrogance of those who advocate the global warming hypothesis and relate it to human activities. As someone who lived under communism for most of his life, I feel obliged to say that I see the biggest threat to freedom, democracy, the market economy and prosperity now in ambitious environmentalism, not in communism. This ideology wants to replace the free and spontaneous evolution of mankind by a sort of central (now global) planning. The environmentalists ask for immediate political action because they do not believe in the long-term positive impact of economic growth and ignore both the technological progress that future generations will undoubtedly enjoy, and the proven fact that the higher the wealth of society, the higher is the quality of the environment. They are Malthusian pessimists. The scientists should help us and take into consideration the political effects of their scientific opinions. They have an obligation to declare their political and value assumptions and how much they have affected their selection and interpretation of scientific evidence. Does it make any sense to speak about warming of the Earth when we see it in the context of the evolution of our planet over hundreds of millions of years? Every child is taught at school about temperature variations, about the ice ages, about the much warmer climate in the Middle Ages. All of us have noticed that even during our life-time temperature changes occur (in both directions). Due to advances in technology, increases in disposable wealth, the rationality of institutions and the ability of countries to organise themselves, the adaptability of human society has been radically increased. It will continue to increase and will solve any potential consequences of mild climate changes. I agree with Professor Richard Lindzen from the Massachusetts Institute of Technology, who said: “future generations will wonder in bemused amazement that the early 21st century’s developed world went into hysterical panic over a globally averaged temperature increase of a few tenths of a degree, and, on the basis of gross exaggerations of highly uncertain computer projections combined into implausible chains of inference, proceeded to contemplate a roll-back of the industrial age”. The issue of global warming is more about social than natural sciences and more about man and his freedom than about tenths of a degree Celsius changes in average global temperature. As a witness to today’s worldwide debate on climate change, I suggest the following: ■Small climate changes do not demand far-reaching restrictive measures ■Any suppression of freedom and democracy should be avoided ■Instead of organising people from above, let us allow everyone to live as he wants ■Let us resist the politicisation of science and oppose the term “scientific consensus”, which is always achieved only by a loud minority, never by a silent majority ■Instead of speaking about “the environment”, let us be attentive to it in our personal behaviour ■Let us be humble but confident in the spontaneous evolution of human society. Let us trust its rationality and not try to slow it down or divert it in any direction ■Let us not scare ourselves with catastrophic forecasts, or use them to defend and promote irrational interventions in human lives. The writer is President of the Czech Republic http://www.ft.com/cms/s/9deb730a-19ca-11dc…0b5df10621.html

Justement, moi je roule en coupé de sport allemand 2 places avec un demi "flat six" en position centrale arrière. Vous suivez? Sinon, 107 = Aygo. Je vous fais quand même un petite recommandation: googlez Caparo T1. Jamais une voiture de route ne s'approchera plus d'une F1. La fonction dicte la forme et c'est ça la beauté du design. +1 et je ne te dis pas quand on est deux.

Y a pas de raison, tu pourrais avoir 4 cylindres à 2 soupapes et 2 à 4 soupapes. T'aimes pas les merdeSS? Question pour les champions: que signifie l'étoile à trois branches? Si vous ne savez pas, pas de problème: ça peut se deviner. Essayez.

Tu veux dire à quatre soupapes par cylindre.

Ça se surmonte. Bienvenue, fourmi une.

Infime, infime. Comme si les Français étaient résistibles. Bienvenue, Dame Dieu z'y va. (ouais, tout le monde n'a pas le niveau de calembour de RH).

Enfin! Dieu existe. (bon, le h vient avant le l, mais je te bénis -sauf si tu votes maingain, mais je ne comprends rien à vos élections) Je crois que c'est la pire insulte qu'on a collé au maillot du PSG -enfin dans un contexte footballistique, comprends moi bien- qui pourtant en reçois quotidiennement pléthore.

Je dirais même plus! Il y a même des Français Bruxellois. Bienvenue Nozik. Minarchiste, narco capitaliste: on s'en fout. D'ici à ce qu'on arrive à un stade ou il faudra passer de l'un a l'autre, plus aucun d'entre nous ne sera de ce monde.

Non, c'est vrai, l'intimidation et la menace sont bien le meilleur mode d'interaction avec tous les inconnus qui ne nous ont rien fait dans la rue, finalement.

307 CC: elle a le profil quasimodo de tous les coupés carbrios avec toits en deux pièces (moins cher à fabriquer). Pour voir coment on peut faire quand on a un peu plus de respect du client, voir l'Astra CC ou la Volvo avec toit en trois parties. VW s'est senti obligé d'en rajouter avec la EOS avec un toît en cinq pièces. TT: la première génération restera un grand moment de l'histoire du style auto, mais techniquement c'est une golf. La nouvelle est un peu rentrée dans le rang en terme de style, mais son chassis est original (avec tout de même des pièces de Golf) en particulier avec beaucoup d'aluminium. Résultat concret: elle pèse 300 kg (300!) de moins que sa concurrente directe de chez Alfa, la spider. Il parait qu'elle se conduit comme une vraie voiture de sport. A6: j'aime beaucoup cette génération avec un style sans ornement. Cette mode est malheureusement passée par la faute des excès porcins de M. Bangle chez BMW, qui a mis la laideur à la mode (les gens cherchant désormais la menace et l'intimidation comme principale qualité esthétique dans une automobile). A5: la photo que tu montres est celle d'un concept car, pas de la nouvelle A5. 504 coupé: voilà le style. Sublime et pas vulgaire. Elle ne crie pas regardez moi et pourtant on ne peut plus détourner le regard. Digne héritière en celà de la 404 coupé. Amha, la 406 coupé reprenait aussi bien ces qualités, et dans 30 ans on la regardera avec une pointe d'amiration nostalgique. La 407 coupé, par contre est le contraire exact: vulgaire, méchante, obèse, criarde. L'assassinat d'une des plus belles lignées de l'histoire. Le coupable est le centre de style maison alors que les trois précédentes étaient de la maison Pininfarinna qui connait le secret de l'élégance. Bah oui. Pourquoi acheter +? Tu réalises que c'est la même voiture que la C1 et la 107, produite sur la même ligne en Tchéquie, j'imagine? Toyota propose beaucoup plus de garantie, 5 ans je crois, mais je suppose que le prix doit le refléter. Si ce modèle t'intéresse, va voir un (ou plus) concessionnaire Toyota, un Citroën et un Peugeot et laisse les s'entretuer.

? Tu ne mélanges pas les Saint Quentin par hasard?

Moi je ne peux pas vraiment de dire puisque, de Picardie, il a pour ainsi dire disparu. De Saint Quentin en tout cas, même si ma maman a eu la surprise d'en entendre sur un marché il y a 2/3 ans de celà.

Juge-t-on qu'il ya intercompréhension si quequ'un me prle en Picard courant. Je dirais plutôt non quand même. En tout cas, à Saint Quentin, on parle toujours de patois, on dit de quelqu'un qu'il patoise, et ça n'est pas une marque de respect.

Prenons l'exemple du Picard. C'est dénigré comme un vulgaire patois, mais l'est-ce?

Je te dois un vin de palme.

Déconne! Je tombe des nues. Je voyais les pygmées comme des indigène et les Bantous comme arrivés plus récemment (mais le Cameroun ne doit pas être loin d'où ils sont "partis", si)? Et les Fangs? Eux ils ne sont pas Bantous et ne parlent pas de langue Bantou, si? (Va-s-y, lâche le morceau, cette fois j'ai mis mon parachute).

Je te suis très reconnaissant de m'avoir mis les idées en place.

Je dérive un peu avec un question qui me tracasse et à laquelle tu auras j'espère, la bonté de répondre: Dans les pays comme le Nigéria ou le Cameroun, dont on dit qu'on y parle 200 langues, quel est le dergé de différenciations réelles entre les langues? Y en a-t-il beaucoup qui sont très proches les unes des autres, comme l'exemple que j'ai sous les yeux ici: les différentes versions du Néerlandais qu'on parle en Belgique? S'agit-il de variations au sein des familles Niger Congo et Hausa Fulani? Et si par exemple on parle deux langues Niger Congo à 20 km d'intervalle, leurs locuteurs respectifs ne peuvent-ils en fait se comprendre? Pour les peuples de la forêt, comme les pygmées au Cameroun, là j'imagine qu'ils parlent des langues très différentes (qui n'ont rien à voir, quoi) avec les Bantous alentours. Ma question a une pertinence plus universelle: on lit qu'il y a 6000 langues humaines (et qu'il en disparaît tous les jours) mais à partir de quel degré d'incompréhension mutuelle accepte-t-on le fait qu'on a à faire à deux langues diférentes. Je sais que c'est basique comme question, mais si tu as la patience…

C'est bien la peine d'avoir une maman grammairienne. Ceci dit, je ne saisis pas la logique de ce subjonctif là et ça m'agace.

Jusqu'ici c'est très bien (y-aura-t-il des pédants pour dire que bien que est suivi d'un indicatif? Moi je flotte sur ce genre de question). Remarquable pour quelqu'un de ta profession, que j'admire par ailleurs. Bienvenue.