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Jean_Karim

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Tout ce qui a été posté par Jean_Karim

  1. C'est surement mal fait, mais de ce que je comprends qu'on nous demande d'enseigner, c'est à peu près ce qui se passe. De manière complètement absconse et contreproductive, certes. Mais ça reste l'objectif. Connaitre tes tables de multiplications, en géo ça va être du "je ne sais pas dessiner ni l'afrique ni l'amérique du sud (reconnaitre des formes), mais je sais qu'entre les deux il y a l'atlantique et que l'une est à l'ouest et l'autre à l'est (agencer des données les unes par rapport aux autres). Pour le (2), j'ai sincèrement pas réfléchi jusque là, ce que je fais c'est de mettre des petits cailloux blancs sur le cheminement mental en espérant que l'enfant se rappellera de cette suite de questionnement quand il devra appliquer ce cheminement à un autre sujet. Pour la majorité des enfants qui entendent le mot moyen-âge à 9 ans, ils voient les chateaux forts et les gars en armure. Alors oui le dark age est une construction du XIXe siècle mais à un moment, il faut que l'enfant, quand il voit un haubert ou une fraise, il soit capable de situer le personnage à 200 ans près. Ah mince pas du tout, dans ce cours je n'interviens que pour la contradiction. En gros il y avait un texte de l'ambassade Turque disant que tous les massacres étaient le fait des civils et surement pas du gouvernement. Ensuite un texte d'une arménienne écrit en 1995 alors qu'elle avait 6 ans au moment des faits, un boulanger turque qui raconte les massacres dans sa ville, puis un texte de l'ambassadeur américain. En même temps je montrait deux photos, une des colonnes de déportés prises par des observateurs et une pile de cadavre prise par l'armée turque. Le but des photos était que les enfants voient que les gens qui entourent les déportés ont des uniformes, ce qui ne rentre pas trop dans la case guerre civile. En gros je distribue 2 doc chacun à la classe distribuée en trois groupes avec la question : il y a t-il eu un génocide en arménie. Ensuite j'aide en faisant l'avocat du diable pour chaque groupe (elle ment ! elle veut juste récupérer des sous !) C'est pas ton boulot : il y a le cinéma, les bandes dessinées, les dessins animés, même la musique construira de meilleures images que toi. Si tes élèves n'ont aucun capital culturel, c'est pas en les faisant bosser sur la Charte de Cluny qu'ils auront une idée du monachisme. Un demi Tavernier avant les vacances aura tellement plus d'impact. Pour la partie soulignée, oui bien sur. Mais je pense quand même que la connaissance, dans sa distribution, pour la majorité des gamins c'est mieux de l'associer à un principe de découverte. C'est tout l'intérêt de participer en classe : si tu teste ta réponse à voix haute, devant tout le monde, que ce soit vrai ou faux ce sera gravé. haha, ces deux dernières semaines, vu que je suis au fin fond de la cambrousse au fin fond d'un DOMTOM, avec une classe de l'horreur (60% de non lecteurs) et qu'au final je fais ce que je veux, j'ai envoyé les gamines bosseuses qui passaient leur temps à se faire chier en classe au CDI avec du boulot à faire et j'ai gardé les branleurs analphabètes. J'ai préparé des exos de français de CE2 vaguement coloré du programme d'histoire géo pour eux, et bah même les pires branleurs dont l'objectif est de ruiner chaque séance, quand ils sont que entre eux, et si tu les occupes avec des trucs à leur porté ils font des efforts et progressent. C'est un peu dommage pour les élèves en "autonomie" qui n'ont plus de prof mais au moins elles peuvent suivre un cursus normal.
  2. J'utilise souvent l'argument de la suisse quand on discute du droit de posséder des armes à feu. Et même avec des interlocuteurs qui en possèdent illégalement, je suis obligé de me rendre à l'argument : est-ce que la société française ressemble plus à la la société arméricaine ou Suisse ? Perso je trouve que les français, mis a part quelques uns, sont plus proche des americains que des suisses. Meme Zemour qui est sensé défendre les valeurs françaises n'a pas pu s'empecher de faire joujou et le pointer sur la gueule des gens autour de lui quand il a eu un flingue dans les mains.
  3. Hahahaha Pourrais tu préciser le genre d'études ? Par exemple, une comparaison sur le nombre de musulmane qui portent un burkini en piscine par rapport aux musulmanes qui le porte en rue ? Tu es sur que tu ne vois aucune base pour légiférer là dessus ? Il n'y a rien qui te vient à l'esprit du tout ? Alors celle là est plus compliquée, il va falloir associer l'idée des musulmanes avec l'idée du burkini [EDIT : en extérieur]. Indice : l'objectif de l'un entre en contradiction avec les principes de l'autre.
  4. C'est bien de faire de la pédagogie, mais c'est quand même fou d'en arriver à un point d'aveuglement dans ta vie où tu te demandes sérieusement si l'interdiction du burkini ne serait pas avant tout pour des raisons d'hygiène.
  5. C'est vrai. Lors de ma dernière visite conseil (on ne dit pas inspection pour les contractuels) l'inspecteur m'a fait remarqué que lors des parties dialoguées, mais aussi en général, je me positionnait toujours dans le même coin de la salle, et que les élèves calmes mais en difficulté se plaçaient hors de mon cône de vision. Au premier rang, mais derrière moi ou a coté quand j’interagis avec la classe. Bref il m'a fait remarquer que des élèves passaient sous mon radar et qu'il fallait corriger ça. Mais quand tu commence à connaitre tes élèves, genre c'est facile d'associer une copie et une note à un visage, c'est très rare voir impossible de ne pas remarquer une petite perle. C'est un métier extrêmement complexe et intéressant, et c'est dommage que le salaire ne soit corrélé qu'a ton ancienneté, mais en même temps c'est la même chose dans la plupart des boites du privé.
  6. C'est très juste ce que tu dis sur de nombreux niveaux mais... ^^ Déjà, il faut faire la part des choses : En tant que salarié, tu dois obéir à ton patron, le ministère. Parfois, cela recoupe des choses que tu penses que tu devrais faire, parfois non. "Et sur mon expérience, j'ai eu la chance d'aller dans un Grand Lycée à partir de la seconde ; donc j'ai surtout eu des profs du second type." Le premier type est la ligne officielle de l'éducation nationale. La chance que tu as eu, c'est d'avoir des enseignants tellement fonctionnaires (agrégés, beau frère du recteur etc etc) qu'ils peuvent se permettre d'avoir un enseignement différent de la ligne officielle. Sachant que les objectifs d'un établissement dans lequel tu as étudié ne sont pas les mêmes qu'un collège de ZEP dont la police lui reproche les exclusions d'élèves parce que ça fait augmenter le nombre de crimes dans le quartier. Tu as un constat (ultra simplifié etc etc) à faire retenir. Faire suivre aux élèves une parodie de cheminement mental pour arriver à ce constat a deux objectifs : Que ce soit plus facile à se rappeler, et que pour une notion similaire avec un des points différents, ils soient capables de refaire ce cheminement mental. Qu'ils soient capables de s'adapter aux changements d'Input en gros. J'ai l'impression que c'est le contraire en math, mais n histoire, plus le niveau baisse, plus les attentes sont élevées. Genre tu galère à faire retenir à des enfants de 11 ans l'évolution des hommes préhistoriques et le ministère te demande de leur faire comprendre en plus que quand même, il y a des débats entre les paléontologistes, que en fait néandertal c'est plus des cousins que des ancêtres etc etc. Tout ça pour développer l'esprit critique de gamins qui n'ont jamais entendu parler du sujet avant que toi tu l'aborde. Et en plus de la masse de connaissance, tu est sensé leur faire intégrer les différentes positions des scientifiques sur le sujet que tu leur fait découvrir. Dans le même sens, avec des élèves ou tu t'es fait chier à leur apprendre à présenter un doc (nature auteur date etc) pendant 3 ans, en troisième une séance que j'adore faire c'est le génocide arménien avec plein de photos et de témoignages, tu les fait réfléchir sur ce qui est devant leurs yeux : "on dirait grave un génocide, mais en même temps l'auteur est arménienne donc elle a de l'argent à gagner, et en plus qui se souvient de trucs passés quand il avait 5 ans ? " etc etc. Quand tu enseigne quelque chose à un enfant qui n'en a jamais entendu parlé, tu ne perds pas de temps à expliciter les débats d'historiens, mais en même temps c'est important que l'enfant comprenne que c'est pas parce que c'est écrit quelque part que c'est vrai. Je suis plutôt d'accord, mais la méthode à la mode est une manière d'apprendre des trucs. Tu ne peux pas faire de l'éducation de masse avec des listes de définitions à apprendre par coeur. Ca ne correspond pas au mental de la majorité des gamins. Je dis ça alors que je passe chaque année deux semaines minimum avant de commencer le programme, contre tous les avis des patrons, a vérifier les définitions (continent pays océan fleuve état frontière etc) et les outils de bases (directions cardinales, projections, présentation de doc etc) Je veux pas faire la suisse à chaque fois, mais, "bah un peu des deux quand même" Ca je pense que c'est très vrai, les pontes des rectorats qui font les programmes, les directives et toutes ces conneries qu'il faut réapprendre tout le temps, étaient probablement tous des élèves qui avaient de très bonnes notes à l'école, suffisamment pour réussir de très jolis concours, mais pas la moindre once de créativité ou de compréhension du monde qui les entoure nécessaire à devenir des vrais scientifiques. Oui, c'est une mentalité très répandue. Surtout quand tu développe un lien affectif avec ces petits cons que tu connais depuis 4 ans : "dans le fond, c'est un bon gamin, il va galérer à avoir le BEP qu'il veut si je le saque, surnotons le !" C'est la seule putain de chose qui doit compter quand tu es prof. Et la bureaucratisation suce la bonne volonté : des profs qui j'imagine ont du en avoir quelque chose à foutre un jour dans leur carrière, se font confier un enfant en français qui lit 20 mots/min, après 4hx34 semaines sous leur responsabilité, rendent un enfant qui n'est toujours pas capable de lire au delà de 20 mots/min.
  7. Ne pas interdire, c'est faire du racolage ? Outrepasser le vote d'une localité pour maintenir une interdiction vestimentaire (certains libéraux mettent souvent en avant la "culture locale" pour justifier des lois liberticides, mais ici cela ne s'applique même pas) oui c'est être un turbo-étatiste.
  8. C'est pas mal comme article : ça met les choses au clair : si tu es pour interdire a tes voisins de s'habiller comme ils veulent malgré la volonté locale, tu es comme darmanin, un énorme sac a merde.
  9. C'est possible, je ne me rappelle pas avoir rencontré d'ados comme ça dans ma carrière, mais il doit forcément il y en avoir. C'est la rule 34 des enfants : if you can picture a personality for a kid, you will meet it De ce que j'ai vu, Tous les bons qui n'ont pas besoin de l'approbation des pairs, qui ne levent pas la main pour répondre en public, me demandent toujours de venir valider ce qu'ils ont fait en aparté.
  10. Haha, plus je lis de témoignages sur ce forum, plus je me dit que la grande majorité des participants du forum appartenaient à une catégorie très spécifique d'élèves (moi compris) et ont un avis sur l'éducation nationale basée sur leurs expériences et sur l'analyse de leurs souvenirs de cette époque. D'ailleurs cette catégorie d'élèves se gère de la même manière que ceux qui foutent le bordel : en mettant en avant leur égocentrisme. "Le temps que je passe concentré sur toi, c'est du temps que je ne passe pas à aider ceux qui en ont besoin"
  11. Je me rappelle de ce genre de cours quand j'étais ado, mais je pense que cela ne correspond plus à grand chose. En tout cas en histoire géo. Légalement, mais c'est souvent ce que je fais aussi, je trouve que c'est pas mal, dans ma matière tout du moins : Les exercices viennent en premiers. La substance du cours c'est la réponse correcte à l'analyse du Doc. Dans l'idée les élèves doivent découvrir eux mêmes ce que tu leur apprends. Si en géo tu fais le tourisme de masse, et que la notion c'est " les touristes de masse c'est les riches des pays pauvres et les pauvres des pays riches" tu les fait bosser sur un planisphère avec les flux de tourisme et un graphique sur les revenus des touristes par rapport a leur pays d'origine.
  12. Déjà, des classes de niveau par matières plutôt que par tranche d'âge auraient beaucoup plus de sens. J'ai lu un article sur un orphelinat au début du 20e siècle où ils fonctionnaient comme ça. Ce serait idéal. Après, se rendant compte de la débilité de faire des classes hétérogènes, l'éducation nationale demande aux profs de faire de la pédagogie différenciée. Tu dois faire des groupes de "besoins" (groupes de niveau n'envoie pas le bon message ^^) dans une classe et adapter le cours et les exercices en fonction de chaque groupes.
  13. "Oui, c'est bien, tu as bien répondu à la question, tu peux passer à la suivante, je peux retourner aider ceux qui pigent rien maintenant ?" ^^
  14. Oh non, la critique est valide, mais étrangement, c'est un peu plus compliqué. Et les anciens bons élèves se rappellent plus de l'ennui que de l'attention que leurs profs leurs donnait, quelle surprise.
  15. Bof. Pour en avoir discuté avec des collègues, c'est assez commun : les élèves brillants demandent souvent beaucoup d'attention. Ils ont intégré le système de récompense "je travaille, on me dit c'est bien". Et c'est assez difficile de s'occuper des timides en difficulté en même temps que calmer les bruyants et valider les bons. J'essaie d'utiliser un élève comme assistant, la tête de classe qui vérifie les avancées des bons élèves, mais il faut que l'élève ait une personnalité appropriée, dans certaines classe c'est pas possible.
  16. Il y a 2 millions de femmes de 15 25 au Canada, contre 100 millions en Inde, A l'échelle planétaire l'accès à l'immobilier ne rentre en compte que a très haut niveau d'éducation des femmes.
  17. Moui. Il me semble que le plus gros facteur, c'est l'âge du premier. Qui est très très corrélé avec l'éducation des femmes. Les autres facteurs paraissent anecdotiques en comparaison.
  18. Ça me paraît étrange, vu que ces 2 facteurs, surtout le 4, on ne les connais qu'après avoir eu des enfants
  19. Tous les politiciens ont dit ça à un moment dans leur carrière. Pour les rares qui arrivent au pouvoir, ça finit par une "loi de simplification administrative sur la règlementation du matériel de pêche n°2015-136" qui s'ajoute au bazar ambiant.
  20. Vraie, certainement. Représentative, je dirais oui et non. C'est vrai qu'un mauvais prof c'est mieux que pas de prof, pour la grande majorité des gamins. Certains vont bosser par eux mêmes sans aucune vérification, mais c'est une infime minorité. Le journaliste raconte qu'il abandonne au bout de trois jours, "pour ne pas pénaliser les élèves" et j'imagine dans sa tête "forcer l'établissement a chercher quelqu'un d'autre". Sauf qu'il n'y a personne qui veut du job. Je pense aussi que le journaliste a vu l'étendue de la tâche devant lui ( se remettre à niveau sur le sujet de la séquence, réfléchir à des manières d'enseigner, découvrir les us et coutumes du lieu de travail etc etc etc) et s'est dit " hey mais attends, c'est pas mon métier en fait, j'ai prouvé ce que je voulais" Sauf que un vrai contractuel ne fait pas ça. En tout cas j'en ai jamais vu. Tu cherche comme un con pendant deux heures après ta première journée le nom et la localisation du gars qui peux te donner ton code de la photocopieuse, tu passes ton weekend à préparer un cours d'une heure "qui n'aura rien a voir avec ceux des connards que tu as eu quand tu étais élève parce que quand même, ce ne doit pas être si compliqué", et j'avais déjà parlé ici du syndrome de l'imposteur, tu évites de poser trop de questions pour pas qu'on se rende compte que t'es pas un vrai prof. Ensuite tu te retrouves devant des élèves et absolument rien ne s'est passé comme prévu. Donc il faut tout reprendre. Ensuite, tu apprends le métier sur le tas, sans te rendre compte que tes collègues qui viennent d'avoir leur concours sont exactement dans la même situation que toi. Il y a surement des branleurs, mais je pense que c'est difficile de le détecter à l'entretien d'embauche. Donc a la place du chef d'établissement, si tu sens bien le gars, que c'est un nul mais qu'il va fournir le boulot, tu le prend. Et au pire, s'il ne s'améliore pas, tu le reprendra pas l'année d'après. Un gars qui a juste les capacités de faire de l'aide aux devoirs, c'est toujours mieux que des élèves qui glandent en perm. Aussi, ça permet de soulager le reste de l'équipe, parce que les profs qui acceptent sans rechigner les heures supp sont rarement les plus investis et ceux qui le sont quand même finissent par quitter l'établissement. Si tu ne prend pas les contractuels, tu finis par perdre tes meilleurs éléments.
  21. Et les contractuels sont choisis et évalués chaque année par les chefs d'établissement, avec l'accord de l'inspecteur pour le renouvellement. Niveau subsidiarité c'est mieux que des agrégés et des adminstratifs qui n'ont pas vu un enfant depuis des années.
  22. Le plus dommage c'est qu'on a tendance a se dire que s'ils ne sont pas pris c'est qu'ils sont nuls donc il ne valait mieux pas les prendre. Sauf que cette méthode d'évaluation est complètement déconnecté de la réalité du métier, pleins de candidats sont probablement écartés et pleins sont choisis en dépit du bon sens. Un amis prof contractuel de philo vient de rater son oral du capes, pas une seule fois le mot élève n'a été prononcé.
  23. Il y a des notes éliminatoires, et 2 épreuves. S'il y a 500 admissibles après la première, même s'il y a besoin de 1500 postes, tu ne peux pas avoir plus de 500 pris.
  24. Je ne me souviens plus, c'est du rapporté, je me suis inscrit et j'ai surtout bossé ce thème mais je ne l'ai pas passé. Sachant que l'ami qui me l'a rapporté l'a passé 2 fois, j'ai peut être mélangé. Édit : je me rappel qu'il s'était fait emmerder sur la prononciation des noms des objets dans les rituels, donc ça avait dû être à l'oral Bah surtout quand les candidats délaissent ce qui pourrait leur servir dans les cours de l'espe (anciennement IUFM) pour se concentrer sur une épreuve qui ne leur apportera aucune plus value dans leur métier. Le plus simple, je dirais, ce serait de réserver le passage de l'agrégation pour enseigner en prépa, le capes actuel pour le lycée ( et encore, j'ai fait des cours pour des term L de lycée correct, en géo alors que j'ai fait histoire, et je ne vois pas ce que deux année d'étude disciplinaires et le bachotage d'un concours aurait pu apporter de plus à ma séquence par rapport à ma licence. Alors que de l'expérience, des connaissances en didactique et pédagogie, si clairement) et un master libre sans concours consacré à la pédagogie pour les collégiens.
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