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Frêche Et Le Pape


Messages recommandés

Tu vois que toi aussi le mauvais goût peut te donner du plaisir (mais attention, le plaisir, c'est maaal).

Une société gnan-gnan où on doit pas dire du mal de monsieur machin, du brave petit peuple brol, des gonzesses, des tapioles, de ceux qui font des efforts, de ceux qui n'ont jamais eu de chance, et patati et patata, merci bien pour l'emmerde permanente.

On peut rire de tout mais pas avec n'importe qui. Ce qui gêne beaucoup de gens ici c'est de sentir intuitivement que Frêche est un con. De ce fait, toute "blague" venant de sa part risque de ne jamais être drôle. Mais l'individu en question ne plaisante certainement pas vraiment, il jouit d'un sentiment d'impunité que son étiquette de bien-pensant lui confère, à mon avis. Et donc, il se "permet", en grand seigneur qu'il se croit.

Remarquez, il ya aussi les Goebbels de l'info (copyright Dantec) et Gaccio de Anal +.

Frêche est un con, Gaccio est un con, en fait c'est ça mon vrai avis sur le sujet.

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Regardez-moi cette bande d'anarchistes à la graisse de renoncule…..

On dirait une tablée de vieilles baronnes devant un gogo-boy !

-"oooh ! mais c'est une honte…"

-"Les jeunes gens de bonnes familles ne se livrent pas à ce genre d'exhibitions"

-"que fait la police ?"

-"En plus, franchement, je ne trouve même ça pas beau"

-"Merde, j'ai oublié mes lunettes…."

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Regardez-moi cette bande d'anarchistes à la graisse de renoncule…..

On dirait une tablée de vieilles baronnes devant un gogo-boy !

-"oooh ! mais c'est une honte…"

-"Les jeunes gens de bonnes familles ne se livrent pas à ce genre d'exhibitions"

-"que fait la police ?"

-"En plus, franchement, je ne trouve même ça pas beau"

-"Merde, j'ai oublié mes lunettes…."

Tu prônes un conformisme anarchiste, suivant lequel tout le monde devrait se marrer aux mêmes blagues ?

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Regardez-moi cette bande d'anarchistes à la graisse de renoncule…..

On dirait une tablée de vieilles baronnes devant un gogo-boy !

-"oooh ! mais c'est une honte…"

-"Les jeunes gens de bonnes familles ne se livrent pas à ce genre d'exhibitions"

-"que fait la police ?"

-"En plus, franchement, je ne trouve même ça pas beau"

-"Merde, j'ai oublié mes lunettes…."

So what ? L'indignation serait-elle contraire aux droits naturels ? J'espère qu'en Anarcaplandie, on aura le droit de dire que des minus habens du style de Frêche sont de sombres connards.

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Quelle idée de choisir comme pape un ancien membres de jeunesses hitlériennes…

Voyons Schnappi, tu vaux mieux que ça : répéter ces conneries c'est en-dessous de toi. Sous le régime nazi - socialisme oblige - tous les enfants étaient d'office enrôlés dans les jeunesses hitlériennes, y compris tous les futurs dirigeants de l'Allemagne de l'Ouest et de l'Est. Rappelons également que Ratzinger déserta l'armée allemande, et pas à la dernière minute.

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Remarque que l'Eglise semble chercher les critiques. Quelle idée de choisir comme pape un ancien membre des jeunesses hitlériennes…

http://www.lalibre.be/article.phtml?id=10&…4&art_id=216329

Les Mémoires de Joseph Ratzinger

En mai 1945, des milliers de prisonniers allemands capturés par les Américains marchent lentement vers Bad Aibling en Bavière. Parmi eux, fatigué mais heureux d’être en vie, le jeune Joseph Ratzinger, tout juste 18 ans, qui avait risqué sa vie quelques jours plus tôt en désertant l’armée allemande.

"En trois jours de marche, nous avons arpenté l’autoroute déserte, dans une colonne qui est progressivement devenue interminable", a ensuite raconté celui qui allait devenir le pape Benoît XVI dans ses mémoires. "Les soldats américains nous photographiaient, les jeunes essentiellement, afin rapporter chez eux des souvenirs de l’armée défaite et de ses hommes vaincus".

Comme Jean Paul II, Benoît XVI, élu mardi à la tête de l’Eglise catholique, fut marqué par les années terrifiantes de la Seconde guerre mondiale. Le Polonais Karol Wojtyla fut obligé de travailler dans une carrière et échappa de justesse à une rafle à Cracovie.

L’expérience de l’Allemand Ratzinger fut elle aussi éprouvante, en particulier sa décision, fin avril ou début mai, juste après qu'ileut atteint l'âge d'être recruté dans l'armée allemande, de quitter son unité au risque de sa vie.

A l’époque, il savait que les redoutables SS n’hésiteraient pas à abattre un déserteur ou à le pendre à un poteau pour l’exemple. Il se rappelle avec angoisse le moment où il a été arrêté par d’autres soldats. "Dieu merci c’était ceux qui en avaient assez de la guerre et ne voulaient pas devenir des assassins", raconte-t-il dans ses mémoires de 1927-1977 sous le titre allemand de "Aus meinem Leben" (de ma vie). "Ils ont dû trouver une raison pour me laisser partir. J’avais mon bras en écharpe à cause d’une blessure".

"Camarade, tu es blessé. Tu peux y aller", lui disent les soldats.

Bientôt, le jeune homme rentre chez lui et retrouve son père Josef et sa mère Maria. Sa famille avait assisté à la montée du nazisme en Allemagne. Son père, un policier farouchement opposé au régime nazi, avait déménagé au moins une fois sa famille, après des affrontements avec des militants nazis.

En 1941, Joseph, 14 ans, et son frère, Georg, sont embrigadés dans les Jeunesses hitlériennes devenues obligatoires pour tous les garçons. Peu après, explique-t-il dans son livre "Le Sel de la Terre", il est exclu en raison de son intention de devenir prêtre.

En 1943, comme de nombreux adolescents, il est enrôlé pour assister une brigade antiaérienne qui défendait une usine BMW près de Munich. Plus tard, dans le cadre du travail obligatoire, il doit creuser des tranchées antichars. Le 16 avril 1945, il fête ses 18 ans, et suit l’entraînement, avec des trentenaires et même des quadragénaires, des "vieux" que le IIIe Reich à l’agonie enrôle en désespoir de cause.

Stationné non loin de sa ville natale, il ne précise pas où, il ne verra pas les combats avec l’armée américaine. Après son retour chez lui, les GIs finissent par arriver et installent leur quartier général dans la ferme de ses parents, une bâtisse du XVIIIe siècle.

Ils l’identifient comme un soldat allemand, lui font revêtir son uniforme, lever les mains en l’air et rejoindre la place du centre-ville où ont été regroupés les prisonniers. Pendant plusieurs semaines, il restera avec les autres parqués derrière des barbelés.

Le 19 juin, il est finalement libéré et retourne à Traunstein, dans un camion de laitier. Mais la joie de sa famille est atténuée par l’inquiétude car elle est sans nouvelle de son frère. A la mi-juillet, Georg arrive, indemne, bruni par le soleil. Il s’assied au piano et joue un cantique, "Grosser Gott, wir loben Dich" (Dieu très grand, nous te louons).

"Les mois qui suivront notre liberté retrouvée, que nous avions désormais appris à chérir, font partie des mois les plus heureux de ma vie", écrit Joseph Ratzinger.

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Quand on passe toute sa jeunesse à adorer Hitler, ca laisse forcément des traces…

M'enfin, moi je m'en fous, ca ne regarde que les cathos si ils veulent se choisir un chef nazi…

Tu dis vraiment n'importe quoi. Et pourtant, je suis un athée convaincu, je n'ai aucune affinité particulière avec les milieux catholiques, et pas une once d'admiration pour le pape.

Mais

1° Faire partie des jeunesses hitlériennes n'était pas forcément un choix, ni de la part des enfants, ni même de la part des parents, et de sucroît, dans les milieux populaires allemands, la réflexion critique par rapport au pouvoir passait en second plan après la survie (ma grand-mère allemande a été élevée avec ses 9 frères et soeurs par une veuve, la mère comme les enfants n'ont pas eu la chance de faire des études ne fut-ce que secondaires, alors je te prie de croire que la philosophie politique n'était pas leur première préoccuppation)

2° Faire partie des jeunesses hitlériennes n'implique pas de passer sa jeunesse à adorer Htiler

3° Cela n'implique pas d'être nazi

4° Tu prends en compte un élément (appartenance aux jeunesses hitlériennes) et tu laisses de côté le reste (désertion)

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Quand on passe toute sa jeunesse à adorer Hitler, ca laisse forcément des traces…

M'enfin, moi je m'en fous, ca ne regarde que les cathos si ils veulent se choisir un chef nazi…

Figure-toi que cela ne nous émeut pas plus que cela si tu te ridiculises en proférant de telles âneries. :icon_up:

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Non, non, le Vatican nous prépare quelque chose. Déjà quand tu vois le révisionnisme latent de l'article que tu cites, ca vient d'où ? De la libre, bien sûr. (journal catho pour nos amis français.) L'autre institution médiatique à la solde de l'Eglise, Le Standaard, sort maintenant un double DVD sur Hitler qui va présenter un "bilan balancé".http://www.standaard.be/algemeen/promotie/…ctie/hitler.asp

Ratzinger n'a pas perdu de temps.

JP2 s'était excusé pour le silence de l'Eglise pendant la Shoah, Benoit XVI va probablement s'excuser pour le silence de l'Eglise face à la montée d'anti-nazisme primaire qu'a vécu l'Europe d'après-guerre.

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Non, non, le Vatican nous prépare quelque chose. Déjà quand tu vois le révisionnisme latent de l'article que tu cites, ca vient d'où ? De la libre, bien sûr. (journal catho pour nos amis français.) L'autre institution médiatique à la solde de l'Eglise, Le Standaard, sort maintenant un double DVD sur Hitler qui va présenter un "bilan balancé". Ratzinger n'a pas perdu de temps.

JP2 s'était excusé pour le silence de l'Eglise pendant la Shoah, Benoit XVI va probablement s'excuser pour le silence de l'Eglise face à la montée d'anti-nazisme primaire qu'a vécu l'Europe d'après-guerre.

:icon_up:Alerte, alerte !! Anne Morelli s'est emparée du clavier de Schnappi !

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Non, non, le Vatican nous prépare quelque chose.

Mainenant, Schnappi passe en mode Meyssan.

Déjà quand tu vois le révisionnisme latent de l'article…

Schnappi, please, évite l'abus de mots qui dépassent ta pensée.

L'autre institution médiatique à la solde de l'Eglise, Le Standaard, sort maintenant un double DVD sur Hitler qui va présenter un "bilan balancé". Ratzinger n'a pas perdu de temps.

Délire meyssiannesque pur. Est-ce que Ratzinger sait seulement que le Standaard existe ?

…Benoit XVI va probablement s'excuser pour le silence de l'Eglise face à la montée d'anti-nazisme primaire qu'a vécu l'Europe d'après-guerre.

Autre délire meyssiannesque. :icon_up:

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Shnappi, que tu n'aies pas la moindre admiration pour ce nouveau pape, je peux comprendre : moi-même, j'estime que l'éboueur qui passe prendre mes poubelles est plus utile à la société que lui. Mais de là à l'insulter, à le traiter de nazi… Je ne vois vraiement pas pourquoi…

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Schnappi ! Mon ami ! Que se passe-t-il ? T'as pas baisé depuis trop longtemps ? Ton équipe de foot vient encore de se taper la honte ? Ce que tu as mangé hier soir te reste sur l'estomac ? Pète un bon coup et cela passera… :icon_up:

A mon avis, c'est plus prosaïque, le vieux Joseph lui avait proposé de devenir son conseiller aux Affaires anticléricales, promesse qu'il n'a pas tenue. De là, sans doute, cette réaction s'expliquant par une profonde déception. T'en fais pas, Schnappi, Benoît XVI t'aime quand même !

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A mon avis, c'est plus prosaïque, le vieux Joseph lui avait proposé de devenir son conseiller aux Affaires anticléricales, promesse qu'il n'a pas tenue. De là, sans doute, cette réaction s'expliquant par une profonde déception. T'en fais pas, Schnappi, Benoît XVI t'aime quand même !

Ah bon… si c'était une promesse… on peut comprendre l'ire irationnelle de notre croisé du laïcisme.

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