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Philiber Té

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Tout ce qui a été posté par Philiber Té

  1. J'avais lu une étude très intéressante sur le marché du livre, qui concernait notamment les ventes sur internet et les librairies, etc... Il me semble qu'elle expliquait notamment que les petits libraires survivaient assez bien finalement, alors qu'internet se développait confortablement sans leur faire tant que ça de tort. Seulement, impossible de la retrouver : quelqu'un voit de quoi je parle ?
  2. Philiber Té

    Droâdezanimos ?

    Oh j'ai envie de me lancer dans ce débat. Les arguments sophistiqués, les exemples et les cas particuliers si féconds, etc... Ouh, j'en ai des frissons ! Plus sérieusement, je considère que les êtres humains ont des droits du fait de leur nature humaine, même si ils les ignorent ou ne les réclament pas. On a déjà évoqué les exemples des enfants, des handicapés, des personnes séniles, etc... On leur accorde des droits (et on s'efforce de les respecter) quant bien même on ne s'inquiète pas systématiquement de leur pleine raison; pire encore, on se dote de devoirs et de responsabilités particulières vis à vis de ces individus lorsqu'on leur reconnait une certaine faiblesse. Mais en aucun cas on les soustrait au principe de non agression (ou au respect de nos propres droits de manière générale). Par ailleurs, je considère également qu'un individu qui faute ne se voit pas privé de tous ses droits (exemple de la peine de mort, pour moi un criminel qui a nié le droit à la vie de sa victime, ne devrait pas se trouver à son tour dépouillé de son droit à la vie). Sur ce premier point, je ne sais pas si tout le monde est d'accord mais je l'espère (ça me faciliterait franchement les choses). En d'autres termes, je comprends tout à fait ceux qui m'expliquent que le Droit et la Justice sont des concepts créés par l'Homme pour l'Homme et les questions relatives à l'Homme. Cependant je m'interroge : on condamne moralement (et judiciairement) un individu qui torture volontairement un animal. Tout le monde se souvient de l'histoire du jeune homme qui jetait un chat sur un mur. Je trouve cela tout à fait sain de s'inquiéter des individus capables de torturer des êtres vivants, quand bien même ceux-ci n'appartiendraient pas à l'espèce humaine. On peut considérer globalement que dans notre culture, on juge négativement ce genre d'actes, d'un point de vue moral mais aussi d'un point de vue légal. Même si apparemment, tout le monde ne trouve pas qu'il est atroce ou "mal" de torturer un chaton ou n'importe quel animal domestique (j'espère qu'ils font figure d'exception). On pourrait aussi s'étonner du 2P2M qui existe entre les différents animaux : les animaux domestiques semblent jouir d'un meilleur statut que les animaux destinés à la boucherie... A partir de là, certains considèrent que c'est une mixtion morale / légale qui ne devrait pas avoir lieu d'être (délimitation du cadre de la Loi, caractère spéciste du Droit, etc...). D'autres considèrent que c'est une question d'éthique qui ne devrait engager que les individus (comme tout un tas de questions morales où les individus concernés sont les plus à même d'y répondre personnellement). D'autres encore considèrent que ces questions et ces actes n'engagent finalement pas que les humains, mais également des êtres vivants dotés d'une certaine sensibilité (sans vouloir rentrer dans le débat sur la conscience des animaux). Bref, l'enjeu est de savoir si ces considérations éthiques doivent intégrer le Droit ou non, c'est bien ça ? Dans un sens, il ne s'agit pas de gratifier bêtement des droits aux animaux, mais surtout de donner des responsabilités aux humains envers les animaux. Dès lors, on peut écarter certaines remarques : -les animaux ne réclament pas de droits -> on peut pour autant se doter de devoirs à leur encontre. -les animaux ne respectent pas nos droits -> rien ne nous empêche de nous défendre ou de nous protéger de leurs agressions. -les animaux ne respectent pas les droits d'autres animaux -> constatation logique puisqu'ils ne disposent pas d'un raisonnement (plus généralement d'une raison) équivalent au notre. Personnellement, je ne suis pas anti-spéciste (terme courant chez les vegans) puisque je considère qu'il y a une grosse différence entre le monde animal et l'humanité, et que cette différence se trouve dans notre conscience plus développée. C'est cette capacité qui nous permet de manipuler des concepts (abstraits) comme l'Art, l'Histoire ou la Justice. Or un grand pouvoir implique de grands responsabilités, non ? Donc c'est notre supériorité intellectuelle qui nous permet de prendre conscience de la condition et de la souffrance des animaux, et donc d'en assumer les conséquences, voire de réagir en s'imposant des devoirs. Seulement, comme mon choix d'alimentation, je crois que ce sont des choix personnels ! Là généralement mes camarades végétariens / végétaliens me jettent des cailloux... et ceux omnivores se frottent les mains (même s'ils n'ont pas toujours la conscience tranquille).
  3. Avec le son, pour mieux apprécier l'onde de choc : http://www.dailymotion.com/video/k51mFbupUrq8ZA8NccS
  4. Non, Jesrad va nous faire une Dr House et lui diagnostiquer une maladie grave rien qu'en le regardant à la télé !
  5. C'est une sorte de hiérarchie consentie ? Avec au sommet le "roi" et en dessous, toute une chaîne hiérarchique d'individus qui consentent à obéir à ceux placés au niveau supérieur ?
  6. Ça non plus je ne comprends pas. A quoi bon avoir un chef qui serait charismatique ? Hormis avoir une influence sur les relations à l'international ? Je préfèrerais encore qu'on élise une chèvre comme président : ce serait le summum de l'inertie politique et la fin de l'escalade du n'importe quoi, non ?
  7. Moi je n'ai pas compris à quoi cela sert d'avoir un roi, un président ou un capitaine à la tête d'un État... Je suis assez surpris de découvrir des royalistes chez les libéraux : ont-ils eu l'occasion de développer leur vision sur un des sujets du forum, cela m'intrigue ?
  8. Ouah, moi qui croyais être le seul végétarien sur liborg (encore en vie)...
  9. Je viens de voir mon nom apparaitre sur un des sujets que je ne lis pas du tout et donc j'ignore tout...
  10. En même temps ce n'est pas l'objectif de l'archéologie, sinon on en aurait pas fini ! La méthodologie s'adapte au site, au contexte, aux objets, etc... et surtout à la problématique du chercheur. Imagine une enquête de police, si on apporte à l'inspecteur un objet quelconque, il aura du mal à le considérer comme un indice de quoique ce soit. Un artefact dans une galerie est en quelque sorte déconnecté de l'histoire. Les nazis n'avaient pas de gout de toute manière. La preuve : Hitler peignait comme un pied ! http://www.topito.com/top-peinture-adolf-hitler-peintre-controverse (Et ils se sont sentis forcés d'engager un archéologue français pour trouver rater l'arche perdue...)
  11. Bouh la précarité !
  12. Ah on arrête pas de m'en parler de celui-ci !
  13. Les collectionneurs privés vont effectivement s'intéresser à l'objet pour ce qu'il est, mais non ça ne bénéficiera pas à la recherche (qui ne s'arrête pas à l'objet, mais se penche également sur son origine, son contexte de découverte, les objets associés, sa position dans la stratigraphie, etc...). De même qu'il doit exister des artefacts incroyables dans ces galeries personnelles qui ne déploient pas tout le potentiel de connaissances qu'ils pourraient fournir... Mais mieux vaut ça qu'une destruction systématique. Surtout qu'aujourd'hui il est quasiment impossible d'aller travailler là-bas en tant qu'archéologue (même en Égypte apparemment).
  14. http://rue89.nouvelobs.com/2014/08/28/the-parisienne-vs-parisien-autres-histoires-harcelement-marque-254415 Il me semble avoir déjà vu un lien à ce sujet ici, mais cette histoire de "Parisien vs. The parisienne" me parait toujours aussi absurde...
  15. Les deux parlent d'environnement, d'écologie et de politique. Les articles sur les topinambours, ça ne court pas les rues...
  16. Manquerait plus que ces imbéciles croisent ces gars là : http://www.rescueink.org/
  17. "Call for Abstracts: Libertarianism and Privilege" http://aaeblog.com/2014/05/03/call-for-abstracts-libertarianism-and-privilege/
  18. Nantes est pourtant bretonne. Rennes est officiellement en Bretagne, on n'y parle pas breton mais gallo.
  19. https://www.facebook.com/gregory.feret.7?fref=photo
  20. "Le breton est-il ma langue maternelle ? Non : je suis né à Nantes où on ne le parle pas... Suis-je même breton ? Vraiment je le crois. Mais de "pure race", qu'en sais-je et qu'importe ? ... Séparatisme ? Autonomiste ? Régionaliste ? Oui et non : différent . Mais alors vous ne comprenez plus. Qu'appelons nous être breton ? Et d'abord, pourquoi l'être ? Français d'état civil, je suis nommé français, j'assume à chaque instant ma situation de français : mon appartenance à la Bretagne n'est en revanche qu'une qualité facultative que je puis parfaitement renier ou méconnaître. Je l'ai d'ailleurs fait. J'ai longtemps ignoré que j'étais breton... Français sans problème, il me faut donc vivre la Bretagne en surplus, ou, pour mieux dire, en conscience : si je perds cette conscience, la Bretagne cesse d'être en moi ; si tous les bretons la perdent, elle cesse absolument d'être. La Bretagne n'a pas de papiers. Elle n'existe que dans la mesure où à chaque génération des hommes se reconnaissent bretons. A cette heure, des enfants naissent en Bretagne. Seront-ils-bretons ? Nul ne le sait. A chacun, l'âge venu, la découverte ou l'ignorance..." Morvan Lebesque
  21. Je connaissais les morceaux de pomme ou les raisins secs... mais de l'ananas ?
  22. Un territoire et une langue ?
  23. 200 ans à tout casser, mais avec de grands hommes et des batailles sanglantes !
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