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À votre santé


José

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Work Out and Drink Up

If you want to live a long and healthy life, you're probably trying to eat right, exercise regularly and get enough sleep. Good steps. Now how about adding a little alcohol to your regimen?

That's right. It is well documented that tossing a few drinks back in a week (and that means a few: up to one a day for women, up to two for men) has potential heart benefits. But researchers in Denmark decided to look further. Could drinking alcohol have a benefit similar to that of exercise?

"If you don't want to exercise too much," asks Dr. Morten Gronbaek, epidemiologist with Denmark's National Institute of Public Health, "can you trade it for one to two drinks per day and be fine?" A study Gronbaek and colleagues just published in the European Heart Journal suggests the answer just may be yes. That finding, not surprisingly, has proved to be a crowd-pleaser.

There are a number of reasons a drink can be such a tonic. First, alcohol and exercise affect your heart health in similar ways. "They help increase good cholesterol, or HDL [high-density lipoproteins], and clean the circulatory system's pipes," says Dr. Arthur Klatsky, a cardiologist and researcher at Kaiser Permanente Northern California. "HDL helps remove fatty deposits, created by bad cholesterol, or LDL [low-density lipoproteins], from blood-vessel walls. The higher the HDL, the less likely vascular disease becomes. The lower the HDL, the more likely."

Gronbaek and his team surveyed 12,000 people over a 20-year period. They found that exercise and drinking alcohol each had an independent beneficial effect on the heart and a compounded effect when practiced together. The investigators got even greater insight when they separated the study participants into four categories.

People who don't drink at all and don't exercise had the highest risk of heart disease. People who drink moderately and exercise had a 50% lower risk. Teetotaling exercisers had a 30% decreased risk, as did moderately drinking couch potatoes. "There's an additional protective effect to doing both," says Gronbaek. "That's the new finding."

This study is part of a growing body of work that makes a medical virtue out of what was once seen as a vice. There is evidence that alcohol in combination with caffeine can limit the damage to your brain after a stroke, even though it may not lower your risk of having a stroke in the first place. Other possible benefits include lowering your risk of diabetes, improving insulin sensitivity in postmenopausal women and decreasing dementia rates in older adults who had been consuming one to six drinks per week.

Before you rush off to hit the bar after your workout, keep in mind that your age matters. Alcohol may do you no coronary good until you reach the age at which heart disease becomes an appreciable risk. "You wouldn't advise everyone to drink," says Gronbaek. "You shouldn't even think about doing it until age 45 or 50. There's absolutely no proof of a preventative and protective effect before age 45." Also, younger women who have a higher risk of breast cancer and anyone who has a family history of alcoholism should pass on the pint and order a soda.

And remember, moderation is everything. Gronbaek's study, like most, stuck to the one-drink-a-day standard for women and up to two a day for men. It did not distinguish between type (wine vs. beer) or size (pint vs. shot). But here common sense must rule. A 10-oz. martini is a lot more than a 6-oz. serving of wine, even if they each fit in one glass. And it goes without saying that you should never drink your weekly allotment all at once.

http://www.time.com/time/magazine/article/…00.html?cnn=yes

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On trouve toujours midi à sa porte, même en médecine :

http://www.lefigaro.fr/sante/2008/01/30/01…de-dix-ans-.php

Les personnes pratiquant régulièrement une activité physique soutenue présenteraient un moindre vieillissement.

De multiples études le démontrent : l'activité physique régulière plusieurs fois par semaine et de manière soutenue est capable de prévenir le diabète, l'obésité,les maladies cardio-vasculaires, l'ostéoporose. Une nouvelle en-quête réalisée sur des jumeaux révèle que les personnes pratiquant régulièrement une activité physique notable sont, sur le plan biologique, dix ans plus jeunes que celles qui sont complètement sédentaires.

Cette enquête menée dans les règles de l'art par des scientifiques britanniques, publiée lundi dernier dans la revue Archives of Internal Medicine, devrait inciter les médecins à recommander systématiquement la pratique d'activité physique à leurs patients plutôt que de leur prescrire toujours plus de médicaments.

L'objectif de ce travail était de comparer chez des vrais et des faux jumeaux ces marqueurs du vieillissement chromosomique que sont les télomères, et de voir s'il y avait une corrélation entre ces marqueurs et la pratique d'un exercice physique. Les télomères, composés d'ADN situés aux extrémités des chromosomes, ont la particularité de raccourcir au fil des divisions cellulaires. Le jour où leur taille devient insuffisante, la cellule n'a plus la possibilité de se multiplier et meurt. On estime que la longueur des télomères se réduit en moyenne de 21 nucléotides, ou unités structurelles, tous les ans. Le rétrécissement de ces télomères est-il modulé par des facteurs de l'environnement ? Des études antérieures ont montré que la taille des télomères raccourcissait de manière accélérée chez les fumeurs et les personnes obèses.

Stress psychologique

Ces chercheurs du King's College de Londres ont étudié 2 401 jumeaux (vrais ou faux), hommes ou femmes, âgés en moyenne de 48 ans, qui, dans un premier temps, ont répondu à un questionnaire sur leur niveau d'activité physique, leur statut socio-économique et leur tabagisme.

Ils ont également, à partir d'une prise de sang, extrait l'ADN des globules blancs de chacun d'entre eux pour examiner la longueur des télomères.

Les résultats sont parfaitement clairs. Il apparaît globalement que les personnes les moins actives physiquement ont des télomères plus courts que ceux faisant régulièrement de l'exercice. Et cela, y compris chez les couples de vrais jumeaux, c'est-à-dire ceux qui ont au départ exactement le même patrimoine génétique. Plus l'activité physique est importante, moins les télomères sont raccourcis. «La différence moyenne dans la longueur des télomères leucocytaires entre les plus actifs du groupe (199 minutes d'exercice par semaine en moyenne) et les plus sédentaires (16 minutes d'activité physique hebdomadaire) est de 200 nucléotides, précise le Dr Lynn Cherkas, principal auteur de cette étude. En d'autres termes, les plus actifs ont des télomères d'une longueur comparable à des personnes sédentaires dix ans plus jeunes.» Une telle relation entre la longueur des télomères et le niveau d'activité physique reste significative après qu'aient été pris en compte l'indice de masse corporelle, le fait de fumer, le statut socio-économique et le degré d'activité au travail.

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