h16 Posté 19 mai 2016 Signaler Posté 19 mai 2016 Le 19/05/2016 à 16:12, Flashy a dit : Et puis, le petit couplet sur le fait qu'il y a un sentiment d'impunité. Mais lol quoi.lol en effet, ce serait comme s'attaquer à des policiers dans leur voiture, décontractés de la barre de fer hein, par exemple.
Flashy Posté 19 mai 2016 Signaler Posté 19 mai 2016 Le 19/05/2016 à 16:14, h16 a dit : lol en effet, ce serait comme s'attaquer à des policiers dans leur voiture, décontractés de la barre de fer hein, par exemple. Les violeurs ne violent pas à cause d'un sentiment d'impunité, ils ne connaissent ni les statistiques, ni la probabilité d'être condamné. Il est ridicule de dire que la Justice fait preuve de mansuétude à l'égard du viol et des violeurs. Idem pour les agressions sexuelles. Autant pour une bagarre, tu peux tenir un discours "ce n'est qu'une bagarre, rien de grave", autant il est impossible de dire "meh, c'est qu'un viol, pas besoin de monter sur ses grands chevaux". Il n'y a aucune sympathie policière ou des juges (à 80% des femmes, d'ailleurs) pour le viol. Nos militants politiques, eux, ont ce sentiment d'impunité. D'où les hurlements quand on condamne un délégué syndical pour une petite séquestration de rien du tout. Je te trouve un peu de mauvaise foi de mettre la population des violeurs et celle des antifas sur le même plan : ils n'ont rien à voir.
Johnathan R. Razorback Posté 19 mai 2016 Signaler Posté 19 mai 2016 Le 19/05/2016 à 16:12, Flashy a dit : Bienvenue dans un pays où il faut des preuves pour envoyer des gens en geôles. A force de dogmatisme, on finit par estimer que les preuves ne sont plus nécessaires, tout est tellement "évident"... Et un Baupin se fait lyncher médiatiquement sur la base de simples témoignages.
Tramp Posté 19 mai 2016 Signaler Posté 19 mai 2016 Vous vous souvenez de Jackie qui avait inventé son viol à UVA poussant Rolling Stone - et le reste des SJW - à s'en prendre aux étudiants masculins des universités ? Apparement, elle a falsifié pas mal de preuves : http://reason.com/blog/2016/05/19/new-wrinkle-in-uva-rolling-stone-lawsuit Mais faudrait inverser la charge de la preuve...
Atika Posté 19 mai 2016 Signaler Posté 19 mai 2016 Ca ne prouve pas que le viol n'est pas arrivé Déjà que t'aimes pas les ultra sceptique tu rajoutes féminisme et t'as le combo gagnant de la mauvaise foi
Tramp Posté 19 mai 2016 Signaler Posté 19 mai 2016 La pauvre victime du machisme, Dilma Rousseff : Le Monde.fr - « Les préjugés envers les femmes ont joué de manière évidente dans la destitution de Dilma Rousseff » La sociologue Clara Maria de Oliveira voit, dans les déboires politiques de la présidente brésilienne, la résurgence de la tradition machiste du pays. http://www.lemonde.fr/idees/article/2016/05/19/les-prejuges-envers-les-femmes-ont-joue-de-maniere-evidente-dans-la-destitution-de-dilma-rousseff_4922493_3232.html
jubal Posté 19 mai 2016 Signaler Posté 19 mai 2016 Le 19/05/2016 à 14:23, Mathieu_D a dit : Mince jusqu'à la dernière phrase je visualisais mes toilettes.De fait quand on a pas de bureau/garage les toilettes sont souvent le seul refuge, un sanctuaire ou l'ont est tranquille 10 minutes.
Hayek's plosive Posté 22 mai 2016 Signaler Posté 22 mai 2016 Citation Du cinéma aux cérémonies musicales, de La vie d’Adèle au baiser Madonna-Britney Spears, le sexe entre femmes est partout. 50 % des hommes rêvent de regarder,18 % des jeunes femmes passeraient bien à l’acte. La recherche pornographique la plus répandue, pour les hommes comme pour les femmes ? « Lesbian. » A ce niveau d’omniprésence fantasmatique, on peut parler d’hypnose collective. Pourquoi un tel succès ? Côté biologie, les femmes auraient des prédispositions. Leur désir serait plus polymorphe que celui des hommes : exposées à des images pornographiques de toute nature, elles démontrent un intérêt sexuel plus vaste. Selon une étude de 2015, 82 % des femmes sont excitées par les deux sexes, du moins en laboratoire. De là à affirmer que l’hétérosexualité féminine est une construction sociale, il n’y a qu’un pas (et 18 %) à franchir… En attendant, cette fluidité se traduit non pas par une explosion de la bisexualité (dont les adeptes seraient 3 % en France), mais par une explosion de la bi-curiosité, un intérêt qu’on pourrait résumer par « je ne dis pas non ». Les bi-curieuses se déclinent en de multiples formes, de l’épouse en manque de variété à l’étudiante qui ne voudrait pas mourir idiote. Paradoxalement, le lesbianisme non dilué reste redoutablement rare (0,5 % des femmes) : coucher avec une femme, d’accord, mais ne coucher qu’avec des femmes, ça, non. Allez comprendre.Erotisation constanteNature ou culture ? Eternelle question, éternelle confusion… De fait, les femmes ne poussent pas dans des incubateurs étanches. Il est possible qu’elles aient appris à trouver séduisantes leurs semblables. Personne ne peut nier que nous évoluons dans une culture où le corps féminin est présenté comme systématiquement plus désirable que celui des hommes, avec comme corollaire une érotisation constante, y compris pour nous vendre des choux de Bruxelles. Il ne paraît pas absurde de parler de matraquage fantasmatique. Nous vivons dans un monde dominé par les hommes, nos fantasmes de femmes sont logiquement dominés par leurs fantasmes. Les vainqueurs n’écrivent pas seulement l’histoire, ils écrivent le désir. Ce qui paradoxalement, transforme la bisexualité de façade en stratégie de séduction féminine hétérosexuelle – rien n’attirant plus l’attention sur un dancefloor que l’application roucoulante du refrain de Katy Perry : I kissed a girl (cinq millions de singles vendus rien qu’aux Etats-Unis). Une stratégie doublement efficace puisqu’elle fonctionne autant sur les naïfs (« oh, deux filles courageuses remettant en cause les conventions ! ») que sur les cyniques (« oh, deux filles instrumentalisant les conventions pour ne surtout pas rentrer entre filles ce soir ! »). D’où un spectre troublant de motivations, s’étendant de la sincère attraction au jeu de dupes, de l’expérimentation à la manipulation – approcher des femmes pour se rapprocher des hommes. Au grand dam des lesbiennes elles-mêmes, dont l’orientation se retrouve systématiquement mise en doute : « Oui, mais tu couches avec des hommes quand même ? Comment ça, non ? Jamais ? » Dans ce brouillard où le comportement lesbien peut constituer le signe ultime de l’identité hétérosexuelle, nous reprendrons volontiers une aspirine.Les lesbiennes sont infantiliséesCe qui nous amène au facteur culturel suivant : l’absence de risque. Dans l’organisation hétérocentrée du monde, le sexe lesbien ne constitue pas du vrai sexe, car comme l’a bien noté Bill Clinton : sans pénétration, pas de sexe. Et sans pénis ? N’en parlons même pas. La pop-culture se fait donc un devoir de nous infliger un lesbianisme réduit à une purée de guimauve : une fâme avec une fâme, épilées, se faisant des bisous, tendres, avant de se caresser, douces, remettez-moi une rasade d’eau de rose. C’est embêtant pour les lesbiennes, infantilisées sans sommation. C’est embêtant en 2016, à l’heure des godemichés. C’est embêtant aussi parce que nous confondons orientation sexuelle et pratique sexuelle – comme si tous les gays devaient aimer la sodomie, et tous les hétéros, le missionnaire. En attendant, si on considère que coucher avec un homme est signifiant, coucher avec une femme reste (dans nos imaginaires, pas dans la vraie vie) insignifiant – une simple passade. Au point qu’on peut tester l’amour lesbien comme on teste un forfait Internet. Sans engagement. Au mieux, on apprécie. Au pire, on a gagné quelques lettres de noblesse sexuelle.Pour les hommes, la marque d’un privilègeVenons-en justement aux hommes. Quel est leur intérêt dans cette histoire ? Deux explications se font concurrence – deux explications opposées mais qui peuvent coexister (au royaume du fantasme, toutes les ambivalences sont invitées). Soit le fantasme du couple lesbien repose sur une présomption de triolisme : « Elles sont lesbiennes sauf avec moi » - comme c’est pratique ! Nous rencontrons ici une rêverie de surhumain, voire de super-héros : les règles s’appliquant au commun des mortels feraient une exception, comme ça, sans raison, et non seulement on serait un homme bienvenu dans un couple de femmes, mais on pendouillerait la tête en bas en portant des vêtements bien trop serrés pour la saison. Le fantasme des lesbiennes rejoint les chimères de harem et de plan à trois : des rêves de dominance, dans lesquels on incarne le gorille alpha, puissant sexuellement, doté d’une stamina sexuelle infinie, rêves dans lesquels surtout, on possède plus que les autres hommes. Avoir deux femmes dans son lit, plutôt qu’une seule ou zéro, devient la marque d’un privilège, un message envoyé au monde.Un fantasme acceptable ?Deuxième face du même fantasme : le couple lesbien sans homme, donc sans présence du fantasmeur. Nous naviguons ici dans un songe altruiste, gratuit, dénué de notre embarrassant ego. Alors qu’on pense souvent au fantasme comme lieu du narcissisme le plus éhonté, cette modalité-là surprend. Elle est pourtant répandue. Non seulement les hommes consomment des kilomètres de pornographie lesbienne, mais les jeunes filles lisent des tractopelles de mangas yaoi, où des héros mâles tombent amoureux. Quel intérêt ? Soit celui de fantasmer ailleurs, avec des protagonistes différents de soi, vecteurs de possibilités sexuelles nouvelles. Soit parce qu’on ne se juge pas digne du tableau fantasmatique – même dans un monde imaginaire, personne ne voudrait de nous. Cette auto-suppression ne doit pas être minimisée dans une société visuelle, privilégiant certaines morphologies, au point d’interdire le sexe aux contrevenants. C’est d’ailleurs vous qui le dites : sur mon compte Twitter, 40 % des hommes et 30 % des femmes ont grandi avec la certitude que leur corps était dégoûtant (sondage garanti sans valeur scientifique, mais tout de même). Une dernière observation pour la route ? Le fantasme du sexe entre femmes est acceptable. Raisonnable. Il peut s’admettre à la machine à café, nous n’avons rien à cacher – ce n’est plus un fantasme, c’est un rouleau compresseur. Pour cette raison il s’auto-entretient : l’acceptabilité est une spirale vertueuse. Pour la même raison il pourrait bien s’autodétruire : la subversion sans soufre commence à sentir l’aspartame. http://www.lemonde.fr/m-perso/article/2016/05/22/une-femme-avec-une-femme-aux-origines-du-fantasme_4924029_4497916.html
Bézoukhov Posté 22 mai 2016 Signaler Posté 22 mai 2016 J'ai l'impression que lemonde.fr essaie de lancer une rubrique sexo. A avoir des rédactions de journaux féminisées, tous les journaux vont finir par ressembler à Marie Claire
Citronne Posté 23 mai 2016 Signaler Posté 23 mai 2016 Bof. Chaque fois que je parle à une nana, c'est pareil. Elles disent toutes que ça les dérangerait pas et soudain je pose la question fatidique : "Donc, tu t'imagines avoir une chatte a moins de 2 cm de ton visage et le lécher et y prendre du plaisir..." Là soudain, ca fait moins les malines et elles prennent conscience qu'entre dire et faire, il y a un monde.
Poil à gratter Posté 23 mai 2016 Signaler Posté 23 mai 2016 Le 23/05/2016 à 06:07, Citronne a dit : Bof. Chaque fois que je parle à une nana, c'est pareil. Elles disent toutes que ça les dérangerait pas et soudain je pose la question fatidique : "Donc, tu t'imagines avoir une chatte a moins de 2 cm de ton visage et le lécher et y prendre du plaisir..." Là soudain, ca fait moins les malines et elles prennent conscience qu'entre dire et faire, il y a un monde. Peut-être que si tu leur demandait si elles s'imaginent se faire brouter le minou par une femme il y aurait plus de réponses positives
Tramp Posté 24 mai 2016 Signaler Posté 24 mai 2016 Peuvent pas se créer une nouvelle franchise plutôt que de gâcher celle des hommes ? C'est quand même incroyable. Le Monde.fr - Et si Jane Bond était une possibilité ? L’actrice Gillian Anderson n’est pas contre incarner le mythique agent 007. http://www.lemonde.fr/big-browser/article/2016/05/24/et-si-jane-bond-etait-une-possibilite_4925419_4832693.html
Tremendo Posté 24 mai 2016 Signaler Posté 24 mai 2016 Le 22/05/2016 à 20:02, Hayek's plosive a dit : http://www.lemonde.fr/m-perso/article/2016/05/22/une-femme-avec-une-femme-aux-origines-du-fantasme_4924029_4497916.html
Hayek's plosive Posté 24 mai 2016 Signaler Posté 24 mai 2016 Le 24/05/2016 à 11:30, Tramp a dit : Peuvent pas se créer une nouvelle franchise plutôt que de gâcher celle des hommes ? C'est quand même incroyable. Le Monde.fr - Et si Jane Bond était une possibilité ? L’actrice Gillian Anderson n’est pas contre incarner le mythique agent 007. http://www.lemonde.fr/big-browser/article/2016/05/24/et-si-jane-bond-etait-une-possibilite_4925419_4832693.html Si ça amène un rôle model où les femmes qui mettent plein de mecs dans leurs plumards est vu comme un idéal, je vois pas où est le problème.
Airas Posté 24 mai 2016 Signaler Posté 24 mai 2016 Le 24/05/2016 à 12:18, Hayek's plosive a dit : Si ça amène un rôle model où les femmes qui mettent plein de mecs dans leurs plumards est vu comme un idéal, je vois pas où est le problème. Qu'ils montent une autre licence pour ça !
PABerryer Posté 24 mai 2016 Signaler Posté 24 mai 2016 Déjà James Bond est blond et ils envisagent que le prochain soit noir...
Tramp Posté 24 mai 2016 Signaler Posté 24 mai 2016 Ca c'est pas vraiment gênant. À partir du moment où des Anglais ont joué un Écossais...
Neomatix Posté 24 mai 2016 Signaler Posté 24 mai 2016 Et même un australien. Pensez-donc ! Le scandale !
Lancelot Posté 24 mai 2016 Signaler Posté 24 mai 2016 Le 24/05/2016 à 11:30, Tramp a dit : Peuvent pas se créer une nouvelle franchise plutôt que de gâcher celle des hommes ? C'est quand même incroyable.Pour la même raison qu'on peut préférer détruire le château de sable du voisin plutôt que construire le sien.
Bézoukhov Posté 24 mai 2016 Signaler Posté 24 mai 2016 Le 24/05/2016 à 11:30, Tramp a dit : Peuvent pas se créer une nouvelle franchise plutôt que de gâcher celle des hommes ? C'est quand même incroyable. Le Monde.fr - Et si Jane Bond était une possibilité ? L’actrice Gillian Anderson n’est pas contre incarner le mythique agent 007. http://www.lemonde.fr/big-browser/article/2016/05/24/et-si-jane-bond-etait-une-possibilite_4925419_4832693.html J'ai lu Karen Gillan. Déception je suis.
Tremendo Posté 24 mai 2016 Signaler Posté 24 mai 2016 Le 24/05/2016 à 11:30, Tramp a dit : Peuvent pas se créer une nouvelle franchise plutôt que de gâcher celle des hommes ? C'est quand même incroyable. Le Monde.fr - Et si Jane Bond était une possibilité ? L’actrice Gillian Anderson n’est pas contre incarner le mythique agent 007. http://www.lemonde.fr/big-browser/article/2016/05/24/et-si-jane-bond-etait-une-possibilite_4925419_4832693.html Gillian Anderson
Rincevent Posté 24 mai 2016 Signaler Posté 24 mai 2016 Le 24/05/2016 à 13:31, PABerryer a dit : Déjà James Bond est blond et ils envisagent que le prochain soit noir... Si c'est Idriss Elba, pourquoi pas. Dans tous les cas, James Bond nécessite un casting serré.
Bisounours Posté 24 mai 2016 Signaler Posté 24 mai 2016 Le 24/05/2016 à 18:17, JIM16 a dit : Daniel Craig ou rien. Toutafé, il est tellement sexy, et fort, et beau et... et... et .... aaaarg
Tremendo Posté 24 mai 2016 Signaler Posté 24 mai 2016 Le 24/05/2016 à 18:17, JIM16 a dit : Daniel Craig ou rien.Tu sors, aucun charme, la tête d'un psychopathe russe, aucun humour. Je vote Fassbender ou Jude Law.
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