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Miss Liberty

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Tout ce qui a été posté par Miss Liberty

  1. Saisie de 5 tonnes d'ivoire en Afrique, apparemment de vente interdite depuis des années. Qu'ils pleurent sur les pauvres éléphants, je peux comprendre. S'ils aiment les éléphants. Mais qu'ils détruisent le stock ??? Ils sont cons ou quoi, ça doit coûter les yeux de la tête, et c'est un matériau qui fait des oeuvres d'art magnifiques (et accessoirement des trucs utiles du temps où on ne faisait pas tout en plastique) Je ne comprends pas pourquoi la disparition des éléphants serait plus grave que la disparition de l'ivoire. On ne va pas pouvoir congeler toutes les espèces de toute façon, la Terre n'est pas un musée...
  2. Ah, ça vrai qu'il faut aller faire son shopping à la Défense
  3. Je confirme ce que je te disais, le quartier chic d'Asnières à côté de la gare serait un bon compromis. En 5 min de train, elle est à Pont Cardinet (10 min à pied de son école en traversant les jolis coins du quartier Batignoles) ou à Saint Lazare pour aller dans le centre après. Si jamais ta fille est du genre vélo, elle sera à l'école en 20 min. Donc je rejoins l'avis de tous les forumeurs : il faut chercher sur la banlieue proche à l'Ouest sur les lignes qui vont à Saint Lazare, en prenant le soin de vérifier avec des gens qui s'y connaissent si c'est le bon quartier de la ville (souvent des quartiers sympas et d'autre craignos) et si les transports seront ok.
  4. Nous on a fait 9m^2 à deux, puis 13m^2 (je voulais la douche à l'intérieur). C'est petit, mais quand on peut laisser la plupart de ses affaires chez les parents pour ne pas s'encombrer et qu'on n'y reste que pour dormir et manger le soir, ça passe. C'est généralement dans le beaux quartiers, donc à proximité de tous les lieux de sortie sympas. Celui de 13m^2 on avait même un (tout petit) balcon avec vue sur les toits de Paris, c'était chouette pour y boire des bières fraîches les soirées d'été où il fait un peu chaud sous les toits. Et puis en bonus tu fais du sport avec les 8 étages d'escalier à colimaçon à monter.
  5. En fait si je comprends bien, un asperger c'est un autiste, mais en plus prétentieux. C'est Sheldon, quoi. Dites le toute suite.
  6. Sauf que je suis pour surmonter son rejet instinctif quel que soit l'origine, par parce que je sais qu'il est asperger ou chinois. Pourquoi devrais-je être plus tolérante et indulgente avec eux? Soyons indulgents avec tout le monde, prenons le temps de faire connaissance. (ce qui ne s'applique pas au système pourri des entretiens d'embauche, que les patrons intelligents pourraient remplacer par des recommandations et des embauches "à l'essai")
  7. Peut-être que ça aide certaines personnes. Pour ma part je pars du principe que chaque personne a un référentiel unique, et que je n'ai pas besoin de savoir pourquoi elle a ce référentiel pour m'y adapter...
  8. À la place de l'asperger ou du chinois je n'aimerais pas qu'on me fréquente par pitié ou tolérance forcée, mais pour mes qualités et ma compagnie. Sans avoir à m'"expliquer".Concernant les entretiens : les patrons n'embauchent pas quand ils ont un mauvais feeling. Et à moins que ton ami se ballade avec une pancarte autour du coup, a priori en 20 min c'est sur ce feeling qu'il sera refusé. Life is a bitch.
  9. +1Il faut pas tout confondre... Il est aussi inutile d'inventer des maladies que de nier celles existantes. On dirait que le jeu est de catégoriser pour pouvoir brandir ça comme une carte d'identité pour soi-même ou pour son voisin. Alors que, si c'est médical, ça devrait être intime et l'affaire de médecins.
  10. S'il est surefficient mais incapable de bosser en équipe, ça me paraît normal qu'il rate ses entretiens, tout comme quelqu'un qui se comporterait comme un connard pour d'autres raisons. Il n'est pas adapté au job, qu'il fasse autre chose. Ça ne me viendrait pas à l'idée d'embaucher l'autiste de 30 ans que je connais comme receptionniste. Pourtant lui aussi est très intelligent. Tu demandes à respecter les différences, mais pour toi ce respect consiste à considérer qu'ils peuvent faire la même chose que les autres. Tu vois la contradiction?
  11. Que son entourage sache ou non ce que c'est qu'un asperger, ils n'ont pas envie de le fréquenter. Je ne vois pas en quoi les convaincre qu'il l'est mais que ça n'est pas une pathologie changera quoi que ce soit!
  12. Donc de ton propre aveu on s'en fout de savoir s'il est asperger et si oui, de savoir si c'est une pathologie. Puisqu'il a trouvé le mode d'emploi pour ne pas être malheureux.
  13. Je ne sais pas ce que c'est qu'un asperger, par conséquent je n'en ai rien à carrer de savoir si c'est une pathologie ou pas. De toute façon je n'ai pas l'habitude de me demander pourquoi je trouve un tel ou un tel infréquentable ou génial. Si ton exemple est génial mais asocial, je vais me dire "un tel est génial, c'est dommage qu'il soit asocial" et le fréquenter uniquement pour certaines choses. À quoi ça sert de chercher plus loin? Je ne cherche pas à changer ou à guérir mes amis... Si quelqu'un ne me plaît pas, ça n'est pas un ami. C'est bien suffisant.
  14. Et moi, j'ai connu un boiteux qui ne pensait pas avoir raté sa vie malgré son incapacité à courir le 100m.
  15. À actr : donc tu ne parles pas de pathologies, si tu ne parles pas de maladies Je ne connais pas ce que tu appelles asperger. Par contre je peux te dire qu'un autiste, ou un schyzophrène, ou tout un tas de personnes citées ici, ont une condition médicale différente de la condition habituelle. Ça peut être un déséquilibre hormonal, une mutation génétique, une connection manquante, j'en sais rien, je ne suis pas médecin. Leur corps ne fonctionne pas pareil que tout un chacun. Pourquoi être aussi sensible sur le mot "malade"? Est-ce que tu ferais autant d'histoire pour la dénomination "enrhumé", "cancéreux" ou "sidaïque" ? On a juste dit qu'ils étaient malades, ça n'enlève rien à leur dignité et leur nature humaine... Et cela ne change rien à leurs autres talents. Un boiteux n'aura pas la capacité de courir le 100m. Un autiste n'aura pas celle de se fondre en société. En disant ça, je n'ai rien dit sur leur talent à la guitare électrique.
  16. Je ne réponds à personne en particulier, je vous livre mes réflexions brutes. "Pathologie : - étude des maladies, de leurs causes et leurs symptômes - ensemble des manifestations d'une maladie et des effets morbides qu'elle entraîne" Je ne sais pas de quoi vous pensez parler, mais quand on parle de pathologie on parle bien de maladie. Il existe des maladies touchant la psyché, au sens qu'elles touchent le cerveau et la façon dont il nous permet d'interagir avec le monde extérieur. Ce sont bien des maladies, avec des causes et des symptômes. Je ne sais pas si "fréquenter" certains malades peut aider à voir la différence, puisqu'on ne se situe là qu'au niveau des symptômes, et que certains se manifestent plus ou moins ouvertement selon le malade. Un pervers manipulateur saura très bien masquer ses symptômes, et je vous déconseille fortement de le fréquenter pour "voir la différence" avec votre collègue hypocrite et ambitieuse. Mais il y a bien une différence, et elle n'est pas effacée par les points communs avec les individus sains. Si je parle d'autiste, je parle de quelqu'un qui a un dysfonctionnement du dialogue entre hémisphère droit et gauche, pas d'un enfant timide ou de quelqu'un qui a développé des comportements asociaux. Deux couples d'amis différents ont chacun un enfant autiste. L'un a 7 ans, l'autre 30. Ils ont en commun leur pathologie. Ils ont en commun avec d'autres, non autistes, une très grande intelligence. Le plus jeune a en commun avec d'autres enfants non autistes un don pour le dessin et une très grande mémoire. Mais il ne se laissera jamais toucher par quelqu'un d'autre que sa mère alors que le plus vieux me sert la main pour me féliciter à mon mariage. En bref, à part avoir des pistes pour aborder un autiste (et encore, limitées car ils sont très différents), je ne vois pas trop en quoi cette expérience me donne la légitimité de diagnostiquer entre autiste et non autiste. Et pourtant c'est probablement bien simple qu'entre hyperactif ou non (par exemple)
  17. A Paris, il faut connaître quelqu'un qui s'en va de son studio et te le refile pour éviter au propriétaire les files interminables d'inconnus pour les visites. Ou connaître des liborgiens sympas qui connaîtraient des gens comme ça. A propos, je t'ai envoyé un MP.
  18. Ca me fait penser au père Benett dans Pride and Prejudice.
  19. Douze filles ? Pauvre homme!
  20. Mouais, il y a un juste milieu si tu ne veux pas stresser.Mon père a quand même un peu flippé de se dire qu'il aurait 72 ans à sa majorité. (encore plus depuis que notre mère a claqué la porte alors que ma soeur avait 4 ans - si la mère meurt ou part, il faudra assurer, même si tu es devenu vieux) En plus ça dépend de l'âge de la mère. Après un certain âge, c'est beaucoup plus dur de tomber enceinte... Donc je rejoins poney : 40 - 45 ans, c'est un bon âge pour les derniers. Ça devrait te laisser de la marge, non? Voilà, c'était la minute doctissimo. Je sors.
  21. Euh... Les familles nombreuses sont ultra minoritaires en France. Et disons que parmi les raisons qui me donnent envie d'avoir une famille nombreuse, il y a le fait qu'ils découvrent les responsabilités entre eux, qu'ils aient toujours des compagnons de jeu ou des oreilles attentives en leurs frères et soeurs, qu'ils aient leur "monde" rien qu'à eux, celui des enfants caché des adultes. Et plus tard quand ils seront eux-mêmes chefs de famille : que chacun se sente plus libre de déménager à l'autre bout du monde puisqu'il en restera encore pour tenir compagnie à ses vieux parents, ou d'embarquer les neveux pour que le frère puisse faire un voyage pour leurs dix ans de mariage. En fait l'idée est de créer une micro-société. Pas pour en être le patriarque, pour qu'elle profite à chacun de ses membres. J'ai observé ça chez la famille de mon parrain, à ma génération il y a 150 cousins (si on compte les petits-enfants des grands-oncles). C'est toujours sympa, les plus grands initient les plus jeunes à des tas de trucs et les amis sont toujours accueillis comme s'ils étaient de la famille (on n'est plus à un près...)
  22. On va dire que tu n'as rien dit. Ok?
  23. Ce matin, appel paniqué de mon père qui avait reçu l'autorisation de brancher sa box internet en avance. Comme c'est un changement d'opérateur, l'ancienne box ne marche plus. Il voulait que je passe la brancher ce soir (3h et 25 euros l'aller-retour) au lieu de vendredi comme prévu. Je me suis fait engueuler parce que je ne pouvais pas. Et quand je lui dis que je peux faire son virement urgent à sa place, il me dit "mais comment tu peux avoir accès à mon compte?" (euh... Internet?) Moralité : mon père de 67 ans est aussi accro que tout un chacun à internet, mais il ne comprend même pas ce que c'est. Épilogue : finalement c'est ma soeur de 13 ans l'a branchée. À son âge je savais à peine allumer un ordi pour créer un fichier Word et utiliser internet explorer ( )
  24. http://mises.org/daily/6474/The-Ethics-of-Whistleblowing On pourrait reprendre ça ? C'est long à traduire mais d'un bon niveau sur le sujet...
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