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Tout ce qui a été posté par Johnathan R. Razorback
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	  [dévié]Poutine, Weber, Napoléon et confiture déviéeJohnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Lucius dans Politique, droit et questions de société Ce qui est complètement faux, comme on le savait déjà au XVIIIème siècle: « Rousseau fut cette flamme sacrée, ce flambeau de la vérité, qui, en éclairant le peuple, consuma le recueil de ses lois antiques et vexatoires. [...] J.J nous apprit à renverser la tyrannie, en nous enseignant à résister à l'oppression. Mais certes, et je démontrerai plus amplement dans la suite, son système n'étant que désorganisateur et perpétuellement révolutionnaire, ne peut plus servir de base à une constitution, d'où doivent découler des lois, qui nous garantissent la durée de la liberté, sans laquelle il ne saurait y avoir de bonheur public. Rousseau dit dans le chapitre 12 de son Contrat social, liv. II, "un peuple est toujours le maître de changer ses lois, même les meilleures ; car s'il lui plaît de se faire mal à lui-même, qui est-ce qui a le droit de l'en empêcher ?". Ce blasphème contre le principe, tend au fond à nous faire confesser que tout peuple qui serait assez dénaturé pour faire une loi de l'homicide en aurait le droit. » « Donc, en rendant à Rousseau l'hommage que nous devons à celui qui a provoqué et déterminé la Révolution française, ne craignons pas d'affirmer que son système est nécessairement un système désorganisateur, parce qu'il n'est pas fondé sur le développement du véritable principe ; qu'il n'existe point chez lui de barrière contre les entreprises du grand nombre, et qu'un peuple institué de cette manière, doit naturellement parcourir dans son gouvernement, tous les degrés du cercle des passions des hommes, puisqu'il ne renferme aucune règle fixe pour montrer ce qui est droit et ce qui n'est pas droit, ce qui est licence, et ce qui n'est pas licence. » « Qu'elle garantie à un peuple qui s'est soumis à un pouvoir législatif, organisé d'après la théorie de J. J. Rousseau ? Quelle garantie, dis-je, a ce peuple, qu'un pareil pouvoir législatif ne lui fera point de mal, qu'il ne le conduira point à l'esclavage légalement et avec toute l'apparence du droit ? » « Il tombe [...] dans une autre [erreur], en commettant le plus grand de tous les crimes politiques, qui est de sacrifier le bonheur individuel de la saine minorité à la tyrannie d'une majorité oppressive, qui ne peut jamais avoir d'autre droit pour le faire, que le droit du plus fort qui, même dans les ténèbres des forêts, donne le droit à trois brigands armés d'assassiner un homme de bien désarmé et sans défense ; ce droit exécrable que Rousseau lui-même a la justice de condamner dans son chapitre du droit du plus fort. Peut-on avancer une pareille théorie et la contredire ainsi dans les moyens d'exécution qu'on offre ? Peut-on accorder au peuple, c'est-à-dire, à la majorité le pouvoir de faire le mal, après qu'on a démontré toute l'horreur du droit du plus fort ? » « En abattant la monarchie, le Peuple français n'a donc point reconquis ses droits, il n'a donc fait que changer le mode de son asservissement en se donnant de nouveaux oppresseurs. » « C'est ainsi, qu'après avoir brisé le joug de la royauté, Rousseau, le père de la révolution française, le bienfaiteur du genre humain devient son plus cruel ennemi. » -Junius Frey, Philosophie sociale dédiée au peuple français, 1793.
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	  [Sérieux] Immigration : questions et débats libérauxJohnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Salatomatonion dans Politique, droit et questions de société Les protestants ne rendent pas de culte à Marie et ne lui accordent pas le titre de Mère de Dieu.
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	  [Sérieux] Immigration : questions et débats libérauxJohnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Salatomatonion dans Politique, droit et questions de société Moui alors là je dubite grave. « Dans l’Olympe antique, des Déesses siégeaient avec les Dieux ; dans les temples, les oracles divins étaient rendus par des prêtresses aussi bien que par des prêtres. Chez les chrétiens le Dieu unique s’incarne sous la forme d’un homme ; le principe féminin n’entre pas dans la Trinité. […] Elle est l’instrument du Démon et la source de la damnation du monde […] En excluant les femmes […] le christianisme proclame d’une manière éclatante leur infériorité ; un de ses fondateurs a dit : l’homme a été créé pour Dieu, la femme a été créée pour l’homme. » -Louis Ménard, Lettres d’un mort. Opinions d’un païen sur la société moderne (1895).
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	  [Sérieux] Immigration : questions et débats libérauxJohnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Salatomatonion dans Politique, droit et questions de société Tu as une vision passablement romantique de l'histoire des femmes... "Tout le monde admet aujourd’hui que la poésie provençale et les conceptions de l’amour qu’elle illustre, « loin de s’expliquer par les conditions où elle naquit, semble en contradiction absolue avec ces conditions » [A. Jeanroy, La Poésie lyrique des Troubadours, 1934]." -Denis de Rougemont, L'Amour et l'Occident, p. 80.
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	  [Sérieux] Immigration : questions et débats libérauxJohnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Salatomatonion dans Politique, droit et questions de société C'est surtout que la conscription était obligatoire et que les rares déserteurs pouvaient se faire jeter en prison ou fusiller "pour l'exemple". Il n'en reste pas moins que l'obéissance des peuples européens à leurs gouvernements à été une certaine surprise pour l'époque. En France, l'Etat avait des listes de centaines de noms de militants de gauche / pacifistes à arrêter au début du conflit, mais finalement l'agitation contre la guerre a été si faible qu'elles ont à peine servis. La déception a été particulièrement importante dans le mouvement socialiste européen, qui avant-guerre avait conclu des accords internationaux pour empêcher le conflit par des grèves générales simultanées. Mais finalement les socialistes des différents pays ont jeter cette promesse aux oubliettes, les sociaux-démocrates allemands en premier (ils votent les crédits de guerre au Parlement). En fait, socialistes et plus largement ouvriers avaient le sentiment, pas infondés, que leurs droits étaient garantis par leur Etat national, que les lois sociales de Bismarck ou le système éducatif français permettraient peut-être à leurs enfants de s'en sortir, et qu'ils valait mieux défendre tout ça contre une domination politique étrangère que de passer pour des traitres. Donc même si le sentiment d'appartenance nationale est en partie construit, il ne faut pas non plus faire comme s'il n'existait pas. "La patrie en danger" en 1792 n'a pas fonctionnée grâce à une idéologie revancharde inculquée aux enfants...
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	  [dévié]Poutine, Weber, Napoléon et confiture déviéeJohnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Lucius dans Politique, droit et questions de société => http://images.tapatalk-cdn.com/15/06/01/bf38383b4cfc72b9c87f20058c300849.jpg
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	  [Sérieux] Immigration : questions et débats libérauxJohnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Salatomatonion dans Politique, droit et questions de société Certains te diront que cet attachement peut se manifester de façon autrement plus poussée: "Ma conception de la Nation est fondée sur la notion de « solidarité inconditionnelle ». Un exemple de collectivité à « solidarité inconditionnelle » est la famille – ou d’une manière plus générale, le clan : dès votre naissance à votre mort, vous devez solidarité aux membres de votre famille et ceux-ci vous doivent la réciproque. Il vous pouvez compter sur elle sauf à vous mettre en dehors par un comportement si extrême, si odieux qu’il cause votre expulsion. Mais si la famille pratique la « solidarité inconditionnelle », cette solidarité se pratique entre des gens qui se connaissent. Est-il possible d’imaginer une collectivité dont les membres ne se connaissent pas, ne se connaîtront jamais ? La Nation est la plus grande collectivité répondant à cette question. Des français sont allés dans les tranchées y laisser leur vie pour que d’autres français – qu’ils n’ont jamais connu et n’avaient aucune chance de connaître personnellement – puissent vivre." -"Descartes", 22/12/2015 (cf: http://descartes.over-blog.fr/2015/12/l-extreme-droite-a-bien-gagne-une-region.html). Ce qui ne change pas le fait que, comme tu le soulignais, cet attachement inconditionnel n'est absolument pas spontané, mais le produit du conformisme social et de l'encadrement idéologique d'Etat véhiculé par le contrôle de l'éducation. Les collectivistes sont béats d'admiration devant des "sentiments patriotiques" que leurs semblables ont eux même crées. Ils façonnent un monde à leur image comme disait Marx de la bourgeoisie.
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	  [Sérieux] Immigration : questions et débats libérauxJohnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Salatomatonion dans Politique, droit et questions de société Certes. Mais à part les groupuscules trotskystes, il n'y a plus de partis marxistes en France. La ligne du PCF n'est plus marxiste depuis plusieurs décennies maintenant.
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	  [Sérieux] Immigration : questions et débats libérauxJohnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Salatomatonion dans Politique, droit et questions de société C'est parfaitement cohérent quand on est un anticapitaliste de gauche. L'ennemi c'est le capitaliste et les films américains, pas le prolétaire immigré.
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	  Lessiver l'État islamiqueJohnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Johnnieboy dans Europe et international Un bon thème pour une parodie d'article de presse tiens. Je garde ça sous le coude.
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		- ei
- terrorisme
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	  Ces phrases qui vous ont fait littéralement hérisser le poil 2Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Mathieu_D dans La Taverne Je sais bien mais là Alain Laurent ne parle pas d'une action rationnelle au sens miséen (i.e. orientée vers une fin) mais réfléchie, calculée, intéressée et avantageuse. Et dans ce sens-là, pour Mises comme pour Rand, une action criminelle n'est pas rationnelle.
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	  Ces phrases qui vous ont fait littéralement hérisser le poil 2Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Mathieu_D dans La Taverne Prenons le cas d'une agression ou de la destruction de biens privés ou public dans un mouvement de foule / émeute. C'est passablement absurde de dire celui qui s'y livre fait un calcul rationnel coût-avantage... De toute façon ni Rand ni la plupart des philosophes ne soutiendrait qu'un criminel agi rationnellement.
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	  [Sérieux] Immigration : questions et débats libérauxJohnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Salatomatonion dans Politique, droit et questions de société Contre-proposition: on leur propose une alliance, entre omnivores, contre les écolos-vegans.
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	  Ces phrases qui vous ont fait littéralement hérisser le poil 2Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Mathieu_D dans La Taverne Alain Laurent a dit une bêtise: cf: http://www.contrepoints.org/2016/01/12/235206-pour-une-philosophie-penale-forte-la-contribution-dayn-rand
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	  [Sérieux] Immigration : questions et débats libérauxJohnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Salatomatonion dans Politique, droit et questions de société Autre conclusion: la religion, c'est mauvais pour la santé.
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	  La liberté : fin ou moyen ?Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Gio dans Philosophie, éthique et histoire Mais pourquoi vouloir la liberté et les biens qu'elles permet de poursuivre, si nous ne pensons pas qu'ils participent in fine de notre bonheur ? Toutes les fins peuvent se ramener à la première. « Est final, disons-nous, le bien digne de poursuite en lui-même, plutôt que le bien poursuivi en raison d'un autre ; de même, celui qui n'est jamais objet de choix en raison d'un autre, plutôt que les biens dignes de choix et en eux-mêmes et en raison d'un autre ; et donc, est simplement final le bien digne de choix en lui-même en permanence et jamais en raison d'un autre. Or ce genre de bien, c'est dans le bonheur surtout qu'il consiste, semble-t-il. Nous le voulons, en effet, toujours en raison de lui-même et jamais en raison d'autre chose. L'honneur en revanche, le plaisir, l'intelligence et n'importe quelle vertu, nous les voulons certes aussi en raison d'eux-mêmes (car rien n'en résulterait-il, nous voudrions chacun d'entre eux), mais nous les voulons encore dans l'optique du bonheur, dans l'idée que, par leur truchement, nous pouvons être heureux, tandis que le bonheur, nul ne le veut en considération de ces biens-là, ni globalement, en raison d'autre chose. […] Donc, le bonheur paraît quelque chose de final et d'autosuffisant, étant la fin de tout ce qu'on peut exécuter. » -Aristote, Éthique à Nicomaque, I, 5, trad. R. Bodéüs, Paris, Flammarion, 2004, p. 67-68.
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	  [Sérieux] Immigration : questions et débats libérauxJohnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Salatomatonion dans Politique, droit et questions de société C'est plus dû un certain état d'esprit obscurantiste qui peut-être religieux (mais de nos jours plutôt écologiste) qu'à la religion en soi. En tout cas on peut trouver des contre-exemples: les abbayes cisterciennes étaient parmi les rares zones ayant accomplies des progrès technologiques au Moyen-âge (en Europe du moins).
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	  [Sérieux] Immigration : questions et débats libérauxJohnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Salatomatonion dans Politique, droit et questions de société C'est d'ailleurs pour ça que Machiavel écrit Le Prince: en espérant que les Italiens soient rassemblés par un leader visionnaire, qu'ils arrêtent de s'entre-massacrer et de se laisser piller constamment par les espagnols, suisses, autrichiens, français et tutti quanti. De fait l'Etat centralisé pose des problèmes, mais l'anarchie féodale aussi. Les guerres entre factions rivales relativement égales sont incessantes jusqu'à ce que le pouvoir militaro-fiscal soit monopolisé (cf Norbert Elias, La dynamique de l'Occident).
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	  Michel Onfray, chou-fleur & sparassis crépuJohnathan R. Razorback a répondu à un sujet de José dans Politique, droit et questions de société Merci. Pour Foucault et Bourdieu, ils sont plutôt dans la critique des institutions que dans la proposition de nouvelles méthodes, non ? Je suis un peu surpris de les voir ici.
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	  Michel Onfray, chou-fleur & sparassis crépuJohnathan R. Razorback a répondu à un sujet de José dans Politique, droit et questions de société Je veux bien moi (parce que le sujet m'intéresse, et parce que la clarté implique de nommer ce à qui on s'oppose).
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	  Sarkozy, BHL, Clinton et l’or de KadhafiJohnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Astha dans Actualités Dans les faits, avec Daesh qui se balade en Libye, je ne sais pas si la France a un meilleur accès au pétrole lybien (et même si c'était le cas, ça reste une raison de merde de raser un pays qui ne nous a rien fait, on se comprend). Quant à cet or de Kadhafi...Où est-il ?
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	  [Sérieux] Immigration : questions et débats libérauxJohnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Salatomatonion dans Politique, droit et questions de société La DDHC, tare socialiste ?
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	  Michel Onfray, chou-fleur & sparassis crépuJohnathan R. Razorback a répondu à un sujet de José dans Politique, droit et questions de société Peux-tu nous dire en quelques mots quelle était cette ligne (même si ça doit changer un peu d'un syndicat à l'autre, non ?) et en quoi elle était/est nuisible ?
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	  Ces phrases qui vous ont fait littéralement hérisser le poil 2Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Mathieu_D dans La Taverne En l'occurrence ce n'est pas un nationaliste obtus mais un collectiviste de merde qui explique que la solidarité naît de l'extorsion de fond et du partage du butin.
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	  Ces phrases qui vous ont fait littéralement hérisser le poil 2Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Mathieu_D dans La Taverne Un discours que j'entends de plus en plus et pas seulement qu'à droite: source: http://www.letempsdypenser.fr/le-patriotisme-une-certaine-idee-du-bien-commun/

 
        