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Pauvre @Freezbee... Snobé par @poney.

"Je redéfinie le libéralisme comme ça m'arrange (quitte à jeter à la poubelle de nombreux auteurs importants de cette pensée), pour ensuite le réfuter plus facilement". Je crois que ça a un nom. Ah, oui, homme de paille. Bref, tu vaux mieux que ça...

Loi de Poe.

Jacques Bouveresse, dimanche dernier.

Ca tombe bien, je ne pensais pas à ça. D'autant que, du (très) peu que j'en ai vu, les victimes de femmes ayant des pathologies de ce genre (à base de manipulation et de violences psychologiques poussées) semblent plutôt être les autres femmes de leur entourage (expérience anecdotique, je précise).

"Le libéralisme est effectivement justifié" : qu'entends-tu par là ? Justifié dans sa prétention à affirmer lui aussi quelque chose sur ce qu'est une bonne société ? Mais, je ne suis pas certain que le libéralisme affirme quoique ce soit sur ce qu'est la bonne société. Sa seule prétention est d'offrir la possibilité à ceux qui le souhaitent de chercher la vie bonne et d'essayer de s'y conformer (cf. la Démocratie, dans la République, le pire régime certes (à l'exception de la tyrannie) mais aussi le seul qui permette à Socrate de philosopher en paix i.e. de rechercher la vie bonne (dans une certaine mesure en tout cas) vs. l'Aristocratie, le meilleur régime, le plus juste, celui qui impose à tous la vie bonne, certes, mais aussi un régime qui empêche le philosophe de pratiquer son activité favorite (philosopher), étant chargé de diriger la Cité bonne).

Peut-être est-ce confondre cause et effet ? Peut-être est-ce dû, justement, au fait de pousser des conneries (dans l'air du temps) comme le zéro covid ou le revenu universel qu'un libéral (mettez autant de guillemets que vous voulez) obtient une petite influence sur le débat public (ce qui est encore plus pessimiste comme vision).

#MakeStoicismGreatAgain

Euh non... Je pense que pas mal de libéraux considèrent que, sur un plan individuel, la liberté est une condition nécessaire (car sans liberté, impossible de faire des choix, notamment celui d'une vie que j'estime bonne) mais non suffisante (la liberté ne m'indique pas la voie à suivre).

Ah, on est toujours le bouseux de quelqu'un d'autre, n'oublie jamais cela petit provincial. Haine et mépris de classe oui (surtout quand on a une vision chasse = bouseux (le terme est bien choisi) = droite), couplée à une incompréhension totale de ce qui se passe sorti du périph' (ou de la rocade).

"Libéralisme et courtoisie sont-ils compatibles ? Vous avez deux heures".

Comme @Marlenus, j'aurais des communistes et des socialistes chasseurs à te présenter dans le Bugey sud. Si tu cherches à caractériser les pros et anti-chasse, je pense, comme @Marlenus (encore une fois), la distinction campagnards vs. citadins plus pertinente (d'ailleurs EELV, c'est plutôt un parti de citadins). Faut pas l'oublier, la chasse, c'est un peu plus que prendre son fusil et partir en battu, c'est aussi une activité sociale, des événements qui rythment la vie des villages (e.g. le repas de la chasse, chaque année en été, dans le village de mes parents), ça dépasse donc les clivages politiques.

C'est fasciste de chasser ? Tiens donc...

Il y a quand même un gap entre ce qui a été mis en place par la France et par la Suède par exemple (ou, pour prendre un exemple au sein d'un même pays, entre la Catalogne et la Communauté de Madrid d'après ce que j'ai cru comprendre).

France <> ses représentants.

Certains trouvent bien Adam Smith "problématique" sur la question de l'esclavagisme ou Jacques Cœur sur celle du colonialisme (le bougre, il avait donc 300/400 ans d'avance sur la question), on n'est donc plus à un détail historique près hélas. Comme disait Jean-Jean le juge inique (Jean Martin de Laubardemont) "Qu'on me donne six lignes écrites de la main du plus honnête homme de France, et j'y trouverai de quoi le faire pendre".

Non mais non, non... Ce n'est plus possible... C'est une caméra cachée à l'échelle du pays qui dure depuis 1 an, il n'y a pas d'autre explication... Lafesse et Baffy vont débarquer dans quelques instants : "haha, Groß Rigolade, on vous a bien eu, non ?". Hein ? Dites...

On s'y fait avec le temps. ♫♪♪Warte nicht und komm Solang die schönen Tage noch sind. Bleibe hier mit mir ein ganzes Leben lang Im Septemberwind hier am Strand.♪♫♪ Et puis, j'ai trouvé bien pire, comme Mireille Mathieu massacrant Brel en allemand.

Oui, je trouve aussi que le nationalisme breton en fait un peu trop.

"Elle y devient esclave, de son plein gré. Elle y souffre (elle doit s'accoutumer au fouet) et n'y connaît au fond que peu de plaisirs si ce n'est celui d'appartenir à quelqu'un. C'est dans le donjon de Samois qu'elle est marquée au fer rouge aux initiales de son maître et son sexe percé de deux anneaux dont l'un supporte le poids d'un lourd disque de métal décoré d'un triskèle niellé d'or et où est gravé le nom de son propriétaire. O promet, par amour, de se soumettre à tout ce que voudrait son amant, d'abord René, puis sir Stephen — auquel il finit par la donner — et elle s'exécute. " (dixit Wikipedia, ma lecture de la version dessinée par Crepax remontant à trèèèès longtemps). Bon, en fait, cette histoire de soumission totale et volontaire me fait plutôt penser à la situation actuelle de la France face aux desideratas de ses gouvernants.

Si on m'avait dit que se serait toi qui ne saisirais pas la référence... J'en suis un Pauvert de Réage, je dois le reconnaître.

Si ça peut te rassurer, l'histoire d'O. (nudge nudge wink wink mmh ?) ne se termine pas très bien.