Rincevent

Et que quand on a osé nommer un constructeurs de prisons en chef (pardon, un "Secrétaire d'Etat aux programmes immobiliers de la Justice"), le poste a duré moins de deux ans. Déjà qu'on ne se fait pas élire en réparant les nids de poule, on se fait haïr en promettant de construire des prisons.

Pour négocier, il faut avoir des cartes en main, ou bluffer. Quelles cartes Trump a-t-il pour négocier avec Poutine ?

Relis. J'ai dit que c'était un négociateur, pas que ça marchait à tous les coups. Je dis qu'il ne connait que la négociation, que c'est sa manière de voir le monde et de traiter tout (comme un type qui n'aurait qu'un tournevis en dépit de l'existence de clous et de boulons, si tu veux).

Un petit extrait du paysage de l'édition française : Le reste est ici.

De quel droit, au juste ?

Il y a un marché pour les data scientists. Pour les professeurs, en France en tous cas, il n'y a pas de marché mais un (quasi-)monopsone.

Un négociateur qui défendrait mes intérêts plus que les siens. Trump défend avant tout les siens propres, d'où le fait qu'il semble mettre de la pression alternativement sur Vladimir et sur Volodimyr.

Ce ne sont pas des miniatures, mais des aperçus (i.e. ce n'est pas la seule première page qui est affichée). Et si jamais, comment on vide ce cache-là ?

Je crois que tu n'as toujours pas compris que Trump est un négociateur. Il est bardé de défauts et de vices, mais il connait l'art de la négociation.

Les hommes peut-être (quoique je reste très sceptique), les femmes probablement pas (et comme pour les hommes il faudrait voir combien ont fait leur service dans des unités combattantes, sachant qu'un Israélien sur deux fait son service dans le renseignement), les vieillards et les enfants en aucun cas. Et les participants au festival de musique pas du tout non plus. Donc ton argument continue à me sembler être à l'emporte-pièce.

L'existence du service militaire ne fait pas de tout civil un militaire en puissance.

J'ose supposer qu'ils ont été testé au carbone 14, ou similaire (diverses dates sont données dans l'article pour divers ossements, et de mémoire ça va de 11000 à 46000 selon le squelette). On a déterré les restes de quelqu'un qui prétendait être Louis XVII, afin de voir si il était réellement le fils de Louis XVI (réponse : non). On a aussi fait des tests avec le crâne présumé d'Henri IV. La différence, c'est que les Bourbons ont des descendants établis, et que la réponse leur appartient, pas à moi. Peut-être, ça dépend de ce qui en sera fait et dans quels buts. Par exemple, résoudre une affaire criminelle puis le remettre en terre, oui ; jouer au foot avec son crâne, non. Là encore, mon grand-père a des descendants et la généalogie entre lui et moi est bien établie : c'est mon grand-père. En revanche, je ne vais pas m'amuser à aller réclamer des crânes surmodelés post-Natoufiens au prétexte que ce sont peut-être des ancêtres.

Et le propre de la recherche, c'est qu'on ne sait pas et qu'on ne peut pas savoir à l'avance ce qu'elle va trouver. Et donc, qu'elle pourrait bien trouver que tel ou tel mythe d'origine est complètement à côté de la plaque (ou qu'au contraire il est globalement justifié, mais le risque d'être infirmé est quand même trop grand pour être couru par les gens qui s'octroient la "rente" de la "défense" des Aborigènes).

Leurs morts d'il y a 40 000 ans, pas leur grand-père chéri. Et pour nombreux les métis à 1/128ème qui peuplent les instances dites représentatives des aborigènes, à peine "leurs" morts. Pour le dire autrement, est-ce que tu t'es offusqué qu'on déterre Lucy, ou les Homo sapiens du Djebel Irhoud, qui sont peut-être bien tes ancêtres (et les miens aussi) ? Non, bien entendu. Est-ce que les Autrichiens se sont offusqués que l'on autopsie puis que l'on exhibe la dépouille de Ötzi, ou les Egyptiens celle de Ramsès, qui sont pourtant beaucoup plus récentes que les squelettes d'Aborigènes dont on parle ? Non, évidemment.

Comme tout ce qui peut nuire à la civilisation.