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Raoul.

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Tout ce qui a été posté par Raoul.

  1. Je vous jure que j'ai essayé de rire. J'avais réussi à repêcher des choses intéressantes dans le commentaire de Lancelot, mais dans le vôtre, c'est au-dessus de mes forces. J'en suis donc réduit à espérer qu'un prolo-libéral16 ou un Poney ait la charité de vous répondre avec un smiley ou une image de bazooka.
  2. Raoul.

    Distorsion D'un Marché Libre

    Raoul parle à Raoul. Dans Why I Am Not an Austrian Economist, Bryan Caplan, que l'on ne présente plus, attaque la critique de Mises-Rothbard contre l'idée de continuité. Il soutient en effet que, si les individus n'agissaient réellement que sur la base d'éléments perceptibles, les courbes d'offre et de demande ne pourraient presque jamais se rencontrer. Je cite : Je me demande si, ce faisant, Caplan ne glisse pas de l'idée (correcte, selon moi) qu'une action doit porter sur un élément perceptible pour l'acteur à la conclusion (erronée à mon sens) que l'objet d'une action devrait toujours être perceptible par les individus autres que l'acteur lui-même. Si tel était le cas, je pense que sa critique serait erronée (v. ci-dessous), mais il serait néanmoins fort excusable, puisqu'il semble que Rothbard ait commis exactement la même erreur dans sa discussion du monopole.
  3. Je pense pouvoir venir.
  4. Un type qui intervient dans une conversation pour critiquer grossièrement la façon de s'exprimer d'une des parties est extrêmement mal placé pour donner des leçons de politesse et critiquer les "trouduku pedant en meprisant". Allez, encore une attaque dans le vide. Mais vous avez raison : on ne sort de l'ambiguïté qu'à ses dépens. En tout cas, merci d'avoir troqué le masque du type drôle pour celui du progressiste amer.
  5. La hiérarchie des valeurs progressiste est très intéressante. Si j'ai bien compris, j'ai le droit de tabasser un passant à condition de lui dire "tu" et "camarade" ? Je note, je note...
  6. Qu'y a-t-il de plus minable que de lancer des menaces physiques à distance et par pseudos interposés ?
  7. La Bruyère, mon maître, en fait très souvent (à dessein, juste pour le rythme) : Proust aussi en fait fréquemment, mais il est possible que ce soit par négligence :
  8. En fait, c'est simplement parce que le pseudo "Raoul" avait déjà été pris (son titulaire avait d'ailleurs fini en Yabon Nonosse, soit dit en passant).
  9. Comment oses-tu dévoiler mon nom de famille, ordure progressiste ? Ne reconnais-tu donc plus aucune règle ? Penses-tu que divulguer la véritable identité des gens fera triompher tes idées ? Ah, ainsi, tu es parvenu à comprendre que « . » voulait dire « Point », et qu'il s'agissait là de mon nom patronymique ? Ainsi, tu t’es empressé de faire savoir à tout le monde ? Tu as voulu ruiner ma vie professionnelle, familiale et virtuelle ? J’avais, il faut le reconnaître, sous-estimé la sagacité maléfique des progressos’. J’avais oublié que la haine se substitue parfois à l’intelligence. J’avais négligé que l’espoir de pouvoir jeter ses ennemis en pâture peut donner des ailes. J’aurais pourtant dû m’en douter. L’exemple vient de haut. Keynes, au chapitre XVIII de la Théorie générale, n’avait pas hésité à mettre à jour l’identité réelle de son plus grand adversaire, qui jusque-là n’écrivait que sous pseudonyme. (Pour la petite histoire, ce dernier, concierge de son état, fut aussitôt passé à tabac par les mignons de Maynard. Ce qui nous ramène à la question du "mariage" homo.)
  10. "Le pastiche est la forme la plus aboutie de la critique" (Charles Dantzig, plagiant Proust). Sans mentir, votre petit essai est amusant, et presque ressemblant. L'ennui est que vous y semez un tas d'incorrections qui vous appartiennent en propre (vous faites en particulier un mauvais usage des répétitions -- oui, il en existe un bon) et que vous n'avez aucun sens du rythme. Mais, parce que je suis bon joueur (moi), et parce que j'aime la technique du pastiche, je vous applaudis tout de même.
  11. [Lancelot] [/Lancelot]
  12. Je crois en effet que c'est par manque d'esprit de groupe ; ah, méfaits de l'individualisme...! En vérité, ces messieurs ne croient pas le moins du monde à ce qu'ils racontent ; mais, comme ils n'ont rien à dire sur le fond et qu'ils bouillent de rage, ils compensent en s'attaquant à la forme -- peu important la crédibilité de leurs attaques (il suffit que personne d'autre que moi ne vienne les contredire).
  13. Etant donné que je renvoie au post où vous demandez pardon pour votre troll foireux, je pense que non.
  14. Observer des prolo-libéraux s'essayer à la critique littéraire est une expérience fascinante^^.
  15. Tiens donc, vous n'aimez pas le style de "Pédé de Lu" ? Ce ne serait pas un peu "homophobe" , comme remarque ? Ah mais c'est vrai, vous avez le droit, vous êtes dans le camp du Bien...
  16. Quand tocard progressiste contrarié, li toujours insulter son interlocuteur.
  17. Votre stratégie aura donc été de faire l'autiste jusqu'au bout.
  18. Je suis d'accord avec vous pour dire que cette réplique est un trésor de finesse, de puissance et d'à propos. Néanmoins, j'estime que votre commentaire sur "don't tell other how to live" lui est encore supérieur.
  19. Allégation purement gratuite. Le sens de mes propos est parfaitement clair : Tout homme raisonnable circulant dans le faubourg Saint-Antoine le 14 juillet 1789 se sera instantanément désolidarisé des héros du jour à la simple apparition d’émeutiers promenant sur des piques les têtes de Flesselles et de Launay – et cela, sans être pour autant obligé de renoncer aux idéaux de la Révolution française. L’argument de la mauvaise compagnie n’a pas de prise sur la qualité d’une idée, mais il est politiquement essentiel. Au cas présent, le fait qu’il soit possible de se balader au sein d’une manif’ pro-mariage en portant une pancarte « un hétéro, une balle… » (ou encore les propos tenus par Pierre Bergé sur l’heureuse éventualité que constituerait un attentat lors de la manifestation anti-mariage homo) devrait exercer sur tout homme sensé un effet répulsif semblable dans sa nature à celui exercé par une tête promenée au bout d’une pique. J’ai parfaitement lu vos propos, je vous remercie. Votre analogie est complètement foireuse. J’ai présenté mes observations à ce sujet. Je n’ai pas eu le plaisir de lire les vôtres. Je n’ai parlé nulle part d’ « égalité ». En revanche, contrairement à ce que vous dites, j’ai indiqué dès le départ, que c’était des actes comme le crime de James Rennie ou les pancartes « Un hétéro, une balle… » (et non l’implication plus ou moins forte de la minorité homosexuelle) qui constituaient un motif (à balancer avec d’autres) d’hostilité à ce mouvement. Vous ne faites que réitérer votre position, sans argumenter aucunement. Prendre en considération mes observations aurait pourtant pu être opportun Etant libéral, je pourrais difficilement être posnérien. J’ai cité avec approbation un ouvrage de Posner parce qu’il constituait indéniablement une amélioration par rapport à l’état antérieur de la pensée dans le domaine considéré, mais je ne peux évidemment souscrire aux thèses professées par ailleurs par l’auteur – pour être précis, l’idée de maximisation du bien-être défendue par Posner est à mes yeux extrêmement critiquable. Lamentable. Si vous sous-entendez que je taxerais tous les militants pro-mariage homo d’être des violeurs de nourrissons, c’est vous qui caricaturez. 1° Je ne dit pas qu’il n’y en n’a jamais eu, mais je ne me rappelle pas avoir jamais entendu parler d’un seul viol de nourrisson commis par un homme d’Eglise. 2° Quand un homme d’Eglise commet un viol, on en entend parler ad nauseam. A l’inverse, combien de médias francophones ont relayé l’information à propos de James Rennie ? A ma connaissance, un seul. Ce silence est en lui-même effrayant. 3° Quand un homme d’Eglise commet un viol, les fidèles sont les premiers à le condamner. 4° A ma connaissance, quand un homme d’Eglise commet un viol, il s’abstient de filmer son crime et de faire circuler la vidéo. 5° Aucun manifestant anti-mariage homo ne s’est promené avec une pancarte « un homo, une balle… » ou quelque chose approchant. Et pourtant, ces manifestants étaient très nombreux, et les observateurs, très désireux d’identifier des « dérapages ». 6° Aucun homme d’Eglise n’a fait part de son absence de peine à l’idée d’une bombe explosant au milieu d’une manif’ pro-mariage homo. 7° Les hommes d’Eglises ne prônent pas l’instauration de lois pénales réprimant les discriminations et propos anti-catholiques. 8° ... Vous continuez à discuter (vaguement) des mérites intrinsèques du projet de loi en le détachant de ses suites politiques prévisibles. Je n’ai pas besoin de rappeler une fois de plus que ce n’est pas ce de quoi je suis en train de discuter actuellement. Un peu maigre, comme démonstration. J’en attendais une plus fournie. Vous parlez dans le vide. Le point est qu’un arsenal extrêmement répressif a déjà été voté, en France et dans d’autres pays, et qu’il n’attend plus que d’être activé. Il est actuellement en sommeil, ou du moins en sous-régime. Le jour où il sera appliqué comme une loi pénale normale, des millions de personnes pourront être envoyées en prison en toute légalité. Or, je ne pense pas que vous mettrez en doute (mais vous pouvez me contredire) que des gens comme Taubira ou les membres du lobby homo ultra désirent ardemment que la politique répressive en la matière soit durcie. Si ces gens-là n’arrivent pas encore à leurs fins, c’est qu’ils rencontrent des obstacles, dont, notamment, 1° un reste d’attachement (relatif) de la part des corps judiciaires et populaires à la conception ancienne de la liberté, et 2° un reste de morale conservatrice. Le vote du projet de loi permettrait au lobby ultra d’avancer vers son but liberticide, en affaiblissant tant le 1° (via l’invocation du principe d’égalité hétéro/homo) que le 2° (en faisant constater que la représentation nationale – non désavouée en cela par le corps électoral – ne se sent plus liée par cette morale conservatrice). A l’inverse, un désaveu massif et populaire du projet de loi constituerait une garantie bien plus solide contre ce mouvement liberticide que ne le sont les « obstacles » actuels. Bien entendu, vous avez le droit de considérer que les lois anti-discriminations et anti-haine sont légitimes. Vous pouvez également estimer que ces lois sont nocives tout refusant de lever le petit doigt pour leur faire obstacle. Vous auriez le droit de faire tout cela, mais vous ne pourriez en même temps vous revendiquer du libéralisme. Voir ci-dessus. Je ne crois pas que la situation des autres pays soit idyllique. De surcroît, j’ai déjà indiqué que le cas de la France est particulier, dans la mesure où sévit dans ce pays une tradition politique particulièrement forte de débordement de la gauche par l’extrême gauche. Si vous ne voulez pas que votre personne soit mise en cause, abstenez-vous en premier lieu de mettre en avant vos "qualités" personnelles. Merci pour cette dissertation. Dommage qu’elle soit hors sujet. Ne discutant pas de la signification positive du projet de loi, je n’ai pas besoin de recourir à l’intention législative. J’ai mentionné la question des débats législatifs uniquement pour vous faire remarquer que vous aviez glissé une ineptie dans votre homme de paille.
  20. Joli d’argument d’autorité. J’avais bien deviné, en vous voyant vous référer complaisamment à votre « pratique juridique », que vous étiez titillé par l’envie de claironner votre CV. Quand on aligne ineptie sur ineptie, on se rattrape à ce qu’on peut. L’ennui c’est qu’en invoquant vos titres universitaires et professionnels en guise d’argument, vous ne faites que démontrer votre totale indigence d’esprit. Comme si avoir fait des recherches universitaires (quand bien même ce serait sur le sujet discuté…), était en soi d’un quelconque poids… Krugman enseigne à Princeton, donc il serait plus compétent que vous en économie… La thèse du réchauffement climatique d’origine humaine est soutenue par un tout un tas de chercheurs éminents ayant écrit des articles faisant autorité (dans leur camp), donc vous n’êtes pas légitime à la critiquer… J’en ai marre de devoir ressasser toujours les mêmes évidences. Quant à vos « titres » professionnels… Sérieusement, vous avez déjà rédigé des textes législatifs ? Croyez-vous qu’il est vraiment opportun de le révéler dans le contexte de cette discussion ? Vivez-vous dans une bulle pour ne pas savoir à quel point les rédacteurs des lois contemporaines (nationales et européennes – la Belgique fait-elle exception ?) sont méprisés en raison de la bouillie législative qui résulte de leurs travaux ? Et ne vous est-il pas venu à l’esprit que votre interlocuteur a peut-être lui aussi une activité professionnelle ? Que cette activité pourrait (notamment) avoir trait au lobbyisme ? Qu’il a peut-être travaillé sur un projet de directive européenne pas plus tard que vendredi dernier, et qu’il a été considérablement ralenti dans son travail par la quantité de facepalms qu’il a dû effectuer ? Qu’il est donc peu susceptible d’être impressionné par vos allégations ? Vous aviez glissé une petite bêtise dans votre homme de paille (en oubliant la question des débats législatifs), elle était sans conséquence (puisque, de toute façon, il s’agissait d’un homme de paille), vous auriez dû en rester là, plutôt que de vous enfoncer en invoquant votre CV comme argument. En tout état de cause, je vous dispense de continuer sur cette voie : rien ne sert de disserter sur les limites de l’intention législative comme outil d’interprétation d’une loi, puisque, comme je l’ai déjà dit plusieurs fois (et comme vous feignez encore de l’ignorer), loin de discuter des effets juridiques de la présente réforme, je m’intéresse ici à ses suites politiques.
  21. Magnifique série d’hommes de paille. J’ai mis le viol d’un nourrisson (en l’occurrence, celui commis par le promoteur du mariage homo en Angleterre et en Ecosse) sur le même plan que le durcissement des lois anti-« homophobie » (ce qui ne revient d’ailleurs pas à nier toute hiérarchie entre ces deux choses), mais, cela va de soi, je ne l’ai nullement comparé avec le mariage des homosexuels - si vous avez une preuve contraire, n'hésitez pas... Vous pourriez tout de même apprendre à lire avant de balancer des accusations de ce genre. D'autant que, vous, vous avez bel et bien fait une analogie entre les révisionnistes et les violeurs de nourrissons. Maladresse rédactionnelle ou non ?, vous avez même eu la délicieuse idée d'appeler ça un "bu[t] mesquin". Cela en dit bien plus sur votre compréhension du monde que…, etc. Les « grands malades » sont, pour reprendre mes propres termes, ceux qui appartiennent au « lobby homo ultra » - ceux qui violent des nourrissons et/ou qui adoptent des slogans tels que "un hétéro, une balle, une famille...". Comme j’ai du mal à me convaincre que votre remarque résulte d’une simple et malencontreuse erreur de votre part, je m’abstiens de vous recommander de nouveau d’entreprendre l’apprentissage de la lecture. En revanche, je note avec intérêt les moyens auxquels vous vous croyez en droit de recourir pour discréditer vos adversaires. Il est difficile de déterminer avec certitude ce que vous essayez d’exprimer par ces lignes laborieuses, mais je suppose que vous entendez dire que le législateur n’est pas à la société ce que le potier est à l’argile. En d’autres termes, remodeler la société n’est pas à la portée du législateur, sauf si celui-ci s’arroge des moyens totalitaires. Idée à peu près juste. C’est d’ailleurs pour cela que j’ai placé « projet de société » entre guillemets. Mais faut-il, pour cette raison, ne pas s’inquiéter de ce que de gens disposant de l’oreille du prince aient en tête un « projet de société » ? Faut-il se dire « ce n’est pas grave, de toute façon ils n’y arriveront pas… Qu’ils essaient, et ils verront ! » ? Ah ben non… Le simple essai peut être très douloureux… En l’espèce, il promet de l’être… D'autant qu'il est possible qu'ils s'arrogent des moyens totalitaires... Je suppose que vous jouez à l’autiste. Vous faites semblant de croire que je parle des effets de la loi qui est en train d’être votée, et non de celles qui, selon toute vraisemblance, viendront après. J’avais pourtant pris soin, pour vous aider, d’employer le mot « étape ». Il devrait être clair que, en politique, l’identité des candidats compte bien plus que le contenu des programmes. Si Ron Paul et Jacques Chirac s’engagent sur un programme identique de baisses d’impôts, je ne deviendrai pas pour autant indifférent entre eux deux. De même, il est important de regarder si un projet de loi sur le « mariage homo » est promu par des gens normaux ou par de grands malades. Or, au cas présent, il faudrait vraiment être atteint de myopie politique (ou même d’amnésie -> le PACS) pour ne pas voir que les premiers promoteurs du mariage homo sont des fous dangereux et que, pour ces derniers, le mariage homo ne constitue qu’une étape. Incidemment, je me permets de douter de la qualité de votre « pratique juridique », du moins s'il est vrai que vous ignorez encore l'utilité qu'un praticien peut parfois trouver à citer les débats législatifs pour faire interpréter un texte normatif dans le sens qui lui convient – mais je m'éparpille.
  22. Désolé, mais il me semble que ça n’a aucun rapport. D’abord, on peut penser ce qu’on veut des révisionnistes, mais ils ne font qu’user de leur liberté légitime ; à l’inverse, le viol d’un nourrisson est un acte criminel (à cet égard, le terme de « mesquin » que vous employez ne me paraît pas le plus approprié) ; et il en serait de même si, une fois le mariage et l’adoption obtenus, le lobby homo ultra avançait comme nouvelle revendication un durcissement des lois anti-« homophobie ». D’autre part, autant la liberté d’expression est un principe de base du libéralisme, autant le « mariage » homo n’a, en tout état de cause, rien d’une exigence absolue. Le présent fil oppose principalement des opposants fervents et des gens qui considèrent cette question comme une diversion dépourvue d’intérêt intrinsèque. L’argument le plus utilisé est une variation de l’optimum de Pareto : ça leur fait plaisir, cela ne vous enlève rien, c’est donc bénéfique au total. Si l’on prend conscience que les gens à qui ça ferait plaisir sont de grands malades, on voit la chose différemment. Au contraire, cet aspect des choses me semble fondamental. Pris en lui-même, le projet de loi (si l’on exclut la GPA) n’a rien de révolutionnaire. Ce n’est qu’à la lumière des intentions que l’on peut très légitimement prêter à ses promoteurs qu’il devient inquiétant. On sait que les socialistes n’en resteront pas là. On sait qu’il ne s’agit que d’une étape. On sait que, derrière cette mesure presque anodine (presqu’un simple changement de vocabulaire), se cache un véritable « projet de société ». C’est pour cette raison que la personnalité et les motivations des promoteurs est primordiale. Or, il est patent que les gens qui sont derrière ce projet sont des fous dangereux – et cela est d’autant plus inquiétant qu’il existe dans notre pays une tradition de dépassement par la gauche et de prise d’otage idéologique de la gauche par l’extrême gauche (c’est peut-être même à cause de cette spécificité française que cette réforme soulève plus d’opposition en France qu’ailleurs).
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