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Raoul.

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Tout ce qui a été posté par Raoul.

  1. Raoul.

    Matos & autres

    Je l'avais acheté parce que c'était un premier prix ou presque, donc je me méfie... D'autant que j'avais cru comprendre que les tous petits ordinateurs étaient mal vus en ces lieux... Je vais suivre ton conseil pour le chargeur, et je pense que je vais en faire de même pour le "SSD". Même si je ne l'utilise plus que comme ordinateur de secours, je préfère qu'il soit un peu plus rapide qu'actuellement. Sinon, pas de recommandation particulière pour l'achat d'un nouvel ordi ? Edit : oups, je n'avais pas vu ton second message. J'avais acheté cet ordi pour sa portabilité quand j'étais encore étudiant, et je n'ai plus le même besoin de mobilité maintenant que je travaille.
  2. Raoul.

    Matos & autres

    Le chargeur de mon ancien ordi un vient de me lâcher. C'est un Asus eee PC 1005P (merci de ne pas m'envoyer de pierres). Je compte acheter un nouvel ordi cet après-midi. Je voudrais une machine un peu plus rapide et un écran plus grand, avec un budget de 500-600 € (même remarque concernant les jets de pierres). Quelqu'un aurait une recommandation ? Par ailleurs, est-ce que vous pensez que ça vaut la peine de racheter un nouveau chargeur pour mon ancien ordi, ou bien ça signifie que ce dernier (l'ordi) était à bout (je l'avais depuis 3 ans) ?
  3. La presse d'opinion est une conséquence nécessaire de la légèreté et de la curiosité des gens. Les hommes, les Français en particulier, ont toujours aimé donner leur avis sur les affaires publiques. Hier, on se passait des brochures sous le manteau, aujourd'hui les journaux s'étalent dans les kiosques. Différence toute cosmétique. S'attaquer à la bêtise des média, c'est en vouloir à la nature humaine. Prétendre y remédier en changeant de régime politique, c'est se tromper sur la nature humaine. (Accessoirement, quitte à me répéter, personne, ici, ne s'engoue pour les média de masse.)
  4. Raoul.

    Hugo Chávez A Crevé :-)

    Sans doute sur ce modèle...
  5. Merci !
  6. Les syndicats modernes sont des chancres, je vous l'accorde extrêmement volontiers. Mais, comparés aux corporations d'Ancien Régime, ils sont presque aussi inoffensifs que des associations de philatélistes. Voir la description qu'en donne Yves Guyot dans ses Principes de 1789. C'est d'ailleurs un des mérites de la Révolution que de les avoir éteints pour quelque temps. C'est bien là que réside le problème. Un certain nombre de médias et d'hommes politiques sont insupportables d'obséquiosité à l'égard de la démocratie. Ce n'est d'ailleurs qu'une forme de stâtolatrie : parce que l'avatar actuel de l'Etat est démocratique, ils adorent la démocratie ; mais il y a trois siècles, ils auraient adoré la monarchie dans les mêmes termes. Cette servilité est tellement irritante que tout esprit un peu indépendant est enclin à en prendre l'exact contre-pied. Mais il ne faudrait pas oublier que la version de la démocratie que vendent les médias n'a jamais été celle des vrais démocrates. En effet, l'opposition du "pragmatisme" et de "l'idéalisme" manque souvent de pertinence. Par exemple, il est parfaitement possible de souhaiter le respect du principe de non agression, tout en sachant que ce but ne sera jamais entièrement atteint et en faisant preuve de pragmatisme pour s'en rapprocher. En revanche (si c'est à mon commentaire que vous faites allusion) je n'ai nullement dénoncé un quelconque "idéalisme" de la part des royalistes. Leur faute, à mon sens, n'est pas d'aspirer à un monde trop parfait, mais (entre autres) de mal localiser ce monde parfait et d'utiliser leurs sentiments plus que leur raison pour procéder à cette localisation. En effet. Je crois que tout le monde est d'accord sur ce point. Il y a certainement beaucoup d'arguments sérieux en faveur de la monarchie, mais j'ai vraiment du mal à comprendre celui-ci : lorsque le chef de l'Etat tire sa souveraineté de sa propre personne, son champ d'action serait plus restreint que lorsqu'il dépend de la souveraineté du peuple ?? Je ne pense pas que "romantisme" soit le mot approprié : je doute que ces gens-là croient à ce qu'ils fanfaronnent. D'autre part, personne, ici, que je sache, ne propose la "presse d'opinion" actuelle comme solution à quoi que ce soit. Il semblerait que ce mouvement de technocratisation consanguine ait été amorcé par Colbert. C'est d'ailleurs plus ou moins la thèse de Tocqueville dans l'Ancien régime...
  7. C'est aussi une chose que je reproche souvent aux monarchistes que je fréquente : alterner savamment entre monarchie réelle et royauté symbolique, et retenir les avantages de chacune de ces deux formes tout en en excluant les inconvénients. Et pourquoi a-t-il échoué d'après vous ? Il me semble que son absence de légitimité face à des Parlements arc-boutés sur leurs privilèges y était pour quelque chose (parlements qu'il avait lui-même ressuscités, du reste - élément à charge). Et sans doute aussi à cause de la mort du dauphin, attribuée à la variolisation qu'il avait lui-même préconisé de pratiquer... Je me répète mais, cet échec de la réforme, à quoi l'attribuer ? Un bon homme d'Etat se reconnaît à ce qu'il n'hésite pas à faire tirer sur les terroristes. C'est là tout moins point. Et pourquoi vous lâche-t-elle ? Peut-être parce que, précisément, elle ne se sent pas soutenue... Ce qui nous ramène au rôle du chef de l'Etat comme gardien de la sécurité publique. Cent-jours que Louis XVIII aurait pu éviter, aurait dû éviter. Il porte la responsabilité d'un homme qui laisse se commettre un viol devant lui alors qu'il a un flingue dans les mains. Un grand pouvoir implique une grande responsabilité -- spiderman. Ce que j'en sais, je le dois aux Mémoires d'outre-tombe, donc ce n'est pas très fiable au niveau historique ; mais Chateaubriand décrit bien La Fayette défaillant au dernier moment faute de soutien ferme de la part de Charly. C'est bien ce dont je lui sais gré ! (Smiley avec un couteau, une fourchette et une serviette). Tout est dans le relatif. Vous ne savez pas ce dont des gens comme Toby seraient capables s'ils ne dépendaient pas des urnes pour leur élection et réélection.
  8. Si j'ai employé le mot "adoucir", ce n'est pas pour rien. La démocratie n'est pas solution miracle (pas plus que la monarchie), je crois que c'est chose entendue pour tous les participants à ce fil. Quant aux syndicats : si, justement, les élections professionnelles étaient à peu près aussi "démocratiques" que les élections politiques, leur absence de légitimité serait bien plus manifeste, et leur pouvoir de nuisance bien plus restreints. Je vous rappelle que, jusqu'à très récemment, un certain nombre de syndicats historiques (ceux qui avaient eu "un rôle patriotique pendant l'Occupation" -- merci de ne pas rire) bénéficiaient d'un présomption irréfragable de représentativité. Encore aujourd'hui, les résultats aux élections professionnelles ne sont qu'un critère parmi d'autres. Il suffit d'imaginer qu'un tel système soit transposé aux élections politiques pour se rendre compte à quel point il est exorbitant...
  9. La continuité ? En cas de minorité du roi, elle n'est que symbolique. La démocratie a pour elle d'éviter les minorités.
  10. En effet, ni le Roi, ni le président régulièrement désigné, ne sont ce que l'on entend habituellement par "homme providentiel". Un "homme providentiel" est un type qui prend le pouvoir sans passer par les procédures constitutionnelles reçues (transmission héréditaire ou élections). Et il ne s'agit pas de "prendre les décisions d'intérêt général" mais d'assurer la tâche élémentaire que tout minarchiste attribue à l'Etat : assurer la sécurité publique.
  11. Personnellement, étant conservateur, je ne peux être que démocrate – par défaut. Il n’en serait autrement que si la France sortait d’un demi-siècle d’anarchie, et que la question de la forme de l’Etat se posait à neuf. Ce n’est pas la situation actuelle. Les monarchistes contemporains, dans une bien trop forte proportion (je ne parle pas de ceux qui interviennent sur ce forum, que je ne connais pas suffisamment) suintent le romantisme politique. Ils se croient contre-révolutionnaires, mais c’est tout l’inverse. Il y a trois siècles, ils auraient été rousseauistes. Même enthousiasme pour un âge d’or, même penchant pour la tabula rasa, même candeur politique. Ils seraient prêts à lancer la France dans l’aventure, à l’aveuglette, pour satisfaire leur goût du baroque. Les derniers rois ont pourtant amplement démontré qu’ils avaient atteint un stade de sénilité politique avancée et que la solution proposée avait, selon toute vraisemblance, cessé d’être viable. Louis XVI ? Incapable d’assumer son pouvoir, il laisse une révolte se transformer en révolution, et la France s’engager dans la guerre civile ; parce qu’il n’a pas voulu réprimer une révolte de quelques milliers d’ouvriers, parce qu’il a craint de verser le sang des terroristes, il a conduit des dizaines de milliers d’innocents à l’abattoir. Certes, pour sa défense, on pourrait arguer de solides circonstances atténuantes. Avant tout, celle de son inexpérience des troubles civils, ou d’une confiance infondée mais excusable en l’adoucissement des mœurs du siècle. Mais qu’en est-il de ses successeurs ? Louis XVIII ? Au lieu d’écraser dans l’œuf Napoléon à son retour de l’île d’Elbe, il a laissé croître le nombre de ses partisans, s’est contenté d’ordonner de « courir sus » aux factieux et s’est aussitôt envolé en Belgique, abandonnant ceux de ses gens qui lui avaient été fidèles, et faisant perdre à la France le bénéfice des négociations de Vienne. Charles X ? A la fois autoritaire et faible, il a osé prendre les quelques mesures peu démocratiques qui lui semblaient justifiées par les circonstances (débarquement en Algérie), mais a laissé tomber le sceptre au bout trois jours, simplement parce que quelques milliers d’étudiants en mal d’agitation avaient fait mine de remuer. Il aurait sans doute pu, tout en abdiquant, permettre à Henri V de reprendre la couronne, si seulement La Fayette s’était senti soutenu et avait osé tirer sur les rebelles. Louis-Philippe ? Quoique excellent sur le plan intérieur (bourgeois, quoi), il a failli laisser une bande d’ouvriers socialistes dictatoriaux mettre le pays en coupe réglée, au motif que ceux-ci se réclamaient du peuple et se proclamaient majorité, et que lui, le Roi, tout appuyé de ses chambres qu’il était, ne croyait pas à sa légitimité ni au soutien du pays réel. A l’inverse, quand, quelques mois plus tard, la même bande de socialistes essaie à nouveau de s’emparer du pouvoir, elle se heurte à un mur : un Etat, sûr de lui, certain de sa légitimité, n’hésitant pas à réprimer une émeute. Pourquoi ? Tout simplement parce que, entre-temps, la république et (surtout) le suffrage universel avaient été instaurés. Avec le suffrage universel, la minorité assoiffée de pouvoir ne pouvait plus se faire passer pour la majorité. Aujourd’hui, ce ne sont plus les ouvriers qui menacent l’ordre public. Ce sont d’autres groupes, ultra-minoritaires, mais organisés, et tout aussi agressifs. Sans suffrage universel, sans élections régulières, ces enragés-là oseraient tout. Avec une procédure permettant de constater objectivement qu’ils ne représentent rien, ils sont obligés d’adoucir leurs revendications et leurs actions. C’est aussi à ça que sert la république. C’est ce garde-fou que les monarchistes contemporains voudraient supprimer. Nb : L’exactitude historique des éléments cités ci-dessus n’est pas garantie.
  12. De même que les mafieux corses nomment officiellement leurs extorsions "prestations de gardiennage" : comme ça, ils n'ont plus rien à craindre.
  13. Cela dit, je doute qu'il existe beaucoup d'actions commises sur le territoire français qui ne puissent, si l'on gratte un peu, donner lieu à des poursuites pénales.
  14. Je ne voudrais pas faire le rabat-joie, mais j'ai l'impression que l'utilisation de bitcoins pourrait être sanctionnée pénalement, en application de l'article 442-4 du Code pénal. Bon, évidemment, l'article en cause semble être bien poussiéreux (une seule application ces 40 dernières années semble-t-il -- pour des rondelles métalliques utilisées frauduleusement dans des parcmètres !), et je doute que beaucoup de personnes connaissent son existence (personnellement je l'ai découvert par hasard, en ouvrant un mauvais code).
  15. Ca me semble une bonne explication. Autant je me rappelle bien avoir enregistré le fichier, autant je ne me souviens pas de l'avoir rangé à la place qui lui appartenait... J'ai essayé, mais sans résultat. Peut-être est-ce dû au fait que j'avais antérieurement essayé cette démarche avec le fichier que je cherchais...? En tout cas, merci tous les trois ! A l'avenir je prendrai soin de bien enregistrer mes fichiers où il faut.
  16. Mmmh, pour autant que je sache, ça n'avait pas de rapport direct avec l'internet. J'ai mentionné ma boîte mail parce que 1° J'ai créé le document en question à partir d'un document que j'avais reçu par mail et 2° J'ai fermé ledit document au moment où j'allais l'annexer à un mail, mais, pour le reste, j'ai travaillé dans un document Word, que j'avais pris soin d'enregistrer. Et le fichier n'est présent ni dans la liste des fichiers Word récents, ni dans "paramètres des fichiers temporaires et de l'Internet". Sinon, j'ai fini de recopier le texte que j'avais imprimé, mais je reste intéressé par le côté "scientifique" du problème.
  17. Les temporaires ? Keskecé ? Mais je suis certain de l'avoir enregistré. Je sais même exactement sous quel nom je l'ai fait. C'est ça qui m'intrigue...
  18. Oui, j'ai essayé, mais je n'ai rien trouvé. Et pour la corbeille itou. Heureusement, j'avais fait une impression de relecture de la version quasi-définitive, que je m'emploie à présent à retranscrire mot à mot, mais c'est tout de même très énervant (et très mystérieux avec ça). Merci quand même !
  19. Je viens de perdre un document word sur lequel je travaillais depuis 4-5 heures pour mon boulot . J'étais sur le point de l'attacher à un mail pour l'envoyer à son destinataire ; je l'ai fermé pour désencombrer mon bureau ; et... impossible de le retrouver. Je suis pourtant certain de l'avoir enregistré. J'ai essayé de faire une recherche dans mon ordi avec un mot-clef que j'étais sûr d'avoir utilisé dans le document -- aucun résultat. J'ai peut-être une explication à sa "disparition" : j'ai créé le document en question à partir d'un doc word que l'on m'avait envoyé par mail et que, contrairement à mon habitude, j'avais téléchargé (avec d'autres documents) en mode "compressé". Comme c'est une manoeuvre que je fais très rarement (en général je télécharge individuellement les documents que l'on m'envoie par mail), je me dis que c'est peut-être là la source du couac. Bref ; quelqu'un saurait comment le retrouver ?
  20. Le SMIC est certainement une très mauvaise chose, mais ce n'est pas la cause directe (ou, du moins, ce n'en est pas la cause principale) de cette différence de salaire. Les salaires sont fixés en fonction de la productivité marginale des travailleurs, et cette productivité marginale dépend elle-même du ratio entre le montant du capital investi et le nombre de travailleurs potentiels. Les Français ayant par le passé beaucoup plus épargné et investi que les Chinois, il est normal que les salaires versés en France soient en moyenne largement supérieurs à ceux payés en Chine. L'influence du SMIC s'exerce seulement de manière indirecte : en excluant du marché du travail un certain nombre de personnes, le salaire minimum légal hausse le ratio capital investi/nombre de travailleurs effectifs; et augmente ainsi la productivité marginale des heureux élus (aux dépens des exclus). La rhétorique actuelle sur le "coût du travail" est donc largement infondée : en vérité, les travailleurs sont toujours payés au niveau de leur productivité marginale (laquelle est éventuellement manipulée, certes). Si l'on supprimait le SMIC, l'écart de salaire se maintiendrait peu ou prou.
  21. Comme arme de défense à domicile, le tube métallique détachable qui s'ajuste à la lance des aspirateurs me semble idéal.
  22. D’une manière générale, il me semble qu'il est difficile de juger de la proportionnalité d’une réaction de défense (dans l’hypothèse où l’on accepterait que cette défense doive être proportionnée) sans prendre en compte les conditions de sécurité et la qualité de la justice dans la société considérée. La règle devrait être que la victime d'une agression est (au moins) légitime à se défendre par tous les moyens nécessaires à la mise hors d'état de nuire de l'agresseur. Dans une société policée, mettre l'agresseur hors d'état de nuire requiert en principe des moyens relativement modulables : il « suffit » de le neutraliser temporairement, le temps que la police vienne le saisir. Par conséquent tuer l'agresseur ne sera pas toujours indispensable ni, donc, légitime. Exemple : un agressé armé tenant en joue des agresseurs désarmés pourrait éventuellement être légitimement sanctionné s’il se décidait sans raison à tirer sur ses agresseurs (encore faudrait-il tenir compte de l’émotion et de la perte de lucidité de l’agressé – émotion provoquée par les agresseurs…, etc). Inversement, dans l'« état de nature », cette neutralisation est très difficile : si l'on se contente de repousser l'agresseur, ou de l'expulser de chez soi sous la menace d'une arme, ce dernier n'est nullement mis en hors d'état de nuire, puisqu'il pourrait très bien réessayer ultérieurement. Il est donc légitime d'aller jusqu'à la destruction de l'agresseur. Or, si le système judiciaire dysfonctionne, i.e. si les agresseurs ne sont pas effectivement punis, on se retrouve dans une situation similaire à celle de l’« état de nature » : se contenter de neutraliser l’adversaire et d’appeler la police est insuffisant. Les agresseurs pourront revenir à la charge dès qu’ils auront été relâchés. Ils pourront même vouloir se venger. Il me semble donc que la proportionnalité de la réaction défensive devrait être appréciée en fonction du degré de sévérité/laxisme judiciaire en vigueur. Hélas, on constate plutôt l’inverse. Locke ne dit pas autre chose dans le troisième chapitre de son second traité :
  23. Je ne suis pas pénaliste, mais je crois que les deux exemples que vous citez ne sont pas corrects du point de vue du droit positif. En principe, la personne qui commet une infraction involontaire en se défendant ne peut invoquer la légitime défense. En gros, vous tirez à dessein sur votre adversaire : la légitime défense est envisageable ; vous essayez de tirer en l'air pour l'effrayer et vous le blessez/tuez : la légitime défense ne peut être invoquée.
  24. Il est déjà scandaleux qu'il ait été poursuivi (sauf si la poursuite a été engagée par des proches de la "victime"). Il méritait une médaille. J'aimerais bien créer un jour une fondation destinée à défendre les intérêts des personnes poursuivies pour s'être défendues. Il faudrait mettre à leur disposition des formulaires génériques de mémoires en défense, leur payer des avocats, suivre leurs dossiers et les réconforter s'ils sont condamnés, harceler (légalement) et demander la démission des procureurs ayant demandé des peines... Il faudrait aussi faire abroger la disposition légale interdisant d'ouvrir des souscriptions pour les personnes condamnées.
  25. Ludwig van den Hauwe a écrit un papier où il explique que, tout à l'inverse de ce que soutiennent Rothbard et Hoppe, la théorie des probabilités de Ludwig von Mises est éloignée de celle de son frère Richard et proche de celle de Keynes. Je n'en ai lu que les premières pages, mais ça avait l'air intéressant.
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