Legion Posté 22 avril 2007 Signaler Share Posté 22 avril 2007 Tu éviteras toute orthographie superflue et ne mettras aucunes lettres en tels mots si tu ne les prononces en les lisant; au moins tu en useras le plus sobrement que tu pourras, en attendant meilleure réformation : tu é(s)criras écrire et non escripre, cieus et non cieulx. De qui peuvent bien donc être ces lignes hérétiques ? Lien vers le commentaire
Fredo Posté 22 avril 2007 Signaler Share Posté 22 avril 2007 Montaigne ? Ah non : "Quand vous serez bien vieille…" Lien vers le commentaire
Mike Posté 22 avril 2007 Signaler Share Posté 22 avril 2007 Rabelais? Ronsard? Du Bellay? EDIT: Finalement je vote Stendhal (définitif). Je me souviens qu'il a dit "L'orthographe ne fait pas le génie". Ca colle bien avec le personnage même si le français employé dans la phrase a l'air plus ancien. Alors j'ai bon? Lien vers le commentaire
Ronnie Hayek Posté 22 avril 2007 Signaler Share Posté 22 avril 2007 Rabelais?Ronsard? Du Bellay? Ronsard. Lien vers le commentaire
Legion Posté 22 avril 2007 Auteur Signaler Share Posté 22 avril 2007 C'est effectivement Ronsard. Lien vers le commentaire
Dardanus Posté 22 avril 2007 Signaler Share Posté 22 avril 2007 les s se prononcent en les lisant ? Lien vers le commentaire
Legion Posté 22 avril 2007 Auteur Signaler Share Posté 22 avril 2007 les s se prononcent en les lisant ? Difficile à dire. Le Français du 16ème siècle ne suit pas les mêmes règles de liaison que l'actuel, et quant à l'intérieur des mots, leurs listes de "s" prononcés ou muets ne coïncident pas avec les notres, on peut avoir prononcé au 16ème siècle un "s" aujourd'hui muet, mais l'inverse est vrai aussi. Sans parler des hésitations de la langue. Lien vers le commentaire
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