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Estimant que l'hymne national suisse ne suscite guère l'unanimité et ne reflète pas le pays dans sa diversité politique et culturelle, la Société suisse d'utilité publique a lancé le 1er janvier 2014 un concours national artistique, appelé «CHymne», pour trouver un nouvel hymne à la Confédération. 

 

Les Suisses pourraient faire comme les Espagnols : n'avoir pas d'hymne du tout.

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Les Suisses pourraient faire comme les Espagnols : n'avoir pas d'hymne du tout.

Ils ont un hymne. C'est juste que cet hymne n'a pas de paroles.

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Un hymne sans paroles ? Voilà qui est nouveau.

 

 

La musique est officielle mais pas les paroles.

Il semble que ce n'est en rien nouveau et que c'est l'un des plus anciens au contraire.

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J'entends bien. Je voulais souligner le fait qu'appeler hymne quelque chose qui n'a pas de parole est un abus de langage ; un hymne est un chant. Formellement, l'Espagne n'a pas d'hymne. Maintenant que pour se conformer à une tradition, on joue la Marche royale en lieu et place d'un véritable hymne, c'est une autre chose.

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Les communistes aussi font des prises d'otage chez eux, si ils ne les poursuivent pas en justice ça voudra dire qu'ils sont assez avancés pour rentrer dans l'union européenne, comme la France.

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1,5 million de Français souffrent de troubles bipolaires

 

C'est à la mode de diagnostiquer un trouble bipolaire ? Il y en avait quatre fois moins en 2003 d'après cette étude :

 

In order to estimate the prevalence of bipolar I disorder, we conducted a random effects meta-analysis using published international data. Results of the meta-analysis, which was based on a total of 62 736 patients, showed the lifetime prevalence of bipolar I disorder to be 0.82% [95% CI: 0.42, 1.21]. Applied to the adult population in France, this prevalence implies that the number of persons who have ever experienced a bipolar I -disorder is approximately 390,000 [95% CI: 200,000, 575,000].

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C'est à la mode de diagnostiquer un trouble bipolaire ? Il y en avait quatre fois moins en 2003 d'après cette étude :

C'est aussi la mode de diagnostiquer des pervers narcissiques depuis que Laurel en avait parlé dans son blog bd.

 

Anyway.

Not that I want to brag but sometimes when people ask me how I manage to keep in touch with so many friends and have so many close friends, I answer I don't know.

The answer is simple though : Time and respect.

 

I invest my time very wisely in socialization and I always pay attention to try not to be late or when I can't make it, I tell people way in advance I can't make it. And the excuse I give them is never an excuse, it's the truth. That is why they are my friends. I respect them and they respect me for being truthful towards them.

I've not always been like that. But I know I feel way better the way I am now by not being flacky.

 

About time someone wrote an article on flackyness in our days and age.

http://mic.com/articles/113138/there-s-a-modern-problem-afflicting-our-friendships-and-it-s-time-to-talk-about-it?utm_source=FBTraffic&utm_medium=fijifrost&utm_campaign=CMfacebook

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C'est à la mode de diagnostiquer un trouble bipolaire ?

C'est aussi la mode de diagnostiquer des pervers narcissiques

Check your privileges neurotypical scums!
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Boaf, c'est juste l'étiquette qui a changé, on est passé de maniaco-dépressif à bi-polaire, de manipulateur à pervers narcissique

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Pff, n'importe quoi. L'hymne européen, c'est la musique de la Ligue des champions :

 

 

C'est le plus beau et c'est le seul hymne connu par les européens. 0 polémique dans les paroles. :)

 

 

Mission accomplie. Une étude menée par la compagnie de Thomson a montré que 98% des Européens étaient aujourd'hui en mesure d'identifier l'hymne. Un ouvrage anglo-saxon intitulé Marketing et football : une perspective internationale a également noté que la mélodie est devenue le symbole le plus puissant de la coupe aux grandes oreilles, loin devant son nom ou son logo. « L'UEFA a clairement été satisfaite de l'impact de l'hymne, qui est devenu synonyme de l'épreuve. En le diffusant avant chaque match, elle a réussi à populariser la nouvelle formule de la compétition grâce à ce morceau de musique classique, qui marie une position de prestige et un auditoire de masse. » Pour concerner le plus grand nombre, l'instance européenne a insisté pour que la mélodie soit interprétée dans les trois langues officielles de l'UEFA, à savoir l'allemand, l'anglais et le français. Un mélange des genres parfois inaudible, mais salvateur, étant donné la teneur des paroles plus que minimalistes : « Ce sont les meilleures équipes / Une grande réunion / Les maîtres / Les meilleurs / Les grandes équipes / Les champions. »

http://www.sofoot.com/pourquoi-l-hymne-de-la-ligue-des-champions-nous-excite-180768.html

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Le poeme de Schiller n'est pas spécialement polémique. Non et puis la 9ème est bien plus belle que l'hymne de la C1. Sérieusement, on croirait que les violons sont électroniques. 

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Deux ans d'emprisonnement et 30 000 euros d'amende : c'est ce que préconise l'UMP à l'encontre de ceux qui pourraient « provoquer une personne à rechercher une maigreur excessive ». Dans cet amendement déposé dans le cadre du projet de loi santé, examiné à partir de mardi 31 mars à l'Assemblée nationale, l'UMP vise clairement les sites « pro-ana », faisant l'apologie de l'anorexie.

 http://www.lemonde.fr/pixels/article/2015/03/31/les-sites-pro-ana-bientot-punis-par-la-loi_4606873_4408996.html#i35j5fpzy8jpbThk.99

 

 

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Dans les échos un article très intéressant sur les villes privées

http://m.lesechos.fr/redirect_article.php?id=0204260835730&fw=1

Villes privées : la nouvelle utopie.

Loin du projet de « ville Facebook » rêvée par Mark Zuckerberg, c'est dans les pays émergents que se concentrent les plus impressionnants programmes de villes 100 % privées.

Après le campus, la ville Facebook. L'annonce, le mois dernier, par Mark Zuckerberg, de son projet urbain baptisé « Zee Town » a surpris par son ampleur. Pour un montant estimé à 200 milliards de dollars, le roi des réseaux sociaux prévoit de construire sur 80 hectares, dans la Silicon Valley, rien de moins qu'une ville complète dédiée à ses 10.000 salariés, avec supermarchés, hôtels, villas et même dortoirs pour les stagiaires du groupe. Le tout à un jet de pierre du siège de Facebook, à Menlo Park. Ce campus, qui abrita un temps le défunt constructeur d'ordinateurs Sun Microsystems, héberge déjà quelques commerces (posters, magasin de bonbons...), des restaurants et un centre médical, dans un décor coloré qui fait penser à Disneyland ou au village de la série « Le Prisonnier ». Du village fermé à la ville complète et privée, il n'y a qu'un pas, que le fondateur du réseau social compte franchir avec l'aide d'un architecte star, Frank Gehry.

Une ville privée ? Vue de France, l'idée peut sembler choquante, tant le développement de nos cités, y compris des villes nouvelles d'après-guerre, s'est toujours fait dans le cadre des municipalités - elles seules étant chargées de gérer les services publics tels que l'école, la voirie, les transports, l'aménagement du territoire ou la gestion des eaux. Aux Etats-Unis, la privatisation des villes est moins iconoclaste. Le pays a vu naître depuis un demi-siècle des « gated communities », quartiers fermés et souvent autogérés, à l'image de Sun City (Arizona), réservée aux seniors. « Partout aux Etats-Unis, des morceaux de villes ont été organisés comme des copropriétés, appelées "common interest developments" (CID) », indique Julien Damon, chercheur associé au master urbanisme de Sciences po.

Pourtant, ce n'est pas aux Etats-Unis que se prépare l'essor des villes privées, mais dans les pays émergents. Et leur ampleur dépasse, de très loin, les rêves de Mark Zuckerberg. En Inde, le consortium HCC s'est lancé il y a dix ans dans la construction d'une ville de 100 kilomètres carrés, Lavasa, à 200 kilomètres au sud-est de Bombay. Le projet, qui a fait naître dans les montagnes indiennes d'étranges immeubles d'inspiration italienne, doit héberger à terme plus de 200.000 habitants. En Arabie saoudite, King Abdullah Economic City (Kaec) en vise près de 2 millions d'ici à 2035 (lire ci-contre). Au Honduras, Juan Orlando Hernandez, élu président en 2014, avait fait de la création de villes privées « modèles » l'un des thèmes principaux de sa campagne. « Les vrais besoins sont dans les pays émergents, et c'est là qu'il faut créer des villes nouvelles, parce que les villes anciennes ne sont pas capables d'absorber l'exode rural », explique John Rossant, président du think tank New Cities Foundation, qui vient de publier un rapport sur le sujet (1).

Pas de taxes mais des « frais de services »

Souvent incapables de financer des villes nouvelles ou de rénover les anciennes métropoles, les Etats sont de plus en plus nombreux à se tourner vers des opérateurs privés, chargés non seulement de construire les bâtiments, mais aussi d'opérer la quasi-totalité des services dits « publics ». « Le secteur public ne disparaît pas tout à fait, parce qu'à l'origine il y a toujours un accord avec les pouvoirs publics sur le programme d'infrastructures ou la gestion du foncier, explique John Rossant. Et, de son côté, le secteur privé a besoin de garanties que ses investissements dureront des décennies. »

Dans le cas de Kaec, un partenariat public-privé a été conclu entre le gouvernement saoudien et un groupe immobilier de Dubaï, Emaar Properties. La ville n'a pas de maire : elle est gouvernée par le PDG d'Emaar Economic City (EEC), Fahd Al Rasheed, qui juge le modèle « très bon pour les villes ». « Par définition, le secteur privé doit créer de la valeur : je dois donc vendre plus cher que le coût de revient, explique-t-il A l'inverse, les politiciens ont parfois du mal à créer de la valeur avec les services : ils en connaissent le coût, mais le prix qu'ils facturent à leurs administrés dépend de facteurs politiques. » A Kaec, les habitants ne paient pas de taxes mais des « frais de services » pour la sécurité, l'eau ou la collecte des déchets, qui sont sous-traitées à différents entrepreneurs. « Les habitants nous payent pour un service, pas pour financer une administration. Et comme ce sont nos clients, ils n'hésitent pas à se plaindre si les services sont mal rendus. Dans ce cas, la ville peut facilement changer de prestataire. »

Pour Franck Vallerugo, titulaire de la chaire d'économie urbaine de l'Essec, cette approche pose cependant un réel problème de gouvernance : « On est dans une logique commerciale, dans laquelle on va acheter la paix publique par les services, le luxe et la sécurité. Les gens qui habitent dans ce genre de villes ne demandent d'ailleurs pas à être électeurs, ils s'en moquent totalement ! » Car, afin de garantir leur retour sur investissement, les villes privées font souvent comme les « gated communities » américaines : elles ciblent les catégories les plus aisées. C'est le cas de Lavasa, qui propose des hôtels, un centre de conférence ou un campus, mais se trouve coupée du reste de la population indienne. Résultat : à ce jour, le projet a attiré davantage d'investisseurs que d'habitants.

« Pour s'exclure d'agglomérations anciennes devenues invivables, la population aisée sort du système et se construit des univers protégés qui sont des "Canada Dry " de la ville, avec des services de proximité : l'école, l'hôpital, l'université, les offres sportives et culturelles... Mais il n'y a aucune mixité fonctionnelle, aucune cohabitation sociale », résume Franck Vallerugo.

S'il voit Lavasa comme une « expérimentation plutôt courageuse », John Rossant souligne lui aussi l'importance de la mixité : « Les villes qui réussissent ont besoin de groupes différents qui vivent ensemble, c'est ce qui rend les rend dynamiques, créatives. Si une ville ne vise que les plus aisés, elle ne peut pas rencontrer le succès. » Pas de vraie cité sans diversité : une leçon à méditer pour Mark Zuckerberg.

Posté
, cette approche pose cependant un réel problème de gouvernance : « On est dans une logique commerciale,

 

 

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C'est la luu liquidation finale chez Mory-Ducros. Merci la cégété, l'annulation du tout premier plan social était une tellement bonne idée, rétrospectivement.

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Mobius, je crois qu'il va te falloir éviter la franchouillie ces prochains temps :mrgreen:

Non, moi j'en profite, je ne provoque pas :P

J'ai pas l'ego boursouflé au point de penser que les filles maigres le font pour moi

Et puis je préfère rester à Amsterdam avec toutes ces grandes filles que je croise dans la rue ou à la salle de sport.

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Non, moi j'en profite, je ne provoque pas :P

J'ai pas l'ego boursouflé au point de penser que les filles maigres le font pour moi

Et puis je préfère rester à Amsterdam avec toutes ces grandes filles que je croise dans la rue ou à la salle de sport.

 

Fais quand même attention que personne ne t'ai donné à la police car vu ton fil sur liborg, tu peux prendre cher. :)

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Beaucoup d'affaires de profs pédophiles aujourd'hui.

 

C'est du à la circulaire du 11 mars imposant aux procureurs de communiquer à l'administration idoine les procédures lancées à l'encontre d'un fonctionnaire.

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France says BRITAIN is to blame for surge in the number of its youngsters who are binge-drinking... especially its women

 

lol le commentaire

 

I live in France and I love it. However, I think the biggest strain on the French health service are the French who go to see their doctor with any minor ailment and expect a shopping list of medicines on prescription. I am shocked by the number of educated people I know who go to the doctor with minor colds or tummy bugs and think that they have a right to drugs and time off work. They are a nation of hypochondriacs!

 

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