Rincevent

Je suppose que tu pense à la sortie MINEFI de la Gare de Lyon, ou à la station Bercy ? Un vélo électrique, c'est combien ? 1 000, 1 500 € ? A ce prix-là, c'est un luxe pour se torturer les jambes et le dos (je ne parle même pas d'éventuelles gamelles).

[Didier l'Embrouille] Qu'est-ce qu'il a, lui ? Il a jamais entendu parler de moi ? [/Didier l'Embrouille]

Il y a un an et demi, nous parlions d'un théoricien, de l'actuel doyen de l'Ecole Autrichienne, qui la représente dans le monde entier, qui draguait ouvertement et presque à longueur de temps l'extrême-droite. Ici, nous parlons d'un parti qui, ponctuellement, participe à une manifestation plutôt orientée à l'extrême-gauche. Sauf si l'on considère Poryngier comme un grand théoricien, et si tu penses que son texte était si long et ennuyeux qu'il s'apparentait à une conférence. On pourrait aussi arguer que, la bonne image de l'EG et celle, détestable, de l'ED, amène à la première beaucoup d'idiots utiles manquant de culture politique et de plomb dans la cervelle, qui peuvent en être détournés ; tandis que pour faire partie de la seconde, il faut avoir passé quelques barrages (sociaux, moraux, intellectuels), ce qui filtre les naïfs ; je ne parle pas non plus des intéressantes applications de la théorie de l'engagement au cas qui nous intéresse.

Je l'ai trouvé très mauvais, pour ma part (et trop long). Ca sent "le libéralisme pour les nuls" mal synthétisé (ou traduit en javanais, puis swahili, puis français). +1 : on ne va pas non plus se priver d'un public, au point où l'on est rendu.

Bon, j'ai trouvé un vieux Simonnot (Homo Sportivus, très d'actualité en ce moment) d'occasion à prix cassé chez un Gibert. J'ai gagné ma soirée.

Tiens, l'ancien financier de Therry Meyssan, propriétaire du quart des minitels roses de France, celui-là même qui regarde du porno en compagnie de ses gosses.

Bienvenue à Suger, RedGhost, Trump-à-l'avatar-qui-donne-malokran, Ylyad et Altore, qui entame la rien moins que 200ème page du topic ! Moi aussi je croyais ça. Et puis j'ai compris mon erreur. Ne t'inquiète pas de notre dureté de ton : c'est pour ton bien (et si tu as signé, c'est pour en chier) !

Plus encore, la pyramide de Maslow fait souvent l'objet d'une utilisation défaillante : la plupart des formateurs enseignent que, pour s'attaquer à un besoin de niveau supérieur, tous les besoins de niveaux inférieurs doivent être satisfaits, alors que dans la théorie de Maslow, ce point est tout sauf net et catégorique.

Heu, Comte ?

Sur le fil, bien. Sur le forum, ça se fritte. Sinon, super, puisque tu es reviendu !

Je suis tellement crevé que j'en arrive à rire de ça : J'ai honte.

Non. Dans mon expérience, je pose comme hypothèse que "Bouchons" implique "Non-Cracoucass". La proposition (cf. table de vérité de la relation d'implication) est vraie si l'on a à la fois des bouchons et pas de cracoucass, mais elle est aussi vraie si l'on n'a pas de bouchons, que l'on aie un cracoucass ou non. Pour prouver le contraire de "Bouchons implique Non-Cracoucass", il faudrait montrer (démontrer ou exhiber, au choix) la présence simultanée de "Bouchons" et "Cracoucass". Ah, merveilles de la logique… Peut-être Kassad pourra-t-il développer les implications.

Je résume. Il est possible de montrer qu'un risque existe. Mais il n'existe aucun moyen de prouver l'absence de risque. Les études qui échouent à montrer l'existence d'un risque constituent certes un indice en faveur de l'innocuité, mais aucunement une preuve formelle. Si tu ne comprends pas, essayons autrement. Si je te dis que le fait de placer des bouchons de liège sur mon bureau empêche le grand méchant cracoucass de me manger, comment prouves-tu le contraire ?

Il est impossible de montrer qu'une chose (un risque, un objet, quoi que ce soit) n'existe pas. Dire "jusqu'à ce qu'on me prouve le contraire, X existe", c'est un raisonnement typique chez les schizophrénes. La charge de la preuve ne peut incomber qu'à celui qui postule l'existence de quelque chose.

Les collectivistes n'ont pas à connaitre les gens pour leur nuire.

Déjà vue dans GTA : Vice City, je crois.

Je ne connaissais même pas ce type.

La difficulté n'est qu'un alibi pour programmeur en manque d'imagination. Un vrai jeu vidéo peut être fini par une grande partie des gens, mais est très long.

Des détails ? Là, tu m'intéresses drôlement.

Je constate qu'il te manque un bon nombre d'amulettes (que je possède déjà pour une bonne part).

Bon, j'ai passé (plus facilement que je ne l'imaginais) la seconde quête épique. J'ai fait, du premier coup, près de 5 700 000 points : qui dit mieux ? Sinon, j'ai atteint le score maximum pour tous les niveaux précédents (sauf les niveaux cachés, que je n'ai pas encore réussi à passer). Je continue.

Ca dépend du genre de pr0n que tu consommes.

Sinon, pr0n.