-
Compteur de contenus
5 252 -
Inscription
-
Dernière visite
-
Jours gagnés
5
Tout ce qui a été posté par Philiber Té
-
Certains commencent à dire que ce n'était pas une erreur, mais quelque chose de prévue pour homogénéiser les choses, etc...
-
Justement, j'avais souvenir que c'était une combinaison de différents facteurs anthropiques et climatiques... D'ailleurs, ça m'a fait penser à cette histoire, non plus à propos de l'Holocène mais plus précoce encore : http://www.pourlascience.fr/ewb_pages/a/article-le-vrai-roi-des-animaux-32537.php
-
Je pensais que cette théorie était toujours discutée ?
-
FAQ du libéralisme pour répondre aux questions les plus courantes ?
Philiber Té a répondu à un sujet de EdouardH dans Action !
http://www.contrepoints.org/2014/04/28/164437-un-argument-libertarien-pour-le-revenu-de-base -
http://www.larousse.fr/encyclopedie/vie-sauvage/bison/184015
-
Ces phrases qui vous ont fait littéralement hérisser le poil 2
Philiber Té a répondu à un sujet de Mathieu_D dans La Taverne
Besancenot vient de sortir la même chose sur itélé... :-° -
Isabelle Balkany en garde à vue !
-
C'est quand même étrange qu'à Alésia, on trouve un oppidum gaulois, des camps romains, deux immenses enceintes, des tonnes d'armes, des inscriptions mentionnant le nom de généraux de César, etc... Alors que dans le Jura, on a trouvé des collines et des rivières qui s'agencent plutôt bien, pour correspondre au récit de César. Le soucis avec Alésia (et les gaulois / romains de manière générale), c'est que les politiques se sont toujours servis de l'histoire pour rendre leur discours un peu plus intéressant, épique, avec un semblant de consistance héritée du passé. Si Napoléon III aimait César, ses successeurs ne pouvaient qu'aimer nos racines gauloises pour se différencier. Si Napoléon III pensait Alésia à Alise, ses successeurs ne pouvaient que trouver un autre site pour ne pas avoir à admettre qu'il avait raison... Pour conclure, jusqu'à preuve du contraire, tout laisse à croire que Alésia est bien en Bourgogne !
-
Municipales Et Européennes 2014, L'ultimate Topic
Philiber Té a répondu à un sujet de Chitah dans Politique, droit et questions de société
Bien que je retourne dans ma contrée natale ce week-end, je ne compte pas voter mais j'ai tout de même consulté la liste des candidats : http://elections.interieur.gouv.fr/ER2014/02/C02.html Et j'ai trouvé ça : http://www.lafrancesereveille.fr/pages/10_mesures_pour_reduire_considerablement_la_depense_publique_de_la_France-8778167.html Un parti que je ne connais pas et qui veut réduire la dépense publique : quelqu'un en a déjà entendu parler ? -
Images fun et leurs interminables commentaires
Philiber Té a répondu à un sujet de Librekom dans La Taverne
http://www.policymic.com/articles/89467/what-one-product-makes-the-most-money-for-each-nation-check-this-map?utm_source=policymicFB&utm_medium=main&utm_campaign=social -
C'est génial !
-
Ces phrases qui vous ont fait littéralement hérisser le poil 2
Philiber Té a répondu à un sujet de Mathieu_D dans La Taverne
Je me suis toujours dit la même chose : si l'esclavage était si insupportable, les victimes se seraient révoltés ! C'est donc que dans un sens, ils acceptent leur condition. Pareil pour les libéraux qui payent des impôts et qui font que râler ! -
"J'ai décidé de recommencer à manger de la viande !" pourrait être une excuse valable pour échapper à un nonossage ? Et je me posais la même question que the_student, ça vaudrait le coup d'écrire les chroniques de liborg pour les incultes... :-°
-
Je n'ai pas encore bien saisi les traditions locales... Ça vaut le coup que je relance ce sujet ou on s'en fout ? :-° Est-ce que le plastiquage accidentel d'un centre des impôts ça compte ?
-
Je ne vais pas avoir le temps de te répondre aujourd'hui (j'ai du travail qui m'attends), mais j'y veillerai. Même si à mon avis, certains trouveront également à argumenter sur ce sujet...
-
Pour que certains critères morphologiques ou génétiques deviennent exclusifs ou tout du moins caractéristiques d'une sous-espèce (mais cela fonctionne pareil pour les espèces), il faut plusieurs générations. Sinon les caractères communs perdurent et il n'est pas possible de discriminer deux sous espèces bien distinctes. C'est pour cela que l'isolement géographique est très efficace de ce point de vue, car il permet à des groupes d'individus d'évoluer et de développer des caractères différents chacun de leur côté : mais cela n'est pas visible dès la première génération d'individus séparés. Il faut qu'une tendance émerge et se généralise à l'ensemble de ce qui deviendra une sous-espèce. Si on prend l'exemple des éléphants, il y a deux genres : Elephas (pour l'éléphant d'Asie) et Laxodonta (pour l'éléphant d'Afrique). Chez l'éléphant d'Asie, il n'y a qu'une seule espèce et 4 sous espèces distinctes qui correspondent en fait aux animaux qui habitent sur des iles comme Sumatra, Bornéo, Sri Lanka... Ces sous espèces sont clairement isolées et on peut donc définir des critères génétiques et morphologiques propres, qui sont parfaitement vérifiables sur des échantillons des différents groupes. http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89l%C3%A9phant_d%27Asie#Phylog.C3.A9nie_et_syst.C3.A9matique Les ethnies ne sont pas des "races". Ces distinctions au sein de l'espèce humaine sont le fait d'ethnologues, d'anthropologues et d'archéologues, elles ne reflètent pas pour autant une distinction biologique entre les individus. Vous pourrez effectivement lever une liste de critères qui vous semblent discriminants pour découper l'espèce humaine en groupe, que vous appellerez "race" si cela vous chante. Par contre, vous pourrez ajouter autant de critère que vous désirez, ils ne seront pas suffisants pour coller à la définition d'une sous-espèce ou d'une race, biologiquement parlant. La diversité génétique de l'humain ne va pas sans la variabilité. Il faudrait par exemple, que vous trouviez un caractère présent chez tous les individus d'un groupe et absent chez les autres. Ce qui n'est pas possible ! Il y a déjà eu des cas de parents blancs qui donnaient naissance à un enfant noir ou métisse. C'est le jeu de la génétique, qui reflète parfois des caractères issus des générations précédentes et restés sous silence jusqu'alors. Plus généralement sur la couleur de peau, puisque cela te semble un caractère évident : comment définis-tu les différentes sous-espèces (ou races) ? Car il ne faut pas oublier que le spectre de couleur de peau est continu à l'échelle du globe et qu'il n'y a donc pas de ruptures nettes ou strictes entre des teintes foncées ou claires. On retombe sur notre cas où les limites sont floues, tellement au point qu'il n'est pas possible de faire des groupes. http://www.hominides.com/html/dossiers/race.php Et tu remarqueras chez les amérindiens une diversité importante, mais pas suffisamment spécifique pour pouvoir définir une sous-espèce amérindienne. Il y a vraisemblablement eu du brassage génétiques chez les différents peuples présents sur ce continent, ce qui n'a pas permis à un groupe de prendre un "chemin biologique" différent du reste de l'humanité. Nous sommes une espèce relativement moderne...
-
Je persiste : en biologie, la "sous-espèce" possède une définition claire qui participe à la classification taxinomique. Lorsque des individus de deux sous-espèces différentes se rencontrent et se reproduisent, c'est déjà qu'elles échappent à leur isolement géographique et donc sortent du cadre défini de sous-espèce. Si vous évoquez les "races" et les croisements, on parle de l'influence anthropique sur les animaux et les croisements volontaires ou non. L'objectif en établissant une race étant justement de tendre vers un isolement des individus sélectionnés pour préserver certains traits génétiques ou morphologiques. Autrement dit, on créé la "sous-espèce" par un traitement particulier des animaux : l'élevage sélectif. C'est pour cela par exemple qu'en archéozoologie, au début du Néolithique il est difficile de distinguer un bovin sauvage (comme l'auroch) d'un bovin domestique, car l'élevage se met seulement en place. Ce n'est plus le cas pour l'Antiquité où les pratiques sont bien installées... Quels critères morphologiques / génétiques ? Quelle population a été isolée suffisamment longtemps pour se différencier du reste de l'espèce (il faut un certains nombre de génération pour que ces critères deviennent exclusifs / discriminants) ? A partir du moment où les limites sont floues, c'est bien que l'on ne peut plus définir de "races" ou de "sous-espèces" sans perdre toute validité scientifique. Si l'on s'intéresse à la couleur de peau, on constate rapidement que la diversité et la variabilité de ce critère empêche toute classification de l'espèce humaine. Quoi d'autre alors : la taille ? la forme des yeux ? L'intérêt du terme "racisme" est qu'il renvoie justement à l'histoire de cette pratique...
-
J'en reviens à ma question : les "races" pour les chiens (et les animaux d'élevage) ne sont elles pas plus commerciales que scientifiques ? Car en biologie, le concept de "sous-espèce" est clairement défini. Alors, est ce que la "race" est la même chose que la "sous-espèce" mais appliquée aux animaux d'élevages / domestiques ? Avec la même rigueur scientifique ou bien avec une certaine acceptation commerciale ? Pour l'exemple des chiens, on parle de "pure race", de "bâtard"... N'est ce pas une preuve que la "race" n'a pas une définition claire et des limites assez floues ? Et il me semble que le soucis avec l'espèce humaine, c'est que l'on n'arrive pas à définir de critères discriminants suffisamment pertinents pour établir des "races". Même chez les bretons ! :-°
-
Je suis démasqué ! :-°
-
Les races définies pour les chiens ne sont elles pas plus commerciales que scientifiques ? :-°
-
Merci, j'apprends encore...
-
Rah, pourquoi je ne peux pas corriger mon message ?
-
Comme si c'était aussi facile !
-
Le Figaro doit décidément surveiller ses nouvelles... J'ai toujours l'impression de mettre perdu sur le Gorafi !
-
Kerviel, le martyr de la finance... http://www.soutien-officiel-kerviel.com/blog/ Eva Joly ne devait pas se pencher sur l'affaire également ?