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Tout ce qui a été posté par Johnathan R. Razorback
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Ces petites phrases qui vous ont fait plaisir…
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Non dans La Taverne
La compétition va être rude -
Les droitards, quelle plaie
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Nick de Cusa dans Politique, droit et questions de société
Le nombre de doctrines qui se prétendent "une troisième voie" entre libéralisme et marxisme est en fait immense. C'est le côté prestige du "rejet de la fausse alternatives" et du dépassement des opposés. L'écologisme non-socialiste se qualifie lui aussi de troisième voie (je ne retrouve pas le document mais l'expression apparaît aussi dans une déclaration de principes de EELV): http://www.persee.fr/doc/mat_0769-3206_1999_num_55_1_405730- 3 507 réponses
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Les droitards, quelle plaie
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Nick de Cusa dans Politique, droit et questions de société
De tous, de tous... Tu passes un peu vite (entre autres) sur l'antisémitisme de gauche, très présent chez les socialistes du XIXème siècle avant de se déporter quasi-exclusivement à l'extrême-droite. « Le Juif est la plaie de l'Humanité, l'ennemi de toutes les nations. » -Charles Fourier, cité dans Louis-Ferdinand Céline, Bagatelles pour un massacre. « Fourier adapte le stéréotype du « Juif usurier » à l’époque du capitalisme triomphant et des « progrès de l’esprit mercantile », qui est en même temps celle de l’émancipation des Juifs. Commis de magasin qui déclarait à trente-cinq ans, sans modestie, venir « dissiper les ténébres politiques et morale » pour bâtir « la théorie de l’Harmonie universelle », Fourier, le rêveur de « cités radieuses », voit dans l’entrée en citoyenneté des Juifs la pire des calamités de la société industrielle naissante. » -Pierre-André Taguieff, La Judéophobie des Modernes : Des Lumières au Jihad mondial, Odile Jacob, 2008, p.98-99.- 3 507 réponses
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Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Nick de Cusa dans Politique, droit et questions de société
Les deux sont des formes de planisme, sans doute moins avancé dans le cas du New Deal (mais je ne l'ai pas assez étudié pour être sûr à 100%). En revanche il y a certaines différences importantes. Roosevelt n'a pas interdit les syndicats, par exemple, ce serait sans doute même le contraire. Ce qui n'est qu'un signe parmi d'autres que l'étatisme (d'extrême)droite et l'étatisme de gauche divergent. Nuances qu'on risque de rater lorsque se met à dire que l'extrême-droite était socialiste.- 3 507 réponses
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Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Nick de Cusa dans Politique, droit et questions de société
Reste toujours la possibilité que tout ceux que j'ai mentionné aient infâmement mécompris Kant... Mais quand même. Quand une philosophie génère ce genre de développements, il faut se demander si elle n'y prêtait pas le flanc (et vu que tu as toi même introduit jadis la question de la relation du nazisme à Nietzsche, je ne vois pas pourquoi celle du kantisme au socialisme ne serait pas elle aussi légitime). « Les doctrines se jugent surtout par leurs produits, c’est-à-dire par l’esprit des doctrines qu’elles suscitent : or, du kantisme, sont sorties l’éthique de Fichte, qui est déjà imprégnée de socialisme, et la philosophie de Hegel dont Marx fut le disciple. » -Émile Durkheim, L’individualisme et les intellectuels, La Revue des deux mondes (juillet 1898). Certes, chez Durkheim et d'autres, ont est plus sur de la social-démocratie que du socialisme: "Dans le même temps, à la lumière de Kant, des philosophes comme Séailles et Secrétan cherchent à ouvrir la voie à une philosophie sociale et à rompre avec le vieil individualisme comme avec sa tentative de dépassement socialiste." -Michel Leymarie, De la Belle Époque à la Grade Guerre. Le triomphe de la République (1893-1918), Librarie Générale Française, coll. La France contemporaine, 1999, 379 pages. C'est Mises qui se plaignait le premier (je veux dire avant Rand) des effets du retour en grâce du kantisme dans le second XIXème. Il attaque Cohen et son école dans Le Socialisme (1922): « L'idée que l'humanité a le privilège de devoir être traitée comme une fin conduit à l'idée du socialisme, du fait que tout homme doit être défini comme une fin dernière, comme une fin en soi. » -Hermann Cohen, Ethik des reinen Willens, Berlin, 1904.- 3 507 réponses
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Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Nick de Cusa dans Politique, droit et questions de société
La vraie réussite du socialisme lui vient de l'extérieur, du succès du kantisme et de la prémisse déontologique suivant laquelle la moralité est une affaire de conformité de la volonté à une règle a priori, indépendamment des conséquences. Comme par hasard Jaurès ou Durkheim admirait Kant. Les néo-kantiens allemands ont viré socialistes à la fin du 19ème. Et toutes les tentatives de remédier à l'absence de doctrine morale chez Marx ont pris la direction de tentatives de synthétiser Marx et Kant (et ça continue de nos jours: http://actuelmarx.parisnanterre.fr/alp0027.htm ) Par paragraphe un mot célèbre de Péguy : Le socialisme a le cœur pur, mais il n'a pas de cervelle. "Les intentions comptent peu ; ce qui [...] importe sont les effets qu’elles engendrent." -Gilles Labelle, dialogue avec Dalie Giroux, 31 janvier 2010.- 3 507 réponses
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Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Nick de Cusa dans Politique, droit et questions de société
Il disait aussi que prendre une revanche militaire sur la France était indispensable à terme. Beaucoup de gens (en France) ont fait des efforts remarquables pour se mettre la tête dans le sable et oublier ce qui les attendaient.- 3 507 réponses
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Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Nick de Cusa dans Politique, droit et questions de société
1): Mais tous le monde veut un monde meilleur (la gauche n'a aucun magistère moral à faire valoir). C'est lorsqu'on commence à définir le Bien que les problèmes et les divisions apparaissent. Le militant national-socialiste de base ne voulait probablement pas plus les chambres à gaz que le militant communiste le Goulag. Simplement, il faudrait que l'Etat reprenne le dessus sur l’enrichissement indu de ces juifs banquiers qui nous extorquent, nous autres chrétiens*. Et qui en plus affaiblissent le pays en favorisant une idéologie internationaliste révolutionnaire (Marx et Trotsky ne sont-ils pas juifs ?) et matérialiste. Et puis le pays est injustement humilié par des traités scélérats qui lui imputent unilatéralement la responsabilité de la dernière guerre. Si seulement il y avait de vrais chefs pour nous défendre à la tête de l'Etat, et pas des parlementaires bavards et incapables de s'entendre. En plus les autres ont échoué à résoudre le chômage de masse, pourquoi ne pas laisser une chance à Hitler ? *Argumentaire particulièrement efficace auprès de la paysannerie allemande en proie à de grandes difficultés et perpétuellement endettée vis-à-vis des banques. 2): De quoi ?- 3 507 réponses
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Ces phrases qui vous ont fait littéralement hérisser le poil 2
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Mathieu_D dans La Taverne
Le colloque illustre à quel point le libéralisme de l'époque était en crise (et faible). Lippmann lui-même était déjà passé du coté redistributiste de la Force, et il n'était pas le seul. C'est un peu l'arrivée en Europe continentale du "new liberalism" apparu au Royaume-Uni quelque décennies plus tôt, et qui se portait aussi très bien au USA. -
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Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Bastiat dans Lectures et culture
Oui, parce que ce n'est pas le but de l'ouvrage, et que je n'ai pas tout retranscrit niveau législation "sociale", pour ne pas être trop indigeste. Mais il y a nettement un tournant qui s'opère à la fin du 19ème début 20ème. Comme par hasard, c'est l' "ère progressiste" aux USA et la formation du "new liberalism" au Royaume-Uni. (+ le conservatisme social en Allemagne). En gros, il me semble que les doctrines et les premières bases du welfarism se soient développées au moment où un certain nombre de sociétés occidentales basculaient définitivement vers des formes de sociétés industrielles (1900 et quelques, c'est l'apogée du nombre d'ouvriers français en % de la population active). La simultanéité du phénomène peut donner l'impression que c'était inéluctable. Il est aussi intéressant de voir que le premier welfare-state a été développé par les centristes, opportunistes, modérés, radicaux et autres radicaux-socialistes. Les communistes n'existaient pas, les socialistes étaient dans l'opposition. Ceci soit dit à propos de la nocivité des "pragmatiques" et autres personnes de "bon sens". -
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Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Bastiat dans Lectures et culture
Les origines de l'Etat-providence à la française... -
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Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Nick de Cusa dans Politique, droit et questions de société
Si tu penses à l'anarcho-primitivisme, c'est un socialisme. C'est juste que les biens collectivisables n'incluent évidemment pas les usines ou moyens de production modernes. Le socialisme se définit par la socialisation des moyens de production. Et il est de facto égalitariste puisque tous les membres de la communauté ont le même degré de contrôle sur ces moyens (c'est le côté "démocratique"). Parfois certains socialistes ajoutent un égalitariste des revenus des producteurs, mais Marx et Engels ont rejetés explicitement ce point. Et les bolcheviks ne l'ont pas appliqué, tous simplement parce que rémunérer également des productivités différentes incite puissamment à ne rien foutre*, comme tout critique de l'égalitarisme un minimum lucide s'en aperçoit. *Cf le chapitre de La Grève sur le socialisme autogestionnaire / volontaire, qui est juste génialement vu. Le saint-simonisme est plus une forme technocratique de Welfare-State. Il ressemble au "socialisme" fabien britannique.- 3 507 réponses
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Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Nick de Cusa dans Politique, droit et questions de société
Certes. Mais autre chose est une classe, autre chose une minorité culturelle / confessionnel. Il y a des points communs entre nazisme et communisme (que les communistes ne veulent pas voir), mais ça ne veut pas dire que le nazisme est un socialisme. "Si on entend par socialisme un régime où les différences de classe sont supprimées ou du moins réduites, aucun régime n'est aussi peu socialiste que le national-socialisme. Non seulement on y proclame la nécessité de donner libre jeu à l'initiative individuelle, non seulement on maintient et renforce l'autorité de l'employeur qui devient "führer", mais encore on ne touche pas à la répartition des profits. Les salaires des ouvriers ont, depuis 1933, plutôt baissé. En dépit de l'augmentation du nombre des travailleurs, le chiffre des revenus ouvriers avait, en 1933, à peine augmenté. Stables en valeur nominale, les salaires ont baissé en 1934 et 35, étant donné la hausse des prix. Il y a bien une loi (4 décembre 1934) qui réserve à l'Etat les bénéfices au-dessus d'un certain pourcentage (6%), mais il est si facile de la tourner, les grandes entreprises industrielles n'ont jamais été si prospère que depuis le nouveau régime. Autorité, propriété, bénéfices, tout reste aux capitalistes. Où est le socialisme ?" -Raymond Aron, Une Révolution antiprolétarienne. Idéologie et réalité du National-socialisme, in Inventaires. La crise sociale et les idéologies nationales, Paris, Alcan, 1936. Repris dans Raymond Aron, Penser la liberté, penser la démocratie, Gallimard, coll. Quarto, 2005, 1815 pages, p.51.- 3 507 réponses
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Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Nick de Cusa dans Politique, droit et questions de société
Force est de constater qu'il a des morceaux de trucs pertinents qui se baladent dans le discours de Lesquen: "Son racisme étant parfaitement réductionniste, le mouvement hitlérien ne pouvait être réellement “national” ou nationaliste, car aucune nation, l’Allemagne pas plus qu’une autre, ne coïncide avec une race (comme la race caucasoïde) ou une sous-race (comme la sous-race nordique de la race caucasoïde). Il était donc en fait européiste : le Troisième Reich était un empire en voie de constitution, non une nation."- 3 507 réponses
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On m'a proposé de le voir (il y a pas mal de promo autour), mais j'ai décliné. Ce que tu dis me confirme dans mon intuition
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Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Nick de Cusa dans Politique, droit et questions de société
1): Quel ouvrage ? (moi je suis dans Les Droites en France de Réné Rémond, même si je ne suis pas forcément d'accord avec toute sa typologie. Je sourcille d'ailleurs quand il voit des éléments d'orléanisme dans l'Action Française). 2): Absolument. Mais ça ne rend pas vrai de dire que "la droite et l'extrême-droite s'y sont majoritairement opposées". Louis de Bonald semble avoir eu quelque propos contre le colonialisme britannique, mais ça ne prouve pas qu'il était hostile au colonialisme en général.- 3 507 réponses
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Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Nick de Cusa dans Politique, droit et questions de société
J'avais anticipé ça et dit d'une manière générale. La paysannerie russe et le bolchevisme, ce ne fut pas exactement une histoire d'amour: https://fr.wikipedia.org/wiki/Révolte_de_Tambov- 3 507 réponses
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Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Nick de Cusa dans Politique, droit et questions de société
Le nazisme et le fascisme sont si peu influencé par le socialisme que la doctrine de la lutte des classes, qu'on trouve même chez des socialistes non-marxistes comme Jaurès ou Blum, est rejeté par l'extrême-droite au nom d'un corporatisme paternalisme. On ne va quand même pas s'affronter entre membres de la même nation race, n'est-ce-pas ? Ci-dessus des extraits du bouquin d'un des principaux théoriciens de l'économie au sein du parti d'Hitler:- 3 507 réponses
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Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Nick de Cusa dans Politique, droit et questions de société
Oui, mais aussi sous les régimes suivant ; ce fut très long parce que la métropole ne voulait pas perdre de l'argent en s'y investissant trop. Du coup notre armée ramait sur place et d'aucun s'inquiétait pour le prestige national: « Je ne crois pas que la France puisse songer sérieusement à quitter l’Algérie. L’abandon qu’elle en ferait serait aux yeux du monde l’annonce certaine de sa décadence. […] Si la France reculait devant une entreprise où elle n’a devant elle que les difficultées naturelles du pays et l’opposition des petites tribus barabares qui l’habitent, elle paraîtrait aux yeux du monde plier sous sa propre impuissance et succomber par son défaut de cœur. Tout peuple qui lâche aisément ce qu’il a pris et se retire de lui-même dans ses anciennes limites proclame que les beaux temps de son histoire sont passés. Si jamais la France abandonne l’Algérie, il est évident qu’elle ne peut le faire qu’au moment où on la verra entreprendre de grandes choses en Europe et non pas dans un temps comme le nôtre et où elle semble descendre au second rang et paraît résignée à laisser passer en d’autres mains la direction des affaires européennes. » -Tocqueville, « Travail sur l’Algérie », 1841, in De la colonie en Algérie, textes choisis et présentés par T. Todorov, Bruxelles, Éditions Complexe, 1988, pp.57-59.- 3 507 réponses
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Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Nick de Cusa dans Politique, droit et questions de société
C'est la thèse de Benoît Malbranque (Le Socialisme en Chemise Brune), mais il ne m'a pas convaincu. Les fascismes sont des anticapitalismes, mais tout anticapitalisme n'est pas socialiste. Car tout dépend de ce par quoi on veut remplacer le capitalisme. Par exemple le nazisme comporte tout un courant dit agrarien qui voulait (à l'instar des nationaux-révolutionnaires de la RC et des völkisch) "déprolétariser" une partie de la classe ouvrière en la renvoyant aux champs, favoriser le maintien d'une économie agricole, etc. Chose inexistante dans le marxisme (et d'une manière générale les socialistes ont ignoré l'électorat paysan).- 3 507 réponses
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Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Nick de Cusa dans Politique, droit et questions de société
Après cette date, la France a colonisé le Maroc, mangé une partie des quelques colonies allemandes après 1918, et j'en oublie. De plus l'anticolonialisme n'est pas simplement une question de "plus de colonisation ou pas" ? ça concerne aussi la possibilité de décoloniser, le traitement des populations, etc. Même si on ne regarde que la période antérieure à 1890, je doute que la droite et l'extrême-droite fussent majoritairement anticolonialistes. Ne serait-ce que parce qu'elles n'en avaient pas grand-chose à faire. D'ailleurs la droite inclut aussi le bonapartisme et le second Empire a colonisé.- 3 507 réponses
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Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Nick de Cusa dans Politique, droit et questions de société
A partir du moment où on a des raisons valables de penser qu'il cherche effectivement à réaliser le programme politique de ladite doctrine. Les revendications verbales, les déclarations ne sont pas suffisantes (sinon Sarkozy serait libéral). Et quand les nazis se revendiquaient du socialisme, il faut pas se laisser abuser par l'identité de mot. C'est l'expression d'un antilibéralisme radical visant une économie corporative (abolition des syndicats, etc), et planifiée (parce que le planisme était considéré par plusieurs courants socialistes comme un étape intermédiaire vers l'abolition du capitalisme, du salariat et des classes sociales -y compris par Marx dans le Manifeste). Ensuite les fascistes italiens ne s'appelaient pas socialistes, eux.- 3 507 réponses
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Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Mathieu_D dans La Taverne
L'antilibéralisme des extrêmes est dangereux, heureusement nous avons le centre pour nous protéger de... Oh putain. (Et après il y a des petites comiques qui viennent expliquer que "l’idée européenne ainsi que l’euro-fédéralisme qui ne sont que les corollaires du libéralisme." cf: https://www.taurillon.org/faut-il-assumer-la-finalite-liberale-de-la-construction-europeenne Je me gausse). -
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Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Mathieu_D dans La Taverne
ça n'existe pas. Les phénomènes sous-jacents sont soit du libéralisme, soit du croynism, et très souvent le second. Les gauchistes mélangent les deux parce que le marxisme enseigne que l'Etat est au service de la bourgeoisie. Du coup, l'intervention comme la libéralisation sont pour eux la même chose, puisque ça sert les intérêts de la même classe dominante. Ce n'est que sur la base de cette prémisse qu'on peut imaginer un truc comme le "néo-libéralisme". D'ailleurs Foucault a été marxiste et même membre du PCF. -
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Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Nick de Cusa dans Politique, droit et questions de société
Certes. Mais dans ce que j'ai pu lire pour le moment, je doute qu'on soit au deux tiers. A l'époque tu avais par exemple l'Alliance Républicaine Démocratique, l'un des partis de la droite "libérale" (c'est le terme que Leymarie utilise mais "patronale" correspondrait mieux aux faits décrits), qui était très lié aux intérêts du "parti" colonial. Je trouverais sûrement d'autres exemples en cherchant.- 3 507 réponses
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