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Un médecin pratiquant l'avortement tardif est tué


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C'est surtout la dernière phrase qui est un point de discorde : à la limite, que certains se croient suffisamment sage pour savoir ce qu'est une vie acceptable, soit ; mais le problème est de savoir de quel droit ils peuvent imposer cet avis à autrui, de surcroît quand il s'agit de sa vie ou de sa mort.

Sauf que le seul dont il est question de vie et de mort, c'est l'enfant à naître.

De toutes façon, le débat n'est pas tant de savoir si quelqu'un a droit de vie ou de mort sur quelqu'un d'autre, je pense qu'on est tous plus ou moins d'accord là dessus, que de savoir si l'entité dans le ventre de sa mère est une personne ou pas et si elle a des droits ou pas.

Bien sûr car le foetus est au choix :

- Une cellule comme une autre.

- Un parasite.

- Pas forcément humain.

- Ne peut rien réclamer et donc n'a aucun droit (ma préférée).

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Sauf que le seul dont il est question de vie et de mort, c'est l'enfant à naître.

Bien sûr car le foetus est au choix :

- Une cellule comme une autre.

- Un parasite.

- Pas forcément humain.

- Ne peut rien réclamer et donc n'a aucun droit (ma préférée).

Et l'embryon?

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si ca ressemble a un haricot, c'est un haricot!

que de savoir si l'entité dans le ventre de sa mère est une personne ou pas et si elle a des droits ou pas.

c'est un haricot avec un gros potentiel, qui peut aller jusqu'a la patate.

je propose que les parents aient le droit de vie et de mort sur leurs enfants jusqu'a l'age adulte, vers 35 ans.

au passage les reflexions de Jabial et Pandi sur les trisomiques meritent le Doll Of Shame de la semaine.

Doll of Shame for you!

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  • 3 weeks later...

Avorter, c'est tuer un être humain vivant, rapelle une juge fédérale américaine :

Au Dakota du Sud, avorter «interrompt la vie d'un être humain»

Une juge fédérale du Dakota du Sud a statué jeudi que les médecins devront, dans cet Etat du nord des Etats-Unis, avertir leur patiente choisissant d'avorter du fait que cela revient à «interrompre la vie d'un être humain vivant».

Dans une longue décision dont l'AFP s'est procuré copie, la juge Karen Schreier affirme qu'«avant de pratiquer un avortement, le médecin doit informer la patiente du fait qu'+un avortement interrompt la vie d'un être humain vivant, unique et à part entière+».

«Mais rien n'interdit au médecin de donner davantage d'informations à sa patiente en rappelant notamment que le terme ''être humain'' est utilisé au sens biologique et non idéologique», ajoute-t-elle.

Cette décision conclut la contestation devant les tribunaux par le planning familial d'une nouvelle loi sur l'avortement adoptée en 2005 dans le Dakota du Sud.

La juge décide en revanche que les médecins n'auront pas à avertir leur patiente enceinte qu'elle s'apprête à rompre «une relation existante avec un être humain non-né protégée par la Constitution des Etats-Unis et les lois du Dakota du Sud», contrairement à ce que prévoyait la nouvelle loi.

Ils n'auront pas non plus à citer parmi les dangers post-opératoires encourus, une augmentation des risques de pensées suicidaires et de suicide, précise-t-elle encore.

En 1973, la Cour suprême des Etats-Unis a autorisé la pratique de l'avortement. Depuis, plusieurs Etats, dont le Dakota du Sud, ont fait passer des lois afin de dissuader les femmes d'interrompre leur grossesse et réduire ainsi le nombre d'avortements.

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