Rincevent

Hormis le fait que 33 % c'est vraiment énorme, auquel cas Total révolutionnerait le marché de l'énergie. Et puis une précision à deux chiffres, c'est louche*. *Surtout dans le bouche d'un commercial.

La politique fiscale républicaine serait la bonne, qui a mené de 4 000 niches fiscales en 1996 à plus de 16 000 en 2004, engendrant une déclaration de revenus de plusieurs dizaines de pages et la création d'une taxe alternative "plus simple" (mais dont il faut aussi remplir le formulaire) pour payer la plus élevée des deux ?

De jeunes filles en nuisette et petite culotte, semble-t-il.

I.e. que l'Etat est seul garant de l'intérêt général, i.e. qu'il n'existe rien qui puisse s'appeler "société civile".

Et accessoirement l'Allemagne nazie n'a pas si bien réussi économiquement que ça (autarcie + socialisme = besoin de conquêtes à spolier). Deux références :

Je me suis consolé de ma douloureuse perte en écoutant une émission top ringarde de Nostalgie, puis en lisant un Heinlein aussi bon que nanardesque.

J'y ai bien pensé. Mais cette édition est manifestement un peu différente de celle que j'avais (et est pour l'instant incomplète). Qui plus est, je n'ai plus les préfaces de Todorov et Hoffmann pour parler de la réception - difficile - du texte de nos jours. Bref, je vais devoir m'en repayer un (et mettre les bouchées doubles). Snif.

Je pourrais en faire mon avatar ce soir, tiens. Deuxième saison : le bouquin sacré.

Je suis furaxe. Je viens de me faire chourrer mon exemplaire des "Principes de Politique", de Benjamin Constant, avec tout le travail que j'avais réalisé dessus depuis au moins deux semaines. Je suis résolument, objectivement, paroxysmalement, profondément furaxe.

Ca nous permet de te féliciter de temps en temps. On peut dire que c'est utile.

Pas avant que les anarcaps ne démissionnent en masse de leurs postes au sein de la fonction publique, en tout cas.

Et si les enchères proches de l'heure fatidique décalaient cette dernière, mettons, d'une minute, jusqu'à ce que les moins motivés abandonnent ? J'étais sorti avec une jeune-socialiste. Plus jamais. Désormais, je préfère souvent attendre que la réalité (qui ne fait pas de prisonniers) se rappelle aux gens, et j'appuie là où ça fait mal. A force de petites touches progressives, leur trajectoire intellectuelle se rectifie, mais il faut avoir (beaucoup) de temps devant soi.

'Spèce de traitre vendu au sarkozysme outrancier débilitant des militants fascistoïdes. Et oui. Rien que ça.

Toutes mes ficelles de caleçon !

Trois ? Qui sont les deux autres ?

Du genre qui donnent de l'herpès ? Sinon, pour l'ensemble du message,

Il est monstrueusement puissant. Il a juste une palanquée impressionnante d'effets secondaires, qui justifie de ne jamais le prescrire plus d'une semaine d'affilée.

Pour ma part, je suis assez d'accord : sans a certitude que l'Amérique allait intervenir, une paix aurait eu plus de chance d'être signée au printemps 1917 (le Vatican et l'Autriche-Hongrie faisaient l'impossible en ce sens).On peut poursuivre la logique plus loin : il aurait été souhaitable que la France s'écroule immédiatement.Oui. Ou l'Allemagne. Irrémédiablement d'accord avec la conclusion stéphano-appolonienne. Une paix en 1917 n'aurait empêché ni l'abandon de l'étalon-or, ni la militarisation de la société, déjà bien avancée. Le problème d'une victoire allemande eût été une adulation plus précoce de l'Etat-providence (bismarckien) puisque victorieux. Sinon, pour la citation d'Apollon, j'aurais dit Lénine, ou Gorki (pour le style un peu recherché).

Ca doit essentiellement être pour couper l'herbe sous le pied de la critique Alienne "tu t'es barré parce que t'acceptes pas la démocratie".

Ca arrive, d'être distrait. L'être humain n'est-il pas perfectible ? (Et puis tiens, par pure bonne foi, je ne corrigerai pas rétroactivement ledit message)

Je cherche le consensus, mais pas à tout prix. Mon optique est schweitzerienne : pourquoi insister sur ce qui nous différencie plutôt que sur ce qui nous rassemble, alors que nous sommes si peu nombreux, si peu influents, et surtout que le premier est tout à fait marginal face au dernier ? Mais ce n'est que mon optique.

Fait gaffe à ne pas te faire aspirer par le trou noir (le seul qu'on ait à peu près réussi à contingenter dans un sous-forum).

Je vois bien que tu parles d'une personne. Mais je constate que "ostraciser" se dit de l'attitude d'un groupe. Je veux bien un exemple d'ostracisme, ceci dit. Si l'on ne jouait pas sur les mots, la plupart de ce qui s'est écrit en philosophie et en théologie depuis la nuit des temps deviendrait sans intérêt.

Ostraciser (nom masculin) : Exclure, de mettre à l'écart, en parlant d'un groupe à l'égard d'une personne. Quelqu'un a été plonké par plusieurs posteurs à la fois ?