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Andreï

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Tout ce qui a été posté par Andreï

  1. Merci, je l'aurais pas si bien dit. Mais dur de considérer ses godasses pas payé comme du vol si elle ne servaient à rien puisqu'immatérielles. Et si on en a des placard pleins. Personnellement j'ai régulièrement jeter mes rares copies non achetées anciennement, ou celles ne venant pas de quelques prêts dans mon cadre amis/famille. J'ai env 1300 cd et 33t, et je loue au vidéoclub, à la médiatec, et je ne suis pas en manque. Et actuellement un dizaines de copie de cd anciennement possédés, revendus quand j'était dans la dèche (arg). Je reconnais malgré cela que l'idéal serait de racheter des originaux, dans l'idéal.Mais si déjà on balance pas toute sa discothèque pour le monde entier, je pense qu'on reste clean. j'ai eu un revenu non imposable, célibataire depuis pas mal d'année, donc ce n'est pas une question de finances. Mais je comprend bien que vivre sans art, cela rend la vie plus triste, et c'est dur de s'en passer.L'art pour moi dépasse la pensée rationnelle mais froide. C'est pour cela que j'aime alimenter son marché comme je le peut, et ne pas encourager ce qui selon moi peut, aujourd'hui ou demain, lui causer du tord.
  2. +100 !! cela fait avancer le débat, merci bcp! Débat pas si simple qu'il n'en parait.
  3. Sans vouloir t'offenser,car j'ai du respect pour ton chouette blog. et tu est un vieux de la vieille ici. Je ne comprend pas quand tu dis : et c'est ce qu'on fait. Parle tu de l'oeuvre téléchargé sans l'avoir personnellement acheté ?
  4. Je suis d'accord. Je pense cependant comprendre que le risque peut n'être pas souhaiter par ceux qui en aurait peur (lire les journaux démoralisateurs, mauvaise expérience passé..) Certain on donc plus de plaisir à gagner un peu moins mais à pouvoir se sentir tranquille pour le futur. Ce qui est dommage effectivement, c'est que ce soit possible (beaucoup de gens comme ça) même sur Le forum libéral de France. CPEF La sécurité de l'emploi actuellement est basé sur la redistribution de l'alloc chaumage pendant 2 ans, ce qui est énorme. la différence ensuite avec le risque d'être son propre patron (aucune allocation chômage en cas de pépins bêtises erreurs faites par le patron). Hélas, cela n'est vrai qu'à cause de l'étranglement ursaff/RSI/taxes et frais comptable/secretaria et truc divers et variés non exhaustifs.. Sans cela, le patron se mettrait plus facilement de l'argent en réserves diverses, se paierait les bonnes assurances quand il le souhaite, et se paierait (bien) des employés/clients/patrons plus souvent..et la boucle serait bouclée. Le chômeur n'existerait plus sauf choisi, mais à SES frais. et le salarié serait à chaque fois un cas spécial, et les contrat de travail avec primes diverses et paiement à la tache fréquent, et la majorité serait freelance, autopatron, petite entreprise personelles, etc.(je rêve d'un futur hein )
  5. Andreï

    Un blog anti-wikipedia

    Je me permet de ressortir ce fil. J'ai lu pas mal de bonnes analyses sur le site anti wiki. Je comprend pas que personne ne fustige ce qui deviens le média unique d'information mondiale, contrôlé par des petits commissaires du peuples, qui sont bien gentils avec les idées de..la majorité, puisse-t-elle être elle même manipulé par les journaux. Les journaux, eux, malgré la trop récurrente crasse qu'ils nous infliges, signent les article seul, et pas par des modifications anarchiques où la majorité, fusse-t-elle inculte, inexpérimenté ou intéressé, décide, anonymement de surcroît, que la vérité est. point final. Le fait de signer un article, qui plus est dans une encyclopédie papier, est tellement différent d'un truc comme wiki, ou n'importe qui peut anonymement modifier l'article, même avec de la diffamation ou propagande noire (voir: libéralisme, réchauffement etc.) sans rien risquer. Un écrivain pour une encyclopédie signe, et l'écrit reste. S'il diffame, on aura les preuves. la maison d'édition, le livre, les articles, etc. Même chose pour la crédibilité, si elle n'est pas présente, en racontant par exemple des propos extravagant, ayant aucune base de recherche et de connaissances sérieuse pour commencer. On aura des preuve. ça fait moins le malin dans ces cas là (papier signer). et la justice pourra intervenir le cas échéant bien plus facilement. Et donc ça calme. Le plus triste, sur wiki, c'est qu'il n'ai pas de concurrent. Cela me fait un peu peur, car tout le monde le prend pour "diseur de vérité" "média populaire objectif", là ou aucun livre n'a pu raconter autant d’âneries. Le terme neutralité pour "la majorité à dit donc tu te tait" en fait un truc assez perfide. Après, si les libéraux y trouvent de la liberté, j'aimerai comprendre. Les bibliothèques seront-elles un jour consultés uniquement que par ceux qui doutent de bigbrother wikipédia ? Et le web sera-t-il qu'un lieu de pensée unique ? ha oui, c'est déjà le cas. y a tf1,france 2, etc qui sont pas mal dans leurs genre aussi. Si demain on enferme un libéral en prison, les internautes regarderont son Nom sur wiki, et il y a peut de chance qu'on en dise du bien. Et hop, l'avis de la majorité dans la poche..la chasse peut commencer.
  6. je trouve les commentaires de libéraux sur ce fils trop monolithique sur cette intervention. Certes, il y a peut être risque de censure plus grande. mais c'est comme la vie actuelle. rien ne nous empêche actuellement de nous réunir en France ou aux états unis pour parler de libéralisme. Le web peut se modifier sans pour autant devenir "pire" que les sociétés démocratiques actuelles. La dictature de la majorité sur le web, cela existe déjà, l'état n'a pas le monopole de la bêtise ou du totalitarisme. L'état n'existe pas. L'état c'est des gens. Et je pense qu'il y a autant de fou sur le net que dans la vie. le net ne montre pas des gens d'une autre planète. Wikimédiocre en est le meilleur exemple. C'est devenu la plus grosse pensée unique ce truc, ex aequo avec l'Education nationale.
  7. +1 Plus simple que ma solution un peu tarabiscotée Seulement si cela ne deviens pas la norme. Car si c'est la norme, les banques feront avec.
  8. Mais les disquaires peuvent te faire écouter. ils sont en voie de disparition c'est vrai. Sinon, deezzer permet d'écouter avant d'acheter non ? La bibliothèque aussi. Mais dans le principe, la bibliothèque tu ne copie pas leur cd's. et ils payent une redevance à la sacem je crois. enfin je ne suis pas pour non plus. c'est de l'égalitarisme artistique ce truc de sacem.
  9. En 68, ils faisaient ça avec la liberté. La liberté de tout tout le temps quand je veut. sexe avec tout le monde, dire n'importe quoi n'importe quand n'importe où et IMPOSER sont idéologie. et bien sûr, pas travailler (beurk,valeur bourgeoise) et profiter de tout sans penser au conséquences (re-beurk valeur bourgeoise) . J'y vois certaines similitudes.. Des jeunes. Une opportunité de rien foutre pour avoir quelque choses ( rien que le concept de gratuit comme un but à atteindre pour tous, par exemple le discours de Free, sur la gratuité selon lui des communications. sans rajouter de débat, le simple fait qu'on puisse parler de "certaines choses doivent être gratuites aujourd'hui", et l'entendre dans la bouche d'un entrepreneur de l'informatique, montre comme les notions dans ce milieux, notions d'échange de produits de valeurs contre autre produits de valeurs sont biaisé par une idéologie qui rejoint celle des 68 boy'z..
  10. Je ne crois pas que parce que les voleurs ne volent que des motos pourries ou des écrans plasma de mauvaises qualités à Carrefour, que cela n'est pas grave. De plus, dans le lot, combien prennent des bijoux au rayon joaillerie de petits créateurs ? (analogie à un pillage de Carrefour, sauf que oui, je sais Carrefour n'a pas de rayon petit créateur de joaillerie, mais sur internet il y a de tout, et noublions pas que UN seul disque suffise pour en produire des millions de copie. C'est là que ce situe le problème) C'est comme si je vais sur la place du marché et que je distribue avec un mégaphone des copies de disque, la seule restriction étant que c'est au public de me dire ce qu'il veut comme artiste. n importe quoi pour moi, et ce depuis le début avec kazza. J'ai toujours trouvé ça hallucinant. Mais les jeune qui avaient18 ans à l'époque, et pas encore travailler, y on vu une alternative à l'ACHAT de la musique. Un moyen pour dépenser leur argent ailleurs…et avoir leur "droit à la musique gratuite" youpee.
  11. C'est étrange.Y a comme un malaise je trouve dans le fait de défendre par parfois de la haine, la lutte contre le piratage (cf les supports pour anonymous sur le fil de la fermeture de mégaupload, etc) Moi quand j'ai eu l'age de consommer, dans les années 90, jamais je ne me suis senti sous le joug de big compagnie de distributions. Je regardais la tv pour regarder mes séries. mes amis avaient canal, je pouvait regarder les Simpsons en cassettes vidéo.J'achetait des jeux, jouet et films quand je pouvais.J'allait à la bibliothèque. Mon père avait des bd's. Je ne me sentais pas privé de culture.Ni mon entourage, pourtant populaire. Je payais mes cd's une 12aines d'euros, dès que j'ai pu travailler j'ai fait les disquaires tout les samedi que j'avait. J'ai aussi beaucoup écouter de musique chez des amis. qui me prêtaient des cassettes, des 33t. j'avais la flemme de tout copier, et je trouvais plus simple d'aller m'acheter les originaux.ça me faisait un jeu, de les rechercher. Le plaisir de la quête. Nous n'avions pas un "droit à avoir la musique gratuite" Je payais mes jeux super Nintendo parfois 100 euro en import, et je me sentais jamais arnaquer. Je me réjouissait de mes achats, préparés longtemps à l'avance, avec forces de tests, magasines et essai, échanges d'info avec des amis. Parfois, dans ma période animé, je traînais devant des magasins comme Tonkam, et j'échangeais des paroles, des idées, des rêves, et cela valait autant voir plus que les moments passé devant les dessins animés. Et le vendeur de cassettes pirates de dragonball z faisait pitié. Nous étions, consommateurs, heureux d'avoir accès à des arts qui nous apportaient beaucoup. Et nous ne passions pas notre temps à critiquer les majors, et pourtant nous avions un accès à l'art vidéo, cinéma, musique, très limité. Pour en voir davantage, les conventions de bd's, les concerts et les magasins de supports disques étaient là, et faisait une émulation de groupe assez sympa. Et tous le monde achetait selon ses moyens. Aujourd'hui, il y a des gens qui n'ont pas un seul disques ou presque obtenus de manière légale. Ils sont apparus dans les début 2000, "grâce" au peer to peer. C'était des geek transpirant, lourdingue à répéter le nombres de films sur le nombre de disque dur qu'ils avaient. IRC et cie, Edonkey,kazzaa leur ont permis de télécharger des tonnes d'oeuvre (de piètre qualité artistique il est vrai aussi souvent, mais c'est le débat quantité/qualité). Dans leurs bouches, c'était pour toujours plus de débit, de download par heure, de capacités de stockage. Stocker des oeuvres sans les payer, comme lors d'un pillage pendant une émeute. Prendre le plus, parce que l'on sais que cela ne durera pas, n'étant pas échangé légalement contre quelque chose (argent, autre bien) Un problème nouveau est apparu. la possibilité de chourer des produits commerciaux de sa chambre, seul et en toute simplicité. Pour moi, le problème du peer to peer est un problème d’égoïsme et d'immoralité personnelle. Il donne sans échanger des biens sous copyright. Je serait sous la révolution Culturelle chinoise qu'on parlerai des droit d'auteurs de la même manière. La différence c'est qu'on brulait leurs oeuvres, au lieu de les distribuer gratuitement comme le fait le Peer to Peer. On peut avoir des millier de titre musicaux sans en avoir acheter un seul. Il y a un un énorme déséquilibre à l'échelle de l'individu concerné. Je pense que le peer to peer illégal va disparaître. Et ce ne sera pas une grosse perte. On s'en passait pendant des dizaines d' années sans AUCUNS problèmes. Le problème des majors qui s'en foutent plein les fouilles, c'est un autre problème. Ma jeunesse était belle, sans aucuns des problèmes actuels du geek ou du jeune d'aujourd'hui, et avec 1000fois moins d'oeuvre à regarder chez moi. je suis un peu HS, dsl.
  12. Intéressant.Logique aussi. Mais je ne sais pas si l'artiste qui apprend que ses disques sont échangés pas milliers sur des plateforme d'échange géante, qu'on favorise toujours davantage la copie pirate sur la toile, sera tout à fait de cet avis. (cela me rappel un peu le communisme, sans l'obligation d'en faire partie)
  13. Mon meilleur amis fonctionne ainsi. Perso je ne regarde pas de série, et mes disques sont nombreux et pas trop chers en 33t d'occasion, en cd ou en bibliothèque. Après, le souci selon moi est que ton voisin ou quiconque pourrait se laisser tenter de ne pas mettre un échange après avoir vu la série. non ? Cela me fait penser à un café où les gens laissaient leurs argent dans un panier. Cela n'est possible que si nous pouvons avoir confiances les uns et les autres. Ce café était une association. Mais les "téléchargeurs" sont tout seul chez eux, et il doit être très facile pour eux de ne rien acheter, alors que l'acte de consommation est faite lui (téléchargement). je ne sais pas, il faudrait faire des statistiques. Je ne voulais pas laisser entendre cela dans mes propos. Par exemple, j'ai en horreur l'art contemporain, qui ne survis que grâce au subvention au nom de la "Kulturre" dans la têtes de politicards et philosophes opportunistes et malhonnêtes Autre exemple, je n'aime pas donner à un artiste qui m'a joué de la soupe périmée dans mes oreilles pendant mon trajet en métro, aussi bien intentionné qu'il est.Et je n'ai aucune compassion pour lui si personne ne lui donne. Encore un autre : Je vote contre de suite le système des intermittents du spectâacle. en +, ça grouille trop de gauchistes fumeux et cela renforce des concepts et initiatives malsaines.. J'en trouverais sans doute plein d'autres !
  14. ok man ! J'avait pas lu " (sauf royalties éventuelles) " dans ton post. On est d'accord finalement. C'est ok pour moi. Sert moi un verre !
  15. .. EDIT : Je viens de voir "sauf royalties éventuelles" Bon ok, mais quelle hargne
  16. J'écrit un poème. Je l'imprime. tu l'achète. cela ne donne pas un droit pour être le nouvel "auteur" du poème. Ni de le vendre pour tes bénéfices. Le poème n'est pas un article de journal. il élève la société dans son ensemble, en tant que partie de l'art. une société sans art est morte. Et même le journaliste, il peut t'attaquer si tu publie son article sans son autorisation. il le peut. Je défend le fait que l'artiste dois en avoir lui aussi le doit, le droit de défendre sa propriété. Je le répète : Le "Droit à écouter de la musique" n'existe pas. et le vol n'est pas dans les principes libéraux.
  17. Je comprend mieux. Mais ce sondage arrivant en même temps que la controverse de la fermeture de megaupload , me fait douter de son objectif. Parceque les royalties ne sont pas respectés, quand ont fait une sorte de communisme de données pour que tout le monde est le "Droit à la musique", comme les geek pirates le laissent entendre.. Mais si ce sujet ne parle pas du tout de cela, et n'est qu'une coïncidence, aux temps pour moi. quelle finesse Où est-ton mielleux ? en défendant le contrat et les royalties? le droit de propriété sur un disque, un livre ?
  18. Je dirais même que perso, j'ai beaucoup plus d'affection pour mes disques que leurs interprétations en concert. en rock particulièrement. En jazz et blues, c'est différent. Et en classique, un peu des deux. Deux interprétation d'une oeuvre ne sont jamais les mêmes. On peut avoir 10 versions des Partitas de Bach et les conserver toutes, parce qu’elles apportent toutes quelque chose.
  19. Il est ce qui permet à l'Hindou de le faire. C'est de l'incitation au vol. Et bien, je ne sais pas, c'est que des fois, le concert ne vaut vraiment pas le disque. Qui est une oeuvre unique. Pas si simple.
  20. On est d'accord. Pour cette discussion, ce sondage, je pensait que vous pensiez surtout aux droits d'auteurs qui permettent d'attaquer les site de peer to peer.. cela n'est pas tout à fait la même chose. un site de peer to peer n'est pas un hindou qui revend des film sur le bitume à la sauvette.
  21. A Lucillio : Je comprend que l'on veuille pas de subvention au z'ârtiste. je suis contre. Mais le vif tranchant de tes remarque est-il dirigé contre des pseudo artistes subventionnés de l'art contemporain de merde, ou surtout contre tout ce qui remet en question le peer to peer et toutes utilisation de l'oeuvre d'un autre sans mettre une forme d'échange ? Parce que ce n'est Vraiment pas la même chose. non ?
  22. exemples ? Tu pense que seules les musiques dites classiques (baroques, classique, anciennes) sont qualitatives ? Tu confond Mtv et les disquaires de qualité. Pour faire une analogie : Tu confond les quelques abrutis qui critiquent le "libéralisme des méchant capitalistes" à la tv avec les penseurs et philosophe des bibliothèques et librairies. Le libéralisme décrit par Besancenot est la musique du 20ème siècle dont tu "parle". Le jazz et le blues au début du 20ème siècle, et l'augmentation des richesses à donné à des centaines d'hommes et de femmes la chance de pouvoir s’exprimer avec un langage très riche. La multiplication des timbres, d'instruments, de styles musicaux, à beaucoup aidé. Certes, beaucoup de gens incompétent ont fait aussi leurs apparitions sur les scènes. Mais ne soyons pas obnubiler par les artistes raté en grand nombre que nous avons, en oubliant qu'il existe des centaines de centaines de musicien blues, jazz, country, folk, et j'en passe, qui sont vénérés par les mélomanes de tout pays. je suis d'accord.
  23. Ha alors, amicalement, je ne suis pas du tout d'accord. Parce que on a pas toujours les moyens, financièrement, de se permettre de rien faire d'autre que de jouer d'la gratte dans la rue. Si on a des enfants, par exemple, ou si un membre de sa famille à besoin d'aide, la petit chanson ne remplira pas l'estomac. Pas plus que de dormir. Mais je ne sais pas, pour rappel, personnellement, ce qui est le mieux. ce sondage ne me permet que de me confirmer que je ne sais pas bien à la fois le fonctionnement des droits autres que droits d'auteurs, et que je les mélanges peut être avec la propriété intellectuelle. Quelles différences, si l'artiste musicien touche un pourcentage de la vente de ses disques par contrat avec le producteur, avec le droit d'auteur ? Oui. là est peut être le shmilblik qui embrouille.
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