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Tout ce qui a été posté par Johnathan R. Razorback
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Mélenchon, le Tout Petit Père des Peuples
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Johnathan R. Razorback dans Politique, droit et questions de société
Surtout pas ; ils seraient trop contents de jouer les martyrs à peu de frais. -
Mélenchon, le Tout Petit Père des Peuples
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Johnathan R. Razorback dans Politique, droit et questions de société
Mélenchon manque de tenue. Son héros, Saint-Just, était d'un stoïcisme lugubre quand on est venu le chercher pour le guillotiner. Il ne tweetait pas comme quoi c'est-trop-pinjuste. (Bon, soyons honnête, une perquisition surprise à domicile, endroit privé chargé d'affects, je peux comprendre que ça fasse perdre pied. Mais de là à haranguer le monde entier en laissant entendre qu'on va être jeté dans un cul-de-bas fosse...). -
Mélenchon, le Tout Petit Père des Peuples
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Johnathan R. Razorback dans Politique, droit et questions de société
Gourou n'entre pas dans le registre de la pathologisation. Le gourou est en général sain d'esprit, sinon il ne serait pas assez habile pour plumer les pigeons qui l'écoute. Sectaire aussi me paraît assez justifié, on parle quand même d'un ancien trotskyste... -
Mélenchon, le Tout Petit Père des Peuples
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Johnathan R. Razorback dans Politique, droit et questions de société
De quoi ? -
Mélenchon, le Tout Petit Père des Peuples
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Johnathan R. Razorback dans Politique, droit et questions de société
Oh, depuis le "qu'ils (?) viennent me chercher" de Macron, la régression infantile / cow-boy est déjà atteinte. -
Mes lectures du moment
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Bastiat dans Lectures et culture
Sinon, quelques cartouches pour la prochaine fois où vous lirez que le libéralisme repose sur une confiance excessive en la nature humaine et qu'on-ne-peut-quand-même-pas-livrer-l'homme-à-lui-même-ma-bonne-dame: "Few of them accepted the Glorious Revolution and the lax political pragmatism that had followed as the final solution to the political problems of the time. They refused to believe that the transfer of sovereignty from the crown to Parliament provided a perfect guarantee that the individual would be protected from the power of the state. Ignoring the complacence and general high level of satisfaction of this time, they called for vigilance against the government of Walpole equal to what their predecessors had shown against the Stuarts. They insisted, at a time when government was felt to be less oppressive than it had been for two hundred years, that it was necessarily -by its very nature- hostile to human liberty and happiness ; that, properly, it existed only on the tolerance of the people whose needs it served ; and that it could be, and reasonably should be, dismissed -overthrown- if it attempted to exceed its proper jurisdiction. It was the better to maintain this vigil against governement that they avocated reforms -political reforms, not social or ecenomic reforms, for these were eighteenth, nor nineteenth, or twentieth-century English Radicals- beyond anything admissible in Walpole's age, or indeed in any age that followed in England until well into the nineteenth century. At one time or another, one or another of them argued for adult manhood suffrage ; elimination of the rotten borough system and the substitution of regular units of representation systematically related to the distribution of population ; the binding of representatives to their constituencies by residential requirements and by instructions ; alterations in the definition of seditious libel so as to permit full freedom of the press to criticize government ; and the total withdrawal of government control over the practice of religion. Such ideas, based on extreme solicitude for the individual and an equal hostility to government, were expressed in a spirit of foreboding and fear for the future. For while they acknowledged the existing stability and prosperity of England, they nevertheless grounded their thought in pessimism concerning human nature and in the discouraging record of human weakness." -Bernard Bailyn, The Ideological Origins of the American Revolution, Cambridge (Massachusetts), Harvard University Press, 1992 (1967 pour la première édition états-unienne), 396 pages, p.46-48. -
Mélenchon, le Tout Petit Père des Peuples
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Johnathan R. Razorback dans Politique, droit et questions de société
Ce qui n'empêche pas des esprits faibles de soutenir cette thèse (dans les commentaires du Point par exemple). -
Je raconte ma life 8, petits suisses & lapidations
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Cugieran dans La Taverne
Blague à part, les Français sont et moins monarchistes et moins régicides que ... les Britanniques. -
Je raconte ma life 8, petits suisses & lapidations
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Cugieran dans La Taverne
"On pourrait dire que la France est un pays de monarchistes régicides." -Emmanuel Macron. -
Macron : ministre, candidat, président... puis oMicron
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Nigel dans Politique, droit et questions de société
Surtout que le franc suisse est réputé solide. -
Macron : ministre, candidat, président... puis oMicron
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Nigel dans Politique, droit et questions de société
Il faudrait songer à créer un indice de liberticitude d'oppression politique. L'indice de liberté économique c'est bien mais pas suffisant. En plus on ne parle pas d'un service militaire obligatoire. On parle d'une parodie de service miliaire. C'est l'extension du domaine de la garderie qu'est devenue l'Ednat. -
Mes lectures du moment
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Bastiat dans Lectures et culture
Les sentiments sont les conséquences d'évaluations (conscientes ou non). Ils sont adéquats ou non en fonction de la validité des évaluations antérieures. -
Macron : ministre, candidat, président... puis oMicron
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Nigel dans Politique, droit et questions de société
Je suis consterné de la nomination de Castaner, lèche-cul et prototype avancé de dernier homme nietzschéen... Pendant ce temps, les dépenses publiques explosent gaiement et @Tramp est bien parti pour gagner son pari sur qui sera le pire Président de la Vème ... : -
Je ne vois pas bien ce que le mot de complicité vient faire là-dedans. Tu penses que l'Etat aurait dû refouler ces gugus à la frontière ?
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Y a pas d'unité de la gauche sur l'islam. Ni sur grand chose, à vrai dire.
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Mes lectures du moment
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Bastiat dans Lectures et culture
Je ne pense pas que ce soit la conclusion à tirer de ce genre d'ouvrages. -
Les droitards, quelle plaie
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Nick de Cusa dans Politique, droit et questions de société
A titre personnel et jusqu'à rencontrer de meilleurs arguments, je suis pour la désétatisation de la monnaie. Je ne vois pas en quoi ce serait une fonction régalienne, étalon-or ou pas. Certains diront que c'est secondaire mais en dehors du fait que Gave ne soit plus libéral (il ne reste plus qu'une demi-défense de la liberté économique, elle-même alambiquée), je remarque que sa pensée est entachée de relativisme. Il proteste contre l'absence de souveraineté qui vide la démocratie de toute substance (je cite "En France ça ne sert plus à rien de voter"). Mais quand il parle de la Chine, l'absence de démocratie ne lui semble plus critiquable ? ...- 3 507 réponses
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Images pas cool, justice sociale & steaks saignants
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Lancelot dans La Taverne
ça sert à faire parler Foucault et les foucaldiens les cons. Je suis quand même un gars consciencieux, je me suis donc commandé F. Denord et S. Audier il y 20 minutes*, histoire de vérifier qu'il y a bien accumulation de couches de contresens sur la base d'une mécompréhension initiale ; ça va me faire une note** pour un cours. *Oui, c'était avant de découvrir à quel point Liborg est un éternel retour du même ** Qui ne sera peut-être pas bonne si je me laisse trop aller à dire qu'on raconte n'importe quoi sur le (néo)libéralisme. Je vais devoir être prudent sur ce coup là. -
Les droitards, quelle plaie
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Nick de Cusa dans Politique, droit et questions de société
Pas inintéressant.- 3 507 réponses
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Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Bastiat dans Lectures et culture
C'est très attristant de voir qu'on propose d'opposer à l'esprit de dogmatisme un relativisme ou un historicisme (là où la neutralité axiologique wébérienne -à ne pas confondre avec le scepticisme personnel de Weber- suffirait): "Un historien des idées qui reculerait devant l'historicisation et la relativisation des valeurs et des convictions censées intangibles de son temps et de son milieu, qui croirait à quelque chose comme une vérité enfin atteinte en son temps dans les savoirs sur l'homme et la société, à une normalité contemporaine, qui penserait que, comme par hasard, le monde a adhéré enfin aux vraies valeurs et décisivement progressé en vérité et en rationalité à son époque, ce qui lui permet de juger avec un recul condescendant des erreurs, des chimères et des mythes du passé à l'aune d'un savoir bien étayé, un tel historien devrait changer de métier. Une autre attitude connexe non moins discutable est celle de l'historien qui, après avoir dûment montré l'historicité contingente, les variations des notions de "liberté", "démocratie", etc., arrive avec sa propre définition censée intemporelle et neutre. Historiciser, c'est écarter l'idée que nous puissions, nous, sortir du cours de l'histoire pour produire une définition transcendantale d'un concept. C'est ce que Quentin Skinner objectait à la théorie libérale d'Isaiah Berlin: élaborer, comme prétendait faire celui-ci, une définition neutre et transcendantale de la Liberté était "une illusion"." -Marc Angenot, L'Histoire des idées. Problématiques, objets, concepts, méthodes, enjeux, débats, Presse Universitaires de Liège, coll. Situations, 2014, 392 pages, p.334. -
TIL - today I learnt...
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Hayek's plosive dans La Taverne
« Les Bolcheviks érigèrent à Moscou un buste de Thomas More. » -Marc Angenot, L'Histoire des idées. Problématiques, objets, concepts, méthodes, enjeux, débats, Presse Universitaires de Liège, coll. Situations, 2014, 392 pages, p.321. -
Mes lectures du moment
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Bastiat dans Lectures et culture
Les idées (en l'occurence le substitionnisme) sont toujours plus anciennes que ce que l'on croit: « Au tournant du XIXème siècle, dans la propagande socialiste, le mandat "historique" de préparer la Révolution qui anéantira le capitalisme et le pouvoir de la bourgeoisie glisse des mains de la passive et "veule" masse prolétarienne pour devenir la mission du seul Parti et de ses militants. C'est ici une évolution décisive de l'histoire idéologique moderne. Les "masses", finit-on par constater, ne répondent pas, en leur majorité, à l'Appel de l'histoire. Elles demeurent assoupies dans une "torpeur" résignée. La conscience leur fait défaut et aussi, ajoute-t-on, la "virilité"[Le Parti ouvrier, 5 février 1889, p.1]. En vain, on les tance, on les secoue: "Voyons, peuple d'exploités, masse d'esclaves du Capital, ouvriras-tu les yeux ?" [L'Affamé, anarchiste, 13 juillet 1884, p.1]. La propagande continue machinalement à rêver à "une classe ouvrière qui marche unie, compacte vers son émancipation politique et sociale" [Le Prolétariat, 1 mars 1890, p.1], mais seule la minorité organisée, finalement, lui apparaît porteuse de la conscience historique et prête à "jouer son rôle". Ce sont les seuls prolétaires "conscients et organisés" (épithètes homériques favorites de Jules Guesde), c'est-à-dire les membres du Parti qui sont alors appelés à jouer le rôle d' "accoucheurs du grand renouveau social" et il convient de leur faire sentir leur supériorité sur ces "masses amorphes" pour lesquelles ils se dévouent sans compter [Frédéric Stackelberg, Vers la société communiste, Nice, Au droit du peuple, 1909, p.15]. La propagande socialiste passe ainsi de la dévolution du grand rôle historique au "parti de classe" [Almanach du Parti ouvrier 1892, p.17]. Tout ceci, qui est abondamment attesté en France vers 1900, fait plus que préfigurer le léninisme qui n'est que la version russe de cette évolution significative du discours de l'Internationale au tournant du siècle. Bientôt, assure-t-on du côté des guesdistes français, "le Parti Socialiste [le parti, pas la classe !] aura accompli la mission historique qui lui est assignée dans la grande transformation sociale qui s'impose au monde entier" [Ghesquière, La Défense, Troyes, 18 janvier 1907, p.1]. » -Marc Angenot, L'Histoire des idées. Problématiques, objets, concepts, méthodes, enjeux, débats, Presse Universitaires de Liège, coll. Situations, 2014, 392 pages, p.231. -
Ontologie, épistémologie, esthétique
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Johnathan R. Razorback dans Philosophie, éthique et histoire
Si, bien sûr. Mais l'apparition de la photographie (d'un objet technique ou d'une technique quelconque), est un phénomène historique. On n'est pas sur le terrain philosophique (ontologie de l'art, esthétique normative, etc.). De plus, je suis convaincu que la photographie n'est qu'une cause parmi d'autres, et sans doute pas la plus importante (contrairement aux apparences). -
Ontologie, épistémologie, esthétique
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Johnathan R. Razorback dans Philosophie, éthique et histoire
J'ai relu une fois de plus le texte de Pouivet (cf mon post ci-dessus du 17 septembre). Son argumentation est quand même difficilement convaincante. D'abord il commence par poser un accord inter-subjectif sur la beauté du papillon. Mais n'est-ce pas justement ce qui fait problème ? Il y a-t-il une quelconque chose qui soit unanimement reconnue comme belle ? Certains ici ont fait allusion à des recherches sur la perception de la beauté humaine, qui dépendraient d'estimation de la santé de la personne observée, de sa symétrie, etc. Admettons donc qu'il existe un consensus formel minimal chez les humains sur ce qu'est une belle personne. Qu'est-ce que ce consensus prouve s'agissant de la chose elle-même ? Le fait que les subjectivités s'accordent ne prouvent pas qu'elles aient raison de le faire sur un contenu déterminé quelconque... Ensuite Pouivet nous dit qu'une fois perçu le beau papillon, on ne peut plus l'imaginer laid sans modifier abusivement sa nature. Pourtant, il y a bien des gens dont les jugements esthétiques changent. Si le beau est objectif, comment peut-on expliquer l'erreur esthétique ? -
Écologie, développement Duracell & topinambours
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de ModernGuy dans Politique, droit et questions de société
C'est la lutte finale convergence des luuuuuttes...- 5 513 réponses
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