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Bien tenté mais il y a un gros retour de flammes : Gillette Boys will be boys Ce n'est plus la peine de caricaturer.

Ce mois ci je prend le Pinker (heureusement qu'il écrit bien et que c'est simple à traduire vu la taille) : https://quillette.com/2019/01/14/enlightenment-wars-some-reflections-on-enlightenment-now-one-year-later/

C'est une thérapie pour les procrastinateurs. Je ne prend pas d'antibiotiques quand je ne suis pas malade. Ranger c'est tomber du côté obscur de la tyrannie. D'ailleurs dans SW les troupes de l'Empire sont toujours bien rangées face aux bordéliques de la rébellion :) Il y a la même impression géométrique quand la cavalerie des Rohirim du Rohan déferle sur les troupes du Mordor.

I beg to differ. J'ai trouvé trop poussé la mise en abyme : c'en est presque à un point où c'est la seule chose qui ressort du scénario, c'est juste une mise en abyme elle même en abyme (avec les univers multiples). C'est presque une construction mécanique, je ne trouve pas que ça sorte de la sur-saturation que tu évoquais mais plutôt que c'en est le point ultime. Après c'est exactement ce film qui m'a fait penser aux SJWisme dans la culture. C'est caricatural à souhait. Tellement que ça fait sortir de l'ambiance (car ça induit des réflexions du type : non mais quand même ils vont pas faire ça...ah ben si), une sorte de pub géante. Sinon il y a clairement un parti pris esthétique intéressant.

Mais du coups s'ils sont récupérés par des animaux c'est pire : eux sont genrés pour de bon au moins

En l'occurrence tu tombes sur un équivalent du principe d'incertitude d'Heisenberg pour les sciences sociales. Tu veux mesurer l'impact de l'influence sociétale mais cela se fait précisément par des interactions sociales : les nouveaux nés ne pouvant vivre par eux mêmes. C'est pas que c'est difficile sinon que c'est impossible.

Gabbard part avec l'avantage des minorities Olympics. Cela dit ce serait étonnant car ça irait contre le courant dominant qui est plutôt à une aggravation constante du faible niveau des candidats.

En fait la remarque est plus profonde : est ce que c'est effectif de décrire le résultat comme un produit de A+B s'il n'existe aucun protocole permettant de séparer A et B ?

Oui par contre la trois pour une raison quelconque fait que je m'endors 4 ou 5 fois pendant le même épisode, et qu'il m'en reste une impression très vague ensuite.

Ah ouais ? Et qui c'est qui programme les robots ? Des anges asexués ?

J'ai une mauvaise nouvelle pour toi : science will never be settled. Et ça par contre ça peut être démontré scientifiquement. Le problème est qu'on est dans une discussion dont le statut épistémique est différent de celui du discours scientifique. Ca veut dire que les techniques de preuve/réfutations sont différentes. Et, malheureusement, ça implique de la bonne foi des participants de la discussion.

C'est plus que la "majorité des". Toutes les sociétés sont construites sur cette dichotomie homme/femme, toutes (j'attend un contre exemple pour le coup, un seul). C'est pas juste une histoire de "la grande majorité". C'est bien plus fort.

Mais, et c'est central vraiment, il ne s'agit plus de remarque de type scientifique. Ce n'a pas la même portée épistémologique. Tu ne contrediras pas les choses par un seul contre exemple.

Voilà on a bien des foules masculines mais pas en extase devant un chanteur à minette. J'imagine que dans le kop des ultras du psg l'ambiance n'est pas trop féminine non plus. Il n'y a pas d'interchangeabilité des genres (et ouais je ne me sens pas trop contredit par le mythe des amazones).

Le public n'est pas interchangeable.Je ne vois aucun exemple d'une foule masculine qui serait le pendant de celle ci (il existe des foules masculines mais rien de comparable). La finesse des paroles ajoutant une touche spécifique et assez ironique.

Il n'y a sûrement pas de lois immuables mais je peux témoigner que dès 3 ans ma fille l'exprimait verbalement sans avoir eu besoin d'entraînement poussé. Son comportement auprès des vêtements semble indiquer avant cela toute l'importance qu'elle attribuait à son apparence (séance d'essayqge devant les glaces) avant de pouvoir le verbaliser. Moi à mon âge ce sont encorev des stimuli externes (au hasard ma femme) qui me rappellent que je dois y faire attention.

La dernière publication de l'APA (American Psychological Association) est une caricature. TL;DR être un homme qui se comporte comme un homme est pathologique (une femme qui voudrait se conduire comme un homme c'est bien car elle aura plus d'opportunités, un homme qui veut se conduire comme une femme est le héros du transgenre et une femme qui veut se comporter comme une femme est une résistante à la patriarchie (ouais je choisis un terme féminin plutôt que patriarcat c'est mon écriture inclusive à moi)). J'ai lu quelque part (je crois Christina H. Sommers) que le texte de l'APA comportait plus de fois le mot "transgender" que "men" alors que le titre du rapport est : "guidelines for psychological practice with men and boys" Liens vers le texte : https://www.apa.org/monitor/2019/01/ce-corner.aspx https://www.apa.org/about/policy/boys-men-practice-guidelines.pdf

La pédagogie kinesthésique.

Faut préparer un template avec des variables pour lieu/date puis ctrl-left et signer si c'est fréquent.

On est en train de faire des puzzles avant elle m'a aidé à plier les vêtements et faire la cuisine :)

C'est plutôt que je ne supporte pas l'ordre. Ça aurait avoir avec mon profil ENTP ?

Cette nouvelle folie autour du rangement me donne des sueurs froides. Y a même une série sur Netflix sur le sujet par une japonaise. Pour moi largement le film d'horreur le plus efficace des 100 dernières années.

Il y a un fil qui discute de ça où plusieurs objections à tes remarques ont déjà été discutées :

Le mâle fou furieux vs la femme civilisatrice en l'occurrence (mais bon c'était surtout un clin d'œil aux discussions sur les monomythes (oui au pluriel c'est marrant) et archétypes au cinéma et leurs transformations wokiennes).

Alors, il a les archétypes corrects ? C'est American Psycho revu et corrigé par LVT ?