FabriceM Posté 5 juillet 2014 Signaler Posté 5 juillet 2014 En même temps le co2 rajouté maintenant dans l'atmosphère a un impact quasi nul, alors bon... osef Le CO2 qu'on rajoute aura toujours des effets : - sur les organismes qui utilisent la photosynthèse (en bien) - sur le ph des océans (en mal)
Tramp Posté 5 juillet 2014 Signaler Posté 5 juillet 2014 Question honnête, comment on peut juger si c'est bien ou mal ?
FabriceM Posté 5 juillet 2014 Signaler Posté 5 juillet 2014 Si ça accroit durablement la production primaire de biomasse, c'est bien.
Jesrad Posté 5 juillet 2014 Auteur Signaler Posté 5 juillet 2014 Et y a jamais eu plus de production de biomasse que quand le CO2 était bien plus concentré et que la jungle allait jusqu'au cercle arctique.
ModernGuy Posté 6 juillet 2014 Signaler Posté 6 juillet 2014 Mouais. Enfin si la biomasse est constituée de parasites, virus et autres champignons toxiques, je ne vois pas bien en quoi son augmentation serait "bien". Ca me paraît un peu simpliste. Bien = ce qui ne fait pas de mal à autrui.
FabriceM Posté 6 juillet 2014 Signaler Posté 6 juillet 2014 Tu ne l'as pas vu passer, et même si c'est un peu un mot "joker", il est important : durable. Si tu accrois la masse de parasites à un instant T, fatalement, ça ne va pas être très durable.
FabriceM Posté 7 juillet 2014 Signaler Posté 7 juillet 2014 Omega-6 fatty acids While saturated fats are the most inflammatory [50,61,62], overabundance of omega-6 (n-6) poly-unsaturated fats, such as those found in most cooking oils, have also been implicated in immune response through several mech- anisms including effects on TLR4 [53] and serving as precursors for inflammatory mediators [63-67]. However, a recent review of human trials seems to undermine evidence supporting n-6 intake increases inflammation [68]. The meta-analysis found the only measured mediator that was significantly altered by an increase in dietary linoleic acid was PGE 2 and concluded that the lack of detectable impact in human clinical trials indicates that the cell-culture and animal based evidence against n-6 fails to accurately re- flect the complexity of human physiology. However, one confounder shared by many of the clinical trials investigat- ing the immune impacts of fatty acids may be their exclu- sion of unhealthy subjects and subsequent lack of disease context. While retrospective studies are limited in their own ways, an intervention study investigating an ubiqui- tous exposure like dietary n-6 that excludes everyone with pre-existing inflammation may be excluding the biologic- ally susceptible portion of the population and thus may be predestined to find no impact of their intervention; while the lack of baseline inflammation in clinical trails could al- leviate the concern for omega-6 as a universal inducer of chronic inflammation, since these trials occur in the ab- sence of either infectious challenge or underlying inflam- matory disorders they make no comment on potential for n-6 intake to impact the risk for, control of, or inflamma- tion during, acute pathology. Additionally, clinical trials involving n-6 have yet to measure inflammatory markers that are downstream of the elevated PGE 2 (such as IL-17 and the Th17 pathway) [43] or directly investigate the TLR4 axis, and instead focus on the more traditional Th1 markers of TNF, C-reactive protein (CRP), or cardiovascu- lar disease [69]. Furthermore, inflammation limited to the small bowel may not elevate typical blood inflammatory markers that are measured in these clinical trials despite imparting pathology [70]. Thus, further investigation into the immune impacts of omega-6 will be needed before any definitive connection between the provocative in vitro findings and human disease pathology can be stated.
FabriceM Posté 7 juillet 2014 Signaler Posté 7 juillet 2014 http://www.nutritionj.com/content/pdf/1475-2891-13-61.pdf
Azref Posté 7 juillet 2014 Signaler Posté 7 juillet 2014 Il y a quoi comme huile neutre utilisable en low carb? L'huile de coco a toujours un arrière gout je trouve...
Rincevent Posté 7 juillet 2014 Signaler Posté 7 juillet 2014 Je trouve que cet arrière-goût va merveilleusement avec la volaille ou la viande blanche. Mais je te concède que c'est pas ce qu'il y a de mieux pour la viande rouge. Sinon, a priori, une huile qui fige, et si possible issue d'un animal. Achète donc des pots de graisse de canard et d'oie. Au pire, prend du beurre.
Azref Posté 7 juillet 2014 Signaler Posté 7 juillet 2014 Je trouve que cet arrière-goût va merveilleusement avec la volaille ou la viande blanche. Mais je te concède que c'est pas ce qu'il y a de mieux pour la viande rouge. Sinon, a priori, une huile qui fige, et si possible issue d'un animal. Achète donc des pots de graisse de canard et d'oie. Au pire, prend du beurre. En effet, et puis je trouve que ça a tendance à donner la même tonalité à tout ce que je mange ... Je cherche une huile pour la friture en particulier, mais je note les graisses animales. En huile végétale, que pensez vous de l'huile de colza, le rapport w6/w3 est pas mal je trouve (2:1) ?
Rincevent Posté 7 juillet 2014 Signaler Posté 7 juillet 2014 De mémoire, Jesrad (la référence en matière de fine tuning nutritionnel) pense le plus grand mal du colza... et de la friture aussi, ça tombe bien. Peut-être voudra-t-il nous faire bénéficier de ses lumières à son prochain passage.
Azref Posté 8 juillet 2014 Signaler Posté 8 juillet 2014 La friture est mauvaise de toute façon, mais quitte à en faire, autant utiliser une bonne huile (enfin une moins pire dans ce cas) Puis bon, je fais comment mes frites de patates douces moi?
Azref Posté 8 juillet 2014 Signaler Posté 8 juillet 2014 quoi? plus de Mars frit? et mes frites de bounty Ca existe vraiment en plus
ShoTo Posté 8 juillet 2014 Signaler Posté 8 juillet 2014 L"huile de Colza ne résiste pas à la chaleur.
Jesrad Posté 8 juillet 2014 Auteur Signaler Posté 8 juillet 2014 De mémoire, Jesrad (la référence en matière de fine tuning nutritionnel) pense le plus grand mal du colza... et de la friture aussi, ça tombe bien.Je suis un peu revenu sur le colza, apparemment les variétés cultivées en Europe sont moins pires que les américaines. Mais le rapport w3/w6 reste médiocre comparé aux alternatives (ruminant nourri à l'herbe et surtout saumon).Pour la friture, c'est à faire dans des graisses les plus stables à la chaleur possible, et très brièvement - pour minimiser la formation des dioxines et autres nasties à haute température. Bien fait c'est d'ailleurs probablement mieux qu'une grillade au charbon de bois. Mon huile de prédilection pour faire revenir des trucs à la poêle, dans l'ordre suivant disponibilité: coco, canard/oie, bœuf (souvent offerte par votre boucher sur demande ! ), mélange beurre/olive. Et à essayer faute de mieux : huile de tournesol oléique (type oléisol).
Mathieu_D Posté 8 juillet 2014 Signaler Posté 8 juillet 2014 Jesrad, tu compares le colza européen au colza américain ou au canola ?
Rincevent Posté 8 juillet 2014 Signaler Posté 8 juillet 2014 Oh, oui, maintenant que j'y pense, frire dans du saindoux ça doit avoir de la gueule !
Hayek's plosive Posté 8 juillet 2014 Signaler Posté 8 juillet 2014 Graisse de cheval, pour la friture. ? Il y a quasiment pas de graisse dans le cheval.
NoName Posté 8 juillet 2014 Signaler Posté 8 juillet 2014 Hé oui, je sais. Pourtant y'a rien de mieux pour faire des frites :
FabriceM Posté 8 juillet 2014 Signaler Posté 8 juillet 2014 J'ai aussi entendu dire que la graisse de cheval, c'était top pour les frites. Ca se trouve, c'est juste une légende rurale champenoise ...
DiabloSwing Posté 8 juillet 2014 Signaler Posté 8 juillet 2014 Il faut juste plus de kg de cheval pour obtenir un kilo de graisse de cheval, mais ça doit pas être impossible.
Mathieu_D Posté 8 juillet 2014 Signaler Posté 8 juillet 2014 Le saucisson de cheval féculé c'est très bon en tout cas. (L'hippophagie c'est la vie.)
Azref Posté 8 juillet 2014 Signaler Posté 8 juillet 2014 L"huile de Colza ne résiste pas à la chaleur. Raffinée ça passe je pense... Je suis un peu revenu sur le colza, apparemment les variétés cultivées en Europe sont moins pires que les américaines. Mais le rapport w3/w6 reste médiocre comparé aux alternatives (ruminant nourri à l'herbe et surtout saumon). Pour la friture, c'est à faire dans des graisses les plus stables à la chaleur possible, et très brièvement - pour minimiser la formation des dioxines et autres nasties à haute température. Bien fait c'est d'ailleurs probablement mieux qu'une grillade au charbon de bois. Mon huile de prédilection pour faire revenir des trucs à la poêle, dans l'ordre suivant disponibilité: coco, canard/oie, bœuf (souvent offerte par votre boucher sur demande ! ), mélange beurre/olive. Et à essayer faute de mieux : huile de tournesol oléique (type oléisol). Je vais tester ça, merci
Astha Posté 8 juillet 2014 Signaler Posté 8 juillet 2014 Graisse de cheval, pour la friture. Du blanc de boeuf.
Noob Posté 8 juillet 2014 Signaler Posté 8 juillet 2014 Oh, oui, maintenant que j'y pense, frire dans du saindoux ça doit avoir de la gueule ! C'est même la base pour les röstis.
Brock Posté 8 juillet 2014 Signaler Posté 8 juillet 2014 Oh, oui, maintenant que j'y pense, frire dans de la graisse d'anus de yak ca doit avoir de la gueule ! C'est même la base pour les kröstiki pluksakevickz.Et aussi pour le Zschbrotgch.
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