L'affreux

D'ailleurs le Ledger Nano S demanderait aussi quelques vérifications : serait-il possible, par exemple, de récupérer le wallet dans quelques années malgré les inévitables mises à jour des extensions et des applications ? Stocke-t-il quelque chose d'utilisable manuellement (avec l'appli Core) pour restaurer un wallet ?

Le wallet Dash du logiciel dashcore est manifestement un fichier "wallet.dat". Il est modifié à chaque mouvement sur le compte. Ce n'est donc pas juste un pointeur vers une adresse dans la blockchain. Confirmez-vous s'il faut bien le re-sauvegarder après chaque opération ? Faut-il sauvegarder juste le fichier "wallet.dat" ou bien y a-t-il d'autres fichiers à conserver ? Il existe un dossier "backups" qui stocke des anciennes versions de "wallet.dat". Faut-il l'inclure dans le backup ? Quelle conséquence si on ne garde pas tout l'historique de ce répertoire ? @Gilles @Waren @jubal @h16 @Rocou @Lugaxker @L.F. @Tipiak @Axpoulpe @Solomos

Avec Electrum, il est possible d'utiliser un "seed", c'est une suite de mot anglais tirés au hasard, et qui permet de retrouver son compte. Je me demande si le stockage long du seed est fiable dans la durée. Comment est fait le lien entre le wallet et le seed ? Est-ce un pur algorithme exécuté sur la machine de l'utilisateur ? Ou bien le processus de restauration dépend de serveurs Electrum qui stockent une table de correspondance ? Si le projet Electrum (et donc ses serveurs) devient un projet abandonné dans deux ans, est-ce qu'il sera toujours possible de restaurer ses wallets avec un seed dans quatre ans ?

QUOI ? Tout ce cirque pour ça ? Il vaut que dalle ton plan.

Sur ce qu'on peut gagner, le jugement est faussé et appuyé sur de l'imaginaire. En revanche on peut avoir une idée plus exacte de ce que l'on s'apprête à balancer. Donc il faut commencer par là, car si tu n'arrives pas à y voir clair c'est que tu n'as pas cette idée mesurée. Cela dit, t'as raison, YOLO. Mais justement, reconstruire, pas le temps. Et puis ceux dont la vie dépend de toi n'en ont aussi qu'une seule.

Ou bien, on pourrait créer un club pour la manipulation des crypto-monnaies. EDIT : Je fais ça. EDIT 2 : Le club sur les manipulations des cryptomonnaies est ici. J'ai mis en accès public, mais on pourrait changer ça si on préfèrait éviter que les conversations soient référencées.

Très intéressant. Merci.

Alors attention. Le truc si tu les fais pour une raison c'est que tu risques d'être déçu, cette raison aura toute les chances de ne pas être satisfaite. Et pourtant après il faut tenir durant des années. Être parent n'est pas un processus intellectuel, ne peut pas être issu d'un processus intellectuel ou du moins je ne vois pas comment. Un coq monte sur ses poules sans se poser de question. Et quand l'heure de la ponte est venue, la poule pond, quand le temps est venu de couver, elle couve, quand les poussins sortent, la poule les protège et leur apprend à trouver à manger. À chaque étape il peut y avoir des entorses dans la parenté biologique : on peut glisser un œuf de pintade sous la poule et le pintadeau se considèrera ensuite comme un enfant de la poule et réciproquement, une poule ayant perdu ses poussins peut réussir à en chipper à une autre poule puis les éduquer comme les siens. Ni le coq ni les poules ne se demandent à quoi rime tout ce cirque et quelles sont les raisons profondes du pourquoi. Les humains sont des animaux comme les autres.

Ah ? Terrible ! J'ai manqué ça. Une histoire de propriété sur le chien comme sur le reste des biens meubles ? C'est où ?

Je pense qu'une différence entre la parenté par la biologie et les autres solutions, c'est que se pose alors la question de la meilleure option possible selon les sensibilités culturelles (pourquoi l'enfant devrait-il aller ici plutôt que là etc.). Cela rend la parenté non biologique un peu plus fragile car elle est acquise précisément sous condition d'être la meilleure option possible. Et cela ouvre en plus la voie à un réexamen ultérieur, ce qui est terrible pour les personnes concernées si elles se sont attachées. Voilà pour la théorie mais figure-toi que je partage un peu les mêmes préoccupations que toi dans la mesure où je n'ai fait aucun de mes enfants.

Avoir la trouille, mal dormir, prendre sur soi. Être super fier, être heureux, se faire aider. Je pense qu'on peut en trouver d'autres.

Ce n'est pas si grave de ne pas arrêter de travailler.

Tu bosses pour nourrir et élever les enfants.

Au début il n'y a que des bénévoles. Puis l'association grandit et embauche un salarié. Puis deux, etc. Les salariés déchargent les bénévoles, c'est le but.

Et l'ambiance est-elle bonne avec les collègues ?

En fait c'est vite malsain de bosser "pour la cause", parce que ce n'est pas toujours compatible avec le financement du foyer, parce que dans la durée le développement personnel n'est pas compatible avec la cause, parce que les bénévoles cherchent toujours à exploiter les salariés en toute bonne conscience ("eux ils gagnent des sous alors ils pourraient faire plus"). Travailler pour gagner de l'argent, c'est plus sain. Et ça se marie facilement avec des buts secondaires comme assouvir une passion (pour les tekos), se "challenger", se former, se reconvertir, rencontrer du monde, aider autrui etc. Et tous les buts secondaires des uns et des autres se marient bien à condition que le but premier de tout le monde soit bien de gagner sa vie.

Oui. Ça ne passerait pas si son public le considérait comme un dirigeant étranger normal, disons, s'il était le président du Sénégal le même discours mettrait tout le monde mal à l'aise. Dans cette vidéo, le paternalisme est donc bien une réalité ressentie et partagée. J'imagine qu'on peut mettre ça sur le compte des réflexes d'assistanats des plus faibles envers les plus puissants. Le Burkina Faso tout entier est un plus faible comparé à la France plus puissante. En tout cas ça passe bien. Je n'ai regardé que les 4 premières minutes et E. Macron est bon dans le sens qu'il est adapté.

@poney Ce n'est pas une histoire d'électricité tout de même. Les parents qui placent leur enfant le font parce qu'ils en ont beaucoup, parce qu'ils se savent sous-développés en comparaison de la famille de la ville et qu'ils espèrent confusément tenter quelque chose, parce qu'ils ne sont pas gaga de leur enfant et qu'ils se permettent donc sans honte de le positionner comme on le fait d'un pion sur un échiquier. Là encore attention quand on tient se genre de discours c'est pour imaginer des solutions d'assistanat administratif avec les conséquences perverses associées. Donc non. Ce n'est pas vécu comme cela. Être une femme de paysan n'est pas la peste, être une bonne n'est pas le choléra. C'est plutôt que la vie est une frêle embarcation dans une rivière tumultueuse et que l'enfant cherche à mener sa barque à la mesure de ses moyens. Pas toujours. Deux contre-exemples dans les cas que j'ai évoqués.

Le traffic d'enfants avec les pays voisins non je n'y ai pas été confronté et en fait j'en ignorais l'existence. Mais je n'aime pas trop les conclusions que l'on serait incité à tirer en matière de répression. Être une bonne (je ne connais que des cas de filles placées) n'est pas assimilable à de l'esclavage. Je n'ai jamais vu un enfant villageois placé en ville qui se ferait des illusions sur une éventuelle scolarité, ils espèrent en revanche être mis en apprentissage une fois l'âge venu, et c'est d'ailleurs ce qui est habituellement convenu. Après je ne sais pas quelle est la proportion de familles d'accueil qui respectent leur parole. C'est sûr que la situation de bonne n'est pas la panacée. J'ai deux anciennes bonnes parmi les enfants dont j'ai la charge aujourd'hui. Ça met des mois ou des années avant d'obtenir une enfant qui nous fait confiance et en qui nous pouvons avoir confiance. Les trajectoires des deux ont des similitudes intéressantes. Au départ, pour chacune, c'est un parent qui avait placé l'enfant comme bonne et cela dans le but de récupérer le salaire (elles étaient donc "louées", si on voulait reprendre un vocabulaire chargé à la manière des articles accusateurs). Ensuite, pour chacune et pour des raisons différentes, il y a eu une tentative de la part de la famille d'origine de reprendre l'enfant, mais dans les deux cas l'enfant a refusé net. Puis je passe les détails et elles sont devenues mes enfants. Mais ce qu'il faut retenir de l'histoire, c'est que, entre la situation de bonne sans la paie mais en ville ou bien le retour au village, l'enfant préfère être bonne. Car il y a derrière l'espoir de devenir une dame de la ville plutôt qu'une femme de paysan. Et ce qui m'ennuie dans les articles à charge sur les enfants placés, c'est qu'ils ne tiennent pas compte des aspirations des enfants placés.

Position anachronique. Donc ici.

C comme le raciss

En fait le parlement représente le peuple, dans les systèmes politiques actuels.

Au sujet de l'écriture inclusive, mon frère me faisait remarquer qu'elle fait systématiquement passer le masculin en premier, ce qui est injuste. On pourrait sûrement ajuster le tir avec de l'inclusif 2.0 : "La ou le lectrice.eur inclusive.if est chtarbée.." J'ai mis un double point à la fin, le premier marque l'accord pour le masculin (sans "e").

Le mieux serait d'arrêter de parler de ces cons subventionnés.