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Nihiliste frustré

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Tout ce qui a été posté par Nihiliste frustré

  1. Un bon nom pour un parti radiclement libéral : le parti du vrai socialisme. Avec suffisamment de mots compliqués et en dénnonçant le libéralisme honteux ou assumé de nos social-traitres d'adversaires, aucune chance de perdre. Et des images de cadavres d'enfants aussi, victimes des ultra-libéraux de ce monde que sont Kadhafi, El-Assad, etc.., très important ça ! Bien sûr, une fois élu nous pourrions appliquer la politique que l'on veut (tout en ne changeant pas une virgule de notre discours), ça n'a jamais empêché qui que ce soit d'être réélu. Il faudra probablement parler d'inceste ou autre tabou bien dégueulasse concernant les victimes de l'ultra-libéralisme : on doit bien pouvoir trouver un cas d'acte zoophile forcé ou de viol d'une mamie handicapée (mentalement de préférence), suffit ensuite de montrer que nos ultra-libéraux d'adversaires n'on rien fait et ne veulent rien faire puisqu'ils refusent la castration préventive des hommes. Le plus compliqué sera de faire en sorte que le conseil constitutionnel retoque la loi (je préconise des fautes d'orthographe dans le texte ou autres choses gravissimes de ce genre).
  2. Dans cette histoire, tu représentes plutôt l'employeur (qui paye les employés du restaurant). Imagines maintenant que tu ais plutôt reservé la salle mais qu'à ton arrivé, le restaurant refuse de servir si le prix n'est pas renégocié. C'est ça le droit de grève. Pas besoin d'interdire la grève elle-même, juste de ne pas la favoriser (par un droit positif). Le contrat règle déjà ce genre de problème, tu veux résoudre un non-problème. Et je ne vois absolument pas pourquoi celui qui donne le travail devrait être avantagé par rapport à celui qui donne l'argent. Et je ne vois pas non plus pourquoi un indépendant lui n'y aurait pas le droit. Ou est-ce le fait de mensualiser les versements qui fait qu'on est un exploité-sur-qui-les-capitalistes-ne-doivent-pas-avoir-tous-les-droits ? La durée inderminée du contrat peut-être ? Tu veux t'appuyer sur l'Etat pour résoudre un problème qu'il crée (les conditions de travail des salariés), en négligent qu'il nique autant les indépendants, les patrons, etc... Un droit de grève fiscale pour les patrons alors ! Sinon, j'ai remarqué que quand un ami nous énerve, généralement on lui fait comprendre ; si je suis ton raisonnement il nous faudrait un droit rouspétage.
  3. Quand on voit que le concept du vote utile sévit jusqu'ici, on peut penser que l'électeur FN n'est effectivement pas plus méchant que l'électeur UMPS, il fait "acte citoyen" avec le peu de connaissance politique qu'il a (et l'exaspération hein). Ils restent moralement responsables de leurs votes et sont certainement un peu trop naïfs mais les juger en masse et comme des collabos ne me parait pas juste. Une partie de l'élite politique devrait par contre clairement finir au bout d'une corde (les plus cyniques, profiteurs, hypocrites, etc..) tant les dégats qu'ils ont causé sont profonds. La démocratie qui met la pression sur les ignorants pour qu'il aillent voter est vouée à dégénérer. Mais ce que je dis sur l'électeur moyen me parait devoir être de moins en moins vrai avec le temps : l'abstention monte d'année en année, ne sélectionnant que les plus naifs / corrompus / idéologues. Insister dans l'erreur ou la lâcheté les rend un peu plus coupables à chaque élection (et là ça concerne particulièrement l'UMPS). Donc un partout balle au centre.
  4. Il ne me coûte pas nécessairement très cher de gâcher définitivement et mondialement une partie de la vie sociale de mon voisin, et je ne suis ni journaliste ni politicien ou autre. C'est une nouveauté dans l'Histoire.
  5. C'est en tout cas ce que j'espère. Cela dit, je me demande si le cloisonnement des données n'est pas trop contraignant pour que la population toute entière l'adopte (et l'anonymat ne resistera pas à la reconnaissance faciale). Et ça n'empêcherait pas la platerforme de partage elle-même de stocker des informations (à moins que le sujet prenne assez d'importance pour en arriver à un Bitcoin de la vidéo/photo). Rien est moins sûr, surtout si on pense ne paratger cela qu'avec ses amis (à tort malheureusement). Et quelqu'un en arrière-plan dans les bras de la mauvaise personne, je ne suis pas certain que qui que ce soit s'en soucie (cela peut simplement être une personne du même sexe, on ne sait pas de quoi demain sera fait et comment on pourrait nous faire chanter dans 20 ans par exemple). Mais de quoi seront capables les dirigeants de ces boites ou les politiques pour maintenir leurs positions d'ici là ? Vu la tendance à la baisse des coûts de l'analyse et du stockage de l'information, remonter dans le passé privé de n'importe quel blogueur gênant, opposant politique ou autre devient presque facile quant on est Zuckerberg ou Obama. La Stasi n'avait pas les moyens techniques d'exploiter toutes ses informations mais c'était déjà beaucoup trop et les moyens techniques en question commencent à voir le jour (certes plus lentement que certains ne se l'imaginent). Quand bien même la génération suivante saura-t-elle se protéger, une génération sacrifiée représente un certain risque (surtout par les temps qui courent). Justement, on peut compter sur les politiciens pour réduire encore un peu la liberté d'expression tout en profitant au maximum de la situation (la NSA surveille les communications privées de millions d'américains). Je suis tout sauf un anti-Facebook primaire ou un paranoïaque mais force est de constater que ces boites ont obtenu un pouvoir inquiétant. A leur place, je serais le premier à pousser les utilisateurs au vice et à exploiter un maximum de données (la connaissance humaine va par ailleurs beaucoup y gagner). Un risque à faible probabilité mais de grande amplitude ne doit pas être ignoré et il serait dommage de laisser ce sujet aux journalistes (ou de jeter le bébé avec l'eau du bain). Aussi cette notion de vie privée me parait-elle être une importante porte ouverte sur le libéralisme, à conditions bien sûr de ne pas la laisser aux politiciens. (désolé pour le wall of text)
  6. (Je n'ai pas trouvé de sujet correspondant, en espérant ne pas avoir trop peu ou mal cherché) Le fait que Google, Facebook et autres collectent des informations sur tout le monde, y compris des personnes qui n'utilisent pas leurs services m'inquiète de plus en plus et je peine à trouver une bonne solution à ce problème. Par exemple, il ne métonnerait pas de trouver sur Facebook mon nom associé à une photo potentiellement gênante alors que je n'y suis pas inscrit. Aussi m'est-il impossible de prévenir toutes les personnes qui pourrait publier ce genre de contenu ou y inscrire mon nom (chose que je ne me permettrait pas de faire moi-même...). Et si Facebook se servait d'informations non publiées contre un concurrent ou pour influencer un politique par exemple ? Je tends donc de plus en plus à penser que seule l'évolution des mœurs évitera qu'on en appel ensuite à l'Etat. Mais d'ici à ce que les gens comprennent qu'on ne publie pas n'importe quoi impunément, ne devenons-nous pas une génération sacrifiée ? Si j'ai tort, que les technologies continuent dans cette voie (Google glass, reconnaissance faciale, etc..) et que les gens continuent à jouer les espions pour des entreprises et indirectement pour des Etats, quelles mesures prendre ? Qu'en est-il de la liberté d'expression dans cette affaire ? Moi qui méprise autant les technophobes que les politiciens et nourris de nombreux espoirs quant à internet (notamment politiques), cette ombre au tableau me parait être un sujet majeur. Qu'en pensez-vous ?
  7. L'important, c'est de l'être avec soi-même. Je ne suis d'ailleurs pas d'accord avec ceci.
  8. Il faudrait forcer les campagnards qui ont une adresse impaire à accueillir une paire de parisiens.
  9. Tu solutionnes moins de 7,5% du problème (la moitié des 15% du diesel moins les bus etc.. et sans compter la pollution déjà accumulée !) en emmerdant un bon quart des parisiens (plus en comptant la gène des clients habituels des transport en commun) au nom de l'intérêt général : epic fail.
  10. La taille des salamis handicape moins l'innovation. On est parti pour légiférer à chaques amélioration du système, avec l'inertie et l'arbitraire qui caractérisent ces institutions (plus de X volt ne seront pas écologique, etc..), sans parler du contrôle que ça leur donne (après tout, les pédonazis utilisent des chargeurs pour commettre leurs crimes). Les salamis ne sont pas connectés à mon téléphone ou mon réseau CPL (et les terroristes n'en consomment pas^^).
  11. Qu'a-t-on appris de nouveau sur Karachi, etc.. ? Rien (pour l'instant). Mais on devrait ne pas discuter des écoutes quand bien même concernent-elles un avocat et son client ? Tu voudrais qu'on parle des affaires de Sarkozy à longueur d'année quand bien même n'a-t-on aucune de nouvelle info, les ennemis de tes ennemis sont tes amis, qu'ils mentent ouvertement n'y change rien. Mais tu réagis ainsi par amour de la Vérité j'en suis sûr. L'UMP n'est plus au pouvoir mais ils sont au moins aussi merdiques que les guignols qui prétendent actuellement diriger nos vie dans le détail et ça te suffit à prendre la défense de ces derniers, en bon anarcap hein. Ils méritent tous bien pire que des moqueries, si tu veux montrer ton courage ou faire ton justicier va donc récupérer tes impôts ou aider quelques dealers à s'évader.
  12. Verticalité : sélection par une organisation, modèle hiérarchique. Horizontalité : entrée libre, pas de pondération, modèle de réseau. Avant : Quelques verticalités (école, médias, institutions, etc..) Maintenant : Beaucoup plus d'organisations différentes, de concurrence, accès à l'information brute mais aussi à un plus grand nombre de présélections. En somme, l'aspect horizontal du réseau, dont tu te plains, n'empêche en rien la verticalité, au contraire il la favorise. Comme les libéraux, Soral n'a plus accès aux médias mainstreams. Ce qui lui permet encore de s'exposer, c'est précisément ce qui permet à Contrepoints d'en faire de même : l'entrée libre sur le marché des idées. Les conservateurs s'attristaient déjà que Gutenberg permette à n'importe qui de s'exprimer, les éditeurs n'en n'ont pas moins fait leur travail. Pendant qu'ils écoutent Finkielkraut dénoncer le livre numérique et l'horizontalité censée caractériser notre époque, les progressistes travaillent à devenir les éditeurs de demain. Mais les conservateurs qui préservent la mémoire des villages continueront à snober Wikipédia tout en se plaignant que la mémoire se perde. Eux qui ont des choses à dire se refuseront à cotoyer les lolcats de Youtube tout en se plaignant de l'hégémonie culturelle des progs. Et eux qui savent encore lire laisseront Sens-critique aux pokémons de tout poil. Mais dans 50 ans ils ne manqueront pas de se plaindre quand Wikipédia tombera en désuetude et que la charme de Youtube leur manquera, peut-être auront-ils une pensée pour ce petit site où quelques hommes de bonne volonté publiaient leurs critiques des classiques décidemment toujours trop méconnus...
  13. C'est justement ça qui est fascinant : aller d'un point A à un point B à 200kmh dans le confort et la sécurité tout en faisant plaisir aux yeux des conducteurs de Clio. C'est un concentré d'intelligence et d'esthétique et piloter est pour certains un plaisir total (pour beaucoup en fait mais trop rares sont ceux qui s'y essaient). Je ne suis pas un passionné d'auto, je roule dans une épave mais je ne comprends pas les critiques utilitaristes : à ce compte là la beauté n'a aucune valeur (même si mon argent irait ailleurs si j'en avais les moyens). Je n'aime pas plus le foot mais je suis persuadé que tout le monde apprécie un joli but ou une belle action. C'est comme si certains se forçaient à trouver ça objectivement nul (je ne vise personne, je pense aux critiques gauchistes ou réac).
  14. Est-ce triste qu'il suffise d'avoir une bouche pour dire des conneries ? Ce qui serait triste, c'est que les conneries en question aient le moindre impact, ce dont je doute dans le cas qui nous occupe. Par contre, la sélection à la papa par la pseudo-élite de chez Canal+ m'attriste beaucoup plus. Et que Gio puisse proposer sa propre sélection sur ce site me ravit. Soral est le prix a payer pour avoir Contrepoints, et ce n'est pas qu'il puisse s'exprimer qui est triste mais bien qu'il soit écouté. Et encore, il n'est que le révélateur d'une mentalité préexistante. Mieux vaut une contre-attaque en règle que la "sélection" des médias qui ne fait que confirmer ses propos dans l'esprit de ceux qui le trouvent intéressant. On imagine le net parfaitement horizontal mais c'est simplement impossible : c'est juste la multiplication des verticalités, leur mise en concurrence. Il faut pour cela des entrées totalement libres et accepter que le processus d'essais et erreurs ne mène que rarement à la réussite. C'est complémentaire à la sélection, qu'elle soit organisée ou individuelle. A part ça, nous sommes tous tristes qu'il y ait des cons ou que ceux-ci ne soit pas muets...
  15. Il est tout de même notable que les echanges monétisés est un statut si particulier, au point d'en devenir pour certains la seule définition de l'échange. Nous troquons tous les jours, bien plus que nous echangeons des billets, et l'engagement, la réciprocité et l'équité sont tout aussi nécessaire, la négociation tout aussi courante et les litiges tout aussi nombreux qu'avec du pognon. L'argent n'en est pas moins une invention formidable mais l'arbre ne doit pas cacher la forêt. D'ailleurs si les socialistes étaient cohérents, ils réclameraient une part de ce message. Tant que j'y suis, on peut même étendre la notion hors du social : perdre du temps pour planter un arbre, c'est échanger avec la nature, s'endetter, c'est troquer du pouvoir d'achat futur contre du présent, etc... C'est en envisageant les choses sous cet angle que je suis devenu pleinement libéral ; j'ai compris qu'il n'y avait rien de plus intrusif et liberticide que de réguler les échanges.
  16. N'importe qui de sensé fuierait cet Etat au plus vite (et ce prélèvement n'en serait pas moins un vol). Tu es en train de nous dire que l'Etat ne prend rien, 0% puisqu'il redonne forcément l'argent à quelqu'un. Et si l'économie française a pu bénéficier des dépenses publiques, cela s'est fait sans consulter les contribuables qui vont maintenant payer la note (vente forcée = vol). Alors certes "57%" contient des impôts sur de l'argent versé par l'Etat et "PIB" est faussé mais rien n'indique que ce soit nécessairement moins que 57%. Si c'était vérifiable et que je devais parier, je miserais sur plus de 57% (les gains de l'endettement seront entierement effacé, les dépenses publiques sont nécessairement moins bien allouées, etc..).
  17. Est-ce à ce point évident qu'il faille être stupide pour "mal" manger ? Je sais bien que la gastronomie est porteuse de culture mais si ne pas aller à l'opéra fait de moi un idiot ou un inculte, je renonce dès maintenant à l'intelligence et la culture. Je ne conteste pas qu'il y ait beaucoup de cons qui chérissent les causes des conséquences qu'ils détestent mais les mal-bouffeurs ne sont peut-être pas majoritairement hygénistes, particulièrement gourmants ou fans de cuisine. Les bien-mengeants n'auraient-ils le jugement un peu rapide ?
  18. [Les suisses veulent/décident/etc.. ceci cela] Donc les 49,7% de votants qui ont voté contre et les abstentionnistes ne sont pas suisses. [Fuck UE] L'enfer est pavé de bonnes intentions. [C'est pire ailleurs] Donc on continuera tant qu'on aura pas rejoint la Corée du Nord. [Les français n'ont pas le droit de critiquer] Alors je préfère ne pas être français. 50,3% de la population a imposé sa loi au reste, voilà une étrange définition du consensus. Le peuple exprime sa volonté tous les jours à travers les marchés (officiels ou non, monétisés ou non), et ça marche beaucoup mieux que le vote direct, la représentation, ou je ne sais quoi. Mais on cherchera toujours des pseudo-exceptions, ici la majorité est moins corruptible, là elle sait mieux quoi faire, là elle est moins en conflit d'intérêt, elle décide plus vite, fait mieux consensus, etc.. : que du bullshit. Pas de Justice sans consentement individuel, la démocratie directe est un Nième autre moyen de s'en foutre, voilà tout.
  19. S'arrêter au feu rouge alors qu'il n'y a pas un chat dans les parages, ce n'est pas absurde ? Ce n'est pas courant ? "Mais si c'est interdit, c'est qu'il doit y avoir une bonne raison...", "mais sans radar les gens rouleraient tous à 200...", tu replonges mec.
  20. Avant les feux tricolores et les ronds point, il n'y avait pas de carrefours...
  21. Si : Si pour toi c'est parce que ce chiffre prend en compte les impôts que payent les fonctionnaires, alors avec 99% de fonctionnaires l'Etat ne prendrait selon toi presque rien (et ce même si les fonctionnaires en question étaient très sous-payés). Si c'est parce que certains contribuables recoivent par ailleurs du pognon, l'Etat soviétique ne prennait rien puisque tout le monde dépendait largement de l'Etat. Essayer de le quantifier me parait vain (la monnaie n'est qu'une petite partie de la richesse et de ce que nous prend l'Etat) mais il est très probable que l'Etat prenne plus que 57% de l'argent hônnetement acquis (à nous ou nos petits-enfants), puisque la partie PIB de ce chiffre intègre déjà l'activité publique et que cette dernière a peu de chance d'être créatrice net de richesse.
  22. Tout ce qui est pris est redonné à quelqu'un (en échange d'autre chose). Si tu parles de ce qui est redonné à ceux qui ont payé, ça n'en reste pas moins de la vente forcée (d'assurance, de placement retraite, etc..), exactement comme on force la vente des services publiques rendus par les fonctionnaires. Et le fait que le PIB intègre la production publique fait des 56% un indice de socialisme sous-évalué (comparer les dépenses publiques à la seule production privé donnerait un résultat bien pire). Et comme la production publique est forcée, on peut tout à fait dire que l'Etat prend plus de 56% (à nous ou nos petits enfants). L'Etat soviétique produisait plein de choses, l'Etat n'en prenait pas moins aux gens (et même plus en fait).
  23. Si ça rate toujours, c'est parce qu'on n'en fait jamais assez. Et puis le dictateur c'est jamais LE bon. Et puis il y a toujours des social-traitres qui sabotent tout. Et puis il y a la réalité aussi, salope injuste et oppressante. Et surtout, il y a les socialistes, et là ça fait trop.
  24. J'ignore si le coming out des stars est utile ou non mais je ne vois pas en quoi serait-ce une prise de risque. Du courage de se dévoiler, peut-être mais dans le cas d'une célébrité ça ne va pas plus loin (depuis quelques temps maintenant). Et je comprends ceux qui voient ça comme un manque de pudeur ou un vain combat (je n'ai pas d'avis tranché là dessus) mais il est certain que les commentaires excessifs qui font de leur sujet un héro, un martyr ou voient l'homophobie partout sont toujours contre-productifs, surtout quand les politiques s'en servent grossièrement à des fins électorales.
  25. Le smalltalk est souvent le plus efficace pour briser la glace, mais si l'eau regèle trop vite, insister a peu de chance d'offrir le moindre résultat. Personnelement, je peux tendre des perches (analogies, analyses, jugements) mais si l'anecdotique revient trop vite à mon goût, je fini par me taire et être mal à l'aise (dans le cas contraire, je pars facilement en monologue...). Je ne suis pas timide (ou rarement) mais les efforts que je fournis varient excessivement en fonction de mon humeur. On est donc loins d'un sentiment de de toute puissance et c'est certes moins empathique que la moyenne (et perçu pire que ça ne l'est vraiment) mais il faudrait être omniscient ou pas très modeste pour être certain qu'il s'agit d'un manque objectif . N'y vois aucune attaque Chitah, ton propos m'a donné envie de mieux comprendre ta manière de voir la chose (qui doit avoir sa part de vrai), j'espère juste te donner quelque grain à moudre.
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