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Domi

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Tout ce qui a été posté par Domi

  1. Le chaos du Venezuela correspond à une séquence classique qui était déjà celle de l'empire romain : j'augmente la dépense publique, je crée de la monnaie pour financer le déficit, les prix augmentent, je fixe des prix maximum, les pénuries s'installent.
  2. Les guerres menées par l'occident dans les pays musulmans ont contribué de multiples manières à accroitre le phénomène terroriste. Les pires ont été à mon avis les guerres d'Irak de 2003 et de Lybie qui ont laissé le champ libre aux Islamistes mais ne les ont pas constitués comme idéologie. Cependant, on reproche toujours aux occidentaux une influence quelconque dans le terrorisme et elle existe d'une manière ou d'une autre mais on constate que leurs interventions contribuent toujours au même résultat quelles que soient leurs modalités. Les occidentaux renversent une dictature laïque au nom des droits de l'homme ? Les Islamistes pointent leur nez. Les occidentaux soutiennent une dictature laïque au nom de leurs intérêts ? L'exaspération de la population fait monter l'islamisme. Alors on se demande s'il n'y a pas quelque chose de plus profond, sans compter les pays où nous ne sommes pas intervenus. Dans la guerre civile algérienne des années 1990, la contribution occidentale correspondrait à l'implication américaine dans le conflit afghan dont nombre de vétérans participèrent aux atrocités du GIA. Dans ce cas, la responsabilité de l'URSS est plus profonde que celle des USA mais passons. Il reste que la mobilisation pour un conflit extérieur n'explique pas en soit que des vétérans se jettent à leur retour dans une guerre civile. Je ne pense pas que s'il avait pu revenir de Grèce vivant Lord Byron se serait mis à trucider femmes et enfants. Dans ce que tu dis de l'implication spécifique de la France, je pense qu'il nous faut distinguer deux choses. Notre implication peut motiver certaines personnes à adhérer à un mouvement religieux radical (et à nous attaquer dans la foulée). Elle peut également motiver des personnes qui adhéraient à un mouvement religieux radical à nous frapper. Cela nous place en première ligne. Le problème est que vis à vis de Daesh il y aurait toujours quelqu'un en première ligne tant frapper des occidentaux fait partie de leur marque de fabrique. Autrement dit si aucun pays occidental n'avait été impliqué dans le conflit syrien les occidentaux auraient été frappés quand même.
  3. Domi

    Bar du football

    excellente question. Je me faisais des réflexions à ce sujet durant l'euro. 1, 3 et 4 m'étaient venus à l'esprit. Je suis contre 2. La dramaturgie du jeu exige que les même acteurs commencent et terminent la partie. Sinon, autres idées : - pas de hors jeu lorsque le ballon est donné depuis une certaine zone (exemple : la surface de réparation adverse). - des touches au pied lorsque le ballon sort dans une certaine zone. Un des grands problèmes d'une faute est d'équilibrer la faute et sa sanction. Le meilleur équilibre est trouvé lorsque le coup franc donne des chances de marquer équivalentes à l'équipe qui en bénéficie à celles que la faute lui a fait perdre. Dans le cas d'un penalty la sanction est de ce point de vue souvent excessive (surtout dans le cas d'une main involontaire) mais un coup franc classique aurait le même défaut dans l'autre sens. De ce point de vue, il y a à mon avis trois critères à prendre en compte pour mesurer la gravité d'une faute sur le plan du jeu. - est ce que le joueur qui a commis la faute était à la lutte avec son adversaire ou était-il nettement dépassé ? - est-ce que le joueur qui a subi la faute progressait en direction du but adverse ? - est-ce que le joueur qui a commis la faute était le dernier défenseur ? Les sanctions appropriées pourraient être carton jaune, blanc ou rouge en fonction du nombre de réponses positives. On pourrait également déplacer les coups francs vers l'avant. Par exemple en cas de réponse positive 1 et 2 dans le cas d'une faute commise dans le camp adverse, le coup franc est avancé au milieu de terrain. Pour la notion de dernier défenseur, je diviserai le terrain en 3 zones pour la définir. Si la faute a eu lieu sur un côté, je donnerai le coup franc à un endroit délimité et favorable sur le côté. Si c'est dans l'axe : penalty au lieu de carton rouge. Le carton rouge serait réservé aux gestes violents.
  4. Merci de ton message détaillé dont j'ai du faire une citation tronquée pour ne pas alourdir excessivement le mien. Je commente rapidement ton propos. Tu ajoutes la "crise du modèle républicain" à d'autres causes souvent avancées ici. Concernant les deux autres causes que tu avances interventionnisme économique et militaire, je reconnais leur rôle. Selon moi le rôle de l'interventionnisme militaire est plus important. Ce qui nous différencie et l'importance relative de ces causes avec les causes "culturelles" et l'interprétation que tu donnes d'elles. Le point que je t'accorde est qu'une culture intrinsèque ne peut tout expliquer. S'agissant d'un pays comme l'Allemagne par exemple, il faudrait expliquer la raison pour laquelle celle-ci était gagnée par le fanatisme dans les années 30 - 40 et pas maintenant. Réflexions préliminaires Je détaille un peu la relation des différentes entités au regard d'un potentiel de fanatisme et terrorisme (terrorisme d'Etat ou clandestin) : 1°) Dans le cas d'une idéologie, elle peut être violente par définition. Un nazisme tolérant, non raciste et pacifique est une contradiction dans les termes. En revanche, je ne crois pas que des idéologies soient non violentes par définition. Même si cela nous parait absurde et incohérent, c'est bien le libéralisme de 1789 qui a enfanté la terreur (dans des circonstances très spécifiques) 2°) Dans le cas d'une nation, comme la France où l'Allemagne il n'existe pas à l'égard de la violence le même déterminisme que pour les idéologies. Il reste que si une nation est violente et belliqueuse une année N, il faudra un certain temps pour la faire changer. Il y a une forme d'inertie très forte. 3°) Il reste à placer les religions dans ce tableau. Je fais pour ma part le pari que les religions sont plus proches des nations que des idéologies. Leur niveau de violence n'est donc pas intrinsèque (cela répond à la question d'un Islam violent par définition) mais elles ont les mêmes caractéristiques d'inertie que les nations à l'égard de la justification de la violence. Il y a un autre point sur lequel on peut se demander si les religions se rapprochent davantage des nations ou des idéologies et qui est important dans le cas du terrorisme. Un homme de droite français aura (peut-on supposer) une plus grande proximité idéologique avec l'homme de droite australien qu'avec le socialiste français. Néanmoins, il considérera le socialiste français comme son compatriote, avec les obligations réciproques que cela implique. Les personnes adoptant une religion considèrent-elles leur coreligionnaires comme on considère des compatriotes ou comme des personnes partageant leurs idées ? Il me semble que la situation est plutôt intermédiaire avec des variations en fonction des situations, des religions, des époques. Ma conception des causes culturelles J'énonce simplement les causes culturelles. J'aurais l'occasion d'argumenter en faveur de leur importance relative plus tard. Je vais tenter de l'expliquer par deux idées dont la première est plus proche d'une explication du terrorisme dans les pays occidentaux où l'islam est minoritaire et l'autre plus proche d'une explication du terrorisme international : 1°) L'idée de la confrontation communautaire. L'attachement à une communauté, à un groupe a une certaine importance, variable selon les cas, dans la vie des individus. Lorsqu'il est trop fort, il peut être à l'origine de la xénophobie et du racisme. Si la force du facteur identitaire est une cause de violence ou de guerre, la mise en présence de deux communautés en est également un. Des communautés distinctes peuvent également coexister pacifiquement. Les facteurs favorisant la confrontation par rapport à la coexistence pacifique des communautés sous la législation d’un même Etat sont les suivants : - facteur numérique (plus l’équilibre des forces entre les communautés s’approche de 50 %, plus le risque de guerre civile est élevé. Lorsque le rapport est trop déséquilibré, l’irruption de violence sera unilatérale et prendra la forme d’un nettoyage ethnique voire d’un génocide), - Facteur temporel (plus la vitesse à laquelle les populations sont mises en contact est court, plus le risque de confrontation est grand), - Distance culturelle (plus l’écart entre les cultures des communautés mises en contact est grand, plus le risque de confrontation augmente), - Illibéralisme communautaire : le risque de confrontation communautaire augmente lorsque les cultures des communautés en présence sont éloignées du libéralisme et de la tolérance. Le dernier point est une anticipation du facteur idéologique. 2°) L’"idéologie" islamiste. Je vois la montée du terrorisme islamiste comme la conjonction de l’islam traditionnel et la mondialisation. L’islam traditionnel n’est pas la vérité intrinsèque de l’islam, il est la manière majoritaire de penser l’islam dans les pays musulmans avant la colonisation (disons avant 1830). Cet islam traditionnel était illibéral selon les critères modernes. Il incluait une certaine conception de l’altérité difficilement conciliable avec la liberté et l’égalité. Il était pourtant bien moins fanatique sauvage et extrémiste que daesh. Avec la colonisation puis la mondialisation actuelle le mode de vie et le mode de société lié à cet islam se trouve en concurrence avec d’autres modes de vie, d’autres visions du monde. La conséquence pour une majorité sera une laîcisation qui peut prendre la forme d’un éloignement de la religion ou une plus grande tolérance à l’égard des personnes non religieuses. La réaction d’une minorité sera au contraire la radicalisation. Plus une religion est sectaire au départ, plus le rapport radicalisation/sécularisation sera élevée lors de sa confrontation au monde extérieur. J'ajoute que le terrorisme international est également identitaire, en cela proche de la confrontation communautaire, mais cela au niveau des globes en raison de la tendance des musulmans à se voir comme une communauté. Comme pour le feu où il faut un combustible, le bois et un comburant (l'air), pour développer le terrorisme, il faut donc un terrain culturel propice d'une part (le combustible) et des circonstances particulières (le comburant). Quelques exemples historiques : - le nazisme correspond à la conjonction d'une certaine culture allemande, notamment philosophique (cf notamment Léo Strauss, nihilisme et politique, si j'ai bien le titre en tête) et à une conjoncture plus contemporaine (les séquelles de la première guerre mondiale et de la crise économique des années 30). Les facteurs conjoncturels permettent d'expliquer pourquoi l'Allemagne était nazie dans les années 30 et pas avant, les facteurs culturels permettent d'expliquer pourquoi l'Allemagne a amené au pouvoir Hitler et les Etats-unis Roosevelt dans des circonstances assez proches. - le terrorisme jacobin correspond à la conjonction de l'idéologie "libérale rousseauiste" de 1789 avec ses qualités et ses défauts et de circonstances très défavorables (principalement liées au fait que le régime était attaqué de l'intérieur et de l'extérieur). Le républicanisme de 1870 dont le corpus idéologique était encore assez proche a rencontré des circonstances plus favorables. - la confrontation du catholicisme avec le protestantisme a exacerbé la violence du premier qui n'était pas tolérant au départ (phénomène le plus proche de la rencontre de l'Islam avec le monde). Les causes économiques jouent un rôle en tant que comburant mais pas que... il y a aussi la rencontre d'autres modes de pensées. Désolé de la longueur de l'exposé !
  5. Je propose de changer le titre du message en "causes du terrorisme islamiste" pour éviter tout procès d'intention à mon encontre. Ma principale préoccupation était en effet le terrorisme islamiste. Je suis désolé de ne pas l'avoir précisé, je n'avais pas d'intention de tromper qui que ce soit. Bien entendu pour comprendre plus clairement les causes du terrorisme islamiste, il est nécessaire de réfléchir plus largement aux causes du terrorisme en général. La question générale n'est donc pas non plus totalement hors sujet.
  6. Tu as raison de dire que ma présentation peut faire homme de paille et tu as raison de dire que ça ne me ressemble pas. Pour expliquer ce paradoxe me concernant : je n'ai pas pu faire autrement que de présenter les interventionnistes ainsi. J'ai même plutôt édulcoré mon message pour ne pas présenter mon les interventionnistes sous un trop mauvais jour. En réalité, je trouve que si on tire les conclusions logiques de l'attitude des interventionnistes et de leur propos, on arrive à la conclusion que pour eux 100 % des "causes profondes" du terrorisme sont d'origine occidentales. Il est vrai qu'aucun interventionniste n'exprimera les choses de cette manière car la formulation paraitrait immédiatement absurde. Soit il y a un problème de communication de leur part, soit une forme de confusion. D'après ton message, je suppose que le problème de communication est le plus probable. Ce qui me fait dire que les interventionnistes attribuent 100 % des causes profondes du terrorisme aux occidentaux sont les deux faits suivants : 1°) Lorsqu'ils font une liste des causes du terrorisme, toutes sont des interventions des Etats occidentaux. Cela élimine logiquement les responsabilités des populations musulmanes. 2°) Lorsque l'on évoque les responsabilités musulmanes dans les causes profondes, leur réflexe est d'assimiler cela à du collectivisme. Par élimination, il ne reste que les responsabilités occidentales. J'attendrai ton développement avec plaisir ainsi que les réponses des autres interventionnistes.
  7. Je crée un fil spécifique sur les causes du terrorisme. Le sujet a été abordé dans le fil « terrorisme et marmelade de coins » mais la discussion est désormais centrée sur d’autres problématiques et je préfère et crois pertinent de créer un nouveau sujet sur une question qui divise en effet les liborgiens. La thèse que je crois plutôt majoritaire ici est la thèse « interventionniste ». Elle consiste à voir dans les interventions des Etats occidentaux la cause principale du terrorisme, ces interventions prenant deux formes principales : interventionnisme économique qui favorise la pauvreté et le chômage et interventionnisme militaire extérieur. Bien entendu ceux qui sont « interventionnistes » parce que des interventions étatiques sont à l’origine du terrorisme sont clairement opposés à ces interventions. La thèse opposée est plutôt « culturaliste » et voit plutôt dans l’Islam lui-même l’origine du terrorisme actuel. Je suis plus proche de la seconde thèse que de la première et je tenterai dans un autre message de formuler mes propres opinions sur les causes du terrorisme. Je précise simplement ici qu’elles sont compatibles avec le fait que la majorité des musulmans sont hostiles au terrorisme, qu’ils en sont les principales victimes ou avec l’idée que l’Islam n’est pas terroriste par essence. Je consacrerai exclusivement ce message à présenter les faiblesses ou au moins mes interrogations à l’égard de la thèse « interventionniste ». Ceux qui la défendent sont dans leur majorité des gens que j’ai plaisir à lire par ailleurs. Selon les partisans de la thèse interventionniste, les vrais responsables de ces crimes sont bien entendu ceux qui les commanditent et les exécutent, c’est à dire les terroristes. Pourtant cette lecture libérale admet dans un second plan une responsabilité plus « globale » des populations occidentales dans la mesure où elles approuvent l’interventionnisme militaire et économique néfaste des états. Par exemple, si l’intervention militaire américaine en Irak en 2003 a contribué à développer le terrorisme, les américains qui ont à l’époque approuvé cette intervention doivent s’interroger sur leur responsabilité, ce qui ne fait pas d’eux des terroristes. Selon la même logique, il devrait être possible de s’interroger sur la responsabilité des populations musulmanes ou de l’Islam, vu comme culture, responsabilité ne faisant pas d’elle des terroristes. Allons plus loin. Lorsqu’un mouvement fanatique émane d’une communauté (pays ou religion particulière), le raisonnement le plus simple semble être d’attribuer la responsabilité prépondérante de cette dérive à cette communauté. Par exemple, la responsabilité prépondérante dans le nazisme revient à l’Allemagne et à nul autre pays, la responsabilité prépondérante dans l’idéologie impériale des années 30 revient au Japon et à nul autre pays même si dans les deux cas, il y a eu des responsabilités extérieures au pays dans lequel l’idéologie s’est développée. Pourtant, les interventionnistes attribuent aux occidentaux la plus grande partie des causes en amont du terrorisme. Ils rejettent même souvent l’examen des responsabilités musulmanes en amont comme contraire à l’éthique libérale et de nature à promouvoir une responsabilité collective. Cela amène une question simple : si une telle critique des sociétés occidentales est légitime dans la genèse des crimes de l’islamisme pourquoi le même questionnement est-il impossible à l’égard des sociétés musulmanes ?
  8. Oui, mais existe-t-il, a -t-il existé des sociétés civilisées sans Etat ou quelque chose d'approchant ?
  9. Domi

    Benzemagate

    Dans mon souvenir, la mésentente entre Cantona et deschamps remonte à l'OM. Je me souviens d'une interview de Cantona (dans France Football ?) où il déclarait "Tapie, c'est le diable" et dans mon souvenir il attaquait également Deschamps. Il devait être à Nîmes à l'époque. Le seul problème est que je ne vois pas trop quand deschamps et Cantona se seraient croisés à L'OM car selon Wikipedia, Cantona a joué à l'OM en 1988-1989 et 1990-1991 (année de Bari). Deschamps a joué à l'OM de 1989-1990 et à partir de 1991-1992. Malgré tout je continue de me souvenir que le litige Deschamps Cantona remonte à l'OM. Enfin, en 1998 Cantona avait pris sa retraite depuis un an. C'est en 1996 que sa non sélection avait fait polémique.
  10. Domi

    Chanson franchouille

    Plus de cinquante ans d'intervalle entre ces deux chansons mais un même interprète : La chanson du scaphandrier (René Baer-Léo Ferré) a été enregistrée en 1950. Des ronds dans l'eau (Benjamin Biolay - Keren Ann) fait partie de l'album chambre avec vue qui avait relancé la carrière de Salvador en 2001.
  11. Domi

    Chanson franchouille

    J'ai eu un prix de gros sur les étangs et Jacques Douai alors je vous en fait profiter :
  12. Domi

    Chanson franchouille

    Personnellement, je préfère qu'on me serve mon petit déjeuner au lit (des fraises des bois feront l'affaire) en me disant que je suis beau :
  13. Domi

    Chanson franchouille

    Bon et comment répondent-elles à tout cet amour (cf message ci-dessus) ? Je vous le donne en mille :
  14. Domi

    Chanson franchouille

    Brel / Ferré : suite et fin. L'amour qui dure :
  15. Domi

    Bar du football

    Pour appuyer ton propos, deux coupes des champions consécutives, ça date de 1989 et 1990 avec Milan, me semble-t-il.
  16. Domi

    Chanson franchouille

    Retour aux fondamentaux et au Tra nana nana (Anne Sylvestre) :
  17. Domi

    Chanson franchouille

    Ne me quittes pas de Jacques Brel (1959) a été adapté en anglais sous le titre If you go away interprétée entre autres par Sinatra ou Shirley Bassey et dont une traduction littérale serait plutôt si tu t'en vas qui est le titre d'une chanson de Léo Ferré de 1960. Quelques vers de cette dernière chanson ont été repris par Bernard Lavilliers dans On the road again.
  18. Domi

    Bar du football

    Il faut remettre les choses dans leur contexte. Ce qui séduit actuellement c'est l'émergence d'une nouvelle génération et ses promesses pour le long terme et pas simplement pour le prochain euro alors que depuis 2006 nous n'avons pas eu grand chose à se mettre sous la dent. Cela dit la force de l'équipe de France actuellement tient davantage à la qualité des remplaçants, surtout en attaque, qu'à la force des premiers choix.
  19. Domi

    Chanson franchouille

    Niveau jolies filles dans les clips je ne peux pas soutenir la concurrence Je continue la série Brel/Ferré avec deux chansons "paysagères" : la mémoire et la mer dont le thème a été inspiré par l'océan breton pour Ferré et le plat pays de Jacques Brel.
  20. Domi

    Chanson franchouille

    Merci Une très bonne interprétation sur le plan vocal et de ... l'interprétation de Magali Noël. La voix de Boris Vian risque davantage la monotonie, àmha.
  21. Domi

    Chanson franchouille

    C'est très bon. Qui chante ?
  22. Domi

    Chanson franchouille

    Les ports du nord, c'est assez simple : il y a de la bière, des putes (mais aussi des frites, des moules et des marins) et à la fin on se met à pleurer : Comme à Ostende : Paroles Caussimon - Musique : Ferré Amsterdam : Jacques Brel (musique sur l'air anglais traditionnel Greensleeves) selon Wikipedia.
  23. Domi

    Chanson franchouille

    Cette manie de partir sans laisser d'adresse :
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