Nigel Posté 19 septembre 2016 Signaler Posté 19 septembre 2016 Le modèle de Snowden est Ayn Rand. https://fee.org/articles/snowden-s-muse-was-ayn-rand-s-john-galt/ Vous croyez qu'on en parlera dans le film qui va sortir ? Ca serait tellement coooool.
Rincevent Posté 19 septembre 2016 Signaler Posté 19 septembre 2016 Owi veut dire "je prends" ou bien je peux prendre ? (Texte de Tucker sur Snowden's muse) Ca m'intéresse, mais j'ai besoin d'un petit peu de temps (< semaine).Ça veut dire que j'aimerais que quelqu'un prenne, et si c'était toi ça m’arrangerait.
Nathalie MP Posté 19 septembre 2016 Signaler Posté 19 septembre 2016 Ça veut dire que j'aimerais que quelqu'un prenne, et si c'était toi ça m’arrangerait. Eh bien, c'est moi !
Jensen Posté 20 septembre 2016 Signaler Posté 20 septembre 2016 Pourquoi l'UE est condamnée. https://mises.org/blog/why-eu-doomed C'est fait : Nous sommes habitués à regarder les malheurs de l'Europe d'un strict point de vue financier. C'est une erreur, parce que cela nous fait passer à côté de la vraie raison pour laquelle l'UE va échouer, et ne survivra pas à la prochaine crise financière. Normalement, on survit à une crise financière, grâce aux actions des banques centrales en tant que prêteur en dernier ressort. Cependant, l'origine et la construction de l'Euro, et de UE elle-même, risquent d'avancer la prochaine crise financière aux mois à venir, et de faire que celle-ci dépasse la capacité de la BCE à sauver le système. On doit se rappeler que l’Union Européenne est à l’origine une création de la politique étrangère des États-Unis après-guerre. Leur priorité était de bloquer l’avancée du bloc communiste. Pour arriver à ce but, trois éléments de leur politique envers l’Europe ont été définis. Il y a d’abord eu le plan Marshall en 1948, qui a fourni des fonds pour aider à la reconstruction des infrastructures de l’Europe. Cela a été suivi par la création de l’OTAN en 1949, qui a permis d’assurer la présence de bases militaires américaines et anglaises permanentes en Allemagne. Enfin, le Comité Américain pour une Europe Unie (the American Comittee on United Europe), une organisation financée par la CIA, a été créé pour promouvoir discrètement l’union politique de l’Europe. Celle-ci n’est donc en rien un développement européen naturel. Malgré cela, le concept d’union politique, initialement sous la forme de la Communauté Européenne du Charbon et de l’Acier (CECA), est devenue réalité avec le traité de Paris en 1951, avec six membres fondateurs : la France, l’Allemagne de l’Ouest, la Belgique, le Luxembourg et l’Italie. La CECA a évolué vers l’UE d’aujourd’hui, avec 21 pays membres supplémentaires sans compter le Royaume-Uni, qui a décidé de quitter l’union. Les pays fondateurs ayant conservé leurs caractéristiques nationales, l’UE ressemble à un patchwork politique, chaque élément ayant conservé ses caractéristiques d’origine. Après 65 années, un Français est toujours un fervent nationaliste français. Les Allemands sont caricaturalement allemands, et les Italiens restent délicieusement italiens. La Belgique est souvent désignée comme un non-pays, et est toujours divisée entre les Wallons et les Flamands. En tant qu’organisation, l’UE manque d’une identité nationale, et donc de cohésion politique. C'est la raison pour laquelle la commission européenne de Bruxelles a dû faire beaucoup d'efforts pour s'affirmer. Elle souffre néanmoins d'un problème insurmontable : elle n'a pas d'autorité démocratique. Le parlement européen a été conçu pour ne pas détenir de pouvoir, et ne trompe donc que les ignorants. Le pouvoir résidant toujours dans une cabale réduite d'états-nation, les dirigeants nationaux ne font que semblant de respecter la bureaucratie bruxelloise. La relation entre les dirigeants nationaux et la commission européenne est délibérément une relation de long-terme, dans le sens que la perte de souveraineté est utilisée pour soumettre progressivement les autres pays membres de l'UE dans à l'axe franco-allemand. La logique sous-jacente était de faire de l'Europe une zone de commerce protégé dans l'intérêt conjoint de la France et de l'Allemagne, en les protégeant du marché libre. Trouver les compromis nécessaires n'a pas été facile. Depuis la seconde guerre mondiale, la France a été très protectionniste envers sa propre culture, en insistant pour que les Français n'achètent que des produits français. Le succès de l'Allemagne vient de l'épargne, qui, en encourageant les investissements industriels, a conduit à une forte capacité d'exportation. Ces deux pays, partageant une frontière commune, avaient et ont toujours des valeurs très différentes, mais ont réussi à concevoir et à mettre en place la Banque Centrale Européenne (BCE) et l'Euro. En Allemagne, les défenseurs d'une monnaie forte de la Bundesbank ont perdu face aux intérêts industriels, qui ont cherché à profiter d'une monnaie plus faible. Cela concordait avec ses préférences politiques, et c'est bien la classe politique qui contrôlait la relation avec la France. En France les intégrationnistes, à nouveau des politiciens, ont gagné face aux industriels, qui cherchaient à protéger leur marché domestique face à la compétition allemande. Lorsque la monnaie commune a été initialement proposée, deux problèmes futurs ont été ignorés. Le premier était l'adaptation des autres pays rejoignant l'euro à la perte de leur monnaie nationale, et le second était la manière dont le Royaume-Uni, avec leur culture anglo-saxonne basée sur le marché, pouvait s'adapter à un modèle plus européen. Le second problème n'a pas tardé à se manifester brutalement, avec le retrait de la livre sterling du mécanisme de taux de change européen (MCE), précurseur de l'euro, en septembre 1992. L'euro a finalement vu le jour à la fin du siècle. Le compromis franco-allemand a conduit à la nomination d'un Français, Jean-Claude Trichet, comme deuxième président de la BCE. Tout se passait bien puisque l'abandon des monnaies nationales et l'acceptation progressive de l'euro signifiait que les états de l’Eurozone pouvaient emprunter moins cher en euro que dans leurs propres monnaies nationales. Le risque des obligations était mesuré contre les bunds allemands, les obligations traditionnellement au taux le plus faible d'Europe. Après peu de temps, le spread entre les obligations allemandes et celles émises par d'autres pays de l’Eurozone a été vu comme une opportunité de profit et non plus comme le reflet d'un risque relatif. Les banques européennes, les compagnies d'assurances et les fonds de pensions ont tous bénéficié de l'augmentation significative des prix des obligations émises par les membres périphériques de l'UE, et ont investi en conséquence. En retour, ces emprunteurs ne se sont pas fait prier pour répondre à cette demande en émettant d'énormes quantités de dettes, en violation du traité de Maastricht. Le crédit bancaire s'est également étendu, en laissant le système bancaire dangereusement exposé. Le mécanisme de contrôle de cette explosion de l'endettement aurait dû être le pacte de stabilité et de croissance sur lequel les états se sont entendus à Maastricht en 1993. Cinq règles ont été définies, dont deux qui nous intéressent particulièrement. Les États membres devaient garder leur déficit budgétaire en dessous de 3 % du PIB, et la dette gouvernementale devait rester en dessous de 60 % du PIB. Ni l'Allemagne ni la France ne remplissaient le critère de la dette sans truquer leurs comptes, et la seule raison pour laquelle le déficit était conforme au Pacte était un mélange de comptabilité douteuse et de timing favorable du cycle économique. Aucune mesure n'a jamais été prise pour faire respecter le mécanisme de contrôle. Depuis le début, aucun pays n'a eu le moindre sens de responsabilité envers la nouvelle monnaie. Les règles ont été ignorées et l'euro est devenue la vache à lait des gouvernements membres, ce qui a été propulsé sur le devant de la scène par l'échec de la Grèce. Le système bancaire de l’Eurozone, comprenant les banques centrales nationales et la BCE, mutuellement engagées dans un système de règlement bancal nommé TARGET, est devenu le moyen pour les états membres d'acheter des biens allemands à crédit. On aurait été tenté de dire "tant mieux pour l’Allemagne" si le crédit n'avait été pas fourni par l'Allemagne elle-même. Cela revient à prêter de l'argent à son client lors d'une transaction truquée. La faille présente à la construction du système est maintenant un volcan grondant prêt à exploser à tout moment. Les Allemands veulent récupérer leur argent, ou à minima ne pas y renoncer définitivement. Les débiteurs ne peuvent pas payer, et ont besoin d'emprunter plus d'argent juste pour survivre. Aucun des deux partis ne veut regarder la réalité en face. Cela a commencé avec l’Irlande, puis Chypre, suivie par la Grèce et le Portugal. Ce sont de petits débiteurs, que l'Allemagne, sous l'impulsion de son ministre des finances Wolfgang Schäuble, a réussi à soumettre, et qui sont maintenant des zombis économiques. Le vrai problème vient de l'Italie, qui est aussi en train de sombrer avec un ratio dette/PIB estimé à plus de 133%, et qui continue de monter. Si l'Italie tombe, elle sera suivie par l'Espagne et la France. Herr Schäuble ne peut pas faire rentrer si facilement ces débiteurs majeur dans le rang, parce que si cela devait arriver, le système bancaire de tout l’Eurozone se retrouverait en grande difficulté, ainsi que le gouvernement allemand lui-même. Les épargnants allemands sont également en train de prendre pleinement conscience qu'ils vont devoir payer la facture. La première ligne de défense, comme toujours, sera la BCE, qui agira en prêteur en dernier ressort pour garder les banques à flot. La seule manière d'y parvenir est d'accélérer l'impression d'Euro et de monopoliser le marché de la dette de l’Eurozone. La question est de savoir si la BCE pourra ou non maintenir la monnaie debout avec ce passif sur son propre bilan, et pour combien de temps. Pour le moment, l'Euro apparaît comme un Goliath, invincible. Il représente l'establishment européen anti-libre-maché, que personne n'a osé contester. Cela explique probablement que la BCE puisse imposer des taux d'intérêt négatifs et ne pas en subir les conséquences. Mais des failles sérieuses sont en train d’apparaître. D'abord, nous avons eu le Brexit, qui sera probablement suivi par la sortie d'autres petits états. La crise bancaire italienne se manifestera presque certainement bientôt, et le référendum italien sur la constitution le mois prochain sera également un obstacle important à surmonter. Les politiciens sont en mode panique, et assurent à qui veut l'entendre qu'il n'y a aucun problème que plus d'intégration et une nouvelle armée ne pourront résoudre. Pendant ce temps, l'attitude autoritaire de la commission européenne et la crise des réfugiés sapent le soutien de l'opinion publique pour le statu quo. Angela Merkel, jusqu'à présent vue comme invincible, a perdu le soutien de l'opinion publique en Allemagne. Marine Le Pen, leader du front national, souhaitant que la France sorte de l'UE, est en tête des sondages d'opinions récents pour l'élection présidentielle française de l'année prochaine. Les hommes forts de l'Europe sont en difficulté. Tous les éléments pour un désastre politique et financier majeur sont maintenant présents. La question de savoir s'il sera le déclencheur, ou s'il sera lui-même déclenché par d'autre évènements externes reste ouverte. Dans tous les cas, le délai avant une crise de l’Eurozone semble maintenant se compter en mois. L'effet sur les marchés, au-delà d'un choc sévère sur tous les marchés, sera vraisemblablement double. D'abord, les flux internationaux vont délaisser l'euro en faveur du dollar. Vu le poids de l'euro dans l'index du dollar, toutes les monnaies subiront des perturbations majeures. Ensuite, les résidents de l’Eurozone ayant des dépôts bancaires vont vraisemblablement chercher refuge vers l'or physique, à mesure que les signes de l'effondrement prochain de leur monnaie se font plus visibles, parce qu'ils n'ont pas d'autres endroits où aller. Quelle que soit la manière dont on regarde la situation, il est de plus en plus difficile d'imaginer un autre dénouement qu'un effondrement complet de cette construction politique mal-formée, promue à l'origine dans l'intérêt des États-Unis par une organisation financée par la CIA. L'Euro, dépendant d'une cohésion politique au lieu de venir d'une demande du marché, cessera simplement d'être une monnaie, dans un futur proche. J'ai fais attention et j'ai passé un coup de correcteur automatique, mais il reste encore sans doute des fautes qui sont passés au travers. Merci pour les relectures ! Au niveau des traductions sujettes à caution, j'ai fait les choix suivants, à discuter et éventuellement modifier : And lastly, a CIA sponsored organisation, the American Committee on United Europe was established to covertly promote European political union.J'ai choisi de traduire "covertly" par "discrètement". Une traduction littérale aurait été "secrètement", mais la connotation me parait trop complotiste. Et de fait, c'est bien discret et non secret puisqu'on le sait. The relationship between national leaders and the European Commission has been deliberately long-term, in the sense that loss of sovereignty is used to gradually subordinate other EU members into the Franco-German line.Cette phrase me parait ne pas avoir de sens. J'ai traduit littéralement. Si quelqu'un à compris leur "long-terme" et veut proposer une meilleure traduction, il est le bienvenu. Bank credit expanded as well, leaving the banking system highly geared.J'ai traduit "geared" par "exposé". Je pense qu'on y perd du sens, mais je n'ai pas trouvé de traduction complète et élégante de "geared". These are the smaller creditors, which Germany, led by its Finance Minister Wolfgang Schäuble, managed to crush into debtor submission and are now economic zombies."creditors" me semble ici être une typo du texte d'origine parce que cela n'a aucun sens. J'ai traduit par "débiteur". "crush into debtor submission": comme pour "geared", je n'ai pas trouvé de traduction complète. J'ai simplement traduit par "soumettre". Whichever way one looks at it, it is increasingly difficult to accept any other outcome than a complete collapse of this ill-found political construction, originally promoted in US interests by a CIA-sponsored organisation.Je ne sais pas s'il faut comprendre "difficult to accept" comme "difficile à imaginer" ou "aucune autre solution n'est acceptable". J'ai choisi la traduction la plus lisse (imaginer), mais j'ai un doute.
Nathalie MP Posté 21 septembre 2016 Signaler Posté 21 septembre 2016 Le modèle de Snowden est Ayn Rand. https://fee.org/articles/snowden-s-muse-was-ayn-rand-s-john-galt/ Edward Snowden : Ayn Rand était sa muse Jeffrey Tucker, FEE, le 19 septembre 2016 Le cas d’Edward Snowden m’a toujours intrigué. Cet homme travaillait dans une énorme boîte qui prodiguait du pouvoir, du prestige et de l’argent en quantité. Il avait atteint la plus haute position professionnelle possible compte tenu de ses compétences. Tout son environnement de surveillance de masse lui montrait qu’il n’y avait pas d’échappatoire possible et exigeait de lui obéissance, dévouement et soumission. Son travail consistait à laisser son individualisme, son intégrité et sa personnalité au vestiaire pour devenir un rouage ultra-fiable dans la lourde mécanique de sa hiérarchie. Tous ses collègues s’accommodaient de cette situation sans jamais la remettre en question. S’ils s’interrogeaient, c’était purement formel. Une vraie porte de sortie n’existait certainement pas. On ne pouvait que s’adapter, profiter du pouvoir, encaisser l’argent et mourir un jour. Pour je ne sais quelle raison, Snowden décida de suivre un autre chemin. Seul, sans même consulter ses proches, il s’envola un beau matin en prenant le risque inconcevable de copier les fichiers les plus significatifs. Il les enregistra sur un disque minuscule qu’il cacha dans le Rubik’s cube qu’il portait souvent sur lui. Ayant préparé sa fuite, il sortit tranquillement de la NSA (National Security Agency), prit un vol pour Hong-Kong et y rencontra deux journalistes qu’il avait contactés par email crypté. Ce qu’il leur révéla secoua le monde entier. Il vécut toute l’affaire dans la peur, mais ne montra jamais d’hésitation. Peu impressionné par le système qui l’entourait, il ne le considérait ni comme un maître ni comme un égal, mais comme une machine qu’il pouvait battre. Il savait que son projet était juste et il l’avait mis à exécution car, à l’inverse de toutes les probabilités admises, il pensait qu’il pouvait faire la différence. On peut dire sans exagérer qu’il a risqué sa vie au service de la liberté. Pourquoi ? Qu’est-ce qui pouvait bien l’avoir poussé à faire une chose pareille ? Il n’est pas impossible que nombre de ses collègues y aient songé car ils savaient qu’il était autant illégal qu’immoral de se livrer à une surveillance de masse aussi générale et indiscriminée. Mais seul Snowden est passé à l’acte. Il est proprement extraordinaire de penser qu’à notre époque un homme tel que lui existe. J’ai suivi l’affaire Snowden avec attention, et elle m’a toujours plongé dans la plus grande perplexité. Il est bien beau de dire qu’il a une forte personnalité, qu’il a agi par principe, qu’il a montré du courage. Mais où a-t-il été chercher tout ça ? Il n’est pas particulièrement religieux. Il semble avoir des penchants libéraux, mais ses convictions politiques sont peu idéologiques. Je me suis toujours demandé quelle inspiration morale avait pu pousser Snowden à faire l’impensable au nom de la vérité. C’est pourquoi je suis profondément reconnaissant à Oliver Stone pour son nouveau film « Snowden ». Ayn Rand était sa Muse Dans les premières scènes, on voit Snowden passer un entretien pour son premier poste à la NSA. On l’interroge sur les livres qui l’ont influencé et il mentionne Joseph Campbell (dont le concept de « voyage du héros » en tant qu’influence de Snowden serait un excellent sujet à creuser). Puis, de façon très révélatrice, il évoque Ayn Rand. Son interlocuteur cite un extrait de La Grève (Atlas Shrugged) : « Un homme peut arrêter le moteur du monde. » Snowden acquiesce et le film continue. Nous y voilà ! Cette petite scène éclaire beaucoup de choses. Dans le roman d’Ayn Rand, l’ensemble de la population fait face à un appareil d’Etat gigantesque et totalitaire qui dépouille progressivement les producteurs de richesse avec pour effet d’entraîner toute la société dans la spirale de la pauvreté. Chaque individu confronté à cette machine doit prendre une décision : la rejoindre, la défendre, l’ignorer ou la combattre d’une façon ou d’une autre. Ceux qui empruntent le chemin du courage sont assez avisés pour ne pas s’en remettre à l’appel aux armes. Ils imaginent bien pire : ils se mettent en grève. Ils ne veulent plus que le régime profite de leurs services et refusent de participer à leur propre destruction. Ce faisant, ils rendent un immense service à la société car ils refusent que leurs talents contribuent plus avant à l’oppression générale. Là est l’explication. Edward Snowden a certainement gardé cette histoire fascinante dans un coin de sa tête. Les lecteurs pourront en témoigner, La Grève a le don de vous plonger dans un univers hautement dramatique où toute l’épopée tourne autour de graves décisions morales à prendre. Les gens sont jugés d’après leur volonté à faire triompher ce qui est juste, à se dresser en tant qu’individus contre des systèmes gigantesques qui d’habitude les font paraître impuissants. Le message d’Ayn Rand, c’est qu’un esprit humain, poussé à l’action par des principes moraux, peut effectivement changer le monde. C’est précisément en cela que La Grève est un livre complètement différent de tous les autres au sein de la littérature d’après-guerre sur la défense de la liberté contre l’Etat. Ayn Rand plaçait le choix moral de l’individu au sommet de tout. Elle a créé un monde de fiction, un monde sensible et inoubliable, dans lequel toute l’histoire repose sur l’idée de faire ce qui est juste, quels que soient les risques personnels ou les pertes matérielles. (Rand est sottement critiquée au motif qu’elle aurait mis les acquisitions matérielles au premier rang de ses valeurs. La vérité, c’est qu’elle préférait le courage moral à la sécurité, au pouvoir et même à un revenu régulier). Pourquoi le film fait-il mention de l’épisode Ayn Rand ? Oliver Stone a réalisé son film en étroite collaboration avec Edward Snowden, lequel apparaît en personne à la fin, et lequel a certainement validé tous les éléments biographiques le concernant, dont celui que j’ai relaté plus haut à propos d’Ayn Rand. Oliver Stone est un producteur connu pour ses idées gauchistes et son penchant pour les théories du complot. Pourquoi a-t-il voulu inclure ce détail biographique dans son film ? Une bonne part du contenu dramatique du film fait la chronique de l’éveil idéologique de Snowden, depuis son patriotisme aveugle jusqu’à ses doutes à l’égard du complexe militaro-industriel. Pour entrevoir la vérité, il lui fallait secouer progressivement son conservatisme et adopter un point de vue plus large. Il est possible que Stone ait décidé d’incorporer ce petit épisode sur Rand afin d’illustrer le parti-pris conservateur de Snowden et montrer comment il a évolué ensuite face à l’évidence. Je n’en ai aucune preuve, c’est donc pure spéculation de ma part. Mais ce n’est pas complètement exclu, compte-tenu de ce qui est dit de Rand en général, à savoir qu’elle serait une sorte de déesse de la pensée de droite. Le courage moral La réalité de l’influence de Rand est cependant très différente. Une des façons de comprendre son livre consiste à l’aborder biographiquement. Etant née en Russie, elle se trouva destinée à vivre sous le despotisme communiste. Si elle avait accepté cette situation, elle aurait vécu puis serait morte dans la pauvreté et l’indifférence. Mais elle aspirait à une existence différente, elle voulait que sa vie compte. Aussi, elle organisa sa propre fuite de Russie, débarqua aux Etats-Unis et vécut brièvement à Chicago. Elle déménagea à nouveau et démarra une carrière de scénariste à Hollywood, avant d’écrire ses propres pièces de théâtre et de passer au roman. Cette inconnue venue de Russie fit une très belle carrière personnelle et devint l’un des esprits les plus influents du XXème siècle – et elle obtint tout cela sans appartenir à l’université, ni bénéficier d’appuis dans les cercles du pouvoir. Les plus beaux personnages de Rand suivent exactement la même voie : ils refusent de se laisser embrigader au motif que les dirigeants sont riches et puissants. Au cœur de son message, Ayn Rand nous rappelle sans relâche qu’une personne dotée d’une endurance intellectuelle et morale peut mettre en déroute jusqu’au plus puissant système d’oppression. Cela demande de la ruse, de l’audace et une concentration absolue sur ce que l’on considère comme juste. Et c’est précisément ce que Snowden a fait. Il a suivi l’exemple de John Galt (NDLT : héros de La Grève). Plutôt que d’arrêter le moteur du monde, il chercha à couper le moteur de l’Etat qu’il aidait à construire. Pourquoi ? Parce que c’était la chose à faire, parce que c’était juste. Si Oliver Stone a intégré le passage sur Ayn Rand pour montrer combien Snowden s’en écarte, je pense qu’il se trompe gravement. Pour moi, Ayn Rand fut au contraire la muse de Snowden de bout en bout. Et cela me rend extrêmement fier de la puissante influence qu’elle a eue dans ce monde. Bien qu’elle soit décédée en 1982, sa pensée est encore très vivace, quoique largement sous-estimée. Si je vois juste, on peut dire que Rand participe encore aujourd’hui à rendre le monde plus libre. Posons-nous une dernière question : Edward Snowden a-t-il fait le bon choix ? Aujourd’hui, il est l’une des personnes au monde dont l’opinion est la plus recherchée, il peut rassembler des foules en tout point du globe, il est un défenseur mondialement reconnu de la dignité humaine, du respect de la vie privée et de la liberté. Grâce aux technologies de l’information il est capable d’atteindre des milliards de personnes. Et il a encore devant lui une vie entière à consacrer à tout cela – grâce au choix qu’il a fait. Ayn, vous avez encore frappé fort ! Texte original : https://fee.org/articles/snowden-s-muse-was-ayn-rand-s-john-galt/
Nick de Cusa Posté 22 septembre 2016 Auteur Signaler Posté 22 septembre 2016 C'est fait : ... "creditors" me semble ici être une typo du texte d'origine parce que cela n'a aucun sens. J'ai traduit par "débiteur". "crush into debtor submission": comme pour "geared", je n'ai pas trouvé de traduction complète. J'ai simplement traduit par "soumettre". ... Non non, c'est juste que l'Allemagne s'arroge la position de créditeur prioritaire et que les petits créditeurs risquent de ne pas revoir leurs billes. Cette phrase me parait ne pas avoir de sens. J'ai traduit littéralement. Si quelqu'un à compris leur "long-terme" et veut proposer une meilleure traduction, il est le bienvenu. Elle est mal tournée mais on peut la comprendre: une approche de long terme de la commission pour subordonner les souverainetés nationales à la ligne franco-allemande.
Nick de Cusa Posté 22 septembre 2016 Auteur Signaler Posté 22 septembre 2016 Immigration et terrorisme. http://www.cato.org/blog/immigration-terrorism?utm_content=buffer06a05&utm_medium=social&utm_source=facebook.com&utm_campaign=buffer
Nick de Cusa Posté 22 septembre 2016 Auteur Signaler Posté 22 septembre 2016 Les USA et l'UE veulent tous deux taxer Apple. http://reason.com/archives/2016/09/22/the-eu-sharpens-its-knives-for-apple-but
Jensen Posté 23 septembre 2016 Signaler Posté 23 septembre 2016 Non non, c'est juste que l'Allemagne s'arroge la position de créditeur prioritaire et que les petits créditeurs risquent de ne pas revoir leurs billes.Vu le contexte, je ne pense pas. It started with Ireland, then Cyprus, followed by Greece and Portugal. These are the smaller creditors, which Germany, led by its Finance Minister Wolfgang Schäuble, managed to crush into debtor submission and are now economic zombies. Le "These" en début de phrase fait clairement référence à l'Irlande, Chypre et cie, qui sont bien des débiteurs et non des créditeurs. Par opposition à l'Italie et la France dans la phrase suivante, qui sont aussi des débiteurs, mais pas "the smaller". D'autre part, les creditors/debitor sont "crush into debtor submission", ce qui serait étrange pour un créditeur, et "economic zombies", ce qui ne peut être que les pays (un préteur serait en faillite, pas zombi). Enfin, l'article ne parle nul part de petits créditeurs spoliés. Elle est mal tournée mais on peut la comprendre: une approche de long terme de la commission pour subordonner les souverainetés nationales à la ligne franco-allemande.Ok, je l'avais compris plus ou moins comme ça. Ma traduction reste donc aussi "bancale" que la phrase d'origine : je pense que c'est mieux que de risquer un contre-sens, mais la rédaction de Contrepoints sera sans doute meilleur juge.
Drake Posté 24 septembre 2016 Signaler Posté 24 septembre 2016 Un article intéressant de Forbes. J'ignore si Contrepoints peut en publier une traduction. http://www.forbes.com/sites/henrymiller/2016/08/24/the-buzz-seven-reasons-not-to-worry-about-the-bees/#52040b8670a8 Le syndrome d'effondrement des ruches et la disparition des abeilles : encore un mythe des escrologistes?
Nick de Cusa Posté 24 septembre 2016 Auteur Signaler Posté 24 septembre 2016 Vu le contexte, je ne pense pas. ... En effet. Absolument.
Nick de Cusa Posté 24 septembre 2016 Auteur Signaler Posté 24 septembre 2016 ... Je prends. Je pense faire ça d'ici demain soir. 219 partages FB, c'est déjà un bon score.
Séverine B Posté 25 septembre 2016 Signaler Posté 25 septembre 2016 Un article intéressant de Forbes. J'ignore si Contrepoints peut en publier une traduction. http://www.forbes.com/sites/henrymiller/2016/08/24/the-buzz-seven-reasons-not-to-worry-about-the-bees/#52040b8670a8 Le syndrome d'effondrement des ruches et la disparition des abeilles : encore un mythe des escrologistes? Permission de traduire et republier demandée, en attente de la réponse.
Drake Posté 26 septembre 2016 Signaler Posté 26 septembre 2016 Permission de traduire et republier demandée, en attente de la réponse. Si la réponse est positive, je me charge de la traduction.
Nick de Cusa Posté 30 septembre 2016 Auteur Signaler Posté 30 septembre 2016 Trump a tort, les immigrants ne commettent pas plus de crimes. http://www.cato.org/publications/commentary/donald-trump-wrong-immigrants-can-help-reduce-crime?utm_term=0_395878584c-2fc7bc39b7-142013162&goal=0_395878584c-2fc7bc39b7-142013162&mc_cid=2fc7bc39b7&mc_eid=9f06a24e5d&utm_content=buffer023db&utm_medium=social&utm_source=facebook.com&utm_campaign=buffer
Rincevent Posté 30 septembre 2016 Signaler Posté 30 septembre 2016 Je crois qu'il y a une traduction à relire dans la boîte mail de la rédaction...
F. mas Posté 30 septembre 2016 Signaler Posté 30 septembre 2016 yep c'est vu ! merci ! Ouf 15 pages !!! mais tu veux nous tuer ????
Rincevent Posté 30 septembre 2016 Signaler Posté 30 septembre 2016 Non, c'est le traducteur qui ai failli en crever de cette traduction. Imagine qu'il a fallu retrouver la traduction officielle de tous les titres d'épisodes cités, pour ne donner qu'un seul exemple. Ceci dit, c'est justement parce que c'est long que ça ferait un bon "Weekend Read" pour Dimanche, et un article de référence pour le long terme (avec replay à chaque sortie de flim).
Largo Winch Posté 2 octobre 2016 Signaler Posté 2 octobre 2016 Un article intéressant à traduire sur l'évolution du management, avec l'exemple de Valve, l'entreprise de jeux vidéo. Les managers, des dinosaures en voie d'extinction ? https://fee.org/articles/are-managers-really-going-extinct/
Nick de Cusa Posté 5 octobre 2016 Auteur Signaler Posté 5 octobre 2016 Des verts dévastés par la transition énergétique en Allemagne. http://notrickszone.com/2016/10/04/top-environmentalists-aghast-as-germanys-energiewende-turns-into-a-green-dystopia/
Nick de Cusa Posté 8 octobre 2016 Auteur Signaler Posté 8 octobre 2016 La science est-elle polluee ? http://www.cato.org/publications/commentary/modern-science-polluted?utm_content=buffer0fb9f&utm_medium=social&utm_source=facebook.com&utm_campaign=buffer
Séverine B Posté 8 octobre 2016 Signaler Posté 8 octobre 2016 Quid de la traduction sur Star Trek ? En cours de lecture. On doit décider comment et quand on publie, mais il faut qu'on l'ait lue en entier ;-) Beau boulot !
Rincevent Posté 8 octobre 2016 Signaler Posté 8 octobre 2016 En réfléchissant, "La Politique de Star Trek" ou quelque chose d'approchant semble un meilleur titre.
Nick de Cusa Posté 8 octobre 2016 Auteur Signaler Posté 8 octobre 2016 Comment la mondialisation a sauve le monde, http://humanprogress.org/blog/how-globalization-saved-the-world
Nick de Cusa Posté 8 octobre 2016 Auteur Signaler Posté 8 octobre 2016 Court et essentiel, USA, le parti republicain devrait juste soutenir Gary Johnson. http://thelibertarianrepublic.com/republican-party-endorse-johnson-weld/?utm_source=facebook&utm_medium=social&utm_campaign=SocialWarfare
Cthulhu Posté 8 octobre 2016 Signaler Posté 8 octobre 2016 Court et essentiel, USA, le parti republicain devrait juste soutenir Gary Johnson. http://thelibertarianrepublic.com/republican-party-endorse-johnson-weld/?utm_source=facebook&utm_medium=social&utm_campaign=SocialWarfare A la suite des révélations des « Trump Tapes » vendred soir, le candidat Républicain est quasiment fini. De nombreuses personnalités du parti ont retiré leur soutien et pour la première fois, Donald Trump a dû présenter des excuses. Certains ont même suggéré qu’il devrait se retirer de l’élection présidentielle, mais avec seulement un mois de délai, ce n’est plus possible. Cependant, le Parti Républicain a un autre plan d’urgence. Sur chacun des bulletins de Novembre, un duo d’anciens gouverneurs Républicains sera présent.Il s’agit de la candidature libertarienne de Gary Johnson et William Weld. De plus, tous deux possèdent des bilans impeccables en matière fiscale qui rendraient Barry Goldwater et Ronald Reagan fiers. Avec l’exode massif des soutiens temporaires de Trump et jusqu’au président du parti qui condamne les propos de Trump, le parti doit rapidement réparer ces dégâts si il souhaite conserver le Sénat et le Parlement. De plus, avec les révélations récentes concernant Hillary Clinton, gagner l’élection présidentielle reste possible si les Républicains présentent un candidat compétent et sérieux. Des estimations ont suggéré que Johnson pourrait gagner l’Etat du Nouveau-Mexique (NdT : où il avait été gouverneur) et créer une égalité pour laquelle le Parlement devrait choisir le futur président. Cependant, si les Républicains agissent maintenant, ils peuvent s’éviter la honte d’être affiliés à Trump, sauver leurs postes de députés et sénateurs, et empêcher Clinton de gagner cette élection. Je vous laisse relire et corriger les formulations maladroites, j'ai fait ça au plus vite
Jensen Posté 9 octobre 2016 Signaler Posté 9 octobre 2016 Comment la mondialisation a sauve le monde, http://humanprogress.org/blog/how-globalization-saved-the-world Je prends, j'ai un dimanche pluvieux à occuper !
Jensen Posté 9 octobre 2016 Signaler Posté 9 octobre 2016 Comment la mondialisation a sauve le monde, http://humanprogress.org/blog/how-globalization-saved-the-world J'ai le grand plaisir d'annoncer un nouveau projet que nous avons développé à Human Progress, qui montre comment, d'après toutes les métriques majeures, la vie des gens s'est améliorée dans le monde entier au cours des 50 dernières années. Il est nommé "Your Life in Numbers", et permet aux utilisateurs de voir comment les pays ont changé au cours de leur vie, en termes d'espérance de vie, de mortalité infantile, de revenu par personne, d'approvisionnement en nourriture par personne, d'années de scolarisation et de niveau de démocratie. Nos données commencent en 1960, mais nous nous attendons à ce que le site soit utilisé principalement par les générations les plus jeunes et habituées à l'outil informatique, qui ont grandi dans l'ombre de la grande récession. La morosité qui a caractérisé l'essentiel de la décennie précédente, avec une croissance faible, un chômage élevé, des déficits budgétaires des états élevés et un niveau de dette stratosphérique, doit être gardée à sa juste perspective. L'histoire du progrès humain n'est ni linéaire ni ininterrompue - il y a toujours des retours en arrière. Malgré cela, en dépit de toutes les mauvaises nouvelles annoncées à la télévision chaque jour, la plus grande partie du monde continue de s'améliorer. Observez les changements qui ont eu lieu au cours des 50 dernières années : - en 1966, l'espérance de vie moyenne était seulement de 56 ans. Aujourd'hui, c'est 72 ans. C'est une augmentation de 29 %. - Sur 1000 nouveaux-nés, 113 mourraient avant leur premier anniversaire. Aujourd'hui, seulement 32 meurent. C'est une réduction de 72 %. - Le revenu moyen par personne a augmenté de 6 000 $ à environ 16 000 $, soit de 167 %, et ces chiffres sont ajustés en fonction de l'inflation et du pouvoir d'achat. - L'approvisionnement en nourriture a augmenté de 2 300 calories par personne à plus de 2 800 calories, une augmentation de 22 % , réduisant la faim. - La longueur d'une scolarité typique était de 3.9 années. Aujourd'hui, c'est 8.4 ans - une augmentation de 115 %. - Le monde est devenu moins autoritaire, avec un niveau de démocratie augmentant de -0.97 à 4.23 sur une échelle de -10 à 10. C'est une amélioration de 536 %. Nous espérons qu'une meilleure compréhension de l'amélioration du sort de l'humanité rendra les jeunes plus reconnaissants envers les fondations sociales et économiques de notre société moderne - la démocratie libérale et la libre entreprise. Nous espérons également qu'ils reconnaîtront les améliorations immenses du bien-être humain dans les pays en développement. En fait, une des leçons principales que nous espérons que les utilisateurs retiendrons après avoir visité et interagi avec Your Life in Numbers est que les inégalités mondiales ont diminuées grâce à la croissance économique des pays en développement. Ceci étant dit, permettez-moi de vous expliquer comment Your Life in Numbers fonctionne : d'abord, entrez le pays et l'année de votre naissance - comme indiquée par la flèche rouge dans la capture d'écran ci-dessous. La capture d'écran ci-dessous montre comment télécharger une image contenant vos résultats, qui peuvent être envoyés par email ou insérés dans un article que vous écrivez. Notez également la seconde flèche, qui pointe sur une table contenant les valeurs absolues que nous avons utilisées pour calculer les changements sur la période de temps sélectionnée (par exemple, en 1976, l'espérance de vie moyenne en Grande-Bretagne était de 72.8 ans, contre 80.8 ans en 2015). La capture d'écran ci-dessous montre comment comparer les résultats de la Grande-Bretagne avec ceux d'un autre pays (première flèche). Si vous sélectionnez un pays en développement, tel que l'Inde, vous observerez que l'Inde a fait encore mieux que la Grande-Bretagne sur de nombreux points. C'est le cas de la plupart des pays en développement, y compris en Afrique. Historiquement, grâce à la révolution industrielle, qui a commencé en Grande-Bretagne et s'est ensuite répandue en Occident et dans ses rejetons, un écart du bien-être est apparu entre l'Occident et le reste du monde. Maintenant, grâce à l'intégration économique (mondialisation), les pays en développement tendent à grandir plus rapidement que les pays développés, réduisant ainsi les inégalités mondiales. Encore une fois, vous pouvez télécharger votre comparaison du bien-être entre deux pays ou partager vos résultats sur les réseaux sociaux (deuxième flèche). Enfin, observez les changements dans la table des valeurs absolues, qui contient maintenant les résultats non seulement de la Grande-Bretagne, mais aussi de l'Inde (troisième flèche). J'espère que vous apprécierez votre visite de Your Life in Number et vos interactions avec les données. Peut-être même ensoleillera-t-elle votre journée. Cet article a été initialement publié dans CapX.
Nick de Cusa Posté 10 octobre 2016 Auteur Signaler Posté 10 octobre 2016 Les Indiens d'Amerique aimaient la propriete privee, http://www.liberaux.org/index.php/topic/48636-traductions-pour-contrepoints-wikiberal-et-autres/?p=1468917
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