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Nouvelles du monde sans intérêt


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Posté

C'est précisé "sans hommes cis-genres"

 

Donc non, c'est un festival ludique et une belle opportunité de drague entre filles !

Posté

En même temps quel individu normal voudrait s'approcher de telles guenons.

Franchement il y a parfois des trucs dont je suis bien content d'être exclu.

Posté

Ce serait en effet assez royal-trollesque.

 

Tiens, son frère vient de décéder à Bruxelles. Cette aprèm.

Posté

maintenant  chaque truc feministe me fait penser a la video de la nana qui se ramasse sur le ponton et ca me fait rigoler

Posté

C'est précisé "sans hommes cis-genres"

Ce qui veut uniquement dire "pas d'hommes qui ont l'air d'hommes". Justin Bieber et Conchita Saucisse pourraient y aller, par exemple.
Posté

oh wouaw!

 

http://losangeles.cbslocal.com/2014/06/11/mayor-lapd-drones-will-not-be-flying-over-the-city-trying-to-find-crime/

 

Garcetti signaled he may consider an overhaul of the traditional taxi licensing process and possibly moving to a medallion system of independent operators similar to the one in place in New York City.

 

 

 

Ce qui veut uniquement dire "pas d'hommes qui ont l'air d'hommes".

 

 

comme si un homme normal avait envie de se retrouver au milieu de cette bande de folles

Posté

Au fait, je m'étonne qu'on en ait pas parlé ici ( Free Jazz revient!) mais Joffrin prend la tête de l'aberration.

Posté

il y a pas mal de féministes qui considére les transgenre homme femme comme un moyen de l'homme pour continuer à oppresser la femme.

(et il y a des transgenres qui sortent que les féministes ne sont pas vraiment opprimées)

Posté

entre autres

mes cibles les plus en danger sont les pots de confiture de fraise, si il y en a un dans la maison je le sais

Posté

Uber, premier bénéficiaire de la grève, bien joué les taxis!!

 

http://www.lefigaro.fr/societes/2014/06/11/20005-20140611ARTFIG00399-uber-profite-de-la-greve-des-taxis.php

 

 

 


Ce qui s'est passé ce mercredi est rarissime. Un mouvement de protestation qui traverse les frontières est en effet exceptionnel. Et pourtant, c'est arrivé: les taxis de plusieurs capitales européennes étaient, simultanément, en grève. De quoi nourrir les télés d'info en continu d'images spectaculaires: mêmes opérations escargots, mêmes naufragés des transports à la sortie d'aéroports, mêmes esplanades couvertes de taxis à l'arrêt… Paris, Londres, Amsterdam, Berlin, Madrid, Rome, Barcelone ont été les théâtres de scènes similaires.

 

Et d'une ville à l'autre, un seul ennemi: Uber. L'application à succès d'une start-up californienne qui s'est peu à peu lancée à l'assaut de l'Europe. Son développement exponentiel fait peur aux taxis traditionnels, ce qui est compréhensible. La grève d'hier a marqué les esprits, et notamment ceux des politiques, partout placés face à la nécessité de gérer la confrontation entre une corporation installée et une nouvelle forme de concurrence. Mais le mouvement a aussi eu pour effet, tout aussi spectaculaire, de braquer les projecteurs sur Uber et par là-même de lui offrir un joli coup de pub. La société estimait mercredi soir qu'elle avait connu dans la journée une activité 8 à 10 fois supérieure à un mercredi ordinaire dans les grandes villes européennes concernées: 9,5 fois à Londres, 9 fois à Paris, et même 12 fois plus à Barcelone.

 

 

Apparemment sans faire de bruit. Uber n'est pas du genre à multiplier les communiqués de presse, et participe peu au débat de fond sur le conflit entre taxis et VTC (voitures de tourisme avec chauffeur), laissant ses concurrents s'exposer davantage qu'elle. Pourtant c'est bien d'Uber dont il était question mercredi sur les réseaux sociaux, et à l'échelle mondiale. Beau succès pour une entreprise qui n'existait pas il y a seulement cinq ans.

 

Fondée par Travis Kalanik, Uber a comme son créateur un petit penchant pour la provocation. Mercredi, ses abonnés français se voyaient proposer «50% de réduction sur toutes les courses partagées». Pour en bénéficier un code promotionnel qui résonnait comme un mot d'ordre: «Parisbouge». Une opération qu'Uber a opportunément déclinée mercredi dans plusieurs de ses villes de conquête comme Lyon, Barcelone ou Berlin. Et à Londres, la société a choisi ce 11 juin pour lancer un nouveau service Ubertaxi, qui permet à ses abonnés de commander un vrai taxi, ce «black cab» dont Uber vante pour la circonstance la valeur «iconique» dans le paysage de la capitale anglaise.

 

L'enjeu de cette offensive est commercial. Il est aussi financier. Uber vient de boucler un tour de table qui lui a permis de lever 1,2 milliard de dollars. Sa valeur atteint à cette aune quelque 17 milliards de dollars. Un record pour une entreprise aussi jeune.

 

Posté

C'était prévisible.

 

C'est toujours pareil (on à eu la même entre les auto-entrepreneurs et les artisans) :

Les taxis à la place de demander une baisse de la réglementation pour leur profession, demande une hausse de la règlementation pour leur concurrent ... C'est à n'y rien comprendre.

et puis si les gens se tournent vers les VTC, il y a une raison (de +, je crois que les taxis on refuser d'utiliser une application mobile, ou je ne sais plus quoi)

 

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