Miss Liberty Posté 16 août 2015 Signaler Posté 16 août 2015 C'est sous pseudo? Il faut que tu sois conscient que ce fil est public, tu donnes ton nom en faisant ça...
kolb Posté 16 août 2015 Signaler Posté 16 août 2015 C'est sous pseudo? Il faut que tu sois conscient que ce fil est public, tu donnes ton nom en faisant ça... Tant pis http://www.amazon.fr/AnonymX-Alain-Kolb-ebook/dp/B013WP9D66/ref=sr_1_1?ie=UTF8&qid=1439752741&sr=8-1&tag=liborg-21
POE Posté 16 août 2015 Signaler Posté 16 août 2015 C'est de la SF ? Un 4° de couv, un petit résumé et la possibilité de lire qq pages serait un plus, cher monsieur Kolb. 1
kolb Posté 16 août 2015 Signaler Posté 16 août 2015 C'est plutôt un cyber-polar dont l'action se situe quelque part dans la deuxième moitié du 21ème siècle. Après l'instauration d'une société sécuritaire et la mise en place d'un algorithme de santé les accidents et le crime ont été réduits à presque zéro. Pourtant des disparitions mystérieuses vont déclencher une enquête mondiale. Finalement les exilés du système, établis dans un état indépendant de Kayapos, les réfugiés d'un Hong Kong indépendant et les hackers vont trouver la réponse. http://www.amazon.fr/AnonymX-Alain-Kolb-ebook/dp/B013WP9D66/ref=sr_1_1?ie=UTF8&qid=1439752741&sr=8-1&keywords=anonymx
Rübezahl Posté 17 août 2015 Signaler Posté 17 août 2015 il y a un message libéral dans le livre ? (je demande innocemment) 1
Rusty Posté 17 août 2015 Signaler Posté 17 août 2015 Lu La formation de la pensée juridique moderne. C'est fabuleux. Ouvrage très accessible, y compris pour les gens n'ayant jamais fait de droit (c'est mon cas). J'ai eu droit aux 2 questions suivantes lorsque j'ai résumé la thèse du livre à quelqu'un : 1.Dans le cadre du Droit Naturel Classique, comment peut-on s'assurer que les juristes, chargés de découvrir le Droit dans la nature des sociétés, n'en profitent pas pour s'octroyer des pouvoirs via des décisions contraires à cette nature ? (hypothèse: les juristes sont en concurrence donc seuls les meilleurs émergent) 2. Puisque le DNC ne s'entend que dans le cadre de la Cité, comment l'adapter aujourd'hui ? J'avoue avoir eu quelques difficultés à être convaincant sur ces 2 points. Prochaine étape pour creuser le DNC : 2
PABerryer Posté 17 août 2015 Signaler Posté 17 août 2015 A la première question je te répondrai que c'est comme dans un marché libre, la concurrence entre les juristes et leurs différentes réponses aux questions qui se posent feront le reste. Aujourd'hui tu as ce que l'on appelle la Doctrine en Droit, c'st à dire les opinions des juristes à propos des questions de droits. Souvent la Doctrine arrive à un consensus mais il reste toujours des opinons différentes. La deuxième question est la plus passionnante et il n'y a pas encore de réponses certaines. Personnellement je n'y vois pas de difficultés. C'est une des choses que j'ai retenu de l'ouvrage de Leo Stauss, le fait qu'il y ai différentes conception du droits et des solutions différentes dans la plus part des peules ne signifie pas que le DN n'existe pas, mais confirme que tout le monde confit l'idée de Justice et qu'il y a des comportements justes et d'autres non. Le DN est d'abord une méthode et Villey militait pour revenir à cette méthode de droit.
Tramp Posté 17 août 2015 Signaler Posté 17 août 2015 J'ai eu droit aux 2 questions suivantes lorsque j'ai résumé la thèse du livre à quelqu'un : 1.Dans le cadre du Droit Naturel Classique, comment peut-on s'assurer que les juristes, chargés de découvrir le Droit dans la nature des sociétés, n'en profitent pas pour s'octroyer des pouvoirs via des décisions contraires à cette nature ? Ils peuvent essayer mais il n'y a pas de monopole de la force qui applique ces décisions aveuglément.
kolb Posté 17 août 2015 Signaler Posté 17 août 2015 il y a un message libéral dans le livre ? (je demande innocemment) Un personnage a même dû annoncer l'implosion de la Chine communiste ) - Les temps s'annonçaient mouvementés. C'était l'année du Tigre. Dans la mythologie chinoise, il représente la force, l'impétuosité. Mais le tigre sait se placer toujours du côté du bien. Aussi de grands changements peuvent se produire une fois cette force mise en marche. Tiananmen Deux commença dans des conditions de crise économique graves. La Chine avait été engagé depuis dix ans dans un conflit ruineux à la frontière nord du fleuve Amour avec la Russie. En parallèle, une quasi-guerre civile avec le frère taïwanais détériorait la confiance de l'intérieur. Malgré des avancées stratégiques du gouvernement central, ses méthodes brutales effrayaient tout le monde. Il absorbait de plus en plus de ressources, provoquant par la corruption des pénuries et des famines. Dans ces conditions, Tiananmen 2 commença comme revendication démocratique et fut étouffé directement par l'armée. La brutalité fut telle que cela provoqua la dislocation du pays. Les provinces en ébullition du Tibet, Hong Kong et Macao demandèrent leur indépendance, pacifiquement, par référendum organisé par les hacktivistes comme nous. Il prit une pause comme pour savourer ce bon souvenir, avant de continuer. C'est à ce moment que j'ai connu Boris, « l'homme aux mille visages » comme on le nommait. Il était
F. mas Posté 17 août 2015 Signaler Posté 17 août 2015 Lu La formation de la pensée juridique moderne. C'est fabuleux. Ouvrage très accessible, y compris pour les gens n'ayant jamais fait de droit (c'est mon cas). J'ai eu droit aux 2 questions suivantes lorsque j'ai résumé la thèse du livre à quelqu'un : 1.Dans le cadre du Droit Naturel Classique, comment peut-on s'assurer que les juristes, chargés de découvrir le Droit dans la nature des sociétés, n'en profitent pas pour s'octroyer des pouvoirs via des décisions contraires à cette nature ? (hypothèse: les juristes sont en concurrence donc seuls les meilleurs émergent) 2. Puisque le DNC ne s'entend que dans le cadre de la Cité, comment l'adapter aujourd'hui ? J'avoue avoir eu quelques difficultés à être convaincant sur ces 2 points. Prochaine étape pour creuser le DNC : Tu as d'excellentes lectures et tu te poses de très bonnes questions. Le premier problème constitue (ou du moins traverse) toute l'histoire de la jurisprudence de la cour Suprême des États-Unis. Le second est traité différemment selon les auteurs. PAB donne une bonne indication quand il dit que Villey cherche avant tout à ressusciter un raisonnement juridique. Le livre de R. Barnett The Structure of Liberty, un livre de théorie libérale du droit qui tente une synthèse intelligente du (et des) droit naturel applicable aujourd'hui pourrait t'éclairer.
Rusty Posté 17 août 2015 Signaler Posté 17 août 2015 Merci pour vos éclaircissements, je vais méditer sur tout ça.
Voy Posté 17 août 2015 Signaler Posté 17 août 2015 (hypothèse: les juristes sont en concurrence donc seuls les meilleurs émergent) Je dirais qu'il est possible qu'en concurrence, des idées juridiques hors du cadre du droit naturel émergent. Du moins je ne vois pas pourquoi ce ne serait pas le cas. 1
Lancelot Posté 17 août 2015 Signaler Posté 17 août 2015 Dans toute théorie évolutionniste il y a toujours deux processus : l'émergence et la sélection. Que des solutions contraires au DN émergent oui évidemment. Qu'elles soient sélectionnées non par hypothèse. Le DN est un attracteur si vous voulez.
Patrick Smets Posté 18 août 2015 Signaler Posté 18 août 2015 Plutôt que de se concentrer sur ce que serait le droit naturel, on peut se demander ce qu'est la nature juridique de l'État et comment il intervient sur le processus de définition du droit. Historiquement, la spécificité du gouvernement, c'est le privilège. Le roi (et sa horde d'envahisseurs) ne sont pas soumis aux règles traditionnelles de la société qu'ils ont conquis. Ils vivent en dehors du droit coutumier avec leur propre système juridique et sans être soumis à la justice commune. Avec le développement de l'État et son imbrication dans une société de plus en plus complexe, les privilèges se multiplient en faveur d'un nombre infini de sous-catégories sociales. La justice ne s'inscrit plus dans les règles générales mais dans la gestion des millions d'exceptions, de dérogation et statuts sociaux. Revenir au droit naturel, c'est d'abord et avant tout, mettre fin à la logique du privilège. La question de la stabilité se pose donc de la façon suivante : en absence d'État, risque-t-on de voir réémerger des privilèges ou les règles uniformiseront-elles à travers l'espace social ? 2
Rincevent Posté 18 août 2015 Signaler Posté 18 août 2015 La question de la stabilité se pose donc de la façon suivante : en absence d'État, risque-t-on de voir réémerger des privilèges ou les règles uniformiseront-elles à travers l'espace social ?Ta question suppose qu'on ait répondu à une autre question : le droit qui s'applique aux gens suit-il les gens, ou bien est-il attaché à un territoire ? Je pense naturellement au fait que dans l'Antiquité et le premier Moyen-Âge, des gens de peuples différents avaient un droit différent (sauf peut-être ces gens qui ne font rien comme les autres, les Juifs, sur le territoire desquels qui le même droit semblait s'appliquer aux Juifs comme aux non-Juifs, si j'en crois Michael Walzer).
PABerryer Posté 18 août 2015 Signaler Posté 18 août 2015 Plutôt que de se concentrer sur ce que serait le droit naturel, on peut se demander ce qu'est la nature juridique de l'État et comment il intervient sur le processus de définition du droit. Historiquement, la spécificité du gouvernement, c'est le privilège. Le roi (et sa horde d'envahisseurs) ne sont pas soumis aux règles traditionnelles de la société qu'ils ont conquis. Ils vivent en dehors du droit coutumier avec leur propre système juridique et sans être soumis à la justice commune. Avec le développement de l'État et son imbrication dans une société de plus en plus complexe, les privilèges se multiplient en faveur d'un nombre infini de sous-catégories sociales. La justice ne s'inscrit plus dans les règles générales mais dans la gestion des millions d'exceptions, de dérogation et statuts sociaux. Revenir au droit naturel, c'est d'abord et avant tout, mettre fin à la logique du privilège. La question de la stabilité se pose donc de la façon suivante : en absence d'État, risque-t-on de voir réémerger des privilèges ou les règles uniformiseront-elles à travers l'espace social ? Hum pas d'accord les gouvernements sont toujours soumis a des règles, il y a ce qu'il peut faire et ce qu'il ne peut pas faire. De plus dire qu'il n'était pas soumis au droit coutumiers est un non sens, il avait son propre droit coutumier. Ton paragraphe pré suppose qu'il y avait une règle commune à tous, ce qui a très longtemps été faux, il y avait une multitude de droits coutumiers qui différait selon ta province, ta ville, ton corps de métiers ou ta qualité particulière. Le droit des gouvernants n'était qu'un de ces droits spécifiques. Il est amusant de noter que le développement sans frein de l'État est intervenu au moment où il a unifié de force la législation (révolution française). Bon on devrait soit ouvrir un fil soit retourner sur celui du DN.
Tramp Posté 18 août 2015 Signaler Posté 18 août 2015 Le gouvernement ne s'est pas développé sans frein à partir de la Révolution vu que le gouvernement est toujours soumis à des règles.
kolb Posté 22 août 2015 Signaler Posté 22 août 2015 Bob Vince était l'opposé de son épouse. Journaliste d'investigation international, il avait participé à plus d'un conflit, notamment la série d'attentats que la France avait connus. Profondément choqué il s'était déplacé à son compte à Paris pour investiguer. Il fut le premier à infiltrer la mouvance responsable et à écrire des articles sur le péril du néo salafisme européen. Il s'était notamment lié à un cousin de Coulibally qui avec un descendant de Merah avait juré de venger la mort de leurs oncles. Après une série d'articles parfaitement documentés Vince fut enlevé en plein centre de Paris et gardé en captivité dans une banlieue parisienne tout au long des attentats suivants. Le pays avait été frappé ainsi pendant plus d'un an. http://www.amazon.fr/AnonymX-Alain-Kolb-ebook/dp/B013WP9D66/ref=sr_1_1?ie=UTF8&qid=1440242484&sr=8-1&keywords=anonymx
POE Posté 24 août 2015 Signaler Posté 24 août 2015 Naguib Mahfouz, écrivain égyptien, prix nobel de littérature en 1988. La trilogie du Caire, tableau de la société égyptienne vu à travers la vie d'une famille bourgeoise, traditionnelle. Visionnaire, le dernier tome oppose deux personnages, l'un communiste, l'autre frère musulman, à l'image des deux forces politiques qui continuent de s'affronter aujourd'hui dans tout le monde arabe.
François Carmignola Posté 24 août 2015 Signaler Posté 24 août 2015 @toast @freejazz Lebon est un authentique génie et la"psychologie des foules" un chef d'oeuvre qui a marqué l'histoire. Toute considération sur un "racisme" supposé de Lebon qui viserait à minorer son importance, et surtout à ne pas le lire, est une horrible erreur gauchiste. Ne la faites pas je vous en prie. 1
Johnathan R. Razorback Posté 24 août 2015 Signaler Posté 24 août 2015 Lebon est un authentique génie et la"psychologie des foules" un chef d'oeuvre qui a marqué l'histoire. Tout particulièrement Mussolini, qui l'a décrit comme "le Machiavel de l'ère des masses". Et sa méthodologie est d'inspiration positiviste/durkheimienne: "Si Le Bon compare parfois les foules à des individus dont les facultés de réflexion seraient faibles, il ne les identifie pas comme de simples agrégats, ni comme des super-individus. Au contraire, une foule est une entité psychologique particulière, irréductible aux individus qui la composent : c'est pourquoi il faut l'analyser comme telle. [...] Elles ont en quelque sorte une « âme », avec des passions et un fonctionnement organique comparable à celui de l'esprit humain." (Wikipédia, article "Psychologie des foules (livre))
kolb Posté 26 août 2015 Signaler Posté 26 août 2015 Tout particulièrement Mussolini, qui l'a décrit comme "le Machiavel de l'ère des masses". Et sa méthodologie est d'inspiration positiviste/durkheimienne: "Si Le Bon compare parfois les foules à des individus dont les facultés de réflexion seraient faibles, il ne les identifie pas comme de simples agrégats, ni comme des super-individus. Au contraire, une foule est une entité psychologique particulière, irréductible aux individus qui la composent : c'est pourquoi il faut l'analyser comme telle. [...] Elles ont en quelque sorte une « âme », avec des passions et un fonctionnement organique comparable à celui de l'esprit humain." (Wikipédia, article "Psychologie des foules (livre)) Mussolini étant un très célèbre critique littéraire, doublé d'un sociologue. lol.
Johnathan R. Razorback Posté 26 août 2015 Signaler Posté 26 août 2015 Mussolini étant un très célèbre critique littéraire, doublé d'un sociologue. lol. Il faut être sociologue pour comprendre le contenu d'un bouquin ? G. Le Bon fait passer ses thèses conservatrices de façon trop subtile ? Lorsqu'il s'arrête longuement sur la prise de la Bastille comme exemple de la bestialité de la foule, l'intention n'est pas assez claire ? 1
kolb Posté 27 août 2015 Signaler Posté 27 août 2015 (modifié) J'ai particulièrement apprécié aussi la lecture de "Masse et Puissance" de Elias Canetti. http://www.amazon.fr/Masse-puissance-Canetti-Elias/dp/2070705072/ref=sr_1_1?ie=UTF8&qid=1440673057&sr=8-1&tag=liberauxorg-21 Modifié 31 août 2015 par Sekonda Tag liborg
Rincevent Posté 27 août 2015 Signaler Posté 27 août 2015 On me l'a recommandé aussi. C'est vraiment si bien que ça ? 1
Johnathan R. Razorback Posté 27 août 2015 Signaler Posté 27 août 2015 J'ai fini une biographie d'Ayn Rand (Ann C. Heller, Ayn Rand and the world she made, Anchor Books Edition, 2009, 567 pages). Il y a un petit morceau sympa sur les relations Rand-Mises:"[Henry Hazlitt] had introduced them at a dinner party he and Frances gave in 1941 or 1942. As he later recalled the incident, they and his other guests were gathered in the living room after dinner. He took drink orders, and when he returned from the kitchen with a tray in his hands, he heard Rand saying to Mises, "You treat me like a ignorant Jewish girl !". Without knowing exactly what had happened between them, but assuming that they were arguing about the doctrine of natural rights, he tried to make peace. "Oh, i'm sure, Ayn, that Lu didn't mean it that way" he remembered telling her. Mises, who was famously dapper, self-disciplined, and charming, jumped to his feet and shouted, "I did mean it that way !". Since the Austrian sexagenarian was already hard of hearing, Hazlitt surmised that he had not heard what Rand had said. In any case, peace was restored.Rand and Mises probably didn't see each other again until the early 1950s. But during one of Hazlitt's trip to Los Angeles, the well-known journalist delighted her by confiding that "Lu Mises and i were talking about you the other day, and he called you 'the most courageous man in America.' " "Did he really say man ?" she asked him. "Yes", said Hazlitt, and she beamed. Within limits, she and the old-world economist like and respected each other. But ideas trumped compliments. Years later, Nathaniel Branden discovered a set of angry margin notes she had prenned in her copy of Mises's most famous book, Human Action. "Bastard !" he recalled that she wrote on one page, irritated by Mises's rejection of a moral, as opposed to a practical, argument for capitalism. [...]She remained friendly with Mises, however, for another decade and helped him to promote his books." (p.248-249) 1
kolb Posté 3 septembre 2015 Signaler Posté 3 septembre 2015 à-propos les incitations, la libre entreprise, la concurrence : l'histoire incroyable de la longitude et la prime, équivalant à 5 millions d'euros actuels, offerts par le parlement pour l'inventeur de la meilleure méthode qui s'avérera être un total outsider http://www.amazon.fr/LONGITUDE-Lhistoire-solitaire-probl%C3%A8me-scientifique/dp/2020338580/ref=sr_1_1?s=books&ie=UTF8&qid=1441273127&sr=1-1&keywords=longitude
Rübezahl Posté 3 septembre 2015 Signaler Posté 3 septembre 2015 +1, très bon livre (et lecture facile) 1
PABerryer Posté 7 septembre 2015 Signaler Posté 7 septembre 2015 Après m'être détendu avec le tome V de GOT j'attaque un San Antonio, le style est assez particulier... C'est volontaire ?
NoName Posté 7 septembre 2015 Signaler Posté 7 septembre 2015 Yup, il paraît. J'en ai lu un y'a pas longtemps, j'ai trouvé ça très sympa.
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