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Tout ce qui a été posté par Mégille
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	  Qu'est-ce qu'un député LREM à l'assemblée ?Mégille a répondu à un sujet de Neuron dans Politique, droit et questions de société Ouai, mais ça, ça marche à la limite quand les gens sont enclin à faire porter le chapeau au PM. Là, il est le membre le plus populaire du gouvernement après Le Drian (je ne sais pas pourquoi celui-là, d'ailleurs, peut-être juste parce qu'il ne l'ouvre pas trop). Et Valls ne représente absolument personne. Ce serait vraiment le summum de cette tendance à privilégier la servilité à la compétence. Mais au dépend de la popularité, en plus, ce qui serait assez incroyable.
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	  Guerre civile culture, IDW, SJW & coMégille a répondu à un sujet de 0100011 dans Politique, droit et questions de société Sauf les joueurs Slaanesh ou Tzeensch. Ceux-là sont lgbt+ friendly.
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	  Qu'est-ce qu'un député LREM à l'assemblée ?Mégille a répondu à un sujet de Neuron dans Politique, droit et questions de société Ca peut pas être sérieux... Philippe est le seul qui est relativement respecté, et personne, absolument personne, n'aime Le Maire ou Valls, ça n'a aucun sens.
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	Les comptes parodiques vont avoir du mal à faire mieux...
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	La version des frères Cohen de Curtis Yarvin était quand même plus badass, mais l'esprit a été respecté.
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	  Émeutes de Minneapolis 2020Mégille a répondu à un sujet de Hayek's plosive dans Politique, droit et questions de société Toutes ces vitrines cassés... c'est parfait, ça va relancer l'économie ! (complot keynésien ?)
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	  Émeutes de Minneapolis 2020Mégille a répondu à un sujet de Hayek's plosive dans Politique, droit et questions de société Faux. Techniquement, il serait aussi possible d'être contre le pillage et de reconnaître que G Floyd a été victime d'un meurtre, sans pour autant considérer que les protestations massives soient légitimes, ni que la police soit systématiquement corrompue. Mauvais graphique, bouh. A propos des antifas comme terroriste, on parle d'un simple tweet, hein. Aucune chance que ce soit réellement fait. Non ? A propos de l'impact sur l'opinion publique, il me semble que ça devrait logiquement jouer en faveur de Trump, ceci dit (je n'ai jamais compris pourquoi), parfois les manifestations font évolués l'opinion publique en leur faveur. Je ne suis pas assez sensible aux dynamiques de groupe pour saisir ce qui se passe.
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	  Je raconte my life 9 : hache de bûcheronnage et vaporettoMégille a répondu à un sujet de poney dans La Taverne Ou alors, demande-lui, "même les hommes trans ?"
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	A proprement parler, même si on le fait souvent, ça reste une erreur. Le socialisme, c'est la socialisation des moyens de production (c'est à dire, leur étatisation pour les socialistes qui reconnaissent l'état comme un représentant légitime du peuple). Du point de vue socialiste, les inégalités de distribution ne sont qu'une conséquence du problème, et pas le problème en lui-même. Vouloir redistribuer la richesse produite après-coup, sans forcément toucher directement à la production, c'est une idée qu'on retrouve de longue date aussi bien chez des libéraux classiques (comme Thomas Paine) que chez des conservateurs (comme Bismarck). Donc en gros, tu serais pour quelque chose comme un utilitarisme + un principe déontologique contraignant à accorder au moins un minimum de biens à chacun, pour que personne ne soit sacrifié au nom du bonheur des autres ? Un premier problème que je vois, c'est que la limite basse de la "vie décente", de la même façon que la différence entre le besoin et le luxe superflu, n'est pas une constante. J'imagine que tu considères qu'avoir une salle de bain pour soi ou sa famille fait parti du minimum dont tout le monde devrait jouir. Pourtant, il y a 200 ans, c'était un luxe dont seule une toute petite minorité pouvait jouir. A partir de là, comment déterminer ce minimum de décente que la société doit aux uns et aux autres ? Je ne vois que deux pistes possibles : soit absolument, en considérant qu'en tout temps, en tout lieu, ce minimum décent a été le même, soit relativement, en considérant que le minimum décent dépend de la richesse d'une société. Mais ces deux solutions mènent à des paradoxes. Pour la première : à moins de poser une limite très très basse (sans salle de bain, notamment), on doit conclure qu'une grande partie des sociétés devaient faire certaine chose sans pouvoir les faire, faute de développement suffisant. C'est paradoxal, puisqu'une chose ne peut pas être nécessaire sans être possible. Pour la deuxième : ça voudrait dire que lorsque je créer un nouveau bien (dans un premier temps forcément rare, quoi que ce soit, ça ne va pas arriver dans les mains de tout le monde d'un seul coup), je hausse la barre du minimum décent, et donc, que je fais tomber plus de gens en dessous (mais sans avoir changé en mal leur situation objective pour autant). Donc en ne faisant rien d'autre qu'être utile à certains, et pas forcément moins que possible, on devrait considérer que j'ai mal fait, puisque expulsé gratuitement des innocents hors de la sphère de la vie décente. Il me semble plutôt que le seul minimum que l'on se doit (et que l'on peut faire respecter par la violence si nécessaire) est seulement négatif : ne pas agresser l'autre, ne pas jouir de ce qui est sien sans son consentement. Condamner les pharaons pour avoir eu recours à l’esclavagisme me semble sensé, les condamner pour ne pas avoir garanti une salle de bain individuelle avec eau courante à chacun de leur sujet, moins. A propos des conventions collectives et cogestions : pour ce qui est des conventions collectives, je pense que ça peut très bien être fait de façon contractuelle et sans agresser personne, par un syndicalisme mature. Il me semble que ça fonctionne comme ça au Danemark, et presque sans aucun droit du travail édicté par l'état. Ca me semble bon. Pour ce qui est des cogestions, je n'ai rien contre sur le principe. Tout comme je n'ai rien contre les coopératives et autres associations en tout genre. La pluralité des formes d'organisation me semble plutôt saine. Et si, comme tu sembles le croire, on peut s'attendre à une plus grande productivité de la part des organisations faisant plus directement intervenir les travailleurs dans la décision, il n'y a pas besoin d'intervention légale en leur faveur. Il suffit de les laisser triompher sur le marché.
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	  Émeutes de Minneapolis 2020Mégille a répondu à un sujet de Hayek's plosive dans Politique, droit et questions de société C'était pas un antifa, le tueur de Dayton de l'été dernier ?
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	  Macron : ministre, candidat, président... puis oMicronMégille a répondu à un sujet de Nigel dans Politique, droit et questions de société Il y aurait un libéral sous couverture au gouvernement ?! Il cache bien son jeu, ce fourbe.
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	Par contre, il me semble qu'il y a des chances qu'elle soit "verrouillé" gravitationnellement, non ? Ne laissant qu'une fine bande entre la zone exposé à l'étoile et la zone sombre, pour avoir potentiellement une température vivable... Je me demande la taille qu'ont Alpha et Beta Centauri depuis le ciel de Proxima B.
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	C'est même contesté bien plus tôt. Il me semble que le principe du recrutement par concours apparaît au cours du moyen-âge chinois, et se systématise dès l'empire Tang (~ pendant nos carolingiens). Auparavant, dans l'antiquité, le recrutement se faisait par recommandation, suggérer de nouvelles recrues à son supérieur était considéré comme un devoir du bon fonctionnaire, et une compétence qui allait de pair avec son excellence morale. J'imagine que les concours servait à briser les dynamiques dynastiques qui s’installaient à cause de ça dans l'administration au dépend des dynasties régnantes. Et lorsque les conditions d'examen deviennent plus rigoureuse au XIème sous les Song du nord, avec les réformes de Wang Anshi notamment (qui est lui-même un manant qui s'est élevé jusqu'à premier ministre-like par le biais des concours méritocratiques), on voit déjà une opposition conservatrice, mené par Sima Guang, reprochant au nouveau système d'être trop impersonnel et de ne pas pouvoir saisir la véritable valeur morale des candidats (contrairement à un système népotique, reposant sur la relation personnelle maître-disciple). Il me semble que ça a fréquemment changé, ça. Je crois bien que Han Wudi avait pris ce privilège, et que plus tard, on a même souvent vu des empires instaurer des monnaies-papiers avec cours légaux (mais ils ont toujours finit par abandonner l'idée à cause de l'inflation qui s'en suivait immanquablement). Contrairement à une opinion communément répandue, l'empire chinois n'est pas dans son principe intrinsèquement confucianiste. Le confucianisme est issu de l'époque pré-impériale et était plus adapté à un royaume traditionnel aux lois coutumières qu'à un empire organisé rationnellement (Confucius s'opposait même à l'existence de code de lois écrites, tout particulièrement des codes pénaux). La première dynastie, les Qin, était proto-taoïste ("huanlao") et légiste (~ machiavélique + légaliste). Sous la période des trois royaumes, les Wei (qui, concrètement, contrôlaient l'essentiel de l'ancien empire Han) cherchaient à réhabiliter le légisme et "l'école des noms" (école logique plutôt utilitariste). La brève dynastie Sui qui a réunifié l'empire après la période de division entre le nord et le sud était bouddhiste, de même que l'empire sous l'usurpation de Wu Zetian plus tard. La dynastie Tang était taoïste, afin de préserver l'équilibre entre le clergé bouddhiste et l'administration confucianiste, tous les deux également puissant à l'époque. C'est sous là, les Tang, que les examens impériaux sont apparus. Les Song étaient souvent accusé d'être confucianistes en apparence, et légistes en réalité (les réformes de Wang Anshi, et notamment l'idée de critères objectifs et impersonnels de sélection du personnel n'ont rien de confucianistes). Les Yuan (mongol) étaient bouddhistes tibétains. Et les Qin (mandchou) se montraient tantôt comme des sages confucianistes pour rassurer les fonctionnaires chinois, tantôt comme des guerriers mandchous traditionnels pour s'assurer du soutient des huit bannières (les armées mandchous), et tantôt comme des saints bouddhistes tibétains pour plaire au clergé. Donc aussi bien l'empire que les examens impériaux étaient initialement anti-confucianistes.
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	Moi je l'ai déjà fait quelques fois ! ? Effectivement, en général, ça se passe mal.
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	Je pense qu'on peut s'attendre à une campagne faite massivement de trolling et de parodies comme celle-ci du coté de Trump, internet va devenir amusant dans les mois à venir. Déjà en 2016, je me souviens d'une brève explosion de mèmes pro-Trump sortis de nul part sur 9gag une semaine ou deux avant l'élection, alors qu'auparavant, lorsque ça devenait politique, on y parlait plutôt de Bernie, voir de Gary Johnson.
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	Il y a une suite de 5 (ou plus ?) MOOC sur l'Histoire chinoise sur edX, donné par Harvard. Ils sont vachement bons, je les recommande (si c'est pour se familiariser au sujet, et pas forcément faire de la recherche dessus, quoi). Le seul hic c'est qu'ils avaient prévu de finir par un éloge de Taïwan, et pour finir, quelque chose ou quelqu'un les a fait changer d'avis, visiblement. Le lien du premier cours : https://courses.edx.org/courses/HarvardX/SW12x/2013_SOND/course/ Je les ai suivit il y a longtemps (à leur sorti) ils en ont peut-être fait d'autres maintenant. La Chine a effectivement un modèle étatique centralisé et bureaucratique de longue date, et ça a été découvert en Europe au début de l'époque moderne. Mais je ne suis pas sûr que ce soit véritablement une influence, il me semble que la bureaucratie apparaît assez spontanément dès que l'on une organisation hiérarchique. En France, en toute rigueur, ça a commencé dès Philippe Auguste avec les baillis et les prévôts.
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	Attends, ce n'est que du Beauvoir, ça ! D'après les standards actuels, Beauvoir, c'est ultra-réac ! Depuis, il y a Irigaray qui est passée par là (les catégories de masculin et de féminin font toutes les deux parti de la façon masculine de voir le monde, puisque les hommes ont le monopole de la parole, et le vrai féminin est ineffable), et ensuite Butler (d'après laquelle... non, je renonce). Mais de toute façon, on voit les limites de l'extrapolation à partir de la langue simplement en comparant les sociétés actuelles et romaine antique. Les romains distinguaient au quotidien le "vir" de la femme sans associer linguistiquement l'un à l'universel, et ils avaient même un genre neutre pour ne pas tout sexualiser, et pourtant, l'homme y avait littéralement droit de vie et de mort sur sa femme.
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	Ce n'est pas avec du bon sens qu'on séduit. Le désir des femmes est une ressource rare du point de vu des hommes, beaucoup plus dans ce sens là que l'inverse, tant et si bien qu'il y a une inévitable part d'hommes frustrés. Les hommes étant en outre généralement plus violents, on peut s'attendre à ce que certains cherchent à compenser leur frustration de cette façon. Le courant "incel" ne fait que mettre un mot sur ce phénomène, il ne le provoque pas. Peut-être même qu'il le limite en aidant à en parler. La plupart des incels sont inoffensifs, et une grande partie des personnes violentes sont des hommes frustrés qui ne se revendiquent pas pour autant "incel". Deux remarques importantes sur ce que je viens de dire : à propos du désir masculin plus abondant, et de la plus grande violence des hommes, je ne fais ici que constater un fait (beaucoup d'études le confirment), je ne prétends pas dire ça cause. Ca pourrait avoir une cause biologique (c'est plausible), ou non, ça ne change rien au raisonnement. Deuxièmement, même si la cause est biologique, ce n'est pas pour autant que la culture ne peut rien y faire. Ca vient de humus, "terre", et c'est de "humain" (humanus) que vient "homo", homme. Les latins avaient un autre mot pour désigner l'homme mâle par opposition à l'homme femelle, "vir" (d'où, "viril"), mais c'est tombé en désuétude. Il me semble que le vieux français utilisait encore "hommasse" pour désigner l'homme femelle. Le français actuel est "sexiste" dans la mesure où l'homme mâle est associé à l'universel de l'humanité alors que la femme est reléguée à la particularité de son sexe, ça rejoint Beauvoir (ou plutôt, Beauvoir n'a pas eu à chercher bien loin pour trouver ça, du coup).
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	Bienvenue @BinkAcerAmer ! Comme tu t'en es aperçu, le débat va être assez ardu pour toi, à un contre tous, ça n'est jamais facile (nous autres libéraux en faisons tous très souvent l'expérience au quotidien hors de ce forum). Je te recommande tout de même d'essayer de rester un peu, ça peut être instructif, mais rend toi bien compte que beaucoup de ce qui peut te sembler évident ne le sera souvent pas pour nous autres, il faut donc faire gaffe en avançant... Tu te dis utilitariste. Qu'on soit clair, tu considères donc qu'il n'y a aucun problèmes à ce qu'il y ait des inégalités, non seulement si ça permet aux plus pauvres d'être mieux lotis (comme un "libéral moderne" rawlsien), mais que même si certains se retrouvent encore plus défavorisés, c'est toujours bon tant que ça permet d'augmenter en général de bien-être des autres ? Si oui, alors, c'est bon, tu es beaucoup plus prêt à accepter le capitalisme que la plupart des français ! Si non, par contre, c'est que tu admets d'autres principes qu'il nous faudra examiner. Je comprends la séduction, d'un point de vue utilitariste, d'un modèle à la scandinave, capitalisme libéral + redistribution. Empiriquement, ça semble bien marcher, ne pas intervenir étatiquement dans la production permet de produire plus, et la redistribution peut être justifiée par une extension inter-individuelle de la loi d'utilité marginale décroissante (un même bien apporterait plus de bonheur à un pauvre qu'à un riche, pour qui le bien est déjà abondant). Evidemment, toujours d'un pov utilitariste, cette redistribution ne doit pas être trop haute, puisque d'une part, puisqu'elle ne se fait pas toute seule, elle consomme et détruit de la richesse (il faut payer les bureaucrates qui l'administrent) richesse qui ne sert donc plus ni à produire plus, ni à satisfaire directement des besoins finaux, et d'autre part, en faisant ainsi, on baisse l'incitation de tout le monde à produire (du plus riche puisqu'il gagne moins à produire, du plus pauvre pauvre parce qu'il perd moins à rester pauvre, et du redistributeur puisqu'il gagne à capter toujours plus de richesse dans la redistribution). Pour ces deux dernières raisons, j'ai tendance à croire qu'à suffisamment long terme, un capitalisme redistributif est toujours moins bon qu'un capitalisme vraiment libéral, puisqu'il se retrouve avec moins de richesse à redistribuer. Peut-être, ceci dit, qu'il y a une bonne proportion de redistribution, qui se retrouve plus utile que pas de redistribution du tout, et peut-être est-ce ce là où en sont les scandinaves. Je laisse ce calcul aux économistes. N'étant pas utilitariste, ça n'aura toujours pas mon suffrage, mais je troquerais tout de même volontiers le modèle français contre le modèle suédois. Petite remarque sur tes interventions précédentes : tu utilises souvent le taux de chômage comme principal indicateur de réussite économique. Ca me semble incorrect. Si on paie des gens à creuser des trous et les reboucher, on fait baisser le chômage, pourtant, on augmente pas la richesse. Tant qu'à payer gratuitement des gens qui ne rendent aucun service, autant le faire directement sans leur demander de sortir leurs pelles pour rien. De bas taux de chômage dans les pays socialistes reviennent souvent à ça : des boulots inutiles, dans l'administration notamment, pour faire bonne figure, mais sans que ça ne soit vraiment utile à qui que ce soit. Il n'y avait presque pas de chômage en URSS, ni dans l'Angleterre pré-Tatcher, qui était pourtant l' "homme malade de l'Europe". Si tu es vraiment utilitariste, tu es sans doute raisonnable, on devrait se mettre d'accord sur plusieurs points. En espérant que tu repasses par là !
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	Vrai. Et pourtant le mot n'est pas employé, il faut que ce soit du terrorisme. J'imagine que lorsqu'il y en aura un qui posera une bombe quelque part, il faudra appeler ça un génocide.
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	Plus le green new deal à 1700 milliards... Je ne comprends pas pourquoi tout le monde le perçois comme centriste.
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	  Le fil des séries (dont beaucoup trop se bousémotivent)Mégille a répondu à un sujet de Brock dans Sports et loisirs J'ai surtout trouvé que les elfes et les nains ressemblaient trop à des humains normaux, que les armures niflegard étaient moches, et que le dragon était tellement cheap qu'il n'aurait même pas eu sa place dans les films de Donjon et dragon.
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	  Les chinois, camaraderie et capitalismeMégille a répondu à un sujet de Hayek's plosive dans Europe et international Si le PCC chute, la principale force populaire susceptible de prendre le relais est un courant religieux d'inspiration falun gong, dont les membres étaient plus nombreux que ceux du parti il y a quelques années. Et ils ne sont pas forcément nos amis - ils allient anti-communisme à anti-modernisme et xénophobie. (il me semble que l'un des principaux reproche du falun gong au communisme est justement d'être une idée étrangère).
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	  Images fun et leurs interminables commentairesMégille a répondu à un sujet de Librekom dans La Taverne Le juif, c'était l'autre. Les anti-hommes bancs cis het sont en grande parti des hommes blancs cis het. J'y vois plutôt une sécularisation du thème du péché capital, de la faute d'être au monde (au même titre que l'anti-intellectualisme des intellos marxistes et que l'anti-humanisme des écolos).
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	Ca a quand même des chances d'être de la propagande chinoise, ça.

 
         
					
						