Miss Liberty

Mais enfin tu avais à peine cinq ans. On ne se souvient de rien à cinq ans. En tout cas moi je n'ai quasiment aucun souvenir de cet âge-là. Certainement pas des souvenirs politiques en tout cas. L'élection de Chirac en 1995 par exemple, pas loin de mes 6 ans donc... absolument aucun souvenir.De toute façon je n'y comprenais rien à la politique à six ans, tout ça a commencé à m'intéresser vers onze ou douze ans, pas avant !

Il y a zéro vote ESTJ. Quelle est ta source?

Ah mais carrément, les modems tout pourris qui t'empêchaient de téléphoner en même temps et avec lesquels tu pouvais à peine consulter tes mails...

J'étais en CM2 en 97, je ne me sens pas trop vieille. Par contre, me dire qu'ils n'ont pas souvenir du 11 septembre, ça fait bizarre. Je me souviens très précisément de ce jour-là, j'étais au début de ma troisième. Vous vous rendez compte qu'il vient d'obtenir le droit de vote et qu'il est trop jeune pour se souvenir du deuxième tour des présidentielles de 2002 ? Alors que la moitié de nos dirigeants et de nos medias sont encore bloqués à cette époque dans leur communication ?

Vous avez un topic pour parler de votre âge et de vos souvenirs de jeunesse. Jdcjdr.

Je fonctionne exactement pareil. Mais ce qu'il ne faut pas oublier, c'est qu'on pense fonctionner comme ça... c'est fort possible que les INTJ qui nous regardent faire ne le ressentent pas du tout de la même façon

Tu ne trouveras pas. Because that : Nough said.Bon, ok, si : le fait que les élèves aient dix ans. Mais ça n'est pas le cas.

Bienvenue Jason ! Maths et musique baroque, voilà qui est un joli programme.

Aucune idée, j'ai fait une école d'ingénieur. Là il ne vallait mieux pas essayer parce que les profs auraient eu de très gros problèmes avec la hiérarchie...De ce que m'a raconté f.mas, en revanche, ça a l'air d'être une tendance non anecdotique en fac de lettres. Mais je ne sais pas comment on peut faire pour fantasmer sur le genre de vieux mandarins de la fac de lettres en question. Beurk.

+1Je partage ton agacement.

Lol. Non. L'imagination des filles est très fertile aussi. Je préfère t'enlever tes espoirs tout de suite pour le jour où tu auras une fille de seize ou dix-sept ans.Là où tu as raison, c'est que j'ai l'impression que c'est vraiment de l'ordre du fantasme et pas de la réalisation pratique pour les filles. Mais je dis ça pour ma génération, je crois que tout ça s'accélère, et que l'âge de la réalisation de ce genre de fantasmes ou simplement des premiers rapports (le vrai, pas celui pour la frime) a beaucoup baissé en dix ans.

Plus courant, je ne m'avancerais pas. Mais courant, oui, certainement. Et je ne dis pas ça parce que je faisais partie des (nombreuses) lycéennes qui fantasmaient sur leurs profs. Par contre, pour ce qui est du passage à l'acte, je ne sais pas si c'est si courant que ça avant la fac. Je ne pense pas.

Justement, quand j'habitais à Paris ça me paraissait tout ce qu'il y a de plus normal de faire 50 min de transports pour aller quelque part, c'était "près" même. Tu n'as pas idée du temps que j'ai gagné dans ma journée... Et si je veux profiter de la concentration de bars à Paris, je vais y passer le week-end. Je n'ai pas besoin de ça chaque jour.

Cela ne doit pas aider en effet de savoir que quand tu es flic : - si tu casses le doigt d'un "jeune" dans une bagarre, tu vas te faire allumer par la justice, les medias, ta hiérarchie, bref tu seras tout seul - si tu te prends des pierres sur ta bagnole ou qu'une foule veut te lyncher parce que tu as mal parlé à l'un de ces "jeunes"... les responsables ne seront même pas emmenés au poste, ou peut-être éventuellement ils se prendront un avertissement oral par madame le juge si tu as failli y passer

Mais ça n'est pas une question d'avoir des bars, simplement d'avoir des commerces, une vie sociale et une moyenne d'âge inférieure à 70 ans. Ce que j'ai dans ma petite ville de province, et pas dans ces quartiers là alors qu'ils sont hors de prix. En plus ils sont quand même excentrés, donc on ne gagne pas tant que ça en proximité de lieux culturels par rapport à une province proche. Non, vraiment, je ne vois aucun avantage à y habiter. Quant aux autres quartiers, moi non plus je n'y habiterais pas en famille, parce qu'ils sont encore bien trop chers pour les avantages proposés. Le Nord Est parisien reste cher dans l'absolu et impossible à vivre sans se faire des cheveux blancs pour ses enfants, les quartiers vivables à proximité des portes rive gauche ne sont pas si terribles à vivre en famille... et le 15ème arrondissement, qui est probablement l'un des seuls où j'admettrais que la qualité de vie vaut une investissement financier significatif est tout de même largement surpayé. Ça n'est pas pour rien que j'ai quitté Paris au moment de fonder une famille.

La Fourche c'est plutôt le 18ème qui est accessible financièrement, quand on traverse l'avenue les prix sautent une marche. Mon père habite à la Fourche côté 18ème, j'ai grandi là-bas. Mais je suis d'accord que dans ce coin-là, en essayant de se rapprocher le plus possible du 17ème, c'est correct.

Bienvenue Séverine !

C'est un troll? Jamais je ne pourrais vivre dans le seizième arrondissement ou à Neuilly, je mourrais d'ennui. Et j'habite une ville de 18.000 habitants actuellement. Je peux t'assurer pour avoir pratiqué ces quartiers là en chambre de bonne, ils sont bien plus morts Le 15ème et le 17ème sont hors des moyens de la plupart des gens normaux, même s'ils ont leurs bons côtés. Et il y a plein de quartiers ailleurs où on vit bien à Paris, faut pas déconner. En fait c'est trop gros pour être sérieux ton truc. Surtout la partie sur le métro.

Mais justement, ce que voulait dire ton interlocuteur c'est que l'industrie allemande avait survécu au coût économique colossal de la réunification. Ça n'est pas mon domaine, je ne peux pas répondre à ta question. Mais c'est bien ça qu'il voulait dire.

Je connais un certain nombre de républicains qui ne sont pas des flèches en histoire non plus.

Il peut y avoir un coût économique énorme pour une opération, même si cette opération n'est pas l'effacement d'une dette. Si du jour au lendemain je dois mettre un fric phénoménal pour le fonctionnement d'un certain nombre de secteurs indispensables à mon économie, et ce sans jamais avoir de retour sur investissement parce que ces secteurs ne m'appartiennent pas, ça coûte cher. Une guerre non plus n'est pas un cas d'effacement de la dette, et pourtant on ne peut pas dire que ce soit joyeux pour l'économie. À moins de s'appeler Krugman bien sûr.

Si elle n'a pas changé depuis son installation, ne t'inquiète pas, c'est tranquille. C'est même en amélioration je pense.

Il y avait certainement beaucoup de surévaluation et de marchés parallèles en RDA en tout cas, comme dans tous les pays du bloc soviétique. Et ça, c'est équivalent à s'asseoir sur de l'argent, non?

Peut-être parce que la menace est plus diffuse et imprévisible qu'en 1980, et que par conséquent on leur dit de ne surtout rien faire... pour ne pas réveiller la bête? Je vois ça comme ça pour ma part. Une sorte de "après moi le déluge" (et d'absence de couilles, il faut bien le dire) de nos dirigeants...

De toute façon ça n'est pas du matériel de jardinage, quel que soit le voleur (ou le client si le voleur fait dans le commerce), ça finira mal pour quelqu'un.