FabriceM Posté 16 juillet 2016 Signaler Posté 16 juillet 2016 Au tréfonds de ton âme, tu veux que ce soit une parodie, n'est ce pas ? Eh eh. Non. http://wearyourvoicemag.com/body-politics/fuck-pay-reparations-fat-black-bitches-everything-provide Fuck You, Pay Me: Reparations for Fat Black Bitches and Everything We Provide[..]Let me be clear, though: when I say, “Fuck you, pay me,” I mean, “FUCK YOU. PAY ME.” Pay me a check, pay me consistently, provide me safe housing, offer me a job with benefits, run me those Beyonce tickets, finance my clothes and wigs and aesthetics, cultivate accessibility to spaces and provide seats that fit me, see and validate my humanity. I know this may come as a shock, but my exposing of trauma and sharing of vulnerability as a Black fat femme is not for anyone but me.[..] I never wake up feeling relaxed, well rested, or open to joy. I wake up tired. And I live on the defense. I’m not well. I’m not okay. I don’t even know what okay looks like because I’m always dealing with violence AND preparing for it. In conclusion, the case for reparations for fat Black bitches is: fuck you, pay us. [..] Ashleigh Shackelford is a queer, agender Black fat femme writer, artist, and cultural producer. Ashleigh is a contributing writer at Wear Your Voice Magazine and For Harriet. They are a community organizer at Black Future and the creator of a body positivity organization Free Figure Revolution. She is a run-on sentence repeat offender and a Ratchet Black Feminist dedicated to dismantling anti-Black misogyny. La même dans une manif "black live matters" Et l'autre genre de prose qu'elle sort à l'occasion : White people are 400 years too fucking late for a round of applause for a damn tweet with a hashtag, or for showing up to a damn rally.”[..] Nothing you have is yours. Let me be clear: Nothing you have is yours. Also, Let me be see through: Reparations are not donations, because we are not your charity, tax write off, or good deed for the day. You are living off of stolen resources, stolen land, exploited labor, appropriated culture and the murder of our people. Nothing you have is yours http://wearyourvoicemag.com/identities/race/white-people-blacklivesmatter-protests Comme on dit : Il y a des métastases qui se perdent.
Atika Posté 17 juillet 2016 Signaler Posté 17 juillet 2016 On reconnaît le slogan sectaire qui avait été posté ici en vidéo. Mais si elle est tellement persuadée de sa connerie qu'elle aille en justice pour réclamer ce qui lui est " dû " à elle et aux noirs. Ah non merde la justice est blanche aussi. Tiens il ne reste qu'en dernier recours la violence, c'est pratique.
Ray Posté 19 juillet 2016 Signaler Posté 19 juillet 2016 Une SJW se présente aux élections US : "We White Americans... need to recognize our privilege". http://www.nbcnews.com/video/hillary-clinton-we-white-americans-need-to-recognize-our-privilege-727176259735
Alchimi Posté 19 juillet 2016 Signaler Posté 19 juillet 2016 A croire qu'une période électorale se résume à promettre tout et n'importe quoi au plus grand nombre en suivant les modes idiotes du moment juste pour être élu. Oh wait.
Atika Posté 19 juillet 2016 Signaler Posté 19 juillet 2016 Pas sûr que ce soit du vice, à mon avis beaucoup de sjw croient vraiment profondément à ce qu'ils racontent et pensent lutter pour la justice.
Bourriquet Posté 19 juillet 2016 Signaler Posté 19 juillet 2016 J'ai songé récemment à une "définition" du style : "Un SJW est une personne qui délégitimise une bonne cause en la soutenant par des mauvais arguments." Bof, faut que je la peaufine encore.
FabriceM Posté 19 juillet 2016 Signaler Posté 19 juillet 2016 J'ai songé récemment à une "définition" du style : "Un SJW est une personne qui délégitimise une bonne cause en la soutenant par des mauvais arguments." Bof, faut que je la peaufine encore. Social justice warriors <=> Power rangers force bullshit
Tortue joviale Posté 19 juillet 2016 Signaler Posté 19 juillet 2016 Les SWJ semblent se multiplier rapidement recemment. Je me demande ce qu'on pourrait leur vendre pour se faire du pognon.
Atika Posté 19 juillet 2016 Signaler Posté 19 juillet 2016 Ils vont bien plus loin que l'antiracisme et l'antisexisme ( où ils ont en effet de mauvais arguments), tellement loin qu'il n'y a pas de " bons " arguments pour défendre leur inepties
Bourriquet Posté 19 juillet 2016 Signaler Posté 19 juillet 2016 Les SWJ semblent se multiplier rapidement recemment. Je me demande ce qu'on pourrait leur vendre pour se faire du pognon. Du safe space ? Il doit y avoir quelques Butters à recruter... Ils vont bien plus loin que l'antiracisme et l'antisexisme ( où ils ont en effet de mauvais arguments), tellement loin qu'il n'y a pas de " bons " arguments pour défendre leur inepties Mouais, je pensais seulement à cette "base", pas aux autres hyperboles qu'ils sortent.
Brock Posté 19 juillet 2016 Signaler Posté 19 juillet 2016 Les SWJ semblent se multiplier rapidement recemment. Je me demande ce qu'on pourrait leur vendre pour se faire du pognon. des t-shirts che guevara
Lancelot Posté 19 juillet 2016 Auteur Signaler Posté 19 juillet 2016 Les teintures de cheveux, les grosses lunettes, les piercings (notamment les piercings de vache : )...
Brock Posté 19 juillet 2016 Signaler Posté 19 juillet 2016 les fringues d'occase des annees 80 ont un enorme succes ici, les jeunes peuvent s'habiller comme des gens qui se seraient vraiment mal sapes dans les 80s, c'est hilarant.
Hugh Posté 19 juillet 2016 Signaler Posté 19 juillet 2016 Il n'y a pas femmes jouer aux échecs: http://www.nytimes.com/2016/07/09/nyregion/4-young-chess-masters-tackle-a-persistent-puzzle-the-gender-gap.html?_r=3 "4 young chess masters tackle a persistent puzzle: the gender gap" #sexisminchess
Brock Posté 19 juillet 2016 Signaler Posté 19 juillet 2016 Explanations for the imbalance ring familiar: a shortage of female role models, less encouragement from parents and teachers, an unwelcoming atmosphere in what has traditionally been a boys’ club. explication plus simple: les nanas n'en ont rien a foutre et ca prend du temps sur leur planning social.Le club d'echec est un repere de nerds, positionnement social hasardeux pour qui veut etre populaire. “When she said she wanted to play chess, I said, ‘No, no, it’s not easy; you probably won’t like it.’” Ca aussi ca 'enerve d'autant plus que j'ai une fille qui grandit a la maison.Les peres qui decouragent leur fille ca doit etre un sur un milion et ce fucking cretin de MrYip nous fournit connement une confirmation a ce vieux mythe de merde, qui fait mettre des papas idiots dans les videos de SJWs supposees depeindre la realite.Fuck that shit. Ma fille, les jeux de garcon elle n'en a rien a faire et en plus elle trouve cela naze. En meme temps a l'instant ou je tape ces lignes elle se deguise en Cow-boy.J'espere qu'elle sera lesbienne.
José Posté 20 juillet 2016 Signaler Posté 20 juillet 2016 J'espere qu'elle sera lesbienne. Tellement trop has-been.
Marlenus Posté 20 juillet 2016 Signaler Posté 20 juillet 2016 explication plus simple: les nanas n'en ont rien a foutre et ca prend du temps sur leur planning social.Le club d'echec est un repere de nerds, positionnement social hasardeux pour qui veut etre populaire. En France, pour ce que j'en ai vu, les échecs sont mixte au primaire. C'est à la période collège-Lycée qu'on les voit décrocher. Et que l'on en a quasiment plus à la fac. Donc, cela met déjà un gros poing dans la face de ceux qui disent que ce sont les parents qui les découragent vu qu'ils sont avec leur filles aux échecs au primaire. Et cela montre aussi qu'elles s'y intéressent à la base autant que les hommes. Le problème est plus, pour moi, qu'à un certain niveau, les échecs demandent une implication que les femmes en général, ne veulent ou peuvent donner alors que les hommes sont plus facilement dans une optique "Je vais devenir un asocial pour maitriser ça". En ça je te rejoins. Les femmes laissent beaucoup moins facilement l'aspect social. Il est intéressant de voir que la seule fédération de jeux (en tout c'était le cas au début des années 2000) à être réellement mixte au niveau de ses licenciés était le bridge. Jeu qui pour le coup se pratique naturellement en couple.
Atika Posté 20 juillet 2016 Signaler Posté 20 juillet 2016 "One has to make it a safe and inviting space. It doesn’t help that most teachers are male." Je peux pas imaginer qu'une féministe pointe du doigt les hommes comme ça, ça leur ressemble pas, en plus elles disent lutter contre le sexisme, donc c'est impossible. J'en conclus que c'est bien l'attitude discriminante des filles qui est pointée du doigt, non la présence des hommes ah non c'est pas ça ?
Brock Posté 20 juillet 2016 Signaler Posté 20 juillet 2016 Tellement trop has-been. je ne vois pas le rapport
José Posté 20 juillet 2016 Signaler Posté 20 juillet 2016 Ta fille sera sexually fluent ou rien. Ou alors thotcrate.
Brock Posté 20 juillet 2016 Signaler Posté 20 juillet 2016 ah, ok, tu veux dire gender fluid bon sinon http://www.breitbart.com/milo/2016/07/19/breaking-milo-suspended-twitter-20-minutes-party/ concretement et comme prevu, avoir une opinion conservatrice est devenu offensif.Etre raciste contre les blancs par contre c'est correct. Twitter et Youtube sont pas mal au top avec leurs changements de User Policies qui permet de virer n'importe quelle video exprime un avis contraire.
NoName Posté 20 juillet 2016 Signaler Posté 20 juillet 2016 ce mec a tout compris: “Like all acts of the totalitarian regressive left, this will blow up in their faces, netting me more adoring fans. We’re winning the culture war, and Twitter just shot themselves in the foot.”
Lancelot Posté 20 juillet 2016 Auteur Signaler Posté 20 juillet 2016 Milo is love, Milo is life. Sinon j'ai pensé à un truc tout à l'heure : ça m'étonne que personne n'ait encore fait le lien entre le "gender pay gap" des féministes et le "race police violence gap" des BLM. Le mythe narratif est pourtant exactement le même.
Atika Posté 20 juillet 2016 Signaler Posté 20 juillet 2016 Milo, le conservative qui voterait trump is life ?
Brock Posté 20 juillet 2016 Signaler Posté 20 juillet 2016 Milo is love, Milo is life. Sinon j'ai pensé à un truc tout à l'heure : ça m'étonne que personne n'ait encore fait le lien entre le "gender pay gap" des féministes et le "race police violence gap" des BLM. Le mythe narratif est pourtant exactement le même. bah on avait dit que le marxisme culturel ca n'existait pas...appelons donc ca La Culture de l'Excuse
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