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Responsabilité Des Chirurgiens Et Médecins


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1) Bush a passé une loi qui interdit toute poursuite pour des erreurs médicales.

Le chirurgien fait une bourde, tu te retrouve handicappé pour le reste de tes jours incapable de travailler… ben …, c'est ton problème, il n'est pas responssable. :icon_up::doigt::warez:

la loi a été signée par Bush la semaine passée… Ca a aussi été discuté dans le 3e débat présidentiel entre Bush et Kerry. il en parle ici :

http://www.whitehouse.gov/news/releases/20…0041007-12.html

2) Sur un forum où on parle des soins médicaux, j'ai entrentenu une discussion fort interressante avec un gars qui me faisait remarquer qu'en europe un malade est un dépense, alors qu'au usa, un malade est un client. Et personellement je préfère passé pour un client que pour une dépense !!!

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1) La responsabilité doit être définie AVANT l'opération par contrat, point. Le patient doit être conscient des risques, s'il y a une chance sur deux que ça rate, les médecins ne voudront jamais opérer sans avoir de garanties par exemple. Se mettre d'accord sur les responsabilités permet aussi d'avoir confiance et d'être sûr de ne pas tomber sur un medecien merdique (et c'est arrivé à des gens a qui ça a pourri toute leur vie, simplement par à cause de medecins qui n'avaient pas les compétences et n'ont pas pris leur responsabilités).

2) Oui, tout à fait :icon_up:.

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C'est à dire que toute personne est responsable de ses actes sauf si elle s'exonère de sa responsabilité. Ces exonérations doivent être portées à la connaissance du cocontractant et acceptées par lui.

La responsabilité est le principe, l'exonération est l'exception.

Voir même pouvoir proposer une assurance complémentaire au client, si l'enssemble reste compréenssible à qui n'est pas homme de l'art.

Mais là on ne résoud pas le probléme du client incapable signer (urgences, laisions graves..).

Il me semble que ça devrait être dans ce cas obligatoirement l'assurance professionnelle du medecin.

Celà dit je ne connait pas ce texte mais il fait surrement une différences entre obligations de moyens et de résultats ça m'étonnerais que l'on passe d'un extreme à l'autre aux d'un coup.

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Celà dit je ne connait pas ce texte mais il fait surrement une différences entre obligations de moyens et de résultats ça m'étonnerais que l'on passe d'un extreme à l'autre aux d'un coup.

C'est ce que j'ai pensé aussi….

Je ne pense pas qu'un président des USA ( même GW!) ait un tel pouvoir en ce domaine.

Ce texte ( que je n'ai pas lu) doit simplement introduire la notion de "l'aléa thérapeutique", comme on l'a fait en France.

Si l'aléa est clairement exposé au patient ou à ses proches, une plainte éventuelle ne sera pas recevable. Dans le cas contraitre, même s'il n'ya pas faute, les poursuites sont possible.

Un exemple: avant une artériographie des coronaires, le cardiologue doit expliquer les risques encourus, certains font ( ou devraient) signer une "décharge" (!)précisant que ces risques ont été clairement expliqués. S'il ne le fait pas et qu'il se produit une complication ( infarctus ou hémiplégie par exemple, imprévisibles et liés en général à la gravité insoupçonnée jusque là de l'état du patient)il encourt une plainte.

Une "erreur médicale" c'est tout à fait autre chose, il y a notion de faute et cà reste évidemment condamnable.

Soit au "civil" ( et c'est l'assurance du praticien qui indemnise la victime)soit au "pénal" et là cà peut chauffer pour le praticien ( peine de prison en plus)

Là cà dépendra surtout de la personnalité du plaignant et du praticient poursuivi.

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