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Tout ce qui a été posté par Johnathan R. Razorback
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Le féminisme
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Taranne dans Politique, droit et questions de société
D'ailleurs les hommes se suicident plus (et pratiquent plus de "conduite à risques"). -
Ontologie, épistémologie, esthétique
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Johnathan R. Razorback dans Philosophie, éthique et histoire
Je pense pas que l'esthétique déchaîne les passions (quoique...), et les autres threads de philo peine à décoller je trouve. D'ailleurs personne n'a répondu à celui que je viens d'ouvrir sur l'Etat -
Macron : ministre, candidat, président... puis oMicron
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Nigel dans Politique, droit et questions de société
C'est vrai qu'il est doué en communication, notamment la technique des fausses fuites contrôlées (que Wauquiez aime bien aussi). #pognon-de-dingue -
Les droitards, quelle plaie
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Nick de Cusa dans Politique, droit et questions de société
Oui enfin, ça et les Arabes, comme dirait @Tramp. Les chances de succès sont inexistantes. Supposons qu'il soit élu député européen (10 000 euros mensuel tout de même), que pourrait-il bien faire pour faire progresser le libéralisme ? Le Parlement n'a pratiquement aucun pouvoir dans les institutions communautaires, c'est un gris-gris inventé pour donner une allure de démocratie à l'UE. Et en plus la "crise migratoire" semble beaucoup plus le préoccuper.- 3 507 réponses
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Les droitards, quelle plaie
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Nick de Cusa dans Politique, droit et questions de société
Possible, mais là on a franchi un nouveau palier, peut-être irréversible. C'est la mauvaise nouvelle du jour. Gave n'est sans doute plus libéral, mais il l'a été, et il est identifié comme tel. Et il a un lectorat. Et d'après les réactions que je vois, la majorité semble accepter l'idée de voter DPA maintenant... Et ce n'est pas la première fois que des libéraux ou des intellectuels français proche du libéralisme vont se perdre à droite*, parfois sans retour. Faute d'un parti pour attirer et garder ses cadres, non seulement le libéralisme français ne perce pas, mais il recule... *Ce qu'on ne peut même pas attribuer au syndrome de Pareto, car la menace de l'extrême-gauche est inexistante. C'est bien l'immigration qui détermine principalement les dérives droitières.- 3 507 réponses
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Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Nick de Cusa dans Politique, droit et questions de société
Je le reposte ici:- 3 507 réponses
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Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Nick de Cusa dans Politique, droit et questions de société
Parle pas de malheur. Il nous saloperait encore plus notre image avec son national-"libéralisme".- 3 507 réponses
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Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Nick de Cusa dans Politique, droit et questions de société
C'est déjà vu. Jean-Jacques Rosa (membre des nouveaux économistes) avait pareil rejoint Debout la République dans les années 2000 (je ne sais pas si c'est encore le cas). Le gain est matière de libéralisme est inexistant.- 3 507 réponses
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Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Bastiat dans Lectures et culture
La Grève en 6 jours ? Après le côté relou de lire vite, c'est que mon regard est attiré par les dialogues de bas de page dans les romans, et des fois je me spoil ma lecture xd. -
Les droitards, quelle plaie
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Nick de Cusa dans Politique, droit et questions de société
Oh dieux tout ce pragmatisme... "Alors bien sur, vous trouverez dans le programme des passages qui nous aussi nous font un peu serrer les dents sur la nécessité d’un état stratège etc etc mais comme Charles le disait dans son article, la question n’est pas d’être d’accord sur tout mais de pouvoir travailler en faisant des compromis qui ne sont des compromissions pour aucun des deux." Et en plus Debout la France a débauché Bernard Monot, l'économiste du Front National pendant des années ! Mais ça vend du rêve ! En jouant bien la carte Gave, DPA pourrait arriver à manger l'électorat de droite d'une Virginie Calmels.- 3 507 réponses
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Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Nick de Cusa dans Politique, droit et questions de société
C'est tellement vrai si on se souvient du soutien de Salin & Garello à Fillon...- 3 507 réponses
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Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Nick de Cusa dans Politique, droit et questions de société
Après, ils n'ont pas torts sur ce point précis: "Si j’aime Ayn Rand, je ne crois pas à la Technique de la grève et de la mort par épuisement." Mais c'est incompréhensible d'aller vendre ses fesses à DPA alors qu'il y a des micro-partis libéraux en France qui peinent à émerger...- 3 507 réponses
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Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Nick de Cusa dans Politique, droit et questions de société
Et le plus grave ce sont les commentaires: "C’est un probleme de priorités. A quoi bon soutenir le libéralisme si les bases nécessaires à celui ci, à savoir, une civilisation basée sur la liberté individuelle et l’apologie de la raison disparaissent.L’ideologie globaliste n’est pas compatible avec ce schema puisqu’elle supprime la notion de souveraineté et donc d’élus comptables devant les peuples et qu’elle pousse à une immigration massive de remplacement nous amenant vers de graves troubles. NDA n’est pas ma tasse de thé sur le plan de l’économie mais c’est une personne raisonnable avec qui des libéraux pragmatiques peuvent trouver un terrain d’entente notamment sur le niveau des depenses publiques et de la redistribution. Rappelons quand meme que la France gaullienne malgré ses defauts c’était seulement 35% de depenses publiques par rapport au PIB. Je fais la meme analyse que Gave (j’étais deja convaincu avant de lire ses papiers) et la survie de la civilisation occidentale est une priorité."- 3 507 réponses
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Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Nick de Cusa dans Politique, droit et questions de société
Putain mais la droite va finir par bouffer les derniers libéraux de ce pays, à ce rythme. La vieillesse est un naufrage. Sinon, cette annonce montre à quel point DPA a bien rebondi, lui qui était dans les choux aux dernières législatives (Le Pen l'ayant trahi en présentant des candidats contre les siens).- 3 507 réponses
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Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Bastiat dans Lectures et culture
C'est quoi TLDR ? @NoName: mais tu as besoin de plus de 2 minutes pour lire 3 paragraphes ? -
Ontologie, épistémologie, esthétique
Johnathan R. Razorback a posté un sujet dans Philosophie, éthique et histoire
Vu qu'il y a déjà des fils sur l'anthropologie et l'éthique, j'ouvre celui-ci pour discuter des autres domaines philosophiques majeurs. Je commence avec une critique thomiste de l'épistémologie de Kant (entre autres): http://salve-regina.com/index.php?title=Le_nominalisme_et_les_systèmes_adverses -
Ces phrases qui vous ont fait littéralement hérisser le poil 2
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Mathieu_D dans La Taverne
L'abolition de l'héritage est d'ailleurs l'une des mesures de "transition révolutionnaire" mentionnée dans le Manifeste communiste. -
Le féminisme
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Taranne dans Politique, droit et questions de société
J'ai envie de dire qu'il faut traiter le féminisme exactement comme les autres courants qui ne sont pas intrinsèquement incompatibles avec le libéralisme (tels le socialisme ou le fascisme). Il y a -historiquement- eu des démocrates libéraux (sans doute minoritaires) et des démocrates antilibéraux. Ce n'est pas suffisant pour tirer une conclusion pour ou contre la démocratie. Idem pour le royalisme. Et ça ne veut pas dire que la nature du meilleur régime n'est pas une vrai question politique. Il y a une pensée "écologiste", une manière de penser la relation de l'Homme à son environnement qui peut être libérale (éco-capitalisme, environnementalisme de libre-marché, appelez-ça comme vous voulez). Et puis il y a des courants écologistes, majoritaires, qui sont liberticides. Et ça ne veut pas dire que les questions environnementales ne se posent pas. Il y a un syndicalisme soluble dans une société libre. Et puis il y a un syndicalisme de lutte des classes qui veut utiliser l'Etat à l'encontre du capitalisme. Et ça ne veut pas dire que les syndicats devraient être interdits. Il y a un patriotisme spontané et naturel. Et puis il y a l'amputation nationaliste, qui fait de la nation la seule valeur (cf les magnifiques Lettres à un ami allemand d'Albert Camus). Et ça ne veut pas dire qu'on doive abolir les nations pour abolir le nationalisme (ce qui était l'idée de Julien Benda, et de combien d'autres depuis. Une véritable contre-amputation). Idem du féminisme. Les libéraux doivent attirer la partie saine de chacun de ces mouvements. Diviser pour régner. Et pour montrer à l'opinion publique que les solutions libérales sont les meilleures réponses à leurs préoccupations. -
Le féminisme
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Taranne dans Politique, droit et questions de société
Il y a un féminisme qui est libéral, et il y a un féminisme communautariste de guerre des sexes qui relève d'une généralisation abusive, collectiviste, essentialiste et SEXISTE -on peut légitimement parler de pathologie mentale. Voici un excellent exemple: "Même si j’ai plutôt lancé cette suggestion en blague, plus je songe à l’idée d’un couvre-feu pour les hommes, plus elle me semble raisonnable. Pourquoi permettrait-on aux hommes de circuler librement dans ce monde, alors qu’ils ont démontré encore et encore qu’ils ne peuvent pas – ne veulent pas – laisser les femmes tranquilles, cesser de les harceler, les violer, les droguer, les traquer, les siffler comme si elles étaient des chiens, les tripoter et s’exhiber devant elles ? Ce sont nous, les femmes, qui souffrons et vivons dans la crainte. [...] ça communiquerait sûrement le message que nous prenons au sérieux le comportement des hommes et qu’il a cessé d’être acceptable. Cela permettrait sûrement aux femmes de circuler de façon plus sécuritaire la nuit – sur les campus, dans leurs maisons, dans les bars et aux arrêts d’autobus. Ça aurait certainement l’avantage d’énoncer le problème. Cela dirait, de façon non équivoque, « Le problème c’est vous, les hommes. Vous êtes le problème, et c’est donc à vous qu’il faut faire échec. »." (cf: https://tradfem.wordpress.com/2016/01/21/meghan-murphy-il-est-grand-temps-denvisager-un-couvre-feu-pour-les-hommes/ ) Ce type de féminisme est liberticide (et délirant) et doit être combattu avec tout l'acharnement nécessaire. -
Le féminisme
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Taranne dans Politique, droit et questions de société
Pas encore écouté mais ce serait bien de s'intéresser à ce que les féministes libérales / libertariennes ont à dire, notamment pour développer nos idées auprès des femmes (domaine où, chacun le sait, nous avons d'immenses marges de progression): @Nigel pourrait peut-être traduire un passage pertinent de cette intervention ? -
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Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Bastiat dans Lectures et culture
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Le féminisme
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Taranne dans Politique, droit et questions de société
Il y a le pillage, mais il y a aussi le constructivisme: https://www.contrepoints.org/2012/12/02/106509-le-feminisme-est-un-constructivisme Les féministes non-libérales sont comme les conservateurs et tant d'autres, elles veulent juste le pouvoir de régir la manière de vivre des autres. Tant il est vrai que les hommes sont animés par "l'appétit de voir vivre les autres selon sa propre complexion" (Spinoza). -
Le féminisme
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Taranne dans Politique, droit et questions de société
Humm, femmes juives immigrées fuyant le totalitarisme, ayant acquises la nationalité états-unienne. Penseurs politiques, philosophes. N'aiment pas le communisme et les gauchistes Trouvent que les Founding Fathers avaient la classe. Fumaient beaucoup de cigarettes. -
Le féminisme
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Taranne dans Politique, droit et questions de société
Corrigé. (grillé par @Extremo). (C'est une grosse méprise dans la mesure où Arendt n'était pas libérale, juste anti-communiste. « La théorie d’Adam Smith […] dit qu’une “main invisible” dirige l’ensemble de façon que si chacun défend son intérêt particulier, tous ces intérêts particuliers s’additionneront et donneront l’intérêt général. Je considère cette théorie comme l’une des théories les plus nuisibles, les plus malfaisantes et aussi les plus erronées qui soient. » -Hannah Arendt. « Hannah Arendt, mais aussi […] Carl Schmitt […] tiennent tous deux pour incompatibles la démocratie et le libéralisme. » -Hauke Brunkhorst, « Droits de l’homme et souveraineté – un dilemme ? », Trivium [En ligne], 3 | 2009, mis en ligne le 15 avril 2009, consulté le 31 mars 2018.) -
L'autre soir je n'arrivais pas à m'endormir, et comme je suis incapable de compter les moutons, je me suis plutôt demandé si on ne pourrait faire quelque pour améliorer la définition wébérienne de l'Etat. Weber explique que: "S'il n'existait que des structures sociales d'où toute violence serait absente, le concept d'État aurait alors disparu et il ne subsisterait que ce qu'on appelle, au sens propre du terme, l'« anarchie ». La violence n'est évidemment pas l'unique moyen normal de l'État, - cela ne fait aucun doute - mais elle est son moyen spécifique. De nos jours la relation entre État et violence est tout particulièrement intime. Depuis toujours les groupements politiques les plus divers - à commencer par la parentèle - ont tous tenu la violence physique pour le moyen normal du pouvoir. Par contre il faut concevoir l'État contemporain comme une communauté humaine qui, dans les limites d'un territoire déterminé - la notion de territoire étant une de ses caractéristiques - revendique avec succès pour son propre compte le monopole de la violence physique légitime. Ce qui est en effet le propre de notre époque, c'est qu'elle n'accorde à tous les autres groupements, ou aux individus, le droit de faire appel à la violence que dans la mesure où l'État le tolère : celui-ci passe donc pour l'unique source du « droit » à la violence." ("Le métier et la vocation d'homme politique", in Le Savant et le Politique, 1919) Or cette définition pose plusieurs problèmes. D'abord celui de la violence légitime -notion bien critiquée par de Jasay dans L'Etat. Weber écrit dans le même texte que la violence légitime est celle qui est reconnue comme légitime. Or manifestement une telle violence ne peut jamais être monopolisée. D'abord parce qu'on ne voit pas très bien ce que veut dire pour le criminel lambda que la violence exercée contre lui serait légitime, alors que la violence du gang rival ne le serait pas. Ensuite parce que dans les sociétés modernes, les principes de légitimité sont généralement divers et contradictoires, si bien que des individus différents ne reconnaissent pas de légitimité aux mêmes types de violence. L'existence de l'anarchisme suffit à disqualifier que la violence légitime puisse être monopolisée. Ensuite Weber n'explique pas la relation entre violence et légitimité (comment passe-t-on de l'un à l'autre ?), ni l'origine de l'Etat. Je ne suis pas sûr non plus que son idée que l'Etat moderne se distingue en tant qu'unique source du droit à la violence soit très valable. Du coup, j'ai tenté une définition alternative: "L'Etat est l'organisation qui, dans une société donnée, dispose de la plus grande aptitude à faire preuve de la plus grande violence, et qui tire de cette puissance la capacité d'exercer le commandement politique, ainsi que celle de forcer ou persuader presque unanimement les autres membres de la société qu'elle seule est légitime à user de la violence (ou à déterminer les conditions acceptables du recours à la violence)." Cette définition a un défaut mais plusieurs avantages. Le défaut est qu'elle est "éternaliste" -puisqu'il a toujours un commandement politique qui s'exerce dans la société, il y a toujours un Etat au sens de ma définition. C'est une définition qui ne permet pas de rendre compte de l'Etat comme phénomène historique, moderne, par rapport à d'autres formes d'entités politiques. Du coup, peut-être n'est pas une définition de l'Etat mais d'un ensemble dont l'Etat ne serait qu'un sous-type (la classe politique peut-être) ? Les avantages sont que cette définition explicite la relation entre l'Etat et la violence. L'Etat n'est pas l'organisation qui aurait la violence pour moyen spécifique (la mafia aussi), mais l'organisation la plus puissante en termes de potentialités de violence physique. L'Etat est "la coalition des plus forts" comme l'explique bien Simmonot dans ses 39 leçons d'économie contemporaine. De plus, cette définition explique la légitimité comme effet de cette force supérieure. C'est elle qui permet de se faire obéir et, par accoutumance (Weber dirait: légitimité traditionnelle) et par combinaison de moyens de commandement, l'Etat parvient à transformer sa violence en obéissance, qui tend elle-même à être vécue subjectivement comme une obéissance légitime (parce que personne n'aime penser qu'il obéit uniquement par peur de la violence, et parce que les moyens étatiques de se faire obéir ne se limitent effectivement pas à cela, même s'ils s'originent là). C'est donc (en grande partie) grâce à sa violence supérieure que l'Etat parvient à être reconnu comme légitime. La légitimité n'est pas quelque chose qui apparaît ex nihilo et s'ajoute sans raisons à la violence étatique (c'est l'impression que donne la définition de Weber). Mais ce processus n'est pas parfait, si bien qu'on ne peut pas parler d'une violence légitime étatique comme d'un monopole. A la rigueur on peut dire que l'Etat cherche à la monopoliser ou y parvient mieux que d'autres groupes, mais ce n'est pas sa caractéristique la plus remarquable ou la plus importante.
