Bézoukhov

Ca me rappelle les histoires où un mec est envoyé au goulag, on se rend compte qu'il est pas le bon. Mais bon, dans les bonnes histoires, il reste quand même au goulag.

Votre réflexion micro-économique est trouée. Je passe sur la distinction entre un risque humain et un risque naturel (qui ne peut pas être évité, type une épidémie) pour ne m'intéresser qu'aux risques humains (qui ne relèvent que de décisions humaines). Le risque peut-être évité, mais éviter un risque a toujours un coût. Éviter de prendre des bains, c'est puer du cul, etc. On le voit très bien avec l'histoire sur les 80km/h. Les gens qui utilisent la voiture n'en veulent pas parce que pour eux, le risque pris en roulant un peu plus vite est largement compensé par le temps gagné. Les bobos en veulent parce qu'ils ne perdront jamais de temps avec cette loi ; le coût est nul pour eux. Dans le cadre qui nous intéresse, les gens vont fonctionner pareil. Le risque est peut-être négligeable, mais le coût de la suppression de l'Islam est également nul, voire positif, pour eux. C'est une religion à la con qui n'apporte que des emmerdes dans la vie de tous les jours en quelque sorte. D'ailleurs, vous remarquez qu'une bonne partie de l'argumentaire mainstream va chercher à dire que : - non, mais c'est une islamisation de la radicalisation ; toucher à la religion ne servirait à rien ; - nan, mais la civilisation musulmane a quand même apporté qqch à l'humanité il y a mille ans.

Vraiment, ça m'attriste de devoir toujours comparer la taille de son zizi aux anglo-saxons. L'entrepreneur, c'est une idée qui s'est formée en Europe, entre intellectuels français, anglais, écossais ; c'est un autrichien qui lui donne toute sa noblesse... Enfin, l'idée d'Europe, ça marche surtout pour avoir plus de pouvoir pour ces gens là ; ça ne recouvre aucune réalité. Il y a une économie administrée qui émerge dans les années 30 et qu'on paie encore. Mais le mercantilisme est mort au cours du XIXème siècle ; un pays authentiquement mercantiliste n'aurait pas choisi Framatome face au CEA.

Cet extrait est quand même nul à chier. Que du négatif ; que du "on nous a volé notre mot, ouin, ouin". Je suppose que la suite logique pour l'énarque, c'est que comme on lui a volé son mot, on lui a volé "ses" sous. Plutôt que de citer des trucs sans arguments, intéresse-toi un peu à l'histoire de l'automobile. Il y a des articles sur Contrepoints. Le problème de la France n'a rien à voir avec le méchant Colbert. C'est un problème tout à fait actuel d'une classe de fonctionnaires sangsues.

J'en ai connu un comme ça de juif très orthodoxe (enfin, je connaissais surtout son colloc le temps que la colloc a tenu :D).

Tu imagines que dans ta formule, si tu veux l'expliquer il y a besoin de : - comprendre le concept d'intégrale en dimension 2 et 3 - comprendre le concept du champ vectoriel F - comprendre le concept de produit scalaire - comprendre l'opérateur nabla (là tu es sûr de perdre tous les non matheux ;)). C'est juste énorme. Quelqu'un d'un peu intelligent passe deux ans en prépa pour comprendre ça. Pas vraiment. Imagine un tuyau de plomberie à travers lequel on fait passer de l'eau. On va juste s'intéresser à un tronçon de ce tuyau. A l'intérieur du tuyau, le comportement de l'eau est un peu bordélique. Globalement, ça va de l'entrée du tronçon à la sortie, mais il y a des micro-courants un peu dans tous les sens. Ce qui t'intéresse, c'est d'avoir une idée générale de la quantité d'eau qui entre et qui sort de ton tronçon : - La première méthode, c'est de regarder chaque particule d'eau dans le tronçon. Chacune bouge un peu ; si tu fais la moyenne entre tous ces petits mouvements, ça te donne une idée de comment ta masse d'eau bouge "au global" et donc ce qui entre et ce qui sort. Ça correspond à la première partie de l'équation ; une sorte de gros micmac sur le volume à l'intérieur de ton tuyau. - L'autre méthode, bien plus simple, c'est de se mettre à l'entrée du tronçon, compter les particules qui entrent ; puis tu te mets à la sortie, tu comptes ce qui sort. Tu soustrais les deux et ça te donne bien le bilan de ce qui passe par ton tuyau.

Bonjour, Sur la base des travaux de @FabriceM, j'ai rédigé un petit résumé sur les orientations 2018 de JC Junker (je suis preneur des éventuelles critiques et reformulations ) :

Y a vraiment des gens qui y jouent ? On avait la boîte dans mon école et c'était devenu une sorte de running gag. Sinon, un que j'avais beaucoup aimé qui est entre le coop' et le chacun pour soi, c'est Res Publica Romana. On gère une famille romaine ; le but est de devenir empereur (donc de poutrer les autres familles), tout en évitant de se faire poutrer par les gaulois/carthaginois... (donc en ne poutrant pas trop les autres familles).

Autrement dit, comme disait un grand homme, quand y en a pas beaucoup, ça va, c'est quand y en a beaucoup qu'il y en a des problèmes :mrgreen:. Cet article mériterait son propre sujet. Il m'intrigue beaucoup parce que j'ai le sentiment qu'il décrit un phénomène qui va à l'encontre de la vulgate libérale/libertarienne catallaxique. Schématiquement, j'y vois seulement trois issues : - la majorité non active compose avec les intolérants ; - la majorité devient plus intolérante que les intolérants ; - l'Etat fait le boulot parce que c'est un bordel qui empoisonne tout le monde.

D'autant plus que le problème de ces jeux, c'est que plus ça attire le nerd, moins ça attire le moins nerd. J'ai fait quelques parties de Civ, mais face à 3 mecs qui connaissent toutes les subtilités du jeu, c'est moins drôle :(.

Gauchise un film est plus rigolo (faut dire que les gauchistes sont quand même vachement plus ridicules).

Introverti va ! C'est sympa les coops. J'aime bien Horreur à Arkham.

Nope, et j'ai une copine.

Je ferai le bilan à la fin du cours quand j'aurai corrigé hihi.

J'ai essayé de regarder le début une fois, j'ai pas tenu 5 minutes ; humour chiant. Faut dire que j'aime pas Toy Story.

Bizarrement, je n'ai trouvé aucun sujet sur les jeux de société (sur un tel forum de nerd, personne ne joue à Civilization, Diplomatie, ou même Catane, bonjour tristesse !) Ca m'y a fait penser parce que je viens d'entendre parler de ce jeu qui a l'air rigolo mais pas encore diffusé (j'aime bien les collaboratifs !) :

Ouais, faut regarder les messages avant et après.

Ce mec :D.

Cool. Je veux un permis doré à la place du papier rose tout pourri.

On va vraiment faire le tour des icônes 90's jusqu'à ce qu'elles soient toutes mortes ? Bon, j'attends le Prince de Bel Air versus Walker, Texas Ranger pour la prochaine élection.

Vala vala. Maintenant, le but c'est de jouer avec la fenêtre d'Overton. Parce que pendant qu'on se bat pour pas manger de cochon, les islamistes ne se battent pas pour autre chose. Et la gauche républicaine peut se donner le beau rôle en traçant sa limite avec l'ED. Par contre, @Bisounours, je crois que j'ai fréquenté les mauvais collèges et lycées ; j'ai jamais eu de self :D.

Oh, Earth c'est pas Google effectivement. Par contre, Maps et Mail, je crois que c'est bien Google.

D'ailleurs, c'est quoi le dernier truc cool que google a sorti ? Depuis Google Earth, je peine à trouver :D.

C'est quoi ta définition de NS @Cthulhu ? #NSForever, c'est un truc couramment utilisé par les rombières du sud-est dans leur pseudo twitter pour dire qu'elles soutiennent Sarkozy (c'est quand même profondément has-been de soutenir NS en 2018).

J'ai recalculé assez vite à partir de ces données : http://www.mortality.org/cgi-bin/hmd/country.php?cntr=FRA&level=2 (quand je dis 62 ans à 30 ans, c'est 62 ans, pas 92 = 30 + 62 comme un matheux pourrait comprendre ) Ca colle bien avec les chiffres de Vallin et Mesle : https://www.ined.fr/fr/publications/population-et-societes/esperance-de-vie-peut-on-gagner-trois-mois-par-an-indefiniment/ (figure 2) sur l'EV à 40 ans qui tournait autour de 70 ans vers 1900. Il y a des études du même type mais plus intéressantes à partir de la noblesse allemande du Bas Moyen-Âge. On peut presque en faire des tables de mortalité tellement ils étaient nombreux. Oui, l'espérance de vie en bonne santé est une chose. Et on a des données propres que pour l'époque moderne (1816, c'est pas si loin ; nos grands-parents auraient pu avoir des récits de seconde main de Waterloo). Il n'y a pas vraiment de grande famine ou de grande épidémie (quelques choléras, mais pas grand chose) au XIXème siècle en France, alors que les siècles précédents...