Aller au contenu

Messages recommandés

Posté
il y a 2 minutes, Coligny a dit :

Donc, lorsque tu vas au restaurant, l'argent comme critère de sélection ne peut pas servir de référent pour juger de la prestation due ou attendue ?

 

L'argent ne lui dit rien de celui qui le détient. Dans ces conditions, le fait que le type lui plaise et que ça se passe bien est une pure improbabilité. Et ce n'est qu'un aspect du problème.

Posté
il y a 8 minutes, Tramp a dit :

on ne sait pas encore pourquoi c'est immoral.

 

C'est immoral parce qu'elle va souffrir. Même si le monde entier se peuplait de gens qui n'y trouvait rien à redire, elle trouvera toujours quelque chose qui lui fera regretter de ne pas s'être donné à quelqu'un qui valait quelque chose, plutôt qu'à quelqu'un qui avait beaucoup de cash à dépenser.

Posté
il y a 9 minutes, Johnathan R. Razorback a dit :

 

L'argent ne lui dit rien de celui qui le détient. Dans ces conditions, le fait que le type lui plaise et que ça se passe bien est une pure improbabilité. Et ce n'est qu'un aspect du problème.


Mais elle a rencontré justement le bonhomme. Elle l'a trouvé adorable (lui ou l'argent, au final qu'importe ici). C'est si difficile à accepter que peut être elle passera une belle soirée ? Est ce qu'il faut constamment faire planer le spectre de l’eschatologie ?
Regarde dans le métro, dans la rue, les gens s'enferment parfois dans une vie mortifère, incroyablement banale et sans fantaisie et se dégrade moralement bien plus que ne peut le faire cette jeune fille. L'histoire d'un individu n'est pas rationnelle et c'est souvent l'irrationalité qui a fait la civilisation et la rationalité qui l'a détruit.

Posté
il y a 5 minutes, Johnathan R. Razorback a dit :

 

C'est immoral parce qu'elle va souffrir. Même si le monde entier se peuplait de gens qui n'y trouvait rien à redire, elle trouvera toujours quelque chose qui lui fera regretter de ne pas s'être donné à quelqu'un qui valait quelque chose, plutôt qu'à quelqu'un qui avait beaucoup de cash à dépenser.

 

Euh, il y a plein de choses morales qui font souffrir. Ca s'appelle le sacrifice et c'est ce qu'on considère comme le top de la morale justement.

Posté
il y a 1 minute, Coligny a dit :

Mais Johnathan, elle a rencontré justement le bonhomme. Elle l'a trouvé adorable (lui ou l'argent, au final qu'importe ici). C'est si difficile à accepter que peut être elle passera une belle soirée ?

 

Comme dit le proverbe, les plaisanteries d'un homme riche sont toujours drôles.

 

Je n'ai aucun problème à accepter un "peut-être". Mais les gens qui bâtissent leur vie sur des improbabilités finissent par faire de toute leur vie n'importe quoi.

Posté
il y a 2 minutes, Tramp a dit :

Euh, il y a plein de choses morales qui font souffrir. Ca s'appelle le sacrifice et c'est ce qu'on considère comme le top de la morale justement.

 

Exemples ? (les contraintes morales ne sont pas vraiment douloureuses, parce qu'elles permettent d'accéder à des biens, et parce que leur contraire est bien pire).

Posté
il y a 5 minutes, Johnathan R. Razorback a dit :

Je n'ai aucun problème à accepter un "peut-être". Mais les gens qui bâtissent leur vie sur des improbabilités finissent par faire de toute leur vie n'importe quoi.


Mouais, tu vires au planisme moral - peut être pire que le planisme économique. Nos vies sont basées essentiellement sur des données incertaines ; on ne fonde nos actions que sur des probabilités. Aucune personne ne peut prétendre ordonnancer sa vie d'une manière tout à fait certaine, selon un plan pré-établi.
Et l'erreur est partie intégrante de la liberté de l'homme.

Peut-être, cette jeune fille aura des regrets dans sa vie tardive. Sa conscience lui fera savoir. J'y crois peu.

Posté
il y a 2 minutes, Hayek's plosive a dit :

Ca me rappelle @PABerryer qui expliquait qu'un enfant issu d'une GPA allait forcément etre traumatisé.

 

J'éviterais le terme de traumatisme parce qu'il y a un sens médical précis, et je ne sais pas s'il convient ici. Mais sur le fond de l'idée, c'est ce que je pense.

Posté

"Jésus s’était rendu au mont des Oliviers ; de bon matin, il retourna au Temple. Comme tout le peuple venait à lui, il s’assit et se mit à enseigner. Les scribes et les pharisiens lui amènent une femme qu’on avait surpris en train de commettre l’adultère. Ils la font avancer, et disent à Jésus : « Maître, cette femme a été prise en flagrant délit d’adultère. Or, dans la Loi, Moïse nous a ordonné de lapider ces femmes-là. Et toi, qu’en dis-tu ? » Ils parlaient ainsi pour le mettre à l’épreuve, afin de pouvoir l’accuser. Mais Jésus s’était baissé et, du doigt, il traçait des traits sur le sol. Comme on persistait à l’interroger, il se redressa et leur dit : « Celui d’entre vous qui est sans péché, qu’il soit le premier à lui jeter la pierre. » Et il se baissa de nouveau pour tracer des traits sur le sol. Quant à eux, sur cette réponse, ils s’en allaient l’un après l’autre, en commençant par les plus âgés. Jésus resta seul avec la femme en face de lui. Il se redressa et lui demanda : « Femme, où sont-il donc ? Alors, personne ne t’a condamnée ? » Elle répondit : « Personne, Seigneur. » Et Jésus lui dit : « Moi non plus, je ne te condamne pas. Va, et désormais ne pèche plus. »"

Les catholiques ont retenu de cela, le "Va et désormais ne pèche plus".
Nous, les protestants avons retenu le "Moi non plus, je ne te condamne pas".
Approche différente et non anodine.

Posté
il y a 10 minutes, Coligny a dit :

Nos vies sont basées essentiellement sur des données incertaines ; on ne fonde nos actions que sur des probabilités.

 

Il me semble que mes messages précédents montrent que je suis tout à fait ouvert aux raisonnements probabilistes.

 

(Sinon je ne pense pas que l'homme soit libre. Ce n'est pas ce qu'enseigne le protestantisme ? Tu dois toujours nous expliquer pourquoi c'est la religion la plus libéral-friendly, d'ailleurs ;) ).

Posté
il y a 9 minutes, Johnathan R. Razorback a dit :

 

Il me semble que mes messages précédents montrent que je suis tout à fait ouvert aux raisonnements probabilistes.

 

(Sinon je ne pense pas que l'homme soit libre. Ce n'est pas ce qu'enseigne le protestantisme ? Tu dois toujours nous expliquer pourquoi c'est la religion la plus libéral-friendly, d'ailleurs ;) ).


(J'ai écrit un tel pavé encore super brouillon, je vais le publier dans quelques jours mais c'est foutrement bien pensé tho B))

Et la liberté est au cœur du protestantisme. Tu songes surement à la prédestination qui est très très mal interprétée, je reviendrai dessus.

Posté

Parler de rationnalité pour le choix d'un premier partenaire sexuel...

Ensuite extrapoler des conséquences néfastes sans base solide...

Tout ça avant d'aller défendre un voleur parasite comme Fillon...

(En plus faire un big deal de la virginité c'est plutot un truc de sauvage que de rationaliste eclairé, vu la réalité du truc...)

Posté
36 minutes ago, Johnathan R. Razorback said:

L'argent ne lui dit rien de celui qui le détient.

Par contre l'utilisation qu''il fait de cet argent en dit pas mal je trouve.

 

30 minutes ago, Johnathan R. Razorback said:

C'est immoral parce qu'elle va souffrir.

Vivre c'est souffrir comme disait un moustachu. Mais la souffrance c'est subjectif.

Posté

Je pense qu'une nana comme ça aura une vision de la vie un peu détraquée. Elle va se prendre pour la reine Midas, tout ce qu'elle touchera avec sa schtroumpfette se transformera en or.      

Ce n'est pas certain qu'elle en souffre car ce qu'elle a fait est validé par les médias qui l'invite et je suis persuadé que des gamines de 14 ans trouvent ça trop cool et feront la même chose une fois majeur. Ses biais cognitifs feront le travail, elle va garder en mémoire que les avis positifs et récrire son histoire pour vivre avec ça. 

 

Posté
il y a 34 minutes, Johnathan R. Razorback a dit :

 

Exemples ? (les contraintes morales ne sont pas vraiment douloureuses, parce qu'elles permettent d'accéder à des biens, et parce que leur contraire est bien pire).

 

Sartre : On n'a jamais été aussi libre que sous l'occupation.

Posté
il y a 7 minutes, Soda a dit :

Ce n'est pas certain qu'elle en souffre car ce qu'elle a fait est validé par les médias

 

Les média ont une fâcheuse tendance à glorifier la "réussite" et à accélérer les déchéances. Vae victis, tel est leur devise.

il y a 3 minutes, Tramp a dit :

Sartre : On n'a jamais été aussi libre que sous l'occupation.

 

Sartre ne dit pas que résister est plus moral qu'autre chose (cf L'existentialisme est un humanisme). Si tu veux une philosophie du sacrifice, Comte ou l'école réactionnaire française, c'est beaucoup plus ça.

 

Post-scriptum: Sartre c'est faible, philosophiquement, je trouve.

Posté

Ce que dit Sartre c'est que le choix moral est extrêmement difficile. C'est pas le chemin de la facilité.

 

Et c'est évident, si le comportement moral etait si évident et si facile à suivre, ben les gens le suivraient et on ne serait pas là à en parler.

 

Mais tout cela ne dit pas en quoi ce que fait la meuf est immoral. C'est la démonstration qu'on attend tous.

 

Si tu penses qu'un vrai choix moral n'est pas douloureux, c'est que tu n'y a jamais été confronté.

 

Edit : pdm je ne peux pas mettre un gif d'Atticus Finch

Posté
il y a 11 minutes, Johnathan R. Razorback a dit :

 

Les média ont une fâcheuse tendance à glorifier la "réussite" et à accélérer les déchéances. Vae victis, tel est leur devise.

 

C'est vrai, et des petite Zahia il y en aura toujours. les femmes qui se servent de leurs charme comme ascenseur socialc'est pas nouveau et grand bien leur fasse. 

Posté
Il y a 2 heures, Tramp a dit :

Ce qui peut en dire plus sur la moralité de ceux qui la juge que la sienne.

 

"Don’t judge others, and God won’t judge you. Don’t be hard on others, and God won’t be hard on you. Forgive others, and God will forgive you."

Ce à quoi tatie Rand répondait "Judge, and be prepared to be judged."

Posté
il y a une heure, Coligny a dit :


Mouais, tu vires au planisme moral - peut être pire que le planisme économique. Nos vies sont basées essentiellement sur des données incertaines ; on ne fonde nos actions que sur des probabilités. Aucune personne ne peut prétendre ordonnancer sa vie d'une manière tout à fait certaine, selon un plan pré-établi.
Et l'erreur est partie intégrante de la liberté de l'homme.

Peut-être, cette jeune fille aura des regrets dans sa vie tardive. Sa conscience lui fera savoir. J'y crois peu.

 

+1

 

il y a 51 minutes, Coligny a dit :

"Jésus s’était rendu au mont des Oliviers ; de bon matin, il retourna au Temple. Comme tout le peuple venait à lui, il s’assit et se mit à enseigner. Les scribes et les pharisiens lui amènent une femme qu’on avait surpris en train de commettre l’adultère. Ils la font avancer, et disent à Jésus : « Maître, cette femme a été prise en flagrant délit d’adultère. Or, dans la Loi, Moïse nous a ordonné de lapider ces femmes-là. Et toi, qu’en dis-tu ? » Ils parlaient ainsi pour le mettre à l’épreuve, afin de pouvoir l’accuser. Mais Jésus s’était baissé et, du doigt, il traçait des traits sur le sol. Comme on persistait à l’interroger, il se redressa et leur dit : « Celui d’entre vous qui est sans péché, qu’il soit le premier à lui jeter la pierre. » Et il se baissa de nouveau pour tracer des traits sur le sol. Quant à eux, sur cette réponse, ils s’en allaient l’un après l’autre, en commençant par les plus âgés. Jésus resta seul avec la femme en face de lui. Il se redressa et lui demanda : « Femme, où sont-il donc ? Alors, personne ne t’a condamnée ? » Elle répondit : « Personne, Seigneur. » Et Jésus lui dit : « Moi non plus, je ne te condamne pas. Va, et désormais ne pèche plus. »"

Les catholiques ont retenu de cela, le "Va et désormais ne pèche plus".
Nous, les protestants avons retenu le "Moi non plus, je ne te condamne pas".
Approche différente et non anodine.

 

+1

 

Bon par contre si c'est pour finir en quote battle, on peut s'arreter la pour aujourd'hui.

Posté
 

Je suis effectivement sûr de moi. Je n'ai de toute façon pas l'impression qu'autant d'argent me rendrait sensiblement plus heureux.

Ton but dans la vie c'est d'être heureux ? Qui est-ce qui parlait de vacuité ?

 

Posté
Il y a 1 heure, Rincevent a dit :

Ce à quoi tatie Rand répondait "Judge, and be prepared to be judged."

 

Ouais mais Ayn Rand a fini par vivre aux crochets du contribuable.

Posté
il y a 21 minutes, Tramp a dit :

Ouais mais Ayn Rand a fini par vivre aux crochets du contribuable.

:rolleyes:

Posté
il y a 2 minutes, Rincevent a dit :

:rolleyes:

 

Prepare toi à etre jugée. En particulier sur tes propres valeurs. C'est pas ce qu'elle disait ?

Posté

La GPA, Fillon, tatie Rand, bon sang, on ne peut pas aller dormir sans que cela parte en vrille encore plus fort. C'est un nanard ce fil, le pire n'est jamais décevant. 

Posté
Il y a 9 heures, Hayek's plosive a dit :

La nana est roumaine, perso je connais pas mais la Roumanie j'aurais plus tendance à dire que c'est un shithole qu'un pays développé.

Mais à part ça ouais c'est qu'une pute sans valeur.

C'est facile de juger quand on a grandi en France.

Ca dépend où mais shithole correspond à pas mal d'endroits.

Dans les villages et les grandes villes, ça va, aussi bien qu'avant pour les premiers, de mieux en mieux pour les autres. Quand tu commences à tomber dans les villes moyennes, c'est la cata, c'est clair. Je me souviens de Bârlad comme d'un cauchemar. J'ai failli me faire dévaliser 10 fois en 12 heures, il y a des rats et des tas d'ordures partout, je sais même pas comment le camion street view a fait pour capturer des images pas trop mal (bien que ça ressemble comme deux gouttes d'eau aux vidéos russian car crash que j'affectionne tant :D). Bref, on sait rien de cette nana et osef en fait.

Posté
Il y a 9 heures, Tramp a dit :

Si tu penses qu'un vrai choix moral n'est pas douloureux, c'est que tu n'y a jamais été confronté.

 

Les dilemmes moraux sont rares, et par conséquents une très mauvaise manière d'aborder la philosophie morale ou de lui demander des réponses.

 

Les résultats psychologiques de l’altruisme peuvent être observés dans le fait qu’un grand nombre de gens abordent le sujet de l’éthique en posant des questions comme :
« Doit-on risquer sa vie pour aider un homme qui a) se noie, B) est pris dans un feu, c) se jette devant un camion en marche, d) est suspendu du bout des doigts au-dessus d’un abîme ? »
Considérez les implications de cette approche. Si un homme accepte l’éthique de l’altruisme, il doit souffrir les conséquences suivantes, en proportion du degré de son acceptation:
1. Un manque d’estime de soi, puisque sa première préoccupation dans le domaine des valeurs n’est pas de savoir comment vivre sa vie, mais comment la sacrifier ;
2. Un manque de respect pour autrui, puisqu’il considère l’humanité comme une horde de mendiants invétérés implorant constamment l’aide de quelqu’un ;
3. Une vision cauchemardesque de l’existence, puisqu’il croit que les hommes sont piégés dans un « univers malveillant » où les désastres sont la préoccupation fondamentale et constante de leur vie ;

4. et, en fait, une indifférence léthargique à l’éthique et une amoralité désespérément cynique, puisque ses questions impliquent des situations qu’il ne rencontrera probablement jamais et qui n’ont aucune relation avec les problèmes réels de sa propre vie, le laissant ainsi sans aucun principe moral d’aucune sorte pour vivre sa vie.

-Ayn Rand, L'éthique des urgences, The Objectivist Newsletter, février 1963.

[/spolier]

Posté
Il y a 9 heures, Neomatix a dit :

Ton but dans la vie c'est d'être heureux ? Qui est-ce qui parlait de vacuité ?

 

Ce n'est pas mon but, c'est celui de tout un chacun. Et ce n'est pas non plus un but, c'est un état de fait objectif, il n'y a aucun choix là-dedans. Y trouver de la vacuité a autant de sens que de trouver la force de gravité médiocre.

 

 


"Par ailleurs, est final, disons-nous, le bien digne de poursuite en lui-même, plutôt que le bien poursuivi en raison d'un autre ; de même, celui qui n'est jamais objet de choix en raison d'un autre, plutôt que les biens dignes de choix et en eux-mêmes et en raison d'un autre ; et donc, est simplement final le bien digne de choix en lui-même en permanence et jamais en raison d'un autre. Or ce genre de bien, c'est dans le bonheur surtout qu'il consiste, semble-t-il. Nous le voulons, en effet, toujours en raison de lui-même et jamais en raison d'autre chose. L'honneur, en revanche, le plaisir, l'intelligence et n'importe quelle vertu, nous les voulons certes aussi en raison d'eux-mêmes (car rien n'en résulterait-il, nous voudrions chacun d'entre eux), mais nous les voulons encore dans l'optique du bonheur, dans l'idée que, par leur truchement, nous pouvons être heureux, tandis que le bonheur, nul ne le veut en considération de ces biens-là, ni globalement, en raison d'autre chose." (p.67)

"Le bonheur paraît quelque chose de final et d'autosuffisant, étant la fin de tout ce qu'on peut exécuter." (p.68)
-Aristote, Éthique à Nicomaque, Livre I, traduction Richard Bodéüs, GF Flammarion, 2004, 560 pages.

"Tous les hommes recherchent d’être heureux. Cela est sans exception, quelques différents moyens qu’ils y emploient. Ils tendent tous à ce but. Ce qui fait que les hommes vont à la guerre et que les autres n’y vont pas est ce même désir qui est dans tous les deux accompagné de différentes vues. La volonté ne fait jamais la moindre démarche que vers cet objet. C’est le motif de toutes les actions de tous les hommes, jusqu’à ceux qui vont se pendre."
-Blaise Pascal, Pensées, 138, édition Michel Le Guern.
 

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
×
×
  • Créer...