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Flashy

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Tout ce qui a été posté par Flashy

  1. La règle, c'est que tu es soit homme, soit femme. Par exception, le sexe assigné à ta naissance peut ne pas correspondre. Donc tu peux changer de sexe, et devenir homme, ou femme. Problem solved.
  2. Anatèm, tome 1 et 2, de notre petit Neal Stephenson : j'en ai de très très très bons échos.
  3. Flashy

    Gilets jaunes

    Je suis triste pour les Nuits Deboutistes. Malgré leurs grandes ambitions, exprimées avec force gestes rigolos, calendriers marrants & idées lolesques, ils n'ont pas réussi à mobiliser autant et aussi vite qu'une bande de gens normaux, qui se sont organisés à l'arrache par internet. Que ce doit être rageant !
  4. L'existence d'exceptions à une règle ne remet pas en cause la règle. Si on est capable d'être d'accord avec ça, on a fait 99% du chemin sur la question des transsexuels.
  5. Flashy

    Aujourd'hui, en France

    Je ne vois même pas l'objet de la dispute. 1/ Il n'y a aucun problème à coller une fessée, ou lever la main sur son mioche. Tout l'enjeu, c'est simplement de voir si c'est nécessaire et proportionné à la faute, que ça s'inscrit dans une démarche éducative (=/= défoulement). 2/ Faisons une comparaison nulle : je vois ça comme la prison, ou le licenciement, ou d'autres mesures fortes : il convient de n'appliquer ces sanctions que si c'est nécessaire et si c'est proportionné à la faute. Appliquer ces sanctions n'est pas totalement satisfaisant, puisque c'est assez souvent sous-optimal, et que cela peut être la marque d'un échec. Mais vouloir les interdire pour cela, je ne suis pas persuadé que ce soit la meilleure chose à faire. 3/ bien que les "châtiments corporels" fassent naturellement partie de la boîte à outils du parent, au même titre que la séquestration (=va et reste dans ta chambre) ou la privation de liberté (=interdiction de sortir, va au coin, etc etc), l'idéal serait bien sûr de ne pas avoir besoin d'appliquer ces sanctions, ou à tout le moins le moins possible. Je trouve qu'il y a une confusion, souvent : vouloir moins de gens en prison, ou moins de "châtiments corporels" sur les enfants, cela n'a guère de sens. Le vrai objectif serait d'avoir moins de gens commettant délits & crimes, ou d'avoir moins de gamins méritant de s'en prendre une (et, par ailleurs, d'éviter systématiquement les mesures non-nécessaires, cela va de soi). C'est confondre la lutte contre le symptôme et la lutte contre les causes. Interdire les symptômes, ça peut donner l'impression de faire "avancer les choses", mais ça aboutit rarement à améliorer concrètement la situation.
  6. Réalises-tu le ridicule complet de ta position? Remettre en place les conditions des injustices doit être dénoncé, y compris lorsqu'elles n'ont pas encore eu lieu. Ton attitude est proprement grotesque de ce point de vue, je suis désolé de te le dire. Sans doute est-ce lié à l'effet internet : je n'irais pas jeter à ta porte les cadavres des gens s'étant suicidés du fait de lois injustes. Je tiens, toutefois, à te rappeler de très nombreux précédents -conséquences funestes de choses qu'on remet en place en ce moment même...-. Va dire à Alain Marécaux, ou à tant d'autres, que dénoncer la sacralisation de la parole des accusateurs, ce n'est pas grave tant qu'il n'y a pas de victimes. https://www.ouest-france.fr/bretagne/rennes-35000/le-calvaire-des-acquittes-3446687 Va voir Steven Avery, qu'on a découvert dans Making a Murderer, et vient lui dire qu'il n'est pas grave si on change la loi pour créer des présomptions de culpabilité tant qu'il n'y a pas de victimes -on s'excusera quand un gars aura passé 18 ans en prison pour un crime qu'il n'a pas commis-. Doit-on applaudir que des travailleurs du sexe soient, plus que jamais, en situation de précarité, avec de gros risques, suite à l'abolition de la prostitution? https://www.lemonde.fr/societe/article/2018/04/12/un-bilan-severe-des-effets-de-la-loi-de-2016-sur-la-prostitution_5284325_3224.html Ou ce n'est pas assez de vies brisées? C'est encore du spéculatif? Le nombre grandissant de meurtres de masse commis par des frustrés sexuels (les "incels"), sans doute favorisés par la délicieuse atmosphère de guerre des sexes entretenue Outre-Atlantique, c'est spéculatif?
  7. Flashy

    Aujourd'hui, en France

    Je résume : Les parents peuvent "taper" leurs enfants, uniquement si c'est nécessaire, si la sanction physique est proportionnée à la faute et que cela s'inscrit dans une démarche pédagogique consciente et pas pour se défouler. La situation optimale étant de ne pas avoir besoin d'arriver à une telle extrémité. En bref : (i) ne pas s'interdire de mettre fessées et autres ; (ii) agir de telle sorte qu'il ne soit pas nécessaire d'en arriver aux sanctions physiques.
  8. Flashy

    Gilets jaunes

    Oui, à mon avis c'est un mouvement très pluriel, où l'on trouve de tout -et, de ce fait, avec un fond étatiste important puisque la population partage largement ce fond-là-. Soutenir ce mouvement, en indiquant des idées "préférables" d'actions visibles & ne nuisant pas à la liberté d'autrui, ça me paraît pas excessif ni déconnant. Typiquement : faire la foire devant des centres d'imposition, ou devant les URSSAF, ou sous la fenêtre des maires.
  9. Argument amusant, puisque la fameuse chute en question est consécutive (notamment...) au délire de l'époque Outreau, où la parole des victimes était reine (-avec les conséquences rigolotes que l'on sait-). Tu me diras, on ne fait pas d'omelette sans casser des oeufs. Revenir au même état d'esprit qui présidait la Justice à l'époque d'Outreau ne saurait avoir de conséquences. Après tout, pourquoi les mêmes causes produiraient-elles les mêmes effets? De la même façon, la censure, la pression sociale rejetant les gens de la société pour leurs idées, les "pseudo-sciences" utilisées pour dicter une politique publique, tout cela n'a rien de neuf : l'histoire fourmille d'exemples. Pourquoi s'inquiéter de cela?
  10. Les lois qui sont votées ces dernières années sont fondées, pour certaines, sur un constructivisme directement inspiré du féminisme de la 3ème vague. Ce constructivisme s'applique aux entreprises, et concerne de plus en plus le droit pénal -avec une confusion toujours plus grande, dans la représentation nationale, entre des mots différents-. Par exemple, la "violence" englobe de plus en plus de choses ; la barrière "violences sexuelles" et "violences sexistes" est gommée dans un machin "violences sexuelles et sexistes" (comme si c'était une question de degrés, non de nature). C'est, effectivement, dramatique. Et les effets, lorsqu'ils se feront ressentir -car on parle, ici, de droit du travail et de droit pénal, pas des délires de trois militants sur MSN-, briseront des vies. A tout le moins, ce constructivisme débridé réduira -encore- le champ des libertés.
  11. Dans mon groupe, on n'a aucune direction "diversité de mon cul". On a un gars en charge du handicap, qu'est à moitié débile lui-même. J'aime ma boîte.
  12. J'ai plus de problèmes de nausée. Je reprend doucement ce que j'avais ; je pense pouvoir dire que le programme "remise en forme" s'achève. Je suis sur des machines guidées, parce que j'ai arrêté il y a longtemps, parce que j'ai pas envie de me blesser en faisant le kéké, et que c'est pratique pour récupérer de la force. Je découvre Athlean X, je vais voir si je peux pas me concocter un truc grâce à ses conseils !
  13. Pour ma part, je suis aligné sur l'axe @PABerryer, à savoir qu'il y a une immense hypocrisie à applaudir des deux couilles lorsque ces crapules se font liquider (ou Ben Laden, d'ailleurs), tout en fustigeant la peine de mort comme le comble de la barbarie et de l'ignominie (ou de l'illibéralisme). Si l'on considère que l'Etat n'a pas à ordonner la mort de quelqu'un, ou que la société n'a pas le pouvoir de prendre une telle décision, j'ignore comment l'on peut dans le même temps applaudir à des exécutions extra-judiciaires (le cas de Ben Laden est symptomatique d'une exécution extra-judiciaire).
  14. C'est une photo du grand amphi d'assas. J'ai jamais eu de truc Apple, j'étais un gros rebelle
  15. Je l'ai lu ! Je suis cultivé, en vrai !
  16. Si le mec a un job, et la femme non, la femme s'occupe des RDV qui ont lieu en journée -pédiatre, et autres joyeusetés du genre-. Répartition des tâches logique. Autre élément : dans un couple, on peut échanger, se parler, sans faire la grève des soins de son mioche. Simple hypothèse, un peu conservatrice, mais j'ose.
  17. Entre nous, l'idée d'un fonctionnaire payé pour t'aider à savoir ce que tu veux dans la vie, c'est marrant. Pas toujours, hélas. C'est qu'une phase. Et j'ai tendance à penser que couper les vivres, ça peut aider à trouver un objectif : survivre et sortir du caca. Après, faut voir l'âge. On coupe pas les vivres d'un gamin de 12 ans. Par contre, après 16 ans, si l'ado veut un truc, il n'a qu'à le mériter.
  18. J'ai consulté la pléthore de bouquins sur le sujet. Et j'avais trouvé un classement dans un magazine des boulots les mieux payés, en moyenne annuelle après 10 ans d'activité. Depuis que je travaille, je me rends compte que gagner des sous, c'est bien, mais que j'aurais dû penser un peu plus loin que le cadre franco-français -à ma décharge, c'est déjà pas mal de boulot d'avoir pris des heures pour débroussailler le paysage universitaire français...-. Si je l'avais fait, j'aurais choisi un secteur où l'on peut s'exporter. J'ai aussi découvert tout ça en Première/Terminale. Mes parents connaissaient Sciences Po, l'ENA et Polytechnique. Faut avouer qu'ils étaient pas super utiles sur ce coup-là. Et personne ne doute que les insiders sont avantagés. Ne serait-ce que sur les codes culturels ou comportementaux, où j'ai eu une phase d'adaptation. Bah faut t'en fixer. Il n'y a pas de miracle, malheureusement. Naviguer à vue, je ne peux pas le recommander, c'est super casse-gueule. Le droit, ça reste relativement porteur, hein, simplement moins que ce qui était vendu. Par contre, en me renseignant, j'ai découvert ultra-vite qu'il y avait des filières innombrables qui te condamnaient, très probablement, à la galère et au chômage (sociologie, psychologie, sciences politiques, histoire de l'art, tout comme en droit j'ai appris à fuir le droit de l'environnement, du littoral, etc etc). A mon sens, l'essentiel, c'est pas de trouver l'objectif épanouissant dès le collège ou le lycée (tu ne connais rien de la vie), c'est de trouver un objectif tout court, qui te permette de concentrer ton énergie dans une direction donnée. Et surtout, surtout, en navigant, d'éliminer en priorité toutes les impasses qui se présentent (ou alors, d'avoir conscience du niveau requis pour s'en sortir dans des filières bouchées...). C'est vrai partout, hein. Sauf qu'une secrétaire médiocre, elle sera au chômage ou aura des boulots de merde. L'ouvrier médiocre, il aura des boulots de merde. La secrétaire excellente, elle aura un boulot pas forcément mal payé, sans plus. L'ouvrier excellent, s'il est dans un secteur qui a un besoin criant de compétences techniques, il peut vraiment bien s'en sortir. Se bouger sert à rien si tu n'as pas pris la peine de vérifier si la direction prise est, ou non, une impasse. Et, franchement, la vérification est possible. Faire une khâgne, puis un parcours à l'université en sciences politiques, pour finir par faire un truc bidon de géographe en mode "territoires et nouvelles mobilités", c'est incompréhensible à mes yeux. Encore plus incompréhensible : être surpris d'avoir du mal à trouver du boulot derrière. Tu peux bosser très très dur, si tu n'as pas la bonne méthode, et que tu rames pas dans la bonne direction, tout ça est inutile.
  19. Yep. Par exemple : Success is based on survival of the fittest; I am not concerned about the losers. Je suis plutôt d'accord, avec des nuances, sur la première partie (des gens sans mérites réussissent, ou en tout cas ont un statut lié à la réussite...). Je suis plutôt d'accord avec la seconde partie aussi : la médiocrité d'autrui n'est pas de mon ressort, et je ne vois pas pourquoi il me faudrait avoir pitié des gens qui échouent ou subissent les conséquences de leurs choix idiots. Après, il y a des cas où j'aide les SDF (notamment), mais ce n'est pas que je me soucie de leur bien-être : c'est une question de respect de soi. Faire comme s'ils n'existaient pas m'est impossible, et ce sont des gens adultes. S'il me faut leur filer un coup de main, ou les rabrouer, ou les taper, je le fais quand je peux. En fin de lycée, ouais. Tout comme pas mal d'autres oeuvres de Nietzsche. Cela se voit tant que ça que ce coquinou m'a influencé? Je ne dis pas qu'avoir un score bas est mauvais. Je dis que je suis agacé par certains discours faisant l'éloge de l'empathie et de l'émotivité. Il ne s'agit pas de savoir si quelqu'un répondant strongly agree à cette question se perçoit, ou non, comme faible. Ce n'est, en tout cas, pas mon problème. C'est simplement de savoir si quelqu'un d'indifférent à la question mérite qu'on appelle à l'identifier, et à le fuir. C'est surtout de la mesquinerie, dans ton second exemple. Pour ma part, j'ai répondu que j'étais neutre quant à la question. Licencier quelqu'un, c'est la vie et je ne vois aucune raison de ne pas le faire. Dans un dossier, tu fais tout ce que tu peux pour gagner (à la loyale, hein), car c'est là ton job. Peu importe que la personne en face soit en grande difficulté, et qu'elle dise peut-être la vérité. C'est parfois dur, de dire non à une victime alléguée, qui semble beaucoup souffrir, au point de, peut-être, vouloir se foutre en l'air ; mais c'est une nécessité, et s'il faut le faire pour que soit préservé les garanties procédurales les plus fondamentales, alors ainsi soit-il. Un autre exemple : quelqu'un est persuadé que, s'il va mourir, c'est à cause du glyphosphate. Sa souffrance est réelle, horrible, ignoble. Faut-il faire preuve d'empathie et permettre qu'il soit indemnisé par ceux qu'il estime responsable? Ou faut-il préférer d'autres principes, qui vont à l'encontre des croyances de cette victime alléguée? Dernier exemple : un clochard, le déshérité de notre société, insulte les basanés alentours. Je décide de m'en foutre (à chacun de se défendre...). Les gens fuient la confrontation et se déplacent. Je reste seul, au téléphone, avec le bonhomme. Il crache dans ma direction. Je me lève, je me dirige vers lui, je pose ma main sur son épaule et je lui demande de se calmer en me penchant vers lui. Il a balbutié et a dit qu'il était désolé, qu'il voulait pas la bagarre. L'impunité, c'est la mort du civisme. Si faut coller des tartes dans la gueule pour que ça chie droit, bah ça me pose aucun problème. Que ce soit un mioche, un ado, un clodo etc.
  20. Tu te renseignes. Mes parents ne connaissaient rien aux facultés, grandes écoles, prépas et tout (à part Sciences Po et l'ENA, les trucs qu'on voit à la télé, quoi). J'ai pris en main mon orientation, j'ai beaucoup lu, comparé, trié, et choisi. Après, mon objectif était très clair : avoir du taff sans galérer, être pas trop mal payé. Cette tournure d'esprit-là, au lycée, elle me semble relativement rare -du moins, accompagné d'une approche méthodique et réaliste...-. Le réaliste, je l'écris en repensant à deux choses : (i) ces petits gars du collège qui clamaient comme des débiles qu'ils veulent devenir chirurgiens, mais qui ne savent pas écrire correctement français, ou faire la moindre opération mathématique, ni écouter en classe, ni se comporter de façon convenable, et (ii) cette personne brillante, qui avait 20 de moyenne en mathématiques chaque année (et qui a, d'ailleurs, majoré son IUT me semble-t-il -il était en optique-) mais qui ne voulait pas aller plus loin parce qu'en tant que fils d'ouvrier, fallait pas péter plus haut que son cul et se concentrer sur ce qu'on a de certain plutôt que de prendre des risques. Les informations à ma disposition, hélas, n'étaient pas toutes objectives : j'ai pu naviguer sans trop de difficultés, quoiqu'avec pas mal de travail personnel, mais avec le recul -et les informations à ma disposition maintenant-, je pense que je me serai orienté autrement. Le droit, si tu manoeuvres pas bien, c'est surtout des voies bouchées. J'avoue partager ton analyse. Traîner dans les études supérieures pour faire des trucs médiocres et avoir des diplômes bidons, boarf. Bah faut voir ça comme une sécurité. Et la sécurité, dans un boulot technique, me semble plus effective qu'un vague BEP dans le tertiaire, qui ne sert à quasiment rien. J'avais conseillé à ma soeur de faire un CAP ou un BEP technique, elle a voulu faire du médico-social pour aider la veuve et l'orphelin. Je l'ai prévenu qu'elle devait être réaliste, et ne pas romancer ceci ou cela -qu'elle allait laver la merde du cul des vieux et gratter les escarres-, elle m'a envoyé balader. Maintenant, elle a des regrets et a perdu des années. Parce que j'avais raison. A défaut de savoir ce que tu veux, fais ce que tu peux. C'est une vaste question, mais je ne vois pas quelle réponse structurelle ou organisationnelle on peut y apporter. C'est aux individus de prendre conscience des dynamiques en cause -s'ils ne le font pas, ils risquent forts de ne pas réussir à les déjouer-. Il doit y avoir des études interrogeant celles et ceux qui ont réussi, en dépit des facteurs sociaux etc, et des stratégies mises en place à cette fin -sans compter leur profil-. Quelqu'un connaît?
  21. Moralité : enculer des mouches à la faculté ne sert à rien. Une formation technique, c'est cool, aussi. Putain, qu'on rende à la fac sa vocation historique, et qu'on cesse de se branler sur l'idée que tout le monde doit avoir le baccalauréat ou bac +5.
  22. Ce qui est normatif, c'est de dire que tout ce qui est """psychopathe""" est à fuir. Le manque d'affect et d'empathie, en soi, ça me paraît sain. Un idéal à poursuivre. Ne pas avoir peur de bousculer, de déranger, se battre lorsqu'il le faut quitte à avoir mal et faire mal. C'est nécessaire au civisme. La faiblesse comme idéal d'équilibre mental, bof.
  23. Je sais, moi aussi. J'aimais bien l'idée du "laisse traîner ses chaussettes" comme item permettant de détecter un sociopathe. Pour ça que les hommes sont plus souvent sociopathes? Me disais-je. Je trouvais ça marrant.
  24. Laisser traîner ses chaussettes n'est pas un comportement antisocial, surtout quand on a une copine ! Je ne conteste pas, je constate.
  25. Je trouve ce test un peu punitif sur le "secondary psychopathy". Genre, t'es bordelique, tu laisses traîner tes affaires en bordel, bim, tu te prends des points.
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