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Posté

Et le probleme n'est pas avec les femen ni les folles topless qui sont extremementrares, mais avec les femmes enceintes qui tentent d'allaiter.

Pour le reste on s'en fout, les jeunes filles ne se promenent pas a poil

Exactement.

Les hommes ont le droit de se promener torse nu et pourtant on n'en voit jamais, de toute façon ils se ferait jeter (a juste titre) des bars, restaurants et de la plupart des magasins.

On verrait encore moins de femmes seins nues que d'hommes torse poil, le seul cas concret c'est pour allaiter.

Posté

ahah je vois des mecs torse poil de temps en temps... et tout le monde autour se moque discretement , c'est vrai que c'est pas tres approprie.

Il y a clairement une competition pour la jupe la plus courte au lycee prive et le pantalon le plus moulant dans le public ( d'apres mes observations recentes hyper-rigoureuses sur le chemin de la garderie) mais ca ne va pas jusqu'au topless.Les jeunes sont si conservateurs :mrgreen:

Posté

Historiquement le sein a toujours été un objet érotique ?

 

certainement, mais la cheville a aussi connu sa periode de gloire.Le sein humain est probablement un objet de convoitise depuis que nous nous sommes dresses a la verticale, qu'il n'y en a que deux et qu'ils sont gros tous le temps.

Posté

ouch le site fait mal aux yeux

Tu découvres le site des Inrocks ?

 

Sinon, on remarque que les vieux réflexes sont inchangés : Celui qui n'est pas avec nous est plus ou moins nécessairement fasciste.

Posté
C’est bien là tout le problème: non, les stéréotypes ne sont heureusement pas “plus forts que tout.” Et non, on ne les combattra pas en proposant des chroniques dans lesquelles les femmes sont présentées (avec ironie ou non) comme victimes d’un féminisme dictatorial. Car c’est tout bonnement là l’un des principaux arguments des anti-féministes.

 

En gros :"nous avons des divergences au sein de notre mouvement de "pensée" mais devons faire front contre ceux qui partagent ces divergences pour ne rien concéder à nos détracteurs."

Bonjour l'honnêteté intellectuelle.

Posté

N’étant pas de fervents lecteurs de ELLE, nous sommes complètement passés à côté de leur dossier sur le féminisme, paru dans le numéro du 24 avril. Est-ce bien raisonnable d’y revenir deux semaines et demie plus tard?

 

Déjà le niveau de la question...

 

La lecture puis la relecture d’un des papiers du dossier, découvert à la faveur d’un tweet, nous a convaincu que oui, il était nécessaire de s’y pencher, ne serait-ce que brièvement.

 

Mais le niveau de la réponse  :lol:

Posté

En gros :"nous avons des divergences au sein de notre mouvement de "pensée" mais devons faire front contre ceux qui partagent ces divergences pour ne rien concéder à nos détracteurs."

Bonjour l'honnêteté intellectuelle.

Le centralisme démocratique, en somme. On n'a pas inventé grand chose depuis Lénine.
Posté

Le centralisme démocratique, en somme. On n'a pas inventé grand chose depuis Lénine.

 

Ils n'ont pas été purgés? Tout se perd. 

Posté

 

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pour le garçon :

-le réel (le bateau existe)

-l'aventure, la mer, le large

-la guerre, c'est un bâtiment militaire

*la guerre en position d'attaque, d'initiative, d'agression, les canons sont d'ailleurs bien sortis

-le bleu de la mer (tiré par les cheveux, ok, mais au final, paf le bleu)

pour la fille :

-l'imaginaire, le château est magique

-la maison, le foyer, on imagine pas une seconde que c'est SON château, c'est celui de son prince

-la paix, le calme, on imagine pas une seconde les archers sortant des meurtrières du château

*et même si c'était le cas, ça serait en défense/protection

-le rose du toit du château (oké y'a du bleu aussi...)

La fille est "la femme du...", casanière, dans son foyer, heureuse et contemplative au balcon du château de son mari, château/mari qui la protège de l'extérieur, et suffit a la contenter.

Sans son mari pour l'héberger et la protéger, elle n'existe pas

Le garçon est capitaine d'un navire militaire au but offensif, a l'aventure au milieu des mers.

Voila comment on fabrique des clichés, comment on catalogue les gamins directement a la naissance, en fonction de leur sexe, au mépris le plus total de leurs sensibilités individuelles

 

 

Posté

Pour compléter le tableau on peut remarquer que le bateau se déplace (donc s'impose) sur un milieu aquatique (donc féminin).

Et les tours du château sont clairement un symbole phallique diffusant des normes hétéro-patriarcales.

Posté

Être torse-nu c'est beauf, et des municipalités sur la Cote d'Azur l'ont interdit.

 

Heureusement, ils ne l'ont pas encore interdit dans les salles d'escalade (comme c'est le cas au Texas...) *soupir*

:wub:

 

Pour compléter le tableau on peut remarquer que le bateau se déplace (donc s'impose) sur un milieu aquatique (donc féminin).

Et les tours du château sont clairement un symbole phallique diffusant des normes hétéro-patriarcales.

 

Tu viens de me faire rêver avec une phrase pareil.

Posté

http://8archive.moe/foolfuuka/boards/gamergatehq/image/1428/42/1428427521066-0.pdf
 

Sexist Games = Sexist Gamers?
A Longitudinal Study on the Relationship Between Video Game Use and Sexist Attitudes

From the oversexualized characters in fighting games, such as Dead or Alive or Ninja Gaiden, to the overuse of the damsel in distress trope in popular titles, such as the Super Mario series, the under- and misrepresentation of females in video games has been well documented in several content analyses. Cultivation theory suggests that long-term exposure to media content can affect perceptions of social realities in a way that they become more similar to the representations in the media and, in turn, impact one’s beliefs and attitudes. Previous studies on video games and cultivation have often been cross-sectional or experimental, and the limited longitudinal work in this area has only considered time intervals of up to 1 month. Additionally, previous work in this area has focused on the effects of violent content and relied on self-selected or convenience samples composed mostly of adolescents or college students. Enlisting a 3 year longitudinal design, the present study assessed the relationship between video game use and sexist attitudes, using data from a representative sample of German players aged 14 and older (N = 824). Controlling for age and education, it was found that sexist attitudes— measured with a brief scale assessing beliefs about gender roles in society—were not related to the amount of daily video game use or preference for specific genres for both female and male players. Implications for research on sexism in video games and cultivation effects of video games in general are discussed.


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Posté

une nouvelle journee d'exactions machistes qui commence !

et tout dabord je vais habiller ma fille d'une belle robe.Comme une fille.Avec des chaussettes roses.

Je suis un monstre ! *rire dement*

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